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vendredi 30 avril 2010

LA REALITE DEPASSE LA FICTION ?


Au cinéma, dans les films de SF le plus souvent, certains gadgets sortent de l'imagination débordante de certains scénaristes. Parfois, ce sont des prototypes. Rappelez vous la scène dans Goldfinger ou Sean Conney conduit en direction de l'italie avec un oeil sur son "GPS". C'était en 1964.


Est ce que la réalité dépasse la fiction ? A l'occasion de la sortie du film Minority Report en Blu Ray, 8 ans après sa diffusion en salles, voici un flashback sur les innovations que le film empruntait alors à la science-fiction.

A l'issue de la projection de Minority Report, nous rêvions tous d'écrans tactiles. Aujourd'hui, bon nombre de téléphones mobiles sont équipés de cette fonction. Au rythme où les innovations inondent le marché, les gadgets technologiques apparaissant dans Minority Report, vont-ils gagner notre quotidien avant 2054 ?


A l'heure où un système d'exploitation pour smartphones s'appelle Android et où Google a manqué de peu de commercialiser son propre téléphone sous l'appellation Nexus One (en référence à Blade Runner, un nom susceptible de séduire les admirateurs de Philip K. Dick ), il n'est pas aisé de déterminer s'il s'agit d'opérations marketing ou bien d'influences réelles d'auteurs de science-fiction visionnaires. Faisons donc un point sur les gadgets technologiques envisagés par le génial Philip K. Dick, et à partir duquel Steven Spielberg a façonné sa propre vision de Minority Report. N'oublions pas que Steven Spielberg avait réuni de nombreux experts à Santa Monica avant le début du tournage de son film, afin de créer un univers futuriste crédible en 2054.

Table basse tactile Windows

De nombreux fabricants sont parvenus à mettre au point des écrans ultrafins (de 19 pouces ou 20 pouces) flexibles, présentant l'avantage d'être écologiques. Ce type d'écran offre déjà la possibilité de lire un journal électronique, pouvant être mis à jour en permanence, au fil des actualités. Il pourrait donc devenir le journal de demain, grâce à sa grande taille et une belle qualité d'affichage électronique, permettant une lecture longue durée (à la différence des écrans rétro-éclairés d'ordinateurs par exemple).


Alors que des tablettes tactiles multimédia font leur apparition sur le marché (iPad, Surface), le MIT (Massachusetts Institute of Technology) propose un écran LCD sensible au tactile multipoint autant que les interactions sans contact telles que les pratique John Anderton (Tom Cruise) dans Minority Report. Au cœur de la dalle LCD, des capteurs sensibles à la lumière s'intercalent aux cristaux liquides produisant l'image, pour détecter les mouvements des mains, rendant ainsi possible la manipulation de certaines fenêtres ou objets en 3 dimensions à distance. De même, la plateforme G-Speak développée par la société Oblong Industries fait beaucoup penser à la technologie utilisée par Tom Cruise pour manipuler des vidéos de meurtres que Précrime est chargé de prévenir et d'éviter dans la fiction. Dans Minority Report, on voit Tom Cruise faire défiler les images à distance grâce à des capteurs situés à l'extrémité de ses doigts.

Michael Douglas avec un téléphone portable... la grande classe... à l'époque !

Publicité personnalisée

Omniprésente dans l'oeuvre de Spielberg, (même l'entreprise Précrime vante partout ses services) qu'en est-il de la publicité personnalisée dans notre quotidien ? La société Majority Report, en référence directe à Minority Report équipe les panneaux publicitaires de capteurs capables de relever la réaction des passants à la vue de l'affiche et de collecter des informations à leur sujet (sexe, âge,...). L'entreprise Quividi réalise aussi des analyses d'audience sur le même modèle. Des méthodes qui séduisent à l'étranger (Etats-Unis, Angleterre et Espagne notamment) et qui pourraient gagner l'Hexagone.

Star wars - 1977

Hologrammes en 3 D

Est-ce encore de la science-fiction ? Après une interminable attente, la 3D relief rencontre logiquement un bel accueil auprès du public en France. Il n'empêche que la 3D sans lunettes fait saliver tant les geeks que les autres. On se souvient que Jessica Yellin, la correspondante de CNN, était apparue en hologramme sur un plateau télévisé situé à New York au cours d'une émission spéciale consacrée aux élections présidentielles américaines. Mme Yellin se trouvait à ce moment là à Chicago dans un studio, filmée par 40 caméras vidéo haute définition.

