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vendredi 27 mars 2009

THE SHIELD


A Los Angeles, le capitaine David Aceveda répond aux journalistes et se félicite d'avoir fait baisser le taux de criminalité dans le district de Farmington. Parmi ses hommes, Vic Mackey, un flic ripou qui magouille avec les dealers locaux. Aceveda veut le piéger et demande à son nouveau partenaire, Terry, de l'aider à le faire plonger. Terry intègre l'équipe de Vic Mackey mais la première mission tourne mal, Vic Mackey en profite pour descendre Terry.

«La police des polices» vient enquêter sur le meurtre de Terry, qui a trouvé la mort lors de sa première mission sur le terrain. Vic Mackey prévient ses hommes de garder leur calme et se charge de répondre aux questions du responsable de l'enquête interne. Le capitaine Aceveda doute de la sincérité des propos de Vic et tente de faire parler l'un de ses hommes.

Au même titre que 24 Heures chrono, The shield, série portée par une réalisation énergique et un scénario musclé, a crée un véritable séisme. Et a donné un coup de vieux à toutes les autres. A la tête de la Strike Team, bande de flics ripoux, l'ambigu inspecteur Vic Mackey utilise des méthodes brutales, expéditives et pas toujours légales pour coffrer criminels et dealers de Los Angeles.

Ici, tout est question de territoire : malheur à celui, même un collègue, qui oserait y mettre le nez. Vic Mackey ne discute pas, il élimine ! Peu importe les risques et l'étroite surveillance de ses supérieurs hiérarchiques qui cherchent à le coincer. Cet antihéros, formidablement interprété par Michael Chiklis, oscille sans cesse entre le Bien et le Mal. Et dépit des apparences, la violence n'est jamais gratuite.

il n'est jamais trop tard pour découvrir cette série... la preuve, je la découvre en ce moment (même après tout le monde) ! Vaut mieux tard que jamais !!!!

mercredi 25 mars 2009

LA BATAILLE DES PLANETES

Voici les premières images de la nouvelle adaptation de Gatchaman que les studios d'animation Imagi viennent de mettre sur pied en parrallèle avec Astroboy. Gatchaman fera son grand retour en animation 3-D...

Les Gatchaman ! Unis comme les 5 doigts de la main, les 5 héros de la Force G, dirigés par Mr Cavalier et assistés par leur ami le robot 7 Zark 7 du plus profond du Quartier Général Neptune, combattent les forces du mal de l'Empire Spectra dirigées par le Suprême Clarté et dont les armées son commandées par l'énigmatique Zoltar. La force G va tout mettre en oeuvre pour défendre la Terre face à Spectra... Voici le synopsis de Gatchamen, plus connu en France sous le nom La Bataille des Planètes.


Source : dvdrama.com

lundi 23 mars 2009

DEXTER


DEXTER
ou Le Justicier dans la ville

un serial-killer expert judiciaire du service médico-légal aide la police à démasquer un tueur en série qui sème la terreur à Miami, cité des vices. A la frontière du bien et du mal, âme sensible s'abstenir, certaines scènes sont insoutenables !

Je sais, vous allez dire, un blog sur le cinéma et le dvd et voilà que Monsieur parle d'une série qui n'exite pas encore (officiellement) en dvd, pour une fois, ce n'est pas la faute des distributeurs, ni des éditeurs, la série est déjà passée sur Canal + il y a presque deux ans. Mais voilà, TF1 a les droits de diffusion et comme "24", elle garde cette série sous le coude pour une durée indéterminée, qu'elle diffusera peut être cet été entre 2 et 3 H du matin, ou pire, pour ne pas la diffuser du tout.

Et oui, la stratégie n'a pas de limite, l'achat de cette série par TF1 n'a qu'un seul but, ne pas retrouver cette série sur la chaîne d'en face (France télévision), ils l'ont fait pour 24 alors pourquoi pas avec DEXTER ? .

Résultat, l'éditeur du DVD commence à trouver le temps long puisque le coffret de la saison 1 qui devait sortir en novembre 2008 a été reporté en mars et maintenant septembre 2009. J'imagine qu'à ce rythme là, les saisons 2 et 3 seront disponibles en 2014 !!! On a eu plus de chance pour les coffrets de 24, tant mieux.

Bref, Canal+ a bien diffusé DEXTER comme la saison 2 et la 3 dernièrement. Je viens enfin de regarder la premiere saison et je peux dire que c'est une vraie réussite.

Le climax est annoncé dès la fin du premier épisode : la rencontre entre les deux tueurs (l'un, celui du «camion frigorifique», dissimulant des indices à l'autre pour qu'ils se retrouvent). La fascination réciproque qu'ils éprouvent est représentative de l'ambivalence souhaitée par la série qui bafoue la frontière ténue entre le bien et le mal, avec en suspens une problématique: est-ce qu'il est possible de faire le mal au nom du bien? D'un bout à l'autre, Dexter risque de passer pour un paradoxe ambulant, obligé de tuer par nécessité plus que par choix pour canaliser ses pulsions meurtrières.


