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samedi 30 mars 2013

JIM CARREY

 
 
Jim Carrey s’est associé à Funny or Die pour un clip musical assez particulier. L’acteur parodie feu Charlton Heston, qui était connu comme membre de la NRA (National Rifle Association), association américaine en faveur du port d’arme. Il incarne aussi un personnage nommé Lonesome Earl et est entouré de « sosies » de John Lennon, Gandhi et Abraham Lincoln, tous morts par balle.
 
 
 
Il chante une chanson intitulée Cold Dead Hands qui fait référence au slogan de la NRA «I’ll give you my gun when you pry it from my cold, dead hands » autrement dit : « je te donnerai mon arme quand tu l’arracheras de mes mains mortes froides ». Il se moque d’Heston et des partisans américains en faveur des armes.
Avec cette vidéo, Carrey montre clairement sa position sur les lois concernant le armes aux États-Unis, il est contre les armes et ne le cache pas

source
http://braindamaged.fr/2013/03/26/jim-carrey-parodie-charlton-heston-et-la-folie-des-armes/

jeudi 28 mars 2013

LES TONTONS FLINGUEURS (hors série)


Disponible en kiosque cette semaine, un hors série (82 pages) Spécial TONTONS FLINGUEURS pour les 50 ans du film, 

voici un scan du sommaire histoire de vous mettre l'eau à la bouche.
Dans la lignée du hors série TELERAMA sur louis de Funes.


mardi 26 mars 2013

LES DOCUMENTS INTERDITS de Jean Teddy Filippe


Un (faux) documentaire diffusée sur Arte à la fin des années 80, un grand moment de télévision que je n'ai jamais revu depuis mais disponible sur youtube , il est rester gravé dans ma mémoire tout ce temps. voici quelques infos que j'ai trouvé sur internet.



Des documents vidéos de différentes formes, amateur ou professionnels, nous révèlent des évènements surnaturels et mystérieux…

Ces 13 faux documentaires s'appuyant sur de prétendus phénomènes surnaturels ou inexpliqués ont été "rassemblés" par Jean-Teddy Filippe entre 1986 et 1989. La supercherie a été révélée après la diffusion du dernier épisode par Jean-Claude Carrière ; le but du réalisateur était de démontrer le pouvoir de la télévision et la facilité avec laquelle un documentaire aux allures amatrices peut avoir de l'impact sur la conscience populaire


Jean Teddy Filippe a d'abord réalisé de nombreux films publicitaires (et remporté de nombreux prix) avant de se consacrer entièrement à la fiction. Arrivé en télévision par hasard, ses séries « fantastiques » « Les rendez-vous manqués« (1985), qui deviendront pour Arte « Les Documents Interdits » (1988-1991) connaîtront un succès mondial et une rare longévité. – « ses Documents Interdits sont à l’origine d’une incroyable quantité de péloches de ces 20 dernières années, en particulier [Rec], dont l’un des segments de ces Documents…, sur le mode « reportage télé dans une maison-mystère » est la genèse absolue (pour être poli)…(…) du Projet Blair Witch à Paranormal Activity, son influence discrète est hallucinante ! Un homme de grand talent, qui aurait pu enchaîner avec une tripotée de suites mais s’est arrêté à 13 films (…) Rurik Sallé - M 02016 - Mad Movies



1989. Voilà que débarque à la télévision sans la moindre explication la vidéo ci-dessous. En quelques minutes, nous pouvons y voir les bases de ce que Jean-Teddy Filippe poussera à son paroxysme durant 12 épisodes ensuite. La légende était créée, et au-delà du formidable canular, Les Documents Interdits allaient permettre à des centaines de spectateurs de retenir une leçon : dans le petit écran, tout n’est pas vrai…


Il faut revenir à une époque où Internet n’en est qu’à ses premiers balbutiements. Youtube, le téléchargement de vidéos, les fakes de masse n’existent pas encore. Nous sommes au sortir de la Guerre Froide et Aux Frontières du réel n’est pas loin. Sur un canal voisin, TF1 s’apprête à diffuser Mystère, aux nombreux points communs avec l’imposture de Jean-Teddy Filippe…

 
La série a été produite par l’INA puis distribuée par MBA Films et ARTE France/La Sept. C’est France 2 (Antenne 2 à l’époque) qui aurait diffusé dans son journal l’épisode (sorte de pilote) ci-dessous, avant que la chaîne franco-allemande commande les 12 opus que nous connaissons*. L’idée est de mettre le spectateur face à une réalité fictive, présentée comme vraie.