Depuis cette mise en scène originale, qui était en définitive qu'une simple incrustation, les hologrammes sont-ils prêts aujourd'hui à faire leur apparition dans les réunions d'entreprise ou dans les foyers ?

Lors du salon Infocomm 2009, Christie avait dévoilé l'été dernier trois modèles de projecteurs offrant une nouvelle façon de communiquer en face à face et en direct, se jouant de l'éloignement géographique. Musion Systems a mis au point un film capable de créer des images en 3 dimensions grâce à deux rayons lasers et donc de produire des hologrammes virtuels très détaillés. La reproduction propose des mouvements très fluides, à 50 images par secondes. ViZoo a mis au point un système de projection holographique qui fonctionne avec un prisme réfléchissant dont les faces sont stimulées par une partie de l'image à renvoyer. Ainsi les images donnent l'impression de flotter en l'air et on ne peut s'empêcher de penser aux hologrammes de Star Trek ou de Star Wars. Pranav Mistry, chercheur au MIT, a mis au point un système permettant de projeter des images sur n'importe quel support. Avec Sixth Sense, on pourra désormais se passer de souris ou d'écran. En cours de développement, Sixthsense est composé d'une webcam, d'un appareil photo, d'un picoprojecteur et de quatre capteurs colorés situés à l'extrémité des doigts.

Auteur Julien LOUBIERE / Source : Excessif.com

jeudi 29 avril 2010

24 - le film


La série 24 heure chrono est en train de vivre ses dernières heures et attend le dernier épisode de la saison 8 qui viendra clore comme il se doit l'excellent programme.


Mais impossible n'est pas Jack Bauer, et notre agent américain va très bientôt avoir le droit à sa renaissance sur grand écran. Et Kiefer Sutherland, son interprète, vient tout juste de parler avec le journal Frankfurter Allgemeine Zeitung de choses excitantes, rendues possibles grâce au film.


« Vous devriez vous asseoir et essayer d'écrire une histoire en temps réel - minute par minute - afin d'en entrevoir toute la difficulté » .../.... « Peu de scénaristes ont réussi et certains parmi les plus extraordinaires ont échoué. Croyez-moi, c'est vraiment compliqué ».


Il continue : « Mais maintenant, nous sommes exempts de cela. Nous pouvons faire quelque chose qui nous était impossible - nous pouvons couper. Encore un exemple : si la première séquence du film prend place entre 13 et 15h, nous pouvons désormais aller directement à 18h, ce qui n'était pas possible auparavant ».


Le film devrait donc donner un nouveau sens à la saga et les ellipses pourront donner plus de continuité et de profondeur à l'intrigue.


En revanche, Kiefer Sutherland n'a donné aucun détail sur l'histoire, préférant se la jouer petit cachotier.

source : excessif.com

mercredi 28 avril 2010

UN Z COMME.....



Il y a des personnages qui sont indémodables, comme Zorro ! La preuve, mon fils qui aura 3 ans l'été prochain le regarde en dvd, tout comme sa soeur, il est déjà fan de Zorro, le vrai, l'original, l'unique.... Guy Williams


Guy Williams, de son vrai nom Armando Catalano, était un acteur italo-américain, né le 14 janvier 1924 à New York, aux (États-Unis), mort le 7 mai 1989 à Buenos Aires, en (Argentine). Marié en juillet 1948 à l'actrice Janice Cooper, deux enfants.

Il incarna principalement le rôle du grand Don Diego de la Vega alias Zorro, dans la série télévisée, mais aussi des rôles moindres dans La Charge des tuniques bleues (1955) et Lost in space. Ses parents venant d'Italie ont migré aux USA peu avant la naissance d'Armando. Armando commença par être modèle, puis accepta un contrat d'Universal International pour jouer de petits rôles.

Son agent lui fit changer son nom italien pour Guido Armando puis enfin Guy Williams. Guy fut surpris d'être choisi par Walt Disney pour incarner Zorro. Il avait 33 ans quand il porta pour la première fois le masque du héros masqué....



mardi 27 avril 2010

L'HOMME BIONIQUE



Gravement blessé dans un crash, l'astronaute Steve Austin est "reconstruit" avec des membres bioniques, ce qui lui procure une force immense, une vue perçante, et une rapidité hors norme ! Il travaille dorénavant pour l'agence gouvernementale OSI (Office of Scientific Intelligence), les aidant à résoudre toutes sortes d'affaires...



Diffusée en 1974 sur ABC, L'Homme qui valait trois milliards (The Six Million Dollar Man) s'est très vite installé comme une série incontournable. En 99 épisodes et 6 téléfilms, les aventures de Steve Austin séduisent non seulement le public mais aussi les critiques.