Il a trouvé avec son père adoptif (un policier respecté et respectable) un moyen de répondre à ses envies en s'attaquant uniquement à ceux qui ont causé du tort. Il demande à son fiston de respecter deux règles immuables : Ne pas agir gratuitement (comme répondre à une brimade adolescente) et faire attention aux choix des victimes (il doit se documenter sur celui ou celle qui passera sous son scalpel). L'ombre du père s'exprime à travers des flash-back habilement dosés qui se fondent naturellement dans le montage et expliquent les motivations de Dexter.

Au cours de cette première saison, le parcours de Dexter sera initiatique : persuadé d'être le seul anormal sur cette planète, il découvre malgré lui que tout le monde possède une part de secrets inavouables et de bestialité refoulée. Juste que dans la vie de tous les jours, on porte des masques.

A l'arrivée, il résume à lui seul la morale de cette série sur l'ambiguïté : tous les caractères qui batifolent autour de lui sont des Dexter en puissance, authentiques serial-killers sociopathes obligés de simuler pour se fondre innocemment dans un moule uniforme qui n'hésitent pas à user de moyens radicaux pour parvenir à leurs fins.



la série Dexter, portrait de serial-killer, séduit, touche, impressionne. C'est à la fois un polar spectaculaire avec effluves gores et coups de théâtre inattendus, un drame poignant sur la difficulté de communiquer, une comédie sur les relations humaines et une analyse psychologique incisive et complexe sur ce qui se trame dans des cerveaux déglingués. D'un bout à l'autre, les éléments s'enchaînent jusqu'au surprenant final (qu'on ne révèlera pas).

Bref, vivement DEXTER saison 2 que ma belle soeur m'a enregistré sur canal +, et oui, quand on a pas d'oncle en Amérique.... c'est pas facile

mercredi 18 mars 2009

DOBERMANN


Le Dobermann et sa meute sont des pros de l’attaque de fourgons et de banques. Un flic corrompu en fait une affaire personnelle et décide de les prendre en chasse en utilisant les pires expédients. Les chiens sont lâchés. Bienvenue dans le chaos!

À cause d’une violence assez outrancière, à sa sortie, Dobermann fut interdit aux moins de 16 ans. Iici, nous ne sommes pas dans Orange mécanique mais plutôt chez Bip Bip et Coyote.

A la violence des actes et des propos, Kounen rajoute de l’humour noir ravageur et du comique épais, qui n’ont pas fini de déranger certaines têtes trop bien pensantes:

"Tu voulais que je devienne un avocat? Bah c’est à moitié réussi, je suis déjà un enculé!".

Le film nous secoue, nous retourne, nous fait grimper l’adrénaline Du générique de début en images de synthèse au final explosif d’une boîte de nuit transformée en Beyrouth sauce techno, Dobermann est un film de de génération, un film qui donne au spectateur à réfléchir sur ses propres visions de la morale, du politiquement correct et surtout sur ce qu’il a envie de voir.

jeudi 12 mars 2009

GARY OLDMAN (Léon, Lost in space, Air force one, Le 5eme élément..)

Les méchants, les mauvais au cinéma sont souvent les faire-valoir du héros. Parfois incarnés par des second-rôles, parfois par de vraies stars. Ce n'est pas très évident le rôle du méchant car mal interprété, le méchant devient parfois caricatural et n'est plus vraiment crédible. Par contre certains acteurs jouent à merveille ces rôles et sont franchements inquiétants.
GARY OLDMAN
C'est en 1982 qu'il fait ses débuts au cinéma dans Remembrance (1982). Il s'impose quatre ans plus tard avec le rôle de Sid Vicious, leader des Sex Pistols, dans le film culte Sid & Nancy (1986) d'Alex Cox. Dans Les Anges de la nuit en 1987, il incarne aux côtés de Sean Penn le mafieux irlandais psychopathe et fragile Jacky Flannery, soucieux de protéger les intérêts de sa famille. L'année suivante, il reçoit une nomination du Meilleur acteur pour son rôle de Joe Orton dans le film de Stephen Frears Prick up your Ears.