 

Pour cela, Jean-Teddy Filippe utilise tous les éléments qui constitueront la charte formelle de la série. La puissance évocatrice est rendue intense grâce à l’utilisation de formats domestiques ou semi-professionnels. Caméras vidéos familiales, films 8 mm, image détériorée, le tout nous donne à voir un simili-amateurisme sur la plupart des épisodes. Les courts-métrages ne sont pas montés, les mouvements sont brusques, il arrive que l’appareil tombe, qu’il soit face au soleil et ne laisse rien voir.



Mais nous ne pouvons évoquer cette « série » sans penser au commentaire omniprésent sur toute la durée des épisodes. La voix multiplie les détails avec une précision incroyable, souvent anodins, pour nous mettre petit à petit dans une certaine confiance et de nous prouver la véracité de l’histoire. Certains points informatifs, tels les noms des personnages ou les lieux son masqués derrière des bips sonores accentuant encore un peu plus l’authenticité des récits. Monocorde et entrecoupé de silences, le commentaire accentue l’angoisse et l’immersion du spectateur dans ces aventures. Mieux, c’est parfois grâce à cette voix que nous « voyons », quand celle-ci déclare au détour d’un zoom « et maintenant, regardez bien… cela n’a duré qu’une seule seconde. « Celle-ci arrive à nous manipuler en nous indiquant les détails à ne pas manquer.



Revenons au mot « voir », qui constitue la question mise en exergue par les épisodes. A vrai dire, nous ne voyons pas grand chose. Nous croyons voir, nous pensons discerner, mais nous ne voyons rien réellement, si ce n’est que de l’inexplicable.


Douze épisodes seront alors diffusés. Douze petits modules variés faisant appel au folklore populaire et exotique. Les expériences en Sibérie, les chamanes d’Amérique du sud, les monstres marins, les maisons hantées, etc. On pensera bien évidemment au Projet Blair Witch, qui s’est certainement inspiré de ces douze histoires, malgré le fait que les commentaires du film de Daniel Myrick et Eduardo Sánchez soient intradiégétiques, alors que chez Jean-Teddy Filippe, le commentaire soit extradiégétique.

 
Nous en arrivons ainsi à un autre thème des épisodes : la censure. Cette voix rajoutée devient alors le confident d’un lourd secret. La présence d’images d’apparence prohibées accentue la proximité avec le spectateur. D’ailleurs une question n’est jamais résolue : qui se cache derrière cette voix ? Une puissance officielle ? Un groupuscule cherchant à révéler la vérité ? Un journaliste télé ?

A l’époque, la télévision cherchait le lisse, le beau, et pas encore le scandale. Comme pour pirater les ondes, Les Documents interdits posent donc les questions de l’artifice audiovisuel, et peuvent être définis comme du « mondo fantastique et non racoleur ». Il faut bien comprendre que les épisodes étaient diffusés sans explication. Il faudra attendre la fin du dernier épisode pour que la supercherie soit révélée au public.

1. Les Plongeurs (4 min 23 s). Une indiscrétion d’ambassade lève le voile sur une terrifiante réalité.

2. L’Enfant (6 min 55s). L’étrange vie de Peter, vue à travers les documents filmés par son père…

3. Les Fantômes (8 min 33 s). Jusqu’au territoire de « Ceux que l’on ne nomme pas ».

4. Le Naufragé (7 min). Le journal de bord du seul rescapé du naufrage du Véga, témoin d’un phénomène surnaturel.

5. Le Pique-nique (5 min). Le seul film amateur sur l’évènement de Roaxaca Zone.

6. L’Extra-terrestre (6 min 11 s). Le secret sur l’échange de Takohamo.

7. Le Cas Ferguson (13 min 22 s). La dernière nuit d’une des équipes du « At Once ».

8. Le Soldat (3 min 59 s). Sicile, un jour de juillet 1943…

9. Les Crown filment les Young (9 min 43 s). Une longue vie d’archives… le quartier, le voisin, son meurtre…

10. Le Fou du carrefour (8 min 25 s). Le document que Tibor Nagy jura avoir filmé, lors de son enlèvement par un vaisseau extra-terrestre.