Le générique se montre créatif pour l'époque. Les premières images nous plongent directement dans l'univers de la création de Kenneth Johnson. Les lettres de la série apparaissent sur le rythme de la musique d'Oliver Nelson et dévoilent progressivement le titre : L'Homme qui valait trois milliards. Suivent des images d'un crash d'avion. Des images qui déclencheront les aventures de Steve Austin : un crash réel !

Si les aficionados d'aviation ont reconnu un M2-F2, les effets sonores sont ceux d'un crash survenu le 10 mai 1967 sur la base Air Force Edwards en Californie. Au commande de cet avion : Steve Austin. Ce pilote fait partie des astronautes qui ont marché sur la Lune. Plusieurs mois après, redevenu pilote d'essai pour la NASA, en plein test sur un nouveau jet, il perd le contrôle de la situation. Les radars s'affolent et le crash est inévitable. La voix off (Jacques Deschamps qui prête sa voix à Oscar Goldman dans la version française) explique :

"Steve Austin, astronaute. Un homme tout juste vivant. Messieurs, nous pouvons le reconstruire. Nous en avons la possibilité technique. Nous sommes capables de donner naissance au premier homme bio-ionique. Steve Austin deviendra cet homme. Il sera supérieur à ce qu'il était avant l'accident. Le plus fort, le plus rapide, en un mot, le meilleur !".


Cet instant sera la base de la série. Certaines parties du corps de Steve seront remplacées par des prothèses bioniques à six millions de dollars qui améliorent ses performances. Il se dote ainsi de certains ‘pouvoirs' : une rapidité fulgurante, une vision plus développée ou encore une force ‘surhumaine'. Des capacités qui feront de lui un agent secret pour l'OSI sous la direction d'Oscar Goldman pour qui il accomplira les missions les plus dangereuses.


En quelques secondes, le générique impose le ton et le téléspectateur se fond facilement dans l'univers de Steve Austin. La série est rythmée par les aventures de cet homme presque inhumain qui tentera par-dessus tout de maitriser les situations les plus rocambolesques. Ce n'est pas seulement une série mettant en scène un énième super-héros. Elle dévoile également un homme généreux et sympathique.


L'Homme qui valait trois milliards se veut une série d'anticipation. En effet, elle donne à réfléchir sur les progrès du futur, sur les nouvelles technologies et sur les relations internationales. A chaque visionnage d'un épisode, il faut garder à l'esprit le contexte de la Guerre Froide dans lequel la série évolue (espionnage, matériel technologique, terrorisme).


Le succès de L'Homme qui valait trois milliards incita le producteur à lancer une série dérivée, Super Jaimie, pendant féminin de Steve Austin. Pas étonnant que la série ait récolté deux Emmy Awards et un Golden Globe Award (meilleur acteur dans une série dramatique).

la version cinéma ? non juste un épisode 100% nanar!


la saison 1 en dvd, je peux vous dire que ça calme....

FANTOMAS REVIENT


Plus de 40 ans après Jean Marais, Vincent Cassel incarnera le redoutable Fantomas au cinéma dans une adaptation signée Christophe Gans, apprend-t-on ce mardi dans Le Parisien. Le tournage du film débutera à la fin de l'année pour une sortie en salle prévue en 2012. Il s'agira d''une production en 3D. Dans les années 60, les trois films d'André Hunebelle avec Louis de Funès, Jean Marais et Mylène Demongeot avaient rencontré un large succès populaire.
source : le parisien / morandini.com

lundi 26 avril 2010

STAR TREK IS NOT DEAD


Synopsis : La plus grande odyssée spatiale de tous les temps voit le jour dans le nouveau Star Trek, mettant en scène le premier voyage d'un tout nouvel équipage à bord de l'U.S.S. Enterprise, le vaisseau spatial le plus sophistiqué de l'histoire.

Dans ce périple semé de dangers, d'action et d'humour, les nouvelles recrues doivent tout faire pour empêcher le plan diabolique d'un être maléfique menaçant l'humanité toute entière dans sa quête de vengeance.

Le sort de la galaxie est entre les mains de deux officiers que tout oppose : d'un côté, James Kirk, originaire de la rurale IOWA, tête brulée en quête de sensations fortes, de l'autre, Spock, issu d'une société basée sur la logique et rejetant toute forme d'émotion. Quand l'instinct fougueux rencontre la raison pure, une improbable mais puissante alliance se forme et sera seule en mesure de faire traverser à l'équipage d'effroyables dangers, là où personne n'est encore jamais allé.

