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jeudi 29 décembre 2011

HISTOIRE DE PERE NOEL



"LE PERE NOEL s'est tiré une balle dans le cul" est en effet un des titres qui avait été proposé avant la sortie du film (cf. Josiane Balasko). Cette info, on l"a entendu dans le documentaire dédié au film la semaine dernière (diffusé un soir sur la TNT) , mais on la trouve aussi dans l'excellent livre "plein feu sur le père Noel est une ordure".




 

mercredi 28 décembre 2011

CHEETAH 1932-2011

Cheetah, le célèbre singe de Tarzan, est décédé, soit vingt-sept ans après Johhny Weissmuller, qui interprétait Tarzan.

Ce chimpanzé, né en 1932, a vécu plus du double de l'âge moyen chez les animaux de la même espèce. Un record inscrit au "Guinness Book". Il est décédé à l'âge de 80 ans, suite à une insuffisance rénale, à Palm Harbor en Floride, réserve où il passait sa "retraite

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Un chimpanzé nommé Cheetah, qui serait le célèbre primate apparu dans les films de Tarzan dans les années 1930, est mort à l'âge de 80 ans, a annoncé mercredi la réserve de Floride dans laquelle il vivait.

"C'est avec une grande tristesse que la communauté a perdu un ami très cher et un membre de sa famille le 24 décembre 2011", a précisé sur son site internet le Suncoast Primate Sanctuary de Palm Harbor (Floride).

Le personnage de Cheetah est apparu dans les films "Tarzan, l'homme singe" en 1932 puis "Tarzan et sa compagne" en 1934 aux côtés de l'ancien champion olympique de natation Johnny Weissmuller et de Maureen O'Sullivan.

L'identité du primate est toutefois controversée, plusieurs singes ayant été utilisés à Hollywood à cette époque.

Les propriétaires d'un autre vieux chimpanzé, nommé Cheeta (bien: Cheeta) et qui vit, lui, en Californie, ont affirmé que c'était en fait leur singe qui accompagnait Tarzan à l'écran. Mais des recherches effectuées en 2008 ont montré qu'il était bien trop jeune pour avoir tourné au cinéma dans les années 30.

L'espérance de vie d'un chimpanzé est habituellement d'environ 45 ans.

Cheetah, le chimpanzé de Floride, qui serait arrivé dans le centre en 1960, est mort d'une insuffisance rénale.

Il adorait peindre avec ses doigts, regarder du football américain et écouter de la musique religieuse, a raconté Debbie Cobb, la directrice de la communication du refuge, au quotidien Tampa Tribune.

"Il savait si ma journée se passait bien ou pas. Il essayait toujours de me faire rire s'il pensait que je passais une mauvaise journée. Il était très sensible aux sentiments humains", a-t-elle ajouté.

Selon Ron Priest, qui travaille au sanctuaire, Cheetah sortait du lot car il savait marcher le dos droit, comme un humain, et qu'il possédait de nombreux talents.

"Quand il n'aimait pas quelqu'un ou quelque chose, il ramassait ses excréments et les jetait sur lui. Il pouvait vous atteindre à 10 mètres à travers des barreaux", a-t-il raconté.

http://www.leparisien.fr/flash-actualite-culture/cheetah-le-chimpanze-de-tarzan-meurt-a-80-ans-28-12-2011-1786920.php

mardi 27 décembre 2011

LA GRANDE RENCONTRE

Autographe de Louis De Funes & Bourvil sur la même carte postale  ! jolie collector ! Merci à l'heureux propriétaire  (FX) !

vendredi 23 décembre 2011

Noël en famille


"[Imitant la voix de sa femme Hollie]
"Viens m'voir à Los Angeles,

on passera Noël en famille,

on fera la fête !"
John Mc Lane - Piège de cristal




CHER PERE NOEL


Petit apperçu de quelques films ayant pour thème Noël. Ok, c'est facile, à 2 jours du réveillon de Noêl ... qui a dit que mon blog était en service minimum ?