11. La Sorcière (5 min). La reconstitution partielle d’un mystérieux évènement.

12. La Sibérie (9 min 28 s). À propos de quelques oubliés de la guerre froide.

13. L'Examen (19 min 3 s). La découverte de 110 bobines Super 8 ayant pour objet la surveillance d'une famille est-allemande. Cet épisode, postérieur aux 12 épisodes précédents, fut réalisé en 2010 à l'occasion des 20 ans de la chaîne Arte.


source de l'information wikipédia et http://www.1kult.com/2010/12/24/documents-interdits-jean-teddy-filippe/  

lundi 25 mars 2013

LUCIEN LE FILM de FRANCK MARGERIN

 
 
J'ai rencontré durant le festival BD de Ligugé (86) ce week end Monsieur FRANCK MARGERIN. Nous avons parlé BD et bien entendu cinéma.
 
 
 
En effet, on avait pu lire l'an dernier (copie ci dessous) un article dans la presse qui parlait d'une éventuelle adaptation de LUCIEN au cinéma.
 
Après Le Marsupilami l'an dernier, Boule et Bill cette année, et bien je suis heureux de vous annoncer que le film est sur la bonne voie. Le casting est presque bouclé et le tournage devrait commencer cet été.
 
Qui pour réaliser le film ? et bien, Franck Margerin himeself !
 
en effet, il m'a confié qu'il serait plus libre de réaliser son film et au moins, il serait l'unique responsable en cas d'échec plutôt que devoir laisser "son Lucien entre les mains d'un réalisateur et de ne pas être entierement satisfait du résultat final". Lucien partage la vie de Franck MARGERIN depuis plus de 30 ans, qui le connait mieux que son auteur ?
 
 
L'histoire ?
Lucien tel qu'il est aujourd'hui, père de famille, avec ses vieux potes.
 
Le casting ?
il ne m'a rien dit à ce sujet, le casting est bouclé depuis peu, est ce qu'on aura la chance de voir Alain Chabat ? aucune idée... wait and see...
 
 

il y a encore un an, Antoine de Caunes aurait été approché pour tenir le rôle, sûrement à cause du personnage de "Didier l'embrouille". voir l'article ci dessous :


"Après deux tentatives restées sans suite, avec Marc Esposito et Antoine de Caunes, Frank Margerin fait maintenant équipe avec Pierre Javaux, le producteur du « Cœur des hommes », pour adapter à l'écran son album « Toujours la banane ». Un Lucien millésime 2009, un peu particulier, puisqu'il retrace l'histoire du héros, trente ans après la sortie du premier album de la saga.


Le héros à la cinquantaine bien tassée y vend des guitares et semble rangé des voitures. Les retrouvailles avec sa bande de potes d'autrefois vont lui permettre de reformer son groupe de musique et lui redonner une seconde jeunesse. « Lucien et moi, on a le même âge… Alors je me raconte beaucoup plus à travers lui maintenant », confie Frank Margerin.

Pour mener à bien son projet, ce dernier sait qu'il s'engage dans un marathon. « Pour un film, je ne peux pas me contenter d'adapter uniquement l'histoire telle qu'elle est dans la BD, je dois développer certaines situations, écrire les dialogues, penser aux décors. » Le long-métrage comportera-t-il des flash-back, histoire de retrouver « la bande à Lucien », comme dans les albums des années 1980? Pour l'instant, il est encore bien trop tôt pour le décider, mais Margerin imagine beaucoup de séquences musicales. Pour les décors, on tournera sans doute quelques scènes à Malakoff, la ville où vit Lucien dans la BD…



Et pour les acteurs? On ne sait pas encore s'il optera pour des inconnus ou des stars, mais Margerin a déjà une petite idée si c'est cette dernière solution qui est retenue… Il adorerait avoir Kad Merad dans le rôle de Riton : « Il paraît qu'il joue également de la batterie. » Pour Ricky, il demanderait bien à Benoît Poelvoorde et, dans le rôle de Gillou, le musicien Paul Personne. « C'est un très bon guitariste et en plus il ressemble un peu à Gillou, il a un peu la même coupe de cheveux et les mêmes lunettes noires. »