Une agréable surprise que l'on peut apprécier sans être un spécialiste de l'univers de la série. Le film est fun, les effets spéciaux réussis, l'histoire tient la route, et tout ça sans prétention.


On est loin des films cinémas des années 80 lents et soporifiques avec l’équipage original de l’entrerpise. Star trek a pris un sacré coup de jeune, Un trés bon moment.... A l'instar de Casino Royal (007), si vous n'êtes pas fan de la saga Star Trek, ce film est pour vous...Que demander de + ?

jeudi 22 avril 2010

CHRISTOPHER WALKEN

Les méchants, les mauvais au cinéma sont souvent les faire-valoir du héros. Parfois incarnés par des second-rôles, parfois par de vraies stars. Ce n'est pas très évident le rôle du méchant car mal interprété, le méchant devient parfois caricatural et n'est plus vraiment crédible. Par contre certains acteurs jouent à merveille ces rôles et sont franchements inquiétants.

Christopher Walken

Christopher « Chris » Walken est un acteur américain né le 31 mars 1943.

D'abord comédien de théâtre et de comédie musicale, il entame rapidement une carrière cinématographique. Repéré très tôt par Sidney Lumet, il perce dans Annie Hall de Woody Allen en 1977 et surtout avec son rôle oscarisé dans Voyage au bout de l'enfer (The deer Hunter) de Michael Cimino (1978), où la scène de la roulette russe avec Robert de Niro est devenue culte.

Il accepte aussi bien les seconds rôles que les premiers (Dead Zone de David Cronenberg). Son « look » lui facilite les rôles de « durs » et de « méchants » notamment dans les films Dangereusement vôtre (A view to a kill) de John Glen (1985), un James Bond où il interprète le « grand méchant » (industriel follement mégalomane), et Comme un chien enragé (At close range) de James Foley (1986).

Sa collaboration avec Abel Ferrara donne un autre coup de fouet à sa carrière : à commencer par The King of New York (1990), où il est Frank White, un baron de la drogue récemment relâché de prison et qui veut récupérer son territoire, puis The Addiction (1995), Nos funérailles (The Funeral) (1996) et New Rose Hotel (1998). Il travaille entre autres avec Tim Burton dans Batman, le défi (Batman Returns) en 1991 et dans Sleepy Hollow en 1999 où il campe l'étonnant personnage du cavalier sans tête, et Quentin Tarantino pour un des nombreux seconds rôles de Pulp Fiction. Dernièrement il a tenté le registre plus populaire de la comédie avec Couple de stars (America's sweethearts) en 2001.

En 2000, il apparaît dans le clip de la chanson de Fatboy Slim, Weapon of Choice, réalisé par Spike Jonze.

En 2002, sous la direction de Steven Spielberg, il a également fait une interprétation remarquée dans Arrête-moi si tu peux (Catch me if you can), aux côtés de Leonardo DiCaprio, jouant le rôle du père du personnage interprété par DiCaprio.

En 2004, il incarne le mari-robot adoré de Glenn Close pour le film de Frank Oz, Et l'homme créa la femme (The Stepford Wives).

mardi 20 avril 2010

MIAVATAR QUE JAMAIS


Ouf, enfin, j'ai regardé AVATAR ce week end, suis je le dernier au monde à voir ce film ? en tous les cas, "mieux vaut tard que jamais".. Mon souci c'est que j'ai beaucoup entendu parler de ce film en bien (surtout), et j'appelle ça l'effet "Amelie Poulain", c'est à dire qu' à trop parler d'un film en bien, le jour ou on le découvre vraiment, on est forcément un peu déçu.

Cet effet, je ne l'ai pas connu pour "Amélie poulain" que j'ai particulierement adoré, mais c'est en regardant "bienvenue chez les Chtis" que j'ai compris pourquoi on pouvait être déçu d'un film juste parcequ'on en a entendu parler pendant des mois...

En effet, "Bienvenue chez les Chtis" reste un film sympa, c'est loin d'être un chef d'oeuvre de l'humour, mais delà à faire exploser le box office, faut pas pousser, mais c'est sûrement la magie du bouche à oreille qui a fait le reste (qui a parler de promotion à outrance ?).

