Problème : les premiers essais de la CST (Commission supérieure technique de l'image et du son) démontrent que les écrans métalliques causent une perte de luminance de 50 à 75 % sur les bords de l'écran par rapport au centre de l'image lors de la projection de films ordinaires... De quoi alarmer les cinéastes ! Cela peut se comprendre... Les écrans métalliques saccageraient le minutieux travail des chefs opérateurs. À quoi bon se rendre dans une salle de cinéma si l'image du film se fane sur les côtés...
De nombreux films d'animation à venir
Pascal Rogard, directeur général de la SACD, est le premier à tirer la sonnette d'alarme. Dans un courrier adressé à Véronique Cayla, présidente du CNC (Centre national de la cinématographie), le 2 décembre, il traduit "l'émoi très fort" des cinéastes à l'égard de l'installation croissante des écrans métalliques. Les dégradations d'images sont admises "dans la limite d'une déperdition maximum de 25 % de la lumière entre le point le plus éclairé et le point le plus sombre de l'écran", écrit-il. Il suggère d'adopter des écrans amovibles qui puissent ainsi offrir la qualité requise aussi bien en 3D qu'en 2D. Le CNC est appelé à donner des consignes aux exploitants afin que le "droit moral" des cinéastes soit respecté.
Souvenir d’enfance
Tous les mardis soirs, dès 1982, Eddy Mitchell nous proposait une toute nouvelle émission intitulée "la dernière séance".
L'Etrange Créature du Lac Noir
La dernière séance proposait donc un film en relief intitulé "L’étrange créature du lac Noir" Les français se ruaient chez leurs marchands de journaux pour acheter le "télé 7 jours" qui contenait les fameuses lunettes 3D
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