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mercredi 28 juillet 2010

ROBOCOP, PAS DE REMAKE, OUF !

A l'heure des remake à tire larigot, ROBOCOP était sur la liste, en attente de tournage. Par manque d'imagination (dans 99% des cas), les studios cherchent à faire du neuf avec du vieux. Dernier exemple en date, PREDATORS, le remake innavouable de PREDATOR (de Maitre John Mc Tiernam). Dans les salles depuis quelques semaines. Les critiques ne sont pas tendres avec ce film inutile et dispensable.
Dans un Détroit futuriste les gangs de rues font la loi. La police est débordée et n'arrive pas à enrayer cette violence. Plusieurs policiers sont tués dans l'exercice de leurs fonctions. Dans cette société futuriste les corporations règnent en maître. L'OPC, une de ces corporations, finance la police de Détroit. Le président de cette entreprise veut changer les choses en remplacant les policiers pas des machines. Un des dirigeants de l'OPC (Dick Jones) propose un robot entièrement mécanisé, cela s'avère un échec lamentable. On choisit un autre projet; un policier mi-humain mi-robot. On utilise le cerveau d'un policier récemment tué auquel on greffera un corps de métal; c'est la naissance de Robocop. Ce policier nouveau genre aurait tôt fait d'enrayer le mal qui sévit dans les rues mais non sans complication. De vagues souvenirs hantent sont existence passée et de plus, Dick Jones, qui a plutôt mal accepté que son projet soit écarté tente de saboter les efforts de Robocop.
Le remake de Robocop a longtemps été rattaché au nom de Darren Aronofsky (The Wrestler, The Fountain, Black Swan). Le cinéaste devait commencer le casting prochainement sur la base d'un script de David Self (Les Sentiers de la perdition).

Il n'en sera finalement rien puisque le projet se retrouve abandonné selon des informations relevées par le Financial Times et Moviehole.


MGM, qui possède les droits de la licence Robocop, subit une crise majeure impactant largement les finances de la major. Cette annulation apparait donc logique dans ces circonstances chaotiques. Le film disposait pourtant d'un cadre de sortie en 2011 et Darren Aronofsky semble avoir longuement travaillé sur le script et la pré-production.


Anecdotes, potins, actus autour de "Robocop " et de son tournage !
Deux suites
Robocop a fait l'objet de deux suites, la première Robocop 2 d'Irvin Kershner (1990), avec Peter Weller, Nancy Allen, Dan O'Herlihy et Robert Doqui, et Robocop 3 (1992) de Fred Dekker, toujours avec Nancy Allen et Robert Doqui, mais dans lequel Robert John Burke succède à Peter Weller.

Influence
L'un des scénaristes du film Edward Neumeier a eut l'idée de Robocop après avoir participé au tournage de Blade runner (1982), les personnages qu'Harrison Ford pourchasse sont aussi des hommes-machines.

Deux scènes manquantes
Deux scènes dans le scénario, n'apparaissent pourtant pas dans le film. Dans la première, Robocop devait retourner voir sa tombe, l'autre scène était une poursuite en voiture qui devait amener Peter Weller à l'endroit où Murphy meurt et devient Robocop.

Une mort plus soft
Paul Verhoeven avait prévu au départ une mort beaucoup plus sanglante pour le personnage de Clarence Bodicker, Robocop devait en effet lui planter une lame directement dans l'oeil, mais sachant que la censure allait lui demander de changer cette scène, il ne la tourna pas.

Une musique de machine
Une musique de Terminator (arrivée de Terminator dans notre monde), est présente aussi dans Robocop, c'est un clin d'oeil du réalisateur Paul Verhoeven. Point commun entre les deux personnages, ce sont des machines à face humaine.

Un costume vraiment chaud
Lors du tournage, le costume de Robocop est si lourd et chaud que Peter Weller perd jusqu'a 1,5 kilos par jour. On installa alors un système d'air conditionné dans le costume.

Figuration de Paul Verhoeven
Paul Verhoeven apparaît dans son propre film, il danse dans la boîte de nuit et regarde la caméra au moment où Léon est arrêté.

Changement d'actrice
L'actrice Stephanie Zimbalist devait tourner dans Robocop, mais la NBC lui demanda de ne pas le faire pour pouvoir filmer d'autres épisodes de la série Remington Steele.


Une musique introuvable
La chanson "Show me your spine" par le groupe P.T.P que l'on peut entendre quand Robocop arrête Léon n'est jamais sortie dans le commerce, on ne peut l'entendre que dans cette scène.

Première rencontre loupée.
Michael Ironside fut pressenti pour jouer le rôle de Alex Murphy mais ne fût pas retenu en raison de son imposante carrure, incompatible avec le costume de Robocop. Néanmoins, l'acteur retrouvera Paul Verhoeven pour Total Recall et Starship Troopers.

La vision de Paul Verhoeven
Le réalisateur Paul Verhoeven a ainsi décrit l'histoire de Robocop : "C'est l'histoire d'une chenille qui se souvient avoir été un papillon."

mardi 27 juillet 2010

MEGA FORCE, le nanar ultime ?


Je suis toujours à la recherche du nanar ultime, quand on s'intéresse au cinéma, et qu'on a fait le tour des grands films (Actions, Thrillers, Aventure, Fantastiques, Sf) il faut aussi découvrir des mauvais films pour savoir apprécier les bons.
Ayant trouvé au fil des ans, des perles rares telles que STARCRASH, TURKISH STAR WARS, L'HOMME PUMA, DOC SAVAGE, il fallait bien que je trouve le fameux film MEGAFORCE que seul NANARLAND, un site dédié aux nanars pouvait aussi bien chroniquer. En atttendant le bon moment pour déguster (en VO) ce petit bijou, voici un résumé extrait de NANARLAND.