Bref, revenons à AVATAR, n'ayant pas pu le voir en 3D, j'ai donc attendu calmement mon tour pour l'apprécier en 2D chez moi

Avec de l'apréhension, normal pour un film de James Cameron, le seul petit souci, c'est qu'à force d'en parler, de lire les critiques, j'avais l'impression d'avoir déjà vu le film , mais bon...

retour sur AVATAR :


Malgré sa paralysie, Jake Sully, un ancien marine immobilisé dans un fauteuil roulant, est resté un combattant au plus profond de son être. Il est recruté pour se rendre à des années-lumière de la Terre, sur Pandora, où de puissants groupes industriels exploitent un minerai rarissime destiné à résoudre la crise énergétique sur Terre. Parce que l'atmosphère de Pandora est toxique pour les humains, ceux-ci ont créé le Programme Avatar, qui permet à des " pilotes " humains de lier leur esprit à un avatar, un corps biologique commandé à distance, capable de survivre dans cette atmosphère létale. Ces avatars sont des hybrides créés génétiquement en croisant l'ADN humain avec celui des Na'vi, les autochtones de Pandora.

Sous sa forme d'avatar, Jake peut de nouveau marcher. On lui confie une mission d'infiltration auprès des Na'vi, devenus un obstacle trop conséquent à l'exploitation du précieux minerai. Mais tout va changer lorsque Neytiri, une très belle Na'vi, sauve la vie de Jake...

MON AVIS

AVATAR, tres bien, parfait, rien à dire sauf un scénario pas non plus super original (on aurait eu des cowboys contre les indiens, un western classique aurait pu traiter du même sujet) sans oublier quelques facilités scénaristiques comme le gentil héro ou la prophétie, jusqu'au peuple pacifique et son arbre sacré, en passant en revue les méchants armés jusqu'aux dents cherchant seulement le profit au détriment de toutes morales. Bref, je chipôte un peu mais Avatar n’a pas que des qualités et le déroulement du film est tellement prévisible qu'on s'écrit peu à peu l'histoire avant que la fin pointe son nez, pour ça c’est dommage.

Sinon Avatar est visuellement une réussite, c’est un très très bon film d’action dont on oublie vite les petits défauts, que demander de + ?.

lundi 19 avril 2010

RETOUR DE VACANCES


De retour après une semaine de vacances au bord de la mer, coupé du monde (pas de portable, pas d'internet,) quel bonheur...

Faut dire que ce n'était pas difficile, la carte mère de mon pc portable a rendu l'âme (:=( arrghhhh la haine... mais bon, j'étais comme un fumeur qui voulait arrêter de fumer et après 10 jours, j'avoue que ça ne m'a pas manqué, pourvu que ça dure.....

vendredi 9 avril 2010

QUE LA FARCE SOIT AVEC VOUS !


il y a des films cons (Police Académy, y'a t il un pilote dans l'avion, y a t'il un flic...) et il y a LA FOLLE HISTOIRE DE L'ESPACE.

La Folle Histoire de l'espace (Spaceballs, soit littéralement Les burnes de l'espace en anglais) est un film humoristique et parodique, écrit et dirigé par Mel Brooks.

Yop Solo et son acolyte mi-homme mi-chien Beurk, héros de l'espace téméraires et ignorants, sont appelés par le roi Roland de la planète Druidia pour retrouver sa fille, la Princesse Vespa. Celle-ci, qui s'est enfuie en compagnie de Dot Matrix, sa nurse, pour éviter un mariage arrangé avec Vallium (la pilule était dure à avaler), le dernier prince de la Galaxie, est tombée aux mains des Spaceballs.

Méchants et stupides, les Spaceballs ont dilapidé leur atmosphère. Ils espèrent voler celle de Druida, en se servant de la princesse Vespa comme moyen de pression. Au cours de leur opération de sauvetage, Yop Solo et Beurk croisent l'énorme et gluant Pizza the Hutt, l'abominable Lord Casque Noir, ou une petite créature grande en sagesse et marketing nommée Yogurt, qui leur enseigne le pouvoir mystique de « l'astuce » afin de ramener la paix dans la galaxie.


Le film parodie de nombreux films américains, dont : La Guerre des étoiles, Star Trek, Indiana Jones et le Temple maudit, Transformers, La Planète des singes, Alien, Rambo, Blanche neige, Le Magicien d'Oz, One Froggy Evening, etc.


ENTRE CIEL TERRE & SUNSHINE


Si on mélange deux affiches de films,
on peut parfois avoir des (bonnes) surprises !


jeudi 8 avril 2010

LE DINER DE CONS version US


A Hollywood, "con" se prononce visiblement "schmuck", tandis que le mot "dîner" ne change pas vraiment d'un continent à l'autre. Niveau concept, Dinner for Schmucks reprend globalement celui du Dîner de cons (remake oblige), à une exception près : chez Jay Roach (Mon beau-père et moi), le personnage joué par Paul Rudd découvre les joies de ce genre de dîner si particulier, pour se faire bien voir de son patron (alors que Thierry Lhermitte était déjà passé pro).