Sa facilité à se transformer physiquement lui permet de jouer un grand nombre de personnages différents, dont le saisissant Lee Harvey Oswald (JFK, 1991), Dracula (1992), Remarqué par Luc Besson, Gary Oldman devient l'un de ses acteurs fétiches et s'offre devant la caméra du français deux rôles de "méchants" marquants : le mémorable policier véreux et psychotique de Léon (1994), et le machiavélique Zorg dans Le Cinquième élément (1997).
Alternant grosses productions (Air Force One, Perdus dans l'espace, Hannibal) et projets plus modestes, Gary Oldman revient sur le devant de la scène en 2004 en s'illustrant dans deux sagas (très) populaires. Il est Sirius Black dans trois volets de la saga Harry Potter : Le Prisonnier d'Azkaban (2004), La Coupe de Feu (2005) et L'Ordre du Phénix (2007), et devient le comissaire Gordon, fidèle allier de Batman, dans les Batman Begins (2005) et The Dark Knight (2008) de Christopher Nolan.
Filmographie selective :
LEON
LE CINQUIEME ELEMENT
PERDU DANS L'ESPACE
DRACULA
AIRE FORCE ONE
...


mardi 10 mars 2009

MON MEILLEUR AMI

LE FILM DU WEEK END !

Un marchand d'art fait un pari : il a dix jours pour trouver un meilleur ami. Il se lance alors dans un casting fou pour finalement jeter son dévolu sur un chauffeur de taxi volubile et chaleureux. Il va le séduire pour gagner son pari. Mais peut-on tricher avec l'amitié ?

Après la comédie très populaire "Les Bronzés 3", Patrice Leconte revient derrière la caméra avec un film plus intimiste réunissant un beau tandem d'acteurs. Patrice Leconte signe ainsi un très beau film sans aucune prétention. Cependant, il ne faut pas non plus se méprendre, ce n'est pas une réelle comédie. On n'explose pas de rire mais on s'amuse énormément même si les scènes sont parfois prévisibles.

Daniel Auteuil est impeccable comme d'habitude. Cependant, celui qui impressionne le plus c'est Dany Boon, très émouvant et étonnant de justesse, son meilleur film sans comparaison avec le « surestimé » « Bienvenue chez les Chtis », Sans oublier Julie Gayet (Delphilne 1 - Yvan 0), formidable dans ce film.

Ainsi, Patrice Leconte signe (encore) un très bel hymne à l'amitié.

A voir et à ne pas manquer.


Patrice Leconte en 6 films :
01 - Les Bronzés /Les Bronzés font du ski / les Bronzés 3
02 - Viens chez moi j'habite chez une copine
03 - Les Spécialistes
04 - Les grands Ducs
05 - Ridicule
06 - Une fille sur le pont

lundi 9 mars 2009

SPIDERMAN HK


En 1978, la Marvel accepte que la Toei au Japon produise une adaptation Live de Spider-Man. Après avoir tenté d’adapter fidèlement le comics, il est décidé de partir sur de nouvelles bases, Spider-Man étant désormais un héros masqué, pouvant piloter un robot géant et se battant contre des monstres. La série ne sera jamais commercialisé en dehors du pays du soleil levant...



source http://forgottensilver.wordpress.com/



jeudi 5 mars 2009

GALACTICA


Résumé

40 années après la guerre entre les hommes et les cylons, ces derniers effectuent une attaque surprise qui anéantit une grande partie de l'humanité. Les rescapés s'organisent alors en une flotte hétérocyclique de combattants qui se regroupent autour du vaisseau amiral Battlestar Galactica qui a pu résister à l'attaque des cylons.

Critique

Sortie en pleine folie Star Wars, Galactica a connu un succès mitigé. Peut-être un peu trop dans l'ombre de l'oeuvre de Lucas, sûrement aussi un peu kitch. Un film et deux saisons en tout et pour tout. Le studio coupa net malgré des audiences respectables.

Pendant 35 ans, Battlestar Galactica fut donc une série spéciale redif pendant que Star trek continuait tranquillement Spin off (séries dérivées dans le même univers) et film sur grand écran.



En 2003 pourtant une petite bombe éclate. La "mini série" Battlestar Galactica. Une sorte de test, un super pilote qui remet au goût du jour une série qui accuse pourtant son âge et qui n'a pas forcément bien vieilli. Les fans s'attendent au pire...

Cette tentative est entre le remake et la suite. D'un côté, on met en scène le vaisseau Galactica qui va bientôt partir à la retrait après une trêve de plusieurs années avec les cylons. On imagine que l'action se passe donc bien après la série originale et notre vaillant Galactica en fin de vie et son commandant vieux et un peu usé vont jouir d'une retraite bien méritée. D'un autre côté, on retrouve les personnages de la série originale remis au goût du jour : Starbuck est maintenant une fille qui tient plus du garçon manqué.


Cette mini série tranche également littéralement avec la précédente. Contrairement à la plupart des séries de SF où l'on vit dans un monde aseptisé, où l'on est blanc ou noir, Battlestar Galactica présente un monde où les Cylons prennent forme humaine et infiltrent la société à la recherche de quelque chose de bien plus profond qu'un simple conflit. L'homme n'est pas forcément le gentil de l'histoire avec humains soucieux de survivre coûte que coûte.