Conçu au départ comme une véritable super production capable de rivaliser avec Indiana Jones ou Star Wars, ce film bénéficia aux Etats-Unis d'une campagne publicitaire et d'un merchandising spectaculaire. Les piètres résultats du box office firent bien vite disparaître les espoirs d'une franchise juteuse





Si l'on devait établir une unité de mesure cohérente du nanar, Mega Force pourrait servir de maître-étalon. Tout ce qu’il ne faut pas faire pour transformer un budget de 14 millions de $ de l’époque ( soit plus que Terminator ou même La Guerre des Etoiles ) en un truc délirant et pitoyable qui part direct dans les poubelles de l’histoire. (Quoique, si certains se souviennent d’ Howard Le Canard de Lucas...)






Mega Force est une espèce de délire militaro-futuristico-gonzo à base d’anticommunisme primaire, de bataille entre chars d’assaut et buggies équipés de missiles, de supers soldats rigolards en combinaison lycra zébré moule-burnes, d’explosions de maquettes et de motos volantes.



source : NANARLAND.COM

lundi 26 juillet 2010

LA PERSONNE AUX DEUX PERSONNES



Gilles Gabriel, chanteur des 80's en plein come-back, est tué dans un accident de voiture causé par Jean-Christian Ranu, comptable à la COGIP. Mais Gilles Gabriel n'est pas totalement mort : son esprit bien vivant a atterri dans le corps de Ranu, qui ne comprend pas qui est cette personne qui parle dans sa tête. Gilles, lui, n'a aucun contrôle des mouvements de son hôte. Gilles et Ranu vont vite se rendre à l'évidence : ils n'ont rien en commun, sauf ce corps qu'ils vont devoir partager. C'était déjà compliqué chacun de leur côté... alors maintenant, à deux dans la même personne...








il faut bien reconnaître que "La personne aux deux personnes" sent à premiere vue le nanar à plein nez, avec un titre déroutant et un pitch improbable (l’esprit d’un chanteur has been se retrouve dans le corps d’un comptable coincé). Pour faire simple, soit on adore, soit on déteste, et avant de le visionner, je ne savais pas encore si j’allais pouvoir tenir plus de 10 mn. Je suis pourtant un GROS fan d’ Alain Chabat, il m’avait pourtant très déçu dans le film « RRRrrrrhhhh » .

On passe tout de même un bon moment, surtout grâce à la performance de Daniel Auteuil (quel formidable acteur) et même si quelques gags sont un peu faciles, le film fourmille de détails et de gags appelés à devenir cultes avec une fin extraordinaire à mes yeux . En résumé, on pouvait avoir à l’arrivée l’un des pires nanars de l’année et bien au contraire, on frôle le génie, l’absurde, bref un régal.

Ps : en regardant la générique du film, j’avais quand même vu que le film avait été produit par Chez WAM prod. (La boite d’ Alain Chabat), un détail qui rassure !




Anecdotes, potins autour de "La Personne aux deux personnes " et de son tournage !

Un curieux mélange
Les scénaristes et réalisateurs Nicolas et Bruno, deux anciens du "Message à caractère informatif" de "Nulle Part Ailleurs", sur Canal +, ont eu l'idée du film peu après avoir quitté l'émission. C'est lors d'un tournage du "Burger Quizz", toujours sur la chaîne cryptée, qu'ils proposent le pitch de La Personne aux deux personnes au présentateur de l'émission, qui n'est autre qu'Alain Chabat. Celui-ci, emballé, les pousse à passer au cinéma. Pour La Personne aux deux personnes, le tandem a souhaité combiner des genres a priori très différents: "L'histoire du film est un mélange curieux d'un genre qui nous séduit - la comédie fantastique - avec des thèmes qui nous intéressent et la chanson populaire. Le côté visuel vintage était aussi très important. Nous voulions une espère d'épure d'un univers super moderne, hyper lumineux, assez beau graphiquement mais que nous voulions rendre oppressant, voire carcéral, en supprimant tous les grands espaces".


Un choix de comédiens évident
Nicolas et Bruno avaient en tête dès le départ les interprêtes respectifs de leurs personnages, Daniel Auteuil en tête: "Nous avons parlé du personnage principal avec Alain Chabat et, sans nous concerter, nous avions tous mis Daniel Auteuil au sommet de notre liste. Nous pensions qu'il y avait très peu de chances qu'il accepte. Nous lui avons raconté le film, ce que nous avions l'intention d'en faire et il a très vite donné son accord". Concernant Alain Chabat et son personnage de chanteur ringard, Gilles Gabriel, l'approche fut différente: "Nous le côtoyions tous les jours et nous avions dès le début, l'intention de lui confier ce rôle de chanteur. Mais il y avait un mélange de non-dit, de pudeur et si nous avions tous cette idée dans un coin de notre tête, nous n'en parlions pas. Après avoir travaillé le scénario et le lui avoir fait lire, nous avons décidé de lui proposer ce rôle. Nous savions en plus que Daniel et lui avaient envie de travailler ensemble. Et il a pris ce rôle à bras-le-corps !" Marina Foïs, côtoyée durant l'émission "Burger Quizz", est pour Nicolas et Bruno l'une des meilleures comédiennes qui soient: "Elle est à la fois belle, très drôle, curieuse, avec cette part de folie qui fait qu'elle peut passer de façon crédible d'une carriériste de La Défense à une nana qui chanterait. Au final, nous avons tourné avec nos trois acteurs préférés ! Nous avons été très gâtés".