Mais à partir de là, les choses ont l'air de se dérouler de la même façon, puisque son Steve
Carell d'invité est aussi doué en matière de catastrophes que ne l'était Jacques Villeret chez Francis Veber, comme le prouvent les premières images du film. L'occasion également de revoir l'une des révélations de Very Bad Trip, Zach Galifianakis (aperçu en début d'année dans Gigantic et In the Air), et de patienter jusqu'au 13 août.

J'ai jamais compris pourquoi on distribuait sur le marché français les "remakes" américains. Quel est l'intérêt pour un français d'aller au cinéma voir un remake ? C'est un peu comme si QUICK* allait vendre des Hamburgers aux USA. * (Quick - restaurant belge et non français)

En tous les cas, n'espérons pas que ce remake dépasse l'orginal, les américains ont déjà saboté pas mal de films signés Francis VEBER, comme les fugitifs (quoique le remake a été aussi réalisé par Veber),


ou les compères


ils ne pourront pas faire pire que DANY BOOM et ARTHUR dans la pièce de théatre.



Bref, ne desespérez pas, dans quelques années, la version "CHTI" made in USA arrivera sur nos écrans pour la plus grande joie de tous.... merci qui ?




TOUT SAVOIR SUR LE DINER DE CONS



Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Le Dîner de cons " et de son tournage ! François Pignon

C'est le deuxième personnage récurrent après François Perrin interprété tour à tour par Pierre Richard (Le Grand Blond avec une chaussure noire, Le Jouet, La Chèvre), Patrick Dewaere (Coup de tête) et Patrick Bruel (Le Jaguar).

Le Dîner de cons marche en Angleterre

Ce film français est un des rares à avoir eu un important succès en Angleterre. L'humour anglophone est particulièrement sensible aux jeux de mots ; il y en a ici un de taille, au coeur de l'histoire. En effet, on utilise en argot le terme wiener qui signifie raté et se rapproche de winner, le vainqueur.

François Pignon : Un personnage qui dure

Le personnage de François Pignon est récurrent dans les oeuvres de Francis Veber. On le retrouve sous les traits de Jacques Brel dans L'Emmerdeur d'Édouard Molinaro, de Pierre Richard dans Les Compères et dans Les Fugitifs, de Daniel Auteuil dans Le Placard, de Gad Elmaleh dans La Doublure ainsi que de Patrick Timsit dans le remake de L'Emmerdeur (film, 2008).

Gerard Depardieu envisagé?

On a songé à Gérard Depardieu pour jouer le rôle de Pierre Brochant.

Professeur Sorbier/Archambault

Le film dure une heure et demie, contre deux heures pour la pièce originale. Il y a donc eu plusieurs changements dans l'adaptation. Ainsi, dans la version originale, Marlène dit à François Pignon être la soeur de Pierre Brochant (suivant une vague histoire de karma) ; au cinéma, pour faciliter la chose, " Sasseur " devient son nom de famille, ce qui entraîne un changement d'identité pour le docteur de Brochant, qui s'appelle à l'origine " Archambault " et devient Sorbier (pour expliquer sa présence sur le répertoire à la lettre S, comme Sasseur).

5 0 0 0

le plein de super (+ le mur du son) a dépassé la barre des 5000 visites (ou clics), c'est une bonne nouvelle, ça prouve qu'il est consulté régulièrement, à moins que ce soit une seule personne qui ait cliqué 5000 fois sur mon blog depuis le 17 février dernier ?
Merci à vous, et n'hésitez pas à mettre un flux rss de mon blog sur votre page NETVIBES histoire dêtre au courant en temps réel des "mise-à-jour" !
cordialement
william

mercredi 7 avril 2010

Pas si LUCKY que ça !


Au cours de sa mission à Daisy Town, la ville qui l'a vu grandir, Lucky Luke, "l'homme qui tire plus vite que son ombre", va croiser Billy The Kid, Calamity Jane, Pat Poker, Jesse James et Belle...


L'adaptation d'une BD culte, depuis quelques jours dans les bacs à DVD, pas encore vu mais j'ai comme l'impression qu'on ne change pas une équipe qui perd. (Pour info, je n'ai pas aimé Brice de Nice, ni les OSS 117, mais bon soyons fous...)