jeudi 22 décembre 2011

TOM TOM TOMTOM TOM TOM TOMTOM TOM TOM



"Je me souviens d'avoir regardé la série, à la télévision. J'adorais la musique et tous les trucs avec les gadgets, ainsi que l'équipe et les endroits où ils allaient. C'était une sorte d'événement familial à la maison. Quand je suis allé voir la Paramount pour la première fois, il n'était pas dans l'idée de faire un film Mission Impossible. Mais ils étaient emballés et aujourd'hui, on en est à Mission Impossible 4, ce qui est cool"
Tom Cruise

Cinéma : la fin des industries techniques françaises ?


Par EMMANUEL BERRETTA
La faillite des laboratoires LTC mêle concurrence effrénée entre laboratoires, désinvolture des producteurs et imprévoyances du CNC.


Evoquer l'histoire des industries techniques françaises du cinéma en évitant les termes "chaos", "fiasco", "gâchis" et "bêtise" ? Difficile. Ces mots fâcheux qualifient assez le sort réservé aux laboratoires français avec la fermeture de LTC qui jette à la rue 115 salariés. Personnage incontournable de ce drame, Tarak Ben Ammar, le propriétaire de LTC, déplore, quant à lui, l'attitude à son égard des producteurs de films et des autorités publiques. De fait, le concurrent Éclair se trouve aujourd'hui en situation de monopole sur le sol français. Ben Ammar évincé ? Pas tout à fait. L'homme d'affaires était certes majoritaire dans LTC, via son groupe Quinta Communications, mais il possède également 43 % d'Éclair, son concurrent.


Une main sur l'un, un pied dans l'autre. Tarak Ben Ammar rêvait, au printemps 2008, d'organiser la fusion LTC-Éclair. La DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) avait posé des conditions, en termes d'emplois, qui l'en ont dissuadé. "Contrairement à ce qu'affirme Tarak Ben Ammar, Christine Albanel n'était pas défavorable à la fusion LTC-Éclair", affirme l'entourage de l'ancienne ministre de la Culture. Les producteurs, eux, redoutaient cette concentration et ses conséquences en termes tarifaires. Moyennant quoi la fusion, abandonnée hier, aboutit aujourd'hui au même résultat : Éclair est désormais la seule enseigne.

L'incroyable désinvolture des producteurs

Les producteurs de films, qui s'effarouchent de la situation, ont toutefois leur part de responsabilité dans la faillite de LTC. Ils ont profité à plein de la concurrence effrénée à laquelle se sont livrés les laboratoires, accordant de nombreuses remises et des délais de paiement à 180 jours. Mieux ! Les labos ont servi de banquiers (!) aux producteurs qui se sont gavés et ont laissé d'énormes factures impayées. Ne parvenant pas à boucler leur financement, ils promettaient de payer les laboratoires sur les recettes du film. Les succès, comme on le sait, sont rares en salle... Au cours des quinze dernières années, l'ardoise des producteurs vis-à-vis de LTC s'élève ainsi à... 39,1 millions d'euros ! Pour la seule année en cours, les laboratoires LTC possèdent ainsi des créances importantes auprès de grands noms du cinéma français : 772 976 euros à la charge EuropaCorp (Luc Besson), 858 570 euros à la charge de Mars Distribution, 410 368 euros à la charge de Miroir Magic Cinéma, 399 390 euros à la charge de Studiocanal, 346 609 euros pour La Vérité Production, 239 860 pour Pathé... La liste est longue.