Des comédiens toujours en contact
Lors des scènes tournées avec Daniel Auteuil qui entend la voix d'Alain Chabat en chanteur défunt Gilles Gabriel, celui-ci était toujours présent sur le plateau, comme le raconte Nicolas: "Dès la fin de l'écriture, avant même la préparation du tournage, nous avions pour principe que, quoi qu'il arrive, Ranu devait avoir un échange de jeu. Daniel et Alain devaient donc jouer ensemble. Il était hors de question d'utiliser des enregistrements, ou des stagiaires pour donner la réplique. La plupart du temps, Alain était enfermé dans une tente capitonnée à quelques mètres du plateau, avec retour vidéo, micro, et des photos de cerveau partout autour de lui ! Il donnait la réplique à Daniel, lui-même muni d'une oreillette. Ils jouaient donc vraiment ensemble".



Une bande organisée pour convaincre Daniel Auteuil
Pour convaincre Daniel Auteuil, les réalisateurs Nicolas et Bruno n'ont pas fait les choses à moitié: "Ils sont venus en bande organisé pour me le lire. Donc je l'ai découvert avec Nicolas, Bruno et Alain. A la lecture, ça paraît forément très étrange au début. Et puis, assez vite, on bascule dans l'évidence. Une fosi le postulat assimilé, on se retrouve dans des situations de comédies en apparence normales mais qui prennent tout leur sel par l'inventivité de ce duo. En tout cas, on entre dans une logique qui n'appartient sans doute qu'à eux et on ne l quitte pas jusqu'au bout , raconte Daniel Auteuil.



Une promotion surprenante !
Pour La Personne aux deux personnes, les réalisateurs Bruno et Nicolas ont organisé une promotion pour le moins originale, à mettre à l'actif de "Chez Wam", la société de production d'Alain Chabat. L'auteur-compositeur-interprète-chanteur-poète sur le retour "Gilles Gabriel", le personnage interprété par l'ex-Nul, a entraîné d'un véritable engouement depuis la mise en ligne sur internet du clip "Flou de toi", et aux nombreuses interviews du faux chanteur, où l'on apprend que "Gilles Gabriel" croit "en l'homme... et surtout en la femme", et que sa musique préférée est celle "qui fait vibrer les âmes". Au Festival de Cannes 2008, Alain Chabat fit sensation en montant les marches, apparaissant sous les traits de son personnage, "Gilles Gabriel", avec son costume de lumière et sa coupe tendance années 80.


source secret de tournage : Allociné

vendredi 23 juillet 2010

LES CAPRICES D'UN FLEUVE & DROLES D'OISEAUX

Les Caprices d'un fleuve marque la seconde réalisation de l'acteur Bernard Giraudeau après L'Autre. Dans ce film, il joue également le rôle d'un homme exilé par le roi vers l'Afrique de l'Ouest, peu avant la Révolution française.
En 1787, apres un duel, Jean-Francois de La Plaine est exile sur les cotes d'Afrique comme gouverneur d'une minuscule colonie. Cette histoire raconte l'itineraire de cet homme du XVIIIe siecle confronte a sa propre revolution en marge de l'Histoire. Il va etre confronte aux prejuges, au racisme et fera naturellement l'eloge de la difference.

Anecdotes, potins, actus autour de "Les Caprices d'un fleuve " et de son tournage !

Une musique envoûtante
Les Caprices d'un fleuve bénéficie de la bande-son de René-Marc Bini. Pour donner plus de relief à sa musique, le compositeur a mélangé les instruments (clavecin, harpe, kora, flûte baroque, basse de viole, orgue...) afin de conférer à l'ensemble une plus grande gamme d'émotion.

Lieux de tournage
Les Caprices d'un fleuve a été tourné au Sénégal, plus précisément dans le Sine Saloum, le Fouta Toro et Saint-Louis.

Bernard Giraudeau à propos de son personnage
Pour nous éclairer sur son personnage, Bernard Giraudeau dit qu'Il "va vivre l'Afrique comme peu de blancs l'ont vécue à cette époque. Les déchirements, les doutes jalonneront le fleuve de sa vie africaine. Le maître et l'esclave. Le père et la fille. L'homme et la femme. Au temps de "notre" Révolution Française, le héros de cette histoire tente, sur une terre neuve mais déjà bafouée, de faire cet "Eloge de la différence" qu'Albert Jacquard n'écrira que deux siècles plus tard."


Une oeuvre hybride
En adaptant librement le Journal du chevalier de Boufflers, Bernard Giraudeau a voulu faire une oeuvre qui soit à la fois un film d'amour déchiré par l'histoire et un film d'aventures dans le désert sur les fleuves et les côtes de la Sénégambie


Gros coup de coeur pour ce film pas très connus et peu diffusé avec un très bon casting !

L'incendie du supermarche voisin est une aubaine pour un ferrailleur sympathique qui vient de tuer sa femme. Pour le commissaire Voitot, la victime pourrait etre un des corps non identifies. Mais voila qu'un paysagiste, aussi sympathique que le ferrailleur, pretend que sa femme a disparu egalement dans l'incendie...

jeudi 22 juillet 2010

LANVIN & GIRAUDEAU


Une amitié à l'origine du duo


Le tandem des Spécialistes est né d'une rencontre entre Bernard Giraudeau et Gérard Lanvin qui, s'appréciant mutuellement, décidèrent de tourner un film ensemble.
Quatre ans plus tard, ils jouaient dans Les Spécialistes. Les deux hommes se retrouveront par deux fois sur grand écran : dans Moi vouloir toi (1985), puis dans Le Fils préféré (1994), dans lequel ils camperont, avec Jean-Marc Barr, trois frères.