Et Lucien? Sans aucune hésitation, le dessinateur répond Alain Chabat. « Un acteur tout public, un rien rebelle, qui saurait sans problème se glisser dans la peau du personnage. » Alors, entre deux coups de crayon, l'artiste se met à rêver. Et si tout se réalise, le papa de Lucien sera alors un homme comblé. « Avec de la très bonne musique pour une super bande-son, ce sera un film de copains, c'est du moins comme cela que j'aimerais fonctionner avec eux, confie Frank. Et si tous ces grands acteurs sont d'accord pour jouer le jeu, ce sera alors vraiment génial! »

source de l'article http://www.leparisien.fr/espace-premium/culture-loisirs/lucien-fait-son-cinema-09-06-2012-2039722.php

dimanche 24 mars 2013

MARIE GILLAIN SANS MENSONGE




Dans la collection "acteurs et actrices qui déchantent",  (rubrique qui regroupe les acteurs et actrices qui ont sorti un disque à défaut d'un tube)  je demande Marie Gillain qui interprète en 1991 la Musique du film "Mon père, ce héros".

LE TOURBILLON DE L'AMOUR A New Kind of Love

 
Paul Newman et Joanne Woodward dans le tourbillon de l'amour. Le Festival de Cannes 2013 a choisi ces deux acteurs s'embrassant tête-bêche pour l'affiche de sa 66e édition. Comme la précédente - celle avec Marilyn Monroe-, elle a été réalisée par l'agence parisienne Bronx à partir d'une photographie de tournage d'A New Kind of Love (La Fille à la casquette) de Melville Shavelton, en 1963.
 
source de l'info et intégralité de l'article ICI

vendredi 22 mars 2013

FRANCIS LAX - 1930-2013


Un des derniers géants du doublage - Francis Lax est mort à Paris à l'âge de 82 ans.
Il doublait David Soul dans la célèbre série  STARSKY et HUTCH, Tom Selleck dans "Magnum" et avait prêté sa voix à de nombreux personnages de fiction.
 Il a ainsi doublé Harrison Ford (Han Solo) dans la trilogie "La Guerre des étoiles" (1977-1983) comme dans Indiana Jones et le temple maudit, il a aussi prêté sa voix à des personnages de dessins animés tels que Sammy ("Scoubidou"), Volavoile ("Satanas et Diabolo") ou le Schtroumpf à lunettes. Touche-à-tout, Francis Lax a également été la voix du Muppet show version française, aux côtés de Micheline Dax, Roger Carel ou Pierre Tornade.
 Il passait devant la caméra de temps à autre, notamment dans la série "Commissaire Moulin" aux côtés de l'acteur d'Yves Rénier. Mais il a surtout joué dans de nombreuses pièces de théâtre de boulevard, en particulier pour l'émission "Au théâtre ce soir" qui retransmettait des pièces sur le petit écran.

http://www.metrofrance.com/info/francis-lax-la-voix-francaise-de-hutch-et-magnum-est-mort/mmcv!44T0ThemI7Q3g/

lundi 18 mars 2013

HABEMUS JAMES BOND (1962-2012)



LE CHOIX D'UN ACTEUR POUR UNE FRANCHISE N'EST PAS SIMPLE POUR LES PRODUCTEURS, je ne dis pas que choisir le futur acteur pour un  James Bond est comparable à l'election d'un pape mais c'est tout comme ! non ?

"Bien que les romans d’Ian Fleming, qui ont inspiré les films de la franchise, ne soient que très rarement pris en compte ..../... c’est l’acteur Britannique David Niven qu’Ian Fleming avait en tête pour incarner le héros de ses livres au grand écran.


Or, David Niven, un acteur au jeu suave et au sens de la répartie aiguisé, n’avait certainement pas la trempe d’un héros de film d’action!



Comme lui, d’autres Britanniques de la vieille école, dont Rex Harrison et James Mason, ont également refusé de tenir le rôle de James Bond, généralement parce qu’ils souhaitaient jouer dans un seul film de la franchise. Cary Grant – qui approchait la soixantaine à l’époque – avait aussi été approché pour le rôle, de même que Richard Burton et Stewart Grainger, mais sans succès

Au final, la production a hésité entre deux acteurs, soit Roger Moore – qui connaissait du succès à l’époque avec la série télé The Saint – et un Écossais encore méconnu du nom de Sean Connery. Ian Fleming était l’un des nombreux admirateurs de Roger Moore, mais les producteurs trouvaient l’acteur trop beau pour incarner James Bond. Et c’est la production qui a eu le dessus, alors que le premier acteur à incarner l’agent 007 au cinéma  fut le fougueux Sean Connery.../...