En dehors de l'attitude désinvolte des clients, les laboratoires ont subi le choc structurel de la révolution numérique. Le photochimique, la pellicule, est voué à mourir. On le sait depuis longtemps. En octobre 2002, le rapport Couveinhes puis le rapport Goudineau, d'août 2006, proposaient des pistes pour anticiper la mort de la pellicule. "Le CNC n'a pas joué son rôle il y a dix ans. Il aurait pu, à l'époque, organiser la transition des industries techniques du photochimique au numérique, déplore un observateur avisé du septième art. C'est trop tard. Le CNC ne s'intéressait pas à ce genre de questions et les industries techniques n'ont jamais vraiment été considérées comme faisant partie de la grande famille du cinéma." D'autres objectent que Bruxelles se serait sans doute opposé à ce que le CNC aide les laboratoires.

La numérisation des oeuvres ajournée

Le coup de grâce a été donné lorsque l'immense succès du film Avatar, de James Cameron, a rendu obsolètes les salles qui ne pouvaient faire de la 3D. Dès lors, le CNC, sous l'impulsion de Véronique Cayla, a accéléré la numérisation du parc des salles. En juin 2011, déjà 2 686 écrans, soit 48,9 % du parc, étaient équipés pour la projection numérique. Les subventions sont allées aux exploitants de salle au moment même où les laboratoires devaient consentir à des investissements pour renouveler leurs équipements. Tarak Ben Ammar nourrissait un dernier espoir : l'argent du grand emprunt qui devait servir à la numérisation de 10 000 films du patrimoine français.

La numérisation de la crème du cinéma français, sa mémoire, aurait pu rapporter entre 50 000 et 60 000 euros par long-métrage. Les fonds devaient être débloqués en septembre. Deux ministres (Frédéric Mitterrand et Éric Besson), lors du dernier Festival de Cannes, avaient signé l'accord en grande pompe. La crise financière a tout gelé. Le dossier Gaumont, premier de la liste, vient d'être ajourné... Ne voyant rien venir, LTC, étranglé, a plié la voilure. Éclair est désormais seul. Le CNC osera-t-il braver Bruxelles et élaborer la politique industrielle qui fait aujourd'hui défaut dans ce secteur ravagé ?

Le Point.fr - Publié le 21/12/2011

La faillite des laboratoires LTC mêle concurrence effrénée entre laboratoires, désinvolture des producteurs et imprévoyances du CNC.


Par EMMANUEL BERRETTA



mercredi 21 décembre 2011

BILL CONTRE LES FANTOMES


« Personne ne veut gaspiller de l'argent pour voir de vieux hommes gras chasser des fantômes ! »
Bill Muray

Quand ça veut pas, ça veut pas, à en croire les réactions de Bill Murray sur le futur scénario de SOS FANTOMES 3. A quoi bon... On a vu ce que ça à donné avec INDY 4 !



photo extraite des  Scream Awards, cérémonie organisée par la chaîne Spike TV en 2010  et consacrée aux films d’horreur et science-fiction. Visiblement un grand moment pour les amateurs des franchises des années 80 puisque Bill Murray, venu récupérer son prix de meilleur cameo dans ZOMBIELAND, est apparu sur scène en costume de GHOSTBUSTERS.





mardi 20 décembre 2011

LA DERNIERE SEANCE ?


36 films bloqués par la chute du groupe Quinta

Les sorties en salle d’Astérix au service de sa Majesté ou La Vérité si je mens 3 sont compromises par la faillite du groupe de postproduction audiovisuelle.

La faillite du principal groupe français de postproduction audiovisuelle vire au cauchemar. La sortie en salle de trente-six films en cours de montage, dont Astérix au service de sa Majesté ou La Vérité si je mens 3, est menacée. La Fédération des industries du cinéma a tiré hier la sonnette d’alarme en adressant à Nicolas Sarkozy une lettre soulignant «la gravité et l’urgence» d’une situation qui pourrait avoir des «conséquences économiques et culturelles irréversibles». La semaine dernière déjà, la sortie du film de Martin ScorseseHugo Cabret avait failli être annulée, avant d’être sauvée in extremis par des copies récupérées à Rome.