A propos du Quatrième film d'Olivier Marchal


Les Lyonnais (en Tournage)






Le réalisateur de 36 Quai des orfèvres vient de déclarer dans les pages du Parisien, concernant Bernard Giraudeau (mort samedi 17 juillet des suites d'un cancer) :






"Comme Patrick Dewaere, parti trop tôt, Bernard fait partie de cette génération d'acteurs qui m'ont fait rêver quand j'étais jeune. Il était venu me voir en 2006, au théâtre, dans Sur un air de tango. Cela m'avait beaucoup touché. J'avais vraiment songé à lui pour être au côté de Gérard Lanvin dans Les Lyonnais. Du coup, j'aurais eu les deux comédiens des Spécialistes (énorme succès en salles de Patrice Leconte sorti au milieu des années 80, ndlr). Nous nous sommes vus il y a trois mois. Une très belle rencontre. Mais avec beaucoup d'élégance, Bernard m'a rappelé pour me dire qu'il ne se sentait pas capable physiquement de jouer dans le film. Quand on m'a annoncé son décès, tôt samedi matin, j'étais extrêmement triste."
Ce projet, L'ancien flic avoue que c'est en rencontrant le fameux Edmond Vidal (chef du gang), aujourd'hui âgé de 65 ans, qu'il a eu envie de le mettre en scène : "J'ai découvert un mec attachant, humble, discret, dont le parcours de rédemption m'apparaissait comme vraiment intéressant à faire partager."



Concernant l'incarnation d'Edmond Vidal, dit Momon, après le désistement d'Alain Delon, d'abord pressenti, "pour divergences de point de vue", Olivier Marchal a jeté tout naturellement son dévolu sur Gérard Lanvin : "Gérard est investi dans le personnage depuis cinq mois. Un Lanvin un peu différent des rôles qu'il a joués jusqu'alors, et plus proche du Fils préféré de Nicole Garcia (qui lui avait valu un César). Car il interprètera un voyou pétri d'humanité, hyper sensible, et un homme qui pleure. Le plus étonnant, c'est que Lanvin avait déjà incarné Edmond Vidal ! Dans un téléfilm intitulé La Traque, il y a 30 ans..."

A noter qu'outre tous les membres du casting que nous vous proposions dans un article précédent, Gérard Lanvin aura le plaisir de jouer au côté de son fils Manu Lanvin, qui incarnera justement l'un de ses fils à l'écran, en l'occurence Dany Vidal. Marchal justifie ce choix : "Manu est à la ville le fils adoptif de Gérard. Ses essais ont été excellents. Je pense que ce sera très émouvant de voir les deux Lanvin sur un plateau."

Sans malheureusement Bernard Giraudeau, mais avec Lanvin père et fils, le tournage des Lyonnais commencera à Lyon le 26 juillet et s'achèvera en Espagne à la fin octobre, pour une "épopée romanesque noir", comme le qualifie son réalisateur, mari de la comédienne Catherine Marchal et père de quatre enfants.


Source :







Jean-Paul Mantegna a des difficultés financières. Sa nouvelle amie Martine et son père, Raphaël ne peuvent l'aider. Il demande à son frère cadet, Philippe de l'ardent.




mercredi 21 juillet 2010

LES LONGS MANTEAUX


Encore un très bon film (sous estimé) qui passe rarement à la télé (derniere diffusion, il y a un an ou deux sur la TNT). Accompagné d'une très bonne bande originale et de spendides paysages ! Et l’affiche du film … quelle classe ! Giraudeau est au top !

Réalisé par Gilles Béhat
Avec Bernard Giraudeau, Claudia Ohana, Robert Charlebois, plus
Long-métrage français , argentin . Genre : Drame , Action
Durée : 01h46min Année de production : 1986

Synopsis : Loïc Murat, un géologue français, installe son campement dans la montagne bolivienne. Il y croise la route d'un groupe fasciste, Les Longs Manteaux, qui tentent d'assassiner un écrivain, Juan Mendez. Murat fait également la connaissance de Julia, la fille de Mendez.

mardi 20 juillet 2010

VENT DE PANIQUE_ L'ANNEE DES MEDUSES


Chris, une adolescente de 16 ans joue de son corps sur la côte de Saint-Tropez. Elle vit mal la rupture avec Romain, un ami de ses parents et souhaite le reconquérir. N'y arrivant pas, elle va s'aventurer vers des jeux dangereux de séductions...

Petits escrocs, le couple Pochon engage Isabelle pour s'occuper de leurs enfants. Ils ont en fait l'intention de se servir de la jeune fille, mais rien ne va se passer comme prévu...




lundi 19 juillet 2010

LES SPECIALISTES, LE FILM CULTE


"Les Spécialistes" est un film français de Patrice Leconte sorti en 1985, c'est Mon film culte ! je l'ai encore regardé (pour la 25ème fois) hier soir sur FRANCE 3 (en HD?), toujours aussi bon, dans l'action, l'humour, les dialogues, le duel entre STEPHANE CARELLA (Lanvin) et PAUL BRANDON (Giraudeau) est un vrai régal.
Pour la petite histoire, le film MARCHE A L'OMBRE était cartonnait quand le tournage des SPECIALISTES se terminait, et l'angoisse de l'équipe était de faire auss bien que MARCHE A L'OMBRE (avec lanvin pour l'annecdote). Le film a fait aussi bien voir mieux, un des gros succès cinématographiques de l'année 1985.
Si vous voulez relire l'article que j'avais publié dans mon blog pour les 25 ans du film, c'est par ici :
LE LIEN
Au cours d'un transfert, Paul Brandon s'évade, entraînant avec lui Stéphane Carella, casseur notoire. Avec l'aide de Laura, une jeune femme qui leur a permis d'échapper à leurs poursuivants, ils préparent le cambriolage du Casino Mazzetti appartenant à la mafia. Mais Carella découvre bientôt que derrière ce 'casse du siècle' se cachent bien d'autres enjeux, avec des partenaires des plus improbables.