Ilfaut préciser "le premier au cinéma" car il ne faut pas oublier la premiere apparition de James Bond à l'écran (télévision) en 1954


james bond's first film from 1954 bast on lan fleming's novel casino royale made for the Climax! television



Quand Sean Connery a laissé le champ libre en 1969, plusieurs acteurs ont frappé à la porte de la franchise, dont Oliver Reed, Adam West, Roger Moore et le jeune Timothy Dalton.


C’est toutefois George Lazenby qui a décroché le rôle de l’agent secret dans Au service secret de Sa Majesté." -source de l'article ICI





De 1971 à 1972, Roger Moore joue le rôle de Brett Sinclair, un lord dandy et milliardaire dans la série télévisée Amicalement vôtre avec comme co-vedette Tony Curtis. Cette série de succès lui permet d'asseoir sa crédiblité auprès des producteurs qui décident de le choisir pour reprendre le rôle de James Bond au cinéma,

James Brolin et Sam neill ont été approché pour jouer 007 dans les années 80, séance de test à l'appui, sans succès.


 


Au début des années 80, un certain nombre d’acteurs sont alors auditionnés pour le rôle, dont Sam Neill, mais Albert Broccoli n’est pas enthousiaste. Brosnan, dont la série télévisée Les Enquêtes de Remington Steele vient de s’arrêter, se voit offrir le rôle, mais la publicité fait revivre Remington Steele et force Brosnan à désister le rôle de James Bond, à cause de son contrat avec la série.



Dalton est alors disponible et accepte de jouer le rôle de James Bond dans Tuer n'est pas jouer en 1987 qui fait un succès au box-office. Sa seconde tentative en tant que James Bond, Permis de tuer en 1989 fait un flop au box-office américain et les disputes légales concernant les droits de propriété de la franchise du film provoquent l’annulation du troisième James Bond proposé à Dalton, en 1991.  La série s’arrête alors pendant 6 ans. GoldenEye écrit à l’origine pour Dalton laisse la porte ouverte à Brosnan en 1994. Et le 7 juin 1994, Brosnan est officiellement le 5e acteur à jouer James Bond.


Désigné le 14 octobre 2005 pour devenir le huitième acteur à interpréter le rôle de James Bond au cinéma (le sixième de la série produit par EON après Sean Connery, George Lazenby, Roger Moore, Timothy Dalton et Pierce Brosnan), Daniel Craig a signé un contrat pour cinq films de l'agent secret[6]. Le premier, Casino Royale, dont le tournage a commencé fin janvier 2006, est sorti le 22 novembre 2006, suivi le 31 octobre 2008 par le vingt-deuxième James Bond de la série officielle réalisé par Marc Forster[7] : Quantum of Solace, et enfin par le vingt-troisième épisode de la série officielle : Skyfall, sorti le 26 octobre 2012.


jeudi 14 mars 2013

LOUIS DE FUNES, le livre de Claude Raybaud

Je viens de feuilleter aujourd'hui ce livre sur la filmographie très détaillée de Louis de Funes, et je peux vous dire que c'est déjà une référence !  c'est une mine d'informations. A bon entendeur !

"A partir de ses recherches aux Archives françaises du film, l'auteur, Claude Raybaud, a détaillé toute la filmographie de Louis de Funès, de la simple figuration au succès international, qu'il a choisi d'illustrer de près de trois cents photos historiques et hilarantes. Un livre témoignage unique pour tout comprendre de l'un des acteurs les plus populaires, aujourd'hui encore, du cinéma français !"


DEMANDEZ LE JOURNAL !





Merci à Jérome W. pour cette info, en effet, on peu voir sur les images ci dessous que les accéssoires pour les tournages de série télés (ou cinéma) sont utilisés plus d'une fois !





















mardi 12 mars 2013

THE ISLAND(s)


Encore et toujours dans la collection MEME TITRE MAIS PAS MEME FILM

Merci à Chris* pour l'affiche ci dessous !
 
"The superthriller from the author of jaws & the deep" ?
 