À l’origine de cette catastrophe, qui résulte de la montée en puissance du numérique dans la fabrication des films, la chute du groupe Quinta Industries. Ce dernier, détenu par l’homme d’affaires franco-tunisien Tarak Ben Ammar, a été placé en liquidation judiciaire vendredi dernier, ainsi que sa principale filiale (115 salariés sur 180), le laboratoire cinématographique LTC, alors qu’une autre, spécialisée dans les effets visuels, Duran Duboi, pourrait aussi fermer début janvier.

«Les procédures dont fait l’objet le groupe Quinta et ses différentes filiales provoqueront des dommages collatéraux considérables inhérents» au stockage des œuvres, avertit la Fédération des industries du cinéma. Une course contre la montre est engagée pour que les films sortent selon le calendrier prévu, et notamment ceux déjà vendus à l’étranger. L’urgence est de récupérer tous les éléments des films, rushes et montages, et de trouver de nouveaux moyens de stockage, physiques ou virtuels, pour ne pas perdre et finaliser les productions en cours. La fédération demande à la justice de remettre à plus tard la liquidation des sociétés

http://marches.lefigaro.fr/news/societes.html?&ID_NEWS=216139098

D'après les informations d'Europe 1, Film Funds propose de reprendre Quinta Industries, le groupe en faillite chargé de la post-production d'une trentaine de longs-métrages français...

Astérix 4 ou La vérité si je mens 3 vont-ils pouvoir être projetés dans les salles obscures? Lundi, Thierry de Segonzac, président de la Fédération des industries du cinéma, s’alarmait: la sortie d’une trentaine de films, dont ces deux longs-métrages, prévue initialement pour 2012, est compromise en raison de la liquidation judiciaire du groupe chargé de leur post-production, Quinta Industries . Mais une société californienne, Film Funds, pourrait changer la donne.

D’après Europe 1 cette firme s’apprête à faire une offre de reprise de Quinta Industries au tribunal de commerce de Nanterre (Hauts-de-Seine). Celle-ci portera «sur la bonne fin des travaux qui sont en cours», soit «environ 32 films», afin qu’ils puissent sortir en salles, a expliqué à la radio Christian Paris, un des vice-présidents de Film Funds, sans toutefois évoquer ce qui se passerait pour les quatre autres films. Christian Paris a en outre précisé que sa société reprendrait également «une partie du personnel» de Quinta Industries, ce qui pourrait sauver 180 emplois si le tribunal de commerce accepte l’offre.

Lundi, Thierry de Segonzac avait confié à 20 Minutes que les producteurs français étaient très inquiets depuis jeudi dernier, jour où Quinta Industries a été placé en liquidation judiciaire. «Depuis deux mois, les sociétés techniques [du groupe] ne sont plus très bien organisées. Les éléments sont éparpillés», a-t-il affirmé. Difficile donc pour les producteurs de récupérer sur les ordinateurs du groupe les éléments de leurs longs-métrages (scènes tournées, montages, sons, effets spéciaux). Thierry de Segonzac craint surtout que ces ordinateurs soient rapidement «saisis par les créanciers avec tout le travail effectué sur les films dessus». Tout serait alors définitivement perdu.

http://www.20minutes.fr/article/845818/societe-americaine-vole-secours-cinema-francais

lundi 19 décembre 2011

LA JOURNEE DE LA MARMOTTE et des animaux du monde du cinéma


Etre acteur permet de donner la réplique aux plus grandes stars de la planète (Christophe Lambert & Sean Connery dans HIGHLANDER)  parfois,   il faut  donner la réplique à des bestioles pour le meilleur, souvent pour le pire.  Voyage en terrain connu pour  Jim Carrey (Ace VENTURA) et Christophe Lambert (Greystoke) puisqu'ils avaient quand même une expérience dans ce domaine avant de tourner les deux films ci dessous. 