RUE BARBARE_ BRAS DE FER

Chet est de retour dans son quartier. Renonçant à sa vie de criminel, il affronte son ancien partenaire, le violent Hagen.







Durant la Deuxième Guerre mondiale, deux amis d'enfance, Delancourt et Pierre Wagnies, se retrouvent dans les rangs des services secrets anglais. Les deux hommes sont amoureux de la même femme, Camille, mariée avec Delancourt.

dimanche 18 juillet 2010

LE RUFFIAN

Bernard Giraudeau est décédé hier matin, je ne peux que lui rendre hommage en mettant en avant les films qui m'ont marqué durant les 30 dernières années.


Je vais commencer par LE RUFFIAN, peut être le 1er film que j'ai découvert au cinéma avec Bernard Giraudeau en 1983 (j'étais trop jeune pour aller voir RUE BARBABE et je n'ai pas le souvenir d'avoir vu "VIENS CHEZ MOI J'HABITE CHEZ UNE COPINE" en salle.)


LE RUFFIAN


Aldo travaille dans une mine d'or du Canada. Un jour de paye, une bande de pillards attaque la mine et extermine tous les mineurs à l'exception d'Aldo et de deux indiens. Aldo se débarrasse de ses comparses et part en canot sur le fleuve...





samedi 17 juillet 2010

L'HOMMAGE A BERNARD GIRAUDEAU


le réalisateur Alexandre Arcady, les comédiens Pierre Arditi et Robin Renucci, l'animateur Michel Drucker ont rendu hommage à l'ami et au comédien Bernard Giraudeau, emporté samedi par un cancer à l'âge de 63 ans.

Voici leurs paroles :

- Pierre Arditi : "C'est un ami très cher qui vient de partir. Un homme profond, ce que l'on appelle un homme avec une grande fragilité. Il s'est battu comme un héros qu'il était. Il était exactement ce que nous devrions tous être." (sur BFM TV)

- Alexandre Arcady, qui l'avait dirigé dans "Le grand pardon" (1982) : "On savait qu'il en avait assez de se battre contre sa maladie et je crois que c'est avec sérénité, si je puis dire, qu'il avait décidé de jeter l'éponge" (sur RTL). "Il était lumineux. C'était la belle gueule du cinéma français. On avait envie de le filmer. Il y avait une espèce d'éclat dans son regard, dans sa façon de jouer. C'était très agréable pour un metteur en scène de filmer Giraudeau" (sur TF1).

- Michel Drucker : "Je l'ai vu il y a quelques jours, il était une ombre, évidemment, il était d'une minceur impressionnante, mais il y avait son regard: cette force du regard, ce regard bleu, ce regard impressionnant qui a fait de lui cet acteur qu'on n'oubliera jamais. C'est un homme épatant, un homme en acier qui s'est battu jusqu'au bout." "Il y a quelques jours il m'a dit +Tu vois, je rentre au port, comme La Jeanne d'Arc+, les hasards de la vie font que le navire-école porte-hélicoptère Jeanne d'Arc a pris sa retraite il y a quelques jours, il est rentré au port après 50 ans de bons et loyaux services. Il m'a dit +Tu vois, on rentre au port tous les deux, la boucle est bouclée+" (sur Europe 1)

- Robin Renucci : "C'était un acteur d'une grande force qui aura nourri le cinéma, le théâtre, la télévision. Il a commencé dans ce désir de voyage et d'inconnu. Jusqu'au bout, il était en quête d'absolu. C'est un immense chagrin. On gardera de lui son immense sourire, le bleu de ses yeux aussi bleus que les étendues marines de sa jeunesse " (sur TF1).



source : morandini.com

BERNARD GIRAUDEAU


Putain et merde... Bernard Giraudeau est mort...
Bernard Giraudeau est pour moi un des acteurs qui m'a le plus marqué dans les années 80, avec RUE BARBARE, LES SPECIALISTES (mon film culte), LES LONGS MANTEAUX , DROLE D'OISEAUX, RIDICULE, MON FILS PREFERE, LES CAPRICES D'UN FLEUVE et le cultissime VIENS CHEZ MOI J'HABITE CHEZ UNE COPINE...

Le comédien Bernard Giraudeau, qui souffrait d'un cancer, est mort samedi matin à 7h dans un hôpital à Paris, a annoncé son agent.


Il avait révélé en l'an 2000 lutter contre un cancer. Dans deux récentes interviews à Libération et à TF1, il avait confié être las de son combat contre la mort.

"C’est long d’être en permanence entre les mains des médecins, des radios, des scanners. L’institut Gustave-Roussy, puis Pompidou, puis l’hôpital Tenon, puis encore Pompidou. C’est long " avait-il dit.

Bernard Giraudeau avait entamé sa carrière cinématographique aux côtés de Jean Gabin en 1973 dans "Deux hommes dans la ville". "Viens chez moi j'habite chez une copine", "Les Spécialistes" aux côtés de Gérard Lanvin ou encore "Ridicule" furent quelques-uns de ses succès sur grand écran.

Ecrivain, son roman "Les dames de nages" s'était écoulé à plus de 100 000 exemplaires.