INTERVIEW JEAN ROCHEFORT


Extrait de l'interview piochée sur  leprogres.fr/
Propos recueillis par David S. Tran

Vous incarnez un peintre dans « L’Artiste et son modèle » de Fernando Trueba. Pour vous, qu’est-ce qu’un artiste ?



Un artiste… Hélas, je n’en serai pas un, je vais mourir avant, c’est trop bête, c’est trop de boulot. A une époque, on pensait que les artistes sauraient rassembler toutes les classes sociales -et Dieu sait qu’il y en a qui souffrent- et les inclure dans leurs joies artistiques pour que nous puissions tous vivre ensemble. On pensait que l’artiste participerait à la paix. Je fais partie de cette génération qui a cru, à l’arrivée de la télévision, qu’il n’y aurait plus de guerres parce que les individus de la planète se connaîtraient et n’auraient plus envie d’être belliqueux ni de foutre une bombe sur la gueule de l’autre. On en est loin. D’autant qu’au lieu de financer les bons films, les technocrates de la télé ne jurent que par Mimie Mathy, notre grande artiste populaire. Vous avez déjà regardé « Joséphine, ange gardien » ? Je m’en suis tapé un en entier. C’est pas possible, elle assassine nos contemporains.



Mais vous ne vous sentez pas artiste ?

J’ai vécu de trop grands moments de honte quand je ne correspondais pas aux rêves de l’adolescent que j’étais. Au théâtre, je n’ai joué que des pièces désirées. Mais au cinéma, surtout en Italie, j’en ai collectionné des films lamentables, qui me désespéraient mais que j’étais obligé de faire pour des questions de vie. À l’heure des vieilles énergies, c’est-à-dire du bilan, je ne veux pas que cet adolescent me regarde avec mépris. Alors je m’abstiens autant que possible de replonger dans des scénarii injurieux.



Ca fait mal, un nanar ?

J’appelle ça mes blessures de guerre. Le soir, on est malheureux dans sa chambre d’hôtel et on n’ose pas se regarder dans la glace. Il y a eu des époques où, vivant une existence tourmentée, sans parler de ma passion coûteuse pour les équidés, et n’ayant jamais su dire non à une femme qui voulait un enfant de moi, j’ai sans cesse été entraîné dans des désaveux. Un jour, je reçois un scénario de merde. Le lendemain, après avoir vu mon banquier, ce scénario ne me semblait plus si catastrophique.



Certains nanars, comme « Angélique » sont devenus cultes.

J’ai tourné ça avec une honte terrible. Le soir, je jouais Harold Pinter face à Delphine Seyrig sur les planches. Et mes journées, je les passais en compagnie de Michèle Mercier qui était, tout de même, au bord du chaînon manquant.



Elle fait partie de vos très belles partenaires…

Pour tout vous dire, je me trimbalais une sérieuse réputation d’obsédé sexuel. Alors je me caparaçonnais le pénis pour les scènes de lit. Bien que plus très en forme, j’ai, à nouveau eu recours à ce caparaçon lorsque j’ai tourné « Désaccord parfait » (2006) avec la sublime Charlotte Rampling. Au bout d’un moment, elle s’est aperçue de quelque chose. Au lieu de me retourner une gifle, elle m’a regardé droit dans les yeux et m’a dit : « Ah, enfin ! ». Elle est formidable.



À l’inverse des nanars, pensez-vous avoir joué dans des chefs-d’œuvre ?

Je crois que les comédies d’Yves Robert (« Un éléphant, ça trompe énormément » 1976, « Nous irons tous au paradis » 1977) sont, dans le genre, des chefs-d'œuvre. C’était aussi extraordinairement courageux, et moderne, de parler d’un copain homosexuel. Notre pote est de la jaquette, quelle affaire à l’époque ! On s’interroge pendant trois jours, et le quatrième, il redevient le copain qu’il a toujours été. On était formidablement en avance. J’admire aussi « Le Crabe-tambour » de Pierre Schoendoerffer, « Tandem » et « Le Mari de la coiffeuse » de Patrice Leconte, et « Un étrange voyage « d’Alain Cavalier ». J’ajouterais « L’Artiste et son modèle » à cette liste.



Jean Rochefort, c’est aussi une voix et… une moustache. Pourquoi cet accessoire ?