Jean Pierre Talbot a donné la réplique au capitaine Haddock mais aussi  à Milou (2 fois : le mystère de la toison d'or et les oranges bleues), il a su incarner avec panache TINTIN, fidèle à l'esprit de la bd.



Bill Muray, l'acteur parfait pour un film cultissime !

le grand bleu, rôle que Christophe Lambert a refusé à l'époque,
il avait déjà tourné avec Besson pour subway.

Fernandel dans un de ses plus grand films.

Chien de flic, on n'a plus de nouvelles du chien.... ni de l'acteur... dommage.


bon là ok, Mel Gibson ne prend pas de risque, c'est une peluche !



samedi 17 décembre 2011

FRANCK DUBOSC SOSIE DE FRANCO NERO ?




En allant faire un tour dans la caverne des introuvables, j'ai eu un moment d'hésitation quand j'ai vu la photo de Franco Nero extraite du film "perche se uccide un magistrato", j'ai cru voir Franck Dubosc !

Allez savoir pourquoi ?



source photos
la caverne des introuvables

jeudi 15 décembre 2011

JEAN CARMET ET DEPARDIEU, POUR DE VRAI !


"Et si les vétérinaires étaient la solution pour pallier la pénurie de médecins ?  Quand la réalité dépasse la fiction ? Quand j'ai entendu cette info hier soir au journal de 20H, je ne pouvais qu'en rire et je revoyais la scène des fugitifs où JEAN CARMET en véterinaire oscultait Gerard DEPARDIEU.

http://www.leparisien.fr/societe/des-veterinaires-pour-soigner-a-la-place-des-medecins-14-12-2011-1768286.php
extrait :

"Et si les vétérinaires étaient la solution pour pallier la pénurie de médecins ? C'est en tout cas la proposition controversée que fait Françoise Tenenbaum, adjointe au maire de Dijon, en charge de la santé.
Les médecins de ville préparent la relève Un plan pour lutter contre les agressions de médecins L'experte en santé publique propose en effet que les vétérinaires n'exercent plus uniquement leurs fonctions sur des animaux mais sur des humains."









«Totalement irréaliste et dangereux !»



Prise avec «humour» par les médecins, jugée «irréaliste» par les vétérinaires, cette proposition a crée une déferlante du côté du monde médical. «C'est totalement irréaliste et dangereux ! On n'est pas du tout compétents pour faire une médecine humaine», a jugé Gérard Vignault, président du Conseil régional de l'ordre des vétérinaires de Bourgogne. «Ce serait un recul des soins apportés aux gens. On reviendrait au XIXe siècle, alors que l'on est dans une politique de médecine de pointe: le médecin généraliste est devenu un aiguilleur vers les spécialistes», a-t-il analysé.


LeParisien.fr

mercredi 14 décembre 2011

LE SAMOURAï au rayon bleu


COMMUNIQUÉ DE PRESSE de Pathé Distribution
à propos du DVD/BRD du Samouraï

Suite à la levée de critiques négatives à l'encontre du DVD/blu-ray du Samouraï édité le 7 décembre dernier, Pathé Distribution vient de nous transmettre un communiqué de presse dont voici le contenu :

Explications à propos du travail de restauration effectué sur le DVD et le Blu-ray du film Le Samouraï

Le parti pris de Pathé, comme bon nombre d'ayant-droits de films de Patrimoine, est de rester le plus fidèle et le plus respectueux possible à l'œuvre du réalisateur, et de redonner vie au film comme au jour de sa 1ère sortie. Les outils de restauration sont très performants et le seront de plus en plus. L'équilibre à trouver est de faire au mieux pour ne rien dénaturer au profit de techniques trop poussées qui pourraient générer d’autres problèmes.

Nous acceptons la critique mais il semble essentiel d'expliquer les différentes étapes de cette restauration (cf. ci-dessous) en insistant sur les moults essais et ses choix cornéliens, ainsi que les 6 mois passés sur les divers travaux de la restauration.


