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lundi 21 janvier 2013

PAULETTE (Bonne fête)


Après une année 2012 plutôt mitigée pour le cinéma français, entre les films qui ne tenaient pas leurs promesses (La verité si je mens 3, Oncle Charles) et les films qui se sont vautrés au box office (Le guetteur avec Auteuil et Kassovitz, et qui a retué Pamela Rose ?) pour des raisons x ou y , sans oublier les films qui appartenaient à ses deux catégories.

Bref, ce début d'année commence plutôt bien il me semble, après MAX  la semaine dernière, PAULETTE arrive sur les écrans et on peut dire que ça donne envie d'aller au cinéma

Paulette vit seule dans une cité HLM de la banlieue parisienne. Avec sa maigre retraite, elle n’arrive plus à joindre les deux bouts. Lorsqu’un soir elle assiste à un curieux trafic en bas de son immeuble, Paulette y voit le signe du destin. Elle décide de se lancer dans la vente de cannabis. Après tout, pourquoi pas elle ? Paulette était pâtissière autrefois. Son don pour le commerce et ses talents de cuisinière sont autant d’atouts pour trouver des solutions originales dans l’exercice de sa nouvelle activité. Mais on ne s’improvise pas dealer



Selon le réalisateur, Paulette n'est pas une autre Tatie Danièle : "Les deux films n’ont pas grand chose à voir", déclare-t-il, en poursuivant : "Même s’il y a dans les deux quelque chose de politiquement incorrect sur la façon d’aborder le troisième âge, Tatie Danièle, (...) est une petite bourgeoise de province qui n’évolue pas, alors que Paulette, elle, est une déclassée qui s’inscrit dans un contexte social bien particulier. Et elle change, physiquement et moralement, au fur et à mesure qu’elle retrouve sa dignité." C’est un thème qui n’a pas beaucoup été traité au cinéma. Paulette n’est pas un film sur le cannabis, c’est un film sur la précarité et la solitude du troisième âge… et puis c’est surtout une comédie !"

infos source : allociné

Hommage à PAULETTE LES CHARLOTS

GUY BEDOS

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