Je ne l’ai rasée qu’une fois, pour « Ridicule » de Patrice Leconte. Sans moustache, j’ai l’air de ce que je suis, une vraie saloperie, un faux-derch sans lèvres. Je n’inspire pas confiance. Je n’ai pas eu de vie sexuelle tant que je ne l’avais pas laissé pousser : c’était pour « Le Misanthrope », au tout début de la télévision couleur.

Vous parliez de votre passion pour les chevaux. Ne pas avoir pu jouer le « Don Quichotte » de Terry Gilliam (2000), reste-t-il un de vos plus grands regrets ?



Non. Je ne me serais pas entendu avec Terry Gilliam. Je lui ai écrit une lettre en le priant de « Bergmaniser » son propos, il ne m’a jamais répondu. Il avait interdit qu’on nourrisse le cheval que j’avais durant quarante jours, afin qu’il ressemble au Rocinante de Don Quichotte. Le pire, c’est que j’ai accepté. Le cheval est mort le surlendemain de mon arrêt. J’étais en allégeance, donc j’étais foutu. Mon corps a eu raison de me dire non.


Propos recueillis par David S. Tran
http://www.leprogres.fr/france-monde/2013/03/09/je-ne-serai-jamais-un-grand-artiste-je-vais-helas-mourir-avant








PROFESSION CLAUDE FRANCOIS



Attends, tu parles à qui là ?

Tu sais qui c'est Bernard Frédéric ?

Bernard Frédéric, c'est 5 employés, c'est 80 appels téléphoniques par semaine, c'est 30 lettres de fans par jour...

Bernard Frédéric, c'est 2 litres de sueur par gala quand ça chauffe, c'est 3 syncopes par tournée, c'est 12000 km sur les routes par an... et 19 boutons de manchettes.

Ça c'est Bernard Frédéric.

C'est une énorme, une gigantesque addition... Une machine de guerre !




lundi 11 mars 2013

ALAIN FIGLARZ de BRAQUO A TAKEN 2

Les méchants, les mauvais au cinéma sont souvent les faire-valoir du héros. Parfois incarnés par des second-rôles, parfois par de vraies stars. Ce n'est pas très évident le rôle du méchant car mal interprété, le méchant devient parfois caricatural et n'est plus vraiment crédible. Par contre certains acteurs jouent à merveille ces rôles et sont franchements inquiétants


Alain Figlarz

"Grand spécialiste des arts martiaux, Alain Figlarz s'est construit une solide réputation de cascadeur et de chorégraphe des combats depuis le début des années 2000."



Depuis 2004, on le voit de plus souvent devant que derrière la caméra, pour un second rôle parfois, mais il est impossible de ne pas le remarquer dans chaque film tellement il « crève » l’écran. Dans "36 Quai des orfèvres" et "Truands" par exemple tout comme dans le trop méconnu "Chrysalis" face à Dupontel que j'ai visionné l'an dernier en bluray sans oublier Braquo saison 1 mais est ce bien utile de le préciser !!!
Si vous êtes fan de making of, alors je vous recommande celui de babylone AD et Chrysalis ou justement on retrouve Alain Figlarz en pleine répétition avec les acteurs. Un must !







Si j’en parle qu'aujourd’hui, c’est que je viens de regarder TAKEN 2, et pour dire la vérité, je n’attendais rien de cette suite surtout réalisée par Olivier MEGATON.

Quand  j’ai découvert à l'écran Alain Figlarz dans le rôle d'un bad guy !  et en plus, un personnage assez important dans le film  (pas comme braquo saison 2 ou il se fait flinguer au bout de 3 épisodes...... arrrrrrgh ),  c’était donc pour moi la (seule?) bonne surprise de ce film. j'adore cet acteur depuis que je l'ai vu dans BRAQUO ! 


bref, la devise de mon blog c'est "UN OEIL SUR LE CINEMA" et bien je peux vous dire que je garde un oeil sur la carrière de cet acteur 

FILMOGRAPHIE SELECTIVE
2004 : 36 Quai des Orfèvres

2005 : Danny The Dog

2005 : Anthony Zimmer

2007 : Truands

2007 : Chrysalis

2007 : Scorpion

2008 : Babylon A.D.

2011 : Forces spéciales

2012 : Taken 2

Braquo (saison 1)

Braquo (saison 2






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