Pour l’image :

LTC, le Laboratoire d'origine du « Samouraï », a vérifié tous les éléments négatifs 35mm (négatif monté en 300 mètres, génériques début et fin à part, ainsi que les trucages) + toutes les bobines d’interpositif existantes. Tous ces éléments ont été ensuite réparés (collures, déchirures) avant d’être scannés numériquement.


La vérification de tous les éléments (négatifs + interpositif) au télécinéma nous a permis de définir à partir de quel élément nous allions effectuer la restauration. Cette vérification du négatif faisait apparaître un élément en assez mauvais état, contenant beaucoup d’images montées issues d’Internégatif. Le négatif, rappelons-le, a 45 ans et a été de nombreuses fois manipulé.


Par ailleurs, les plans truqués d’époque ont tous une instabilité, une grosse montée de «grain» et un défaut « d’uniformité de densité » et d'étalonnage. La vérification de l’interpositif mettait en évidence des problèmes de tirage d’époque : manque

de définition, instabilité de tirage, image bouchée, mais surtout des zones de tirage (barres de tirage) très marquées sur tout l’élément. L’état de cet interpositif nous a définitivement décidés d’utiliser le négatif malgré ses nombreuses images de 3ème génération.

Pour certains trucages (type fondu enchainé), nous possédions les négatifs, à part et en longueur, nous permettant de les refaire comme à l’origine.


Nous avons décidé de restaurer le film en 2K. Cependant, le négatif a été scanné en 4K downsizé 2K afin de restituer la meilleure résolution et d’offrir une meilleure possibilité de restauration dans les étapes successives (élimination de toutes les tâches noires et blanches, stabilisation de l’image liée aux collures ou encoches du négatif, reconstruction d’images manquantes, dégrain dosé sur quelques plans pour atténuer, mais sans dénaturer, les ruptures trop brutales de texture et adoucir les différences de qualité entre le négatif et ses nombreux passages en internégatif….)

Pour l’aspect artistique de l’image, il n’y avait malheureusement plus de techniciens ayant travaillé sur le film pour superviser nos travaux. Pathé, connaissant la renommée et le travail de Pierre Lhomme, (chef opérateur qui a travaillé avec Jean-Pierre Melville sur « l’Armée des Ombres » et dont la collaboration au travail de restauration avait été saluée) a tout naturellement été sollicité pour superviser l’étalonnage du « Samouraï ». Six jours ont été nécessaires pour faire revivre les couleurs du film. Toutefois, concernant les noirs bouchés, ils proviennent pour la plupart de prises de vues de nuits extérieures très peu éclairées et de fait ne donnant aucun détail dans les noirs (Paris la nuit, AD prenant le taxi etc.).

Restait le dilemme du format de projection au moment de la sortie du film. Le négatif étant en format « full », nous nous sommes interrogés sur le cadre qui devait être respecté. Pierre Lhomme a contacté Jean Charvein (cadreur du « Samouraï ») qui a pu lui confirmer le format 1.85 (format d’image peu connu en France à l’époque mais déjà utilisé aux USA).

Pour le son :

Nous avons analysé les sons disponibles (magnétique 35mm et son optique 35mm). La magnétique, par chance, était encore en assez bon état. Nous avons retravaillé particulièrement les dynamiques et avons bien entendu conservé le son mono d’origine.

De cette restauration ont été fabriquées plusieurs supports dont un DCP pour l’exploitation Salles et une HDCam SR pour les exploitations TV / DVD - Blu ray.

source
http://www.dvdclassik.com/news/news_bluray.php

mardi 13 décembre 2011

LES CINQ DERNIERES MINUTES

Jacques Debary s’est éteint vendredi à l’âge de 97 ans. Il était connu du grand public pour son rôle inoubliable dans Les Cinq Dernières Minutes, un feuilleton policier phare des années 70 mais aussi dans "LE MAITRE D'ECOLE" de Claude Berry avec Coluche. Il joue le rôle du directeur de l'école.