Lucky Luke est l'adaptation sur grand écran des bandes dessinées Les Aventures de Lucky Luke, oeuvre culte créée par Morris et René Goscinny.


Les autres adaptations

Genre : Comédie/Western

Année : 1971

Durée : 100min

L'histoire : Un chariot transportant un chargement d'or est volé par Black Bird et ses complices. Mais un mystérieux cowboy, en fait une jeune femme déguisée, enlève le butin au nez et à la barbe du truand. Cette jeune femme est le nièce du fameux juge Roy Bean. Elle enterre l'or dans un cimetière, et regagne la ville...où Black Bird et son complice viennent de débarquer, afin de récupérer leur pognon !

Robert Hossein et Pierre Perrret dans un même film, y'a pas de mot, ... film improbable et introuvable...


Genre : Comédie/Western

Année : 1991

Durée : 100min

L'histoire : La petite ville de Daisy Town, fraîchement bâtie, est la proie de divers hors-la-loi. Un jour, Lucky Luke, cowboy solitaire, arrive en ville et fait le nettoyage. Jusqu'au jour où arrivent quatre redoutables malfrats, les Dalton...


Réalisé et interprété par Terence Hill, ce film est la première adaptation en live, avec acteurs, de la fameuse série de bandes dessinées crée par Morris et Goscinny. Depuis, il y à eu le pas terrible "Les Dalton" avec Eric & Ramzy (la tour montparnasse et double Zero)

Lorsque ce film sortit en 1991, rien de ce qui faisait la force, le charme de la BD initiale ne se retrouve ici. Lucky luke porte décidemment mal son nom quand on veut l'adapter au cinéma.

mardi 6 avril 2010

BLAKE IN BLACK


John Forsythe, acteur américain bien connu pour avoir été Blake Carrington dans la série Dynastie, est décédé ce week end à l’âge de 92 ans suite à une pneumonie contractée alors qu’il se battait contre un cancer.

Que celui qui n'a jamais regardé un épisode de "Dynasty" ou "Dallas" me jette la première pierre ! cette série a cartonné dans les années 80 (il n y avait que 5 chaînes), elle a surfé sur la vage de "Dallas"avec autant de succès. A la différence de certaines séries cultes comme MISSION IMPOSSIBLE, je doute qu'elle se soit bonnifiée avec le temps, bien au contraire.

Présent dans les 8 saisons du feuilleton fleuve et dans ses 220 épisodes. John Forsythe n'avait pas été le premier choix de la production.

Au début, George Peppard (Agence Tous risques) avait été choisi pour le rôle mais lors du tournage, Aaron Spelling n'avait pas été convaincu par les prestations de l'acteur. Il a donc proposé le rôle à John Forsythe, qui a retourné toutes les scènes et s'est glissé avec succès dans la peau du patriarche de la famille Carrington.

Si la première saison de la série a permis de lancer le couple vedette Blake-Krystle, Linda Evans donnant les traits de la douce épouse de Blake, c'est l'arrivée de la garce Alexis Carrington, première épouse du patriarche, qui a réellement sauvé la série. John Forsythe a donc tenu tête à Joan Collins durant de nombreux épisodes pour le plus grand plaisir des fans.

Si Blake a été son plus grand rôle à la télévision, l'acteur était aussi une voix célèbre, celle du patron des Drôles de dames. C'est lui qui donnait ses instructions aux célèbres détectives en jupons. Il fut la voix de Charlie durant les 5 saisons de la série (1976 à 1981) et dans les deux films inspirés de la série.

vendredi 2 avril 2010

JOYEUSES PAQUES


Ce week end, c’est Pâques, le 9 avril, ce sera son anniversaire, deux raisons pour faire un Petit flash back rapide sur la Carrière de Jean Paul BELMONDO, un des plus grands acteurs du cinéma français.

Alternant le genre populaire et les films d'auteurs, il est devenu en quelques années une des plus grandes vedettes du cinéma français, champion incontesté du box-office au même titre que Louis de Funès et Alain Delon à la même époque. En cinquante ans de carrière, il a attiré dans les salles près de 130 millions de spectateurs




En 1953, il fait ses vrais débuts sur les planches dans deux pièces au Théâtre de l'Atelier, Médée de Jean Anouilh et Zamore de Georges Neveux dans des mises en scène d'André Barsacq.

Le 4 décembre 1953, il épouse une danseuse, Élodie Constantin, avec qui il aura trois enfants : Patricia (1958 décédée dans un incendie en 1994), Florence (1960) et Paul (1963). Jean-Paul Belmondo et Élodie divorcent en 1966.