Bernard Giraudeau était le père de la comédienne Sarah Giraudeau, née de son mariage avec Anny Duperey.

vendredi 16 juillet 2010

PRISON BREAK


Ayant juste terminé la saison 4 de PRISON BREAK, voici une bonne occasion pour revenir sur cette fameuse série, qui malgré quelques grosses ficeles ou scénes ultra prévisibles (surtout dans la saison 4) on regarde avec un plaisir non dissimulé cette série qui a pour point fort, un casting fabuleux à commencer par T. BAG.


RETOUR SUR PRISON BREAK


À cause d'une sombre machination, Lincoln Burrows, un petit délinquant, est accusé à tort d'avoir tué le frère de la vice-présidente des États-Unis. Condamné à mort, il est incarcéré dans la prison d'État de Fox River, dans l'attente de son exécution. Son frère, Michael Scofield, est convaincu de son innocence et va l'aider à s'évader avant la date fatidique. Pour cela, Michael se fait tatouer les plans de la prison sur le torse, les bras et le dos, puis il commet un braquage afin d'y être incarcéré à son tour. Une fois emprisonné à Fox River, Michael va chercher à s'évader en compagnie de Lincoln, à l'aide des plans qu'il a fait tatouer sur son corps.

SAISON 1


Toutefois, des évènements imprévus viendront entraver le plan d'évasion que Michael a minutieusement élaboré. Les deux frères devront notamment faire face aux agissements du Cartel, une organisation secrète qui s'avère être à l'origine de la conspiration qui a conduit Lincoln à être condamné à mort. Prêts à tout pour que Lincoln soit exécuté comme prévu, les agents du Cartel vont causer bien des ennuis aux deux frères, et ce même après leur évasion
.




Lincoln Burrows (Dominic Purcell) est accusé du meurtre de Terrence Steadman, qui est le frère de la vice-présidente des États-Unis. Les preuves étant accablantes, il est déclaré coupable de meurtre au premier degré avec préméditation et condamné à mort. Il est incarcéré dans la prison de Fox River pour attendre son exécution. Le frère de Lincoln, Michael Scofield (Wentworth Miller), est convaincu de son innocence et conçoit un ingénieux plan d'évasion. Après avoir lui-même provoqué son incarcération à Fox River, c'est une course contre la montre qui s'engage pour Michael, qui doit affronter de nombreux obstacles et établir de bons rapports avec les détenus et le personnel de la prison pour réussir à s'évader avec son frère. Les deux héros sont aidés par Veronica Donovan (Robin Tunney), l'avocate et ex-petite amie de Lincoln, qui commence à enquêter sur la conspiration qui a envoyé Lincoln en prison. Cependant, les investigations de Veronica sont constamment contrecarrées par des agents des services secrets, qui travaillent pour le compte d'une organisation dénommée "Le Cartel".

mardi 13 juillet 2010

KISS CONTRE LES FANTOMES


Le groupe de rock Kiss est en pleine préparation d'un concert dans un parc d’attraction futuriste. Lorsque Abner Devereaux, le concepteur des robots mannequins du parc apprend sa mise à la retraite, il décide de contrecarrer tous les plans du nouveau directeur du parc. Caché dans les sous-sols du parc, Devereaux a trouvé un moyen de cloner les humains en robots. Il décide de capturer les quatre menbres de Kiss pour tester cette nouvelle technologie et lancer son attaque contre le monde...

KISS est un groupe de Hard-rock qui a remporté rapidement un succès fulgurant, grâce à une musique excellente, mais aussi et sûrement essentiellement au départ grâce à un concept très original et marquant à l'époque: Des maquillages et habits outranciers, ne permettant jamais aux fans de connaître leur vrai visage, entretenant ainsi un mystère aussi tenace qu'accrocheur.
Si par la suite ils continueront leur carrière "unmasked", ce film ce situe à la période pré-citée. Ils avaient auparavant sortie une bande-dessinée à succès (quelques gouttes de leur sang étant judicieusement ajouté à l'encre du 1er numéro), faisant d'eux des SUPER-HEROS, concept qui sera repris dans le film.


Telle la progéniture d'Adam et Eve, « Kiss Contre les Fantômes » aura été enfanté dans la plus grande douleur. Ainsi, selon les infos que l'on peut glaner sur le net, le tournage se serait déroulé dans l'urgence, bouclé en cinq semaines, avec des membres de KISS qui auraient été briefés à la va-vite sur la notion de jeu d'acteur et un scénario qui aurait connu de nombreux remaniements de dernière minute.
En outre, c'est à cette époque que des tensions internes naissent au sein de la formation.




Ace Frehley et Peter Criss supportent en effet de plus en plus mal l'opportunisme carriériste de Kiss ainsi que le leadership de Stanley et Simmons sur les compositions. Les deux musiciens connaissent par ailleurs des problèmes de drogue de plus en plus préoccupants. Très peu coopératifs, Ace Frehley se serait disputé à de nombreuses reprises avec le réalisateur (un jour où il a quitté le plateau furax, c'est sa doublure pour les cascades - un Noir maquillé et emperruqué ! - qui a dû tourner ses scènes) et Peter Criss aurait été défoncé au point de marmonner ses lignes de dialogue de façon incompréhensible, obligeant la production à embaucher l'acteur Michael Bell pour le doubler en post-production. Bref, pas les meilleures conditions du monde pour accoucher d'un film potable... Signalons pour finir que ce film a été rapidement renié par le groupe, à tel point que pendant longtemps, aucune des personnes travaillant pour lui n'était autorisé à en parler.


source
http://www.horreur.net/film-6551-Kiss-contre-les-Fantomes-1978.html

lundi 12 juillet 2010

KAD MERAD


Né d'un père algérien et d'une mère française, il a deux sœurs et un frère.