Jacques Debary est décédé vendredi dernier à l’âge de 97 ans. Son visage restera à jamais associé aux Cinq dernières minutes, un feuilleton qui a fait les belles heures de la télévision française dans les années 60 et 70. Peut-être un peu moins connu que son prédécesseur Raymond Souplex, le fameux commissaire Bourrel qui concluait ses enquêtes d’un «bon sang mais c’est bien sûr», Jacques Debary a malgré tout marqué ces enquêtes policières de son empreinte.

Ce natif de Saint-Quentin, dans l’Aisne, ne se prédestinait pas au métier d’acteur puisqu’il était autrefois instituteur. Il a ensuite commencé au théâtre, en jouant des classiques, Molière, Shakespeare, puis, sans pour autant oublier les planches, s’est tourné vers le cinéma, jouant sous la direction de José Giovanni, Marcel Carné, Jacques Deray ou même Luis Bunuel.

Mais c’est la télévision qui lui apportera la notoriété avec ce fameux rôle du commissaire Cabrol dans les Cinq dernières minutes qu’il incarnera entre 1975 et 1992. Un personnage dont il disait: «Cabrol c'est moi. Il est dans mes activités et il s'impose à moi. Il perturbe sûrement ma carrière. Mais Cabrol me fait vivre. C'est la sécurité. Pas la fortune, mais une aisance certaine».

En 1984, son rôle à la télévision n’empêche pas Jacques Debary de devenir pensionnaire de la Comédie Française et c’est sur les planches qu’il joue son dernier rôle, dans Le mari idéal d’Oscar Wilde au théâtre Antoine.

Durant sa carrière théâtrale il sera dirigé par de grands noms, comme Patrice Chéreau ou Peter Brook, avant de faire son entrée comme pensionnaire à la Comédie française, en 1984. Jacques Debary jouera sa dernière pièce, Un mari idéal d'Oscar Wilde, à l'âge de 84 ans.


Parallèlement, entre 1967 et 1993, il jouera dans une trentaine de films dont Borsalino and Co (1974), de Jacques Deray avec Alain Delon entre autres, La scoumoune (1972) de José Giovanni avec Jean-Paul Belmondo et Claudia Cardinale, Le voleur (1967) de Louis Malle, toujours avec Belmondo, ou Le fantôme de la liberté de Luis Bunuel (1974).



Les obsèques de Jacques Debary auront lieu vendredi 16 décembre au funérarium des Batignolles, avant le transfert du corps, le même jour, au cimetière de Montparnasse.


Les obsèques de Jacques Debary auront lieu vendredi au cimetière du Montparnasse.

YOUNG GUNS


En 1988, quatre acteurs participent à un des rares westerns des années 80 : Youn Guns. Lou Diamound Philipps qu'on a pu voir un an avant dans "LA BAMBA", Kiefer Sutherland (GENERATION PERDUE), Charlie Sheen (PLATOON) et son frère Emilio ESTEVEZ.
Ce film aura une suite : YOUNG GUNS 2 avec Christian SLATER. 5 acteurs qui vont marquer le cinéma des années 90.


Lou Diamond Phillips fait sa première apparition à l'écran en interprétant un punk dans Interface (1984), un film de science-fiction d'Andy Anderson. Mais c'est La Bamba (1987) de Luis Valdez qui le révèle au grand public. Sa prestation du chanteur Richie Valens lui vaut l'Independent Spirit Award du meilleur acteur de second rôle. Lou Diamond Phillips se voit souvent proposer des rôles d'Indiens. Il apparaît en Indien justicier dans les westerns Young Guns (1988) de Christopher Cain et Young Guns 2 (1990) de Geoff Murphy, en policier navajo dans Le Vent sombre d'Errol Morris, ou encore en Inuit traqué dans Agaguk (1992) de Jacques Dorfmann.