Il débute sa carrière cinématographique dans un petit rôle : Sois belle et tais-toi (1958). 1960 est l'année qui lui fait connaître son premier grand rôle dans À bout de souffle de Jean-Luc Godard : il devient alors une figure marquante de la Nouvelle Vague. Il joue également aux côtés de Lino Ventura dans Classe tous risques de Claude Sautet.

Il connaît un grand succès populaire avec L'Homme de Rio (1964), aux côtés de Françoise Dorléac (sœur de Catherine Deneuve), puis joue aux côtés d'Anna Karina dans Pierrot le fou (1965), œuvre mythique de Jean-Luc Godard.

Entre 1968 et 1995 il tourne pas mal de chef d’œuvres avec les plus grands réalisateurs qui resteront gravés dans le cinéma Français :

* Ho ! de Robert Enrico : François Holin, dit "Ho"

* Le Cerveau de Gérard Oury : Arthur Lespinasse

* Borsalino de Jacques Deray : François Capella


* Les Mariés de l'an II de Jean-Paul Rappeneau : Nicolas Philibert

* Le Casse d'Henri Verneuil : Azad

* La Scoumoune de José Giovanni : Roberto Borgo

* L'Héritier de Philippe Labro : Bart Cordell

* Le Magnifique de Philippe de Broca : Bob Saint-Clar / François Merlin

* Stavisky... (L'empire d'Alexandre) d'Alain Resnais : Serge Alexandre Stavisky

* Peur sur la ville d'Henri Verneuil : Le commissaire Jean Letellier

* L'Incorrigible de Philippe de Broca : Victor Vauthier

* L'Alpagueur de Philippe Labro : Roger Pilard, dit "L'Alpagueur"

* Le Corps de mon ennemi d'Henri Verneuil : François Leclercq

* L'Animal de Claude Zidi : Mike Gaucher et Bruno Ferrari

* Flic ou voyou de Georges Lautner : "Antonio Cerruti", alias le commissaire Stanislas Borrowitz

* Le Guignolo de Georges Lautner : Alexandre Dupré

* Le Professionnel de Georges Lautner : Josselin Beaumont dit "Joss"

* L'As des as de Gérard Oury : Jo Cavalier

* Le Marginal de Jacques Deray : Le commissaire Philippe Jordan

* Les Morfalous d'Henri Verneuil : Le sergent Pierre Augagneur

* Hold-up d'Alexandre Arcady : Grimm

* Itinéraire d'un enfant gâté de Claude Lelouch : Sam Lion

* Les Misérables de Claude Lelouch : Henri Fortin / Jean Valjean

En 1987, près de 30 ans après avoir quitté les planches, il remonte sur une scène de théâtre pour le plus grand bonheur du public dans Kean.

Fin novembre 1999, Jean-Paul Belmondo est hospitalisé à Brest à l’hôpital de La Cavale blanche, après avoir fait un malaise pendant une représentation théâtrale de Frederick ou le Boulevard du Crime.

Le 8 août 2001, âgé de 68 ans, il est héliporté d'urgence à l'hôpital Falconaja de Bastia en Corse à la suite d'un accident vasculaire cérébral. Il s'y trouvait en vacances, chez son ami Guy Bedos à Lumio, près de Calvi. Bien que son état soit jugé sérieux, il est transféré dans la soirée vers un hôpital parisien, Saint-Joseph.

Le 29 décembre 2002, Jean-Paul Belmondo épouse à Paris sa compagne Natty à la mairie du 6e arrondissement. Natty Tardivel qu'il a rencontrée en 1989 et qui partage sa vie depuis 13 ans. Michel Drucker est l'un des témoins de ce mariage. Parmi les invités, on peut citer : Claude Lelouch, Francis Huster, Bernard-Henri Lévy, Robert Hossein, Jean Rochefort, Jean-Claude Brialy et Jean-Pierre Marielle.

Le 13 août 2003, à 70 ans, Jean-Paul Belmondo est père pour la quatrième fois d'une petite fille, Stella.

En avril 2007, il est promu Commandeur de la Légion d'honneur.

Il a retrouvé en 2008, après sept ans d'absence, les plateaux de cinéma sous la direction de Francis Huster pour une nouvelle version de Umberto D. de Vittorio De Sica : Un homme et son chien.


bonus



En 2008, il se sépare de sa femme Natty et il vivrait depuis auprès de Barbara Gandolfi

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