Batteur et chanteur dans plusieurs groupes rock à l'adolescence, il commence à monter sur scène au Club Méditerranée, avec la troupe Gigolo Brothers. Puis, c'est le théâtre, dirigé par Jacqueline Duc, où il interprète des pièces classiques.

En 1991, il entre sur Ouï FM, la radio rock parisienne, où il rencontre Olivier Baroux. Au bout d'un an, le duo formé à l'antenne entame sa propre émission : Le Rock'n'roll circus, émission composée de sketchs humoristiques (Mais qui a tué Paméla Rose ?, Teddy porc fidèle…). Tous les mercredis soirs, l'émission devenait Le Rock'n'roll circus Live, diffusée en public depuis le Monte Cristo puis le Globo. Kad crée seul le Ziggy Show, antenne libre les soirs de semaine. Puis aidé par Jean-Luc Delarue, c'est la télévision avec la série Les 30 dernières minutes.

Ils vont ensuite animer sur la chaîne câblée Comédie !, entre 1999 et 2001, La Grosse émission. Parallèlement, il commence à enchaîner des petits rôles au cinéma jusqu'à leur première grosse œuvre cinématographique : Mais qui a tué Pamela Rose ?, film réalisé en 2003 par Éric Lartigau et coécrit avec Olivier et "un ticket pour l'Espace".

Il a reçu, en 2007, le César du meilleur acteur dans un second rôle pour sa performance dans le long métrage Je vais bien, ne t'en fais pas de Philippe Lioret.

En 2008, il incarne le rôle de Philippe Abrams dans le film Bienvenue chez les Ch'tis

En seulement deux ans (c'est-à-dire depuis l'incroyable succès de Bienvenue chez les Ch'tis), Kad a participé à neuf longs métrages. Et parmi eux, beaucoup de ratés et quelques bonnes surprises . Malgré cela, on continue d'espérer, en souvenir de quelques belles performances, récentes ou passées (Je vais bien ne t'en fais pas, Faubourg 36) et surtout le cultissime "Qui a tué Paméla Rose" .


vendredi 9 juillet 2010

SOS FANTOMES, DVD ou BLU RAY ?


dvdtimes a publie une comparaison des trois editions de Ghostbusters (1999 DVD, 2005 DVD et Blu Ray 2009). Leur constatation est sans appel: Le Blu Ray est bien la version definitive, aussi bien au niveau detail que colorimetrique.

Ceci dit ils mentionnent bien que la quantite de grain est tres importante, particulierement durant le premier tiers du film (bizarrement, ca s'arrange apres semble-t-il). Les effets sont eux super clean, et la colorimetrie est bien plus respectueuse du film que la version 2005, alors que la luminosite et le contraste sont meilleurs que l'edition 1999.
L'edition BR a -d'apres Sony- ete supervisee aussi bien par Ivan Reitman que le directeur le la Photographie du film: Laszlo Kovacs aurait approuve cette version (avant de deceder avant la sortie du film en BR).

Vers la fin de l'article, il y a une comparaison du detail entre les trois versions.
Le journaliste termine sa critique image en disant que "s'il n'y avait pas la grosse inconsistence de la premiere partie du film au niveau grain, j'aurai pu donner au film une note de 8 ou 9 sur 10 en Qualite Image" (Il se prend un 7/10).

http://www.dvdtimes.co.uk/content/id/70 ... sters.html

Je n'ai toujours pas vu le BR de SOS Fantomes, mais cela me rassure un tout petit poil

Ce qui ne veut pas dire que la colere de Patton soit mal placee, bien sur.
Sony a visiblement tout mise sur la colorimetrie/ luminosite et contraste, mais n'a pas fait de travail de restauration/ DNR sur cette edition. Bonne ou mauvaise chose, il faudra peut etre attendre une ulterieure "Ultimate" edition pour le savoir...
lu sur hdnumerique

jeudi 8 juillet 2010

Pas si BRAVE (heart) que ça !


L'image du comédien et réalisateur Mel Gibson, déjà sérieusement écornée depuis quelques temps, n'est pas prête de s'améliorer.Son ex-compagne avait récemment livré à la police des enregistrements de ses conversations téléphoniques avec Gibson.


Les propos tenus par le héros de "L'Arme Fatale" sont plus que consternants: "Tu ressembles à une putain de truie en chaleur, et si tu te fais violer par un groupe de nègres, ce sera ta faute", "Je vais venir mettre le feu à ta putain de maison" sont quelques-unes des phrases prononcées par l'acteur.Dans un nouvel enregistrement remis à la police, l'acteur admet avoir frappé sa compagne et ne semble pas le regretter. Selon Radaronline, alors que la jeune femme lui demande "Quel genre d’homme peut taper sur une femme alors qu’elle tient un bébé dans les bras, la frapper deux fois en pleine face? ", Mel Gibson réplique: "Tu sais quoi, tu l’as bien mérité !"


En 1977, Mel Gibson est diplômé de l'institut national des arts dramatiques de Sydney. Il commence alors sa carrière d'acteur dans quelques séries télévisées. Son premier succès cinématographique a lieu en 1979 quand il interprète le rôle titre du film de science-fiction Mad Max du réalisateur George Miller. Film indépendant à petit budget, il rencontre un succès inattendu, rapportant une centaine de millions de dollars. Mel Gibson est alors propulsé au rang de star du cinéma. Deux autres films suivront, centrés autour du personnage de Mad Max.

En 1984, Mel Gibson reprend le rôle de Fletcher Christian dans le remake Le Bounty, où il donne la réplique à Anthony Hopkins.