 

Après Young Guns 1 & 2, Flic et rebelle est leur troisième collaboration. Ils se retrouveront sur le plateau de 24, Lou Diamound Philips jouera un rôle de flic.

Kiefer Sutherland a déjà de très bons films à son actif :
Génération perdue, L'Expérience interdite (Flatliners), Youg Guns 1&2, la Disparue (The Vanishing), Stand by Me, Dark City et plus récemment The Sentinel. Son rôle le plus notable est certainement celui de Jack Bauer du feuilleton télévisé (24).


En 1984, Emilio Estevez rencontre son premier grand succès avec le rôle d'Otto Maddox dans Repo Man d'Alex Cox.  À l'origine sélectionné pour jouer le « criminel » John Bender dans le film de John Hughes The Breakfast Club (1985), Estevez tient finalement le premier rôle du « sportif » Andy Clark car Hughes n'avait trouvé personne d'autre.

En 1986, il est au générique du thriller Maximum Overdrive de Stephen King, mais le film est un échec. Le jeune acteur décide ensuite de se lancer dans la réalisation avec Wisdom en 1986, mais le film passe assez inaperçu au box-office.

Estevez rebondit rapidement avec des succès tels qu'Étroite surveillance (1987) et Young Guns (1988), qui connaitront plus tard chacun une suite : Indiscrétion assurée et Young Guns 2.

En 1990, il réalise son second film Men At Work où il partage la vedette avec son frère Charlie Sheen.

En 1993, il est à l'affiche de Alarme fatale, une parodie de L'Arme Fatale avec Samuel L. Jackson.

Grand ami de Jon Bon Jovi, il fait une apparition dans le clip musical de "Say It Isn't So" (2000) du groupe Bon Jovi, aux côtés de Matt LeBlanc, Claudia Schiffer et Arnold Schwarzenegger.


Après la fin de ses études, Charlie joue dans plusieurs films à petit succès comme L'Aube rouge et dans des séries B.




C'est en 1986 que Charlie SHEEN rencontre le succès grâce à Oliver Stone qui le fait tourner dans le film Platoon. Sa prestation remarquée d'un jeune soldat américain dans le film lui donne l'occasion de jouer dans le film suivant d'Oliver Stone, Wall Street (1987), où il donne la réplique à son père et à Michael Douglas.


Deux années s'écoulent lorsqu'en 1989 Oliver Stone approche Sheen pour le rôle principal du film Né un 4 juillet, mais au dernier moment Stone lui préfère Tom Cruise. Son échec avec Stone ne l'empêche pas de rester au top du box-office avec plusieurs succès comme Young Guns (1988), Les Indians (1989) et Hot Shots! (1991).

Alors que toute sa carrière s'annonce tracée et qu'il est promis à un avenir cinématographique aussi brillant que celui de stars comme Tom Cruise ou Sean Penn, Sheen va rencontrer de graves problèmes d'alcool et de drogue.  Durant cette mauvaise période il tourne deux films à petits succès The Arrival (1996) et Haute trahison (1997).


le western n'était pas mort dans les années 80, Young Guns 1 & 2 sont deux westerns oubliés avec un casting d'enfer,


source : wikipedia

lundi 12 décembre 2011

LA LEçON DE CINEMA PAR STEVEN SEAGAL

On m'a envoyé cette image de Steven SEAGAL via FACEBOOK, et j'avoue que j'ai adoré !!!!

Je ne ferai aucun commentaire sur la carrière de Steven Seagal puisque je n'ai vu qu'un seul film "PIEGE EN HAUTE MER", un genre de "sous" DIE HARD ..... mais en pleine mer ! il parait que c'est son meilleur film !!!!

Pour la photo, ça marche aussi avec Alain DELON et CHUCK NORRIS ?
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