L'excellent accueil qu'a obtenu Battlestar Gallactica a permis de produire une première série en 2004 qui se classa immédiatement comme l'une des meilleures des séries de SF de tous les temps (au même niveau que la série originale de Star Trek). Beaucoup moins superficielle, très noire, sans pseudo-philosophie, c'est une belle revanche. Plusieurs saisons ont suivi.

La réalisation est très soignée avec de nombreux décors, des trucages très réussis. Les cylons sont soit des humains (plusieurs modèles disponibles, mais le choix est limité) soit les robots avec la fameuse lumière rouge qui se balade de gauche à droite. Ces derniers ont enfin perdu leur aspect grille-pain pour prendre un look plus organique.
Une originalité dans Galactica, c'est sa bande-son minimaliste qui donne un certain effet. Lors des scènes importantes, de combats spatiaux par exemple, un simple tam-tam accompagne l'image. L'impression du vide spatiale s'en trouve décuplée.

Les scénaristes n'ont pas chômé pour fournir une histoire prenante de bout en bout. Le final bien entendu donne l'envie de voir la suite même si la mini-série aurait pu s'arrêter là. On s'attache aux personnages.

Verdict

Plus qu'un remake ou une suite, Battlestar Gallactica offre une nouvelle vision de la kitchissime série qui va bientôt fêter ses 30 ans. Noire, complexe et beaucoup moins superficielle, la nouvelle série dont ce DVD forme l'introduction est une réussite incontestable.

source : dvdcritiques.com

mardi 3 mars 2009

TRON

Tron fut en son temps, c'est à dire il y a déjà de cela vingt ans (que ceux dont la mâchoire pendouille devant cette prise de conscience du temps qui passe se rassure, ce n'est que le début...), un véritable OVNI dans le paysage cinématographique américain. Pourtant quand Steven Lisberger propose son histoire en1980 aux Studios Disney, le timing était parfait. En effet les héritiers de l'oncle Walt sont à cette époque complètement à la rue cherchant désespérément un second souffle tant économique qu'artistique. Les années 70 montrèrent en effet un certain déclin avec des productions tel que Robin des bois et Bernard et Bianca. Mais ce fut en ce début de nouvelle décennie que le studio touchait le fond avec Rox et Rouky. Le département film n'était pas mieux loti et peinait aussi de plus en plus à sortir des produits quelque peu originaux voir tout simplement regardables (citons en vrac Le chat qui vient de l'espace, la série des Coccinelles, Peter et Elliot le dragon, Popeye).


Tron procédait donc d'une volonté à ratisser le plus large possible pour, qui sait, obtenir à terme le filon salvateur. Ici, il s'agissait de permettre à une bande de surdoués de l'informatique d'étalonner sur grand écran leur vision du graphisme et de l'animation en utilisant la toute nouvelle puissance de calculs des ordinateurs. Il en résulte une claque visuelle encore vivace aujourd'hui et une expérience finalement concluante puisqu'elle a permis à Disney de prendre le virage de l'animation par ordinateur avec un bon wagon d'avance et de piloter à l'heure actuelle le studio le plus novateur dans le domaine à savoir Pixar.


source : dvdrama.com

lundi 2 mars 2009

SUR MES LEVRES (2001)

Retour sur la magnifique carrière de Vincent Cassel,
César du meilleur acteur 2009 :

Carla Bhem, une jeune femme de 35 ans au physique plutôt moyen et qui porte des prothèses auditives, est secrétaire à la Sédim, une agence immobilière, mais elle est payée une misère et souffre d'un manque de considération de la part de ses employeurs. Son existence triste et solitaire va prendre une tournure différente avec l'arrivée dans la société de Paul Angéli, une nouvelle recrue de 25 ans, plutôt beau gosse, mais qui n'a aucune compétence dans la promotion immobilière. Celui-ci cherche à se réinsérer après avoir fait de la prison. Une histoire d'amour improbable, doublée de manipulation réciproque, va naitre entre ces deux marginaux.

Jacques Audiard aussi bon réalisateur que son père était dialoguiste. Histoire originale autour d'une rencontre improbable entre un ex-taulard et une malentendante solitaire et timide.

Les acteurs sont pour beaucoup dans la crédibilité de cette histoire de deux êtres exclus de la vie par le handicap ou par les origines sociales. Vincent Cassel et Emmanuelle Devos forment un couple tout à la fois improbable et cohérent dans leur recherche commune d’une revanche sur le sort.

Les rapports de force se renversent tout à tour dans le film jusqu’à ce que ces deux paumés finissent par unir leur destin sur un braquage pour le moins audacieux.

"Sur mes lèvres" rentre dans mon top 10 des meilleurs films français !
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