En 1987, la comédie policière L'Arme fatale (Lethal Weapon) de Richard Donner, où il forme un tandem de policiers avec Danny Glover, est un énorme succès mondial qui le rend plus populaire aux États-Unis. Après sa suite et d'autres films d'action, il s'oriente vers la tragédie classique en reprenant le rôle d’Hamlet dans le film de Franco Zeffirelli, où il a pour partenaire des acteurs aussi renommés que Ian Holm et Alan Bates. Mel Gibson se lance peu après dans la production avec Forever young puis la réalisation avec L'Homme sans visage, où il interprète respectivement un aviateur cryogénisé et un professeur défiguré. En 1995, il s'attaque à son oeuvre la plus ambitieuse, le film de guerre historique Braveheart, dans lequel il interprète l'indépendantiste écossais William Wallace. Ce grand succès public et critique lui vaut l'Oscar du meilleur film et l'Oscar du meilleur réalisateur.

Après cette victoire il enchaîne les films à gros budget (La Rançon, Complots, L'Arme fatale 4, Payback) mais s'essaie également au film d'auteur avec The Million Dollar Hotel de Wim Wenders. Il revient au film épique avec The Patriot, le chemin de la liberté de Roland Emmerich, ce qui ne l'empêche pas de goûter à la comédie romantique avec Ce que veulent les femmes. Acteur décidément éclectique, il s'aventure par la suite dans le cinéma surnaturel avec Signes de M. Night Shyamalan.

En 2004, il écrit, produit et réalise La Passion du Christ, une reconstitution des douze dernières heures de Jésus Christ. Le film est tourné en araméen, en hébreu et en latin. Les critiques du film sont très partagées, déplorant les scènes sanglantes. Le film fut nommé aux oscars et reçut le prix du public pour la meilleure œuvre dramatique.

Le dernier film réalisé par Gibson est Apocalypto (sorti fin 2006). L'action se situe juste avant la conquête espagnole de l'Amérique centrale. Le thème central est le déclin de l'empire maya.

Après 6 ans d'absence en tant qu'acteur, en 2010 il revient devant la caméra dans le polar Edge of Darkness de Martin Campbell, où il donne la réplique à Ray Winstone.

Le prochain film de Mel Gibson sera basé sur les vikings, avec une sortie probable en 2012. Leonardo DiCaprio est déjà annoncé pour tenir un rôle dans ce film.
source : morandini.com
filmographie selective
mad max
mad max 2
L'arme fatale 1 2 & 3
La rançon
Braveheart

mercredi 7 juillet 2010

LE CED VIDEO par RCA


Avant le Bluray et le DVD, il y avait le LASERDISC, mais avant le LASERDISC, il y avait la VHS, la BETAMAX, la V2000 et le CED VIDEO ! qu'est ce que le CED ? En résumé, c'est le grand frère du LASERDISC, plus pratique (manipulation) mais qualité vidéo digne d'une VHS. Voir cette petite vidéo (en vo) ci dessous :





RETOUR SUR L'HISTOIRE DU VIDEO DISQUE

PhonovisonEn 1927, le physicien écossais John Logie Baird effectue les premiers essais d'enregistrement de signaux vidéo sur disque 78 tours pour stocker des images. Son système est baptisé Phonovision, il avait une définition de 30 lignes.

PhonovidEn 1965 a lieu la première tentative de réalisation commerciale par la firme américaine Westinghouse. Seules 200 images fixes par disque pouvaient être enregistrées sur disque 33 tr/mn.

TeldecEn 1970, les firmes AEG-Telefunken (RFA) et Decca (Grande-Bretagne) s'associent pour créer le premier vidéodisque commercial, le Teldec. Le disque transparent est mince et souple et est fabriqué à partir d'une feuille de 0,1 mm d'épaisseur. 240 sillons microscopiques sont gravés dans un seul millimètre de sa surface. Son diamètre de 21 cm avec enregistrement sur une seule face ne permettait au début qu'un enregistrement de 5 minutes. Le disque ne repose pas sur un plateau et flotte sur un coussin d'air. La tête de lecture est guidée par un chariot coulissant sur un rail. L'appareil a été mis au point par Hans-Joachim Klemp et ses collaborateurs, Horst Redlich, Eduard Schüller et Gerhard Diskopp. Ils ont utilisé un disque tournant à grande vitesse (1500 tr/m) dans la surface duquel était gravée en profondeur une fréquence porteuse supérieure aux fréquences les plus hautes du signal image. Cette fréquence porteuse était modulée par le signal image ; il s'agissait d'une fréquence de l'ordre de plusieurs Mhz. C'est le 24 juin 1970 à Berlin que l'appareil est présenté au public. Le 17 mars 1975, il est présenté sur le marché de RFA, il permet alors des durées de 10 à 12 minutes sur un disque de 30 cm de diamètre mais ce sera un échec commercial.

Thomson TTVLe système de Thomson prévu au départ pour le grand public fut ensuite destiné au marché institutionnel en raison de son prix élevé. Les principes de base et les caractéristiques techniques étaient proches de celui de Philips. Le disque est souple et transparent, son diamètre est de 30,1 cm et porte une spirale au pas de 1,57 µ matérialisée par une succession de micro-cuvettes apparentes sur chaque face. Cette solution exige de maintenir le disque dans une pochette rigide destinée à le protéger lors des manipulations. Thomson a choisi un mode de lecture par transmission du faisceau laser, il n’est donc plus nécessaire de retourner le disque pour passer d’une face à l’autre mais simplement de focaliser le faisceau sur une des faces. Le lecteur TTV était à l’époque le seul lecteur de vidéodisque à disposer d’office de la recherche de séquence : on pouvait entrer le numéro d’un image sur un clavier et la lecture commencait à cet endroit. Laservision ou VLP (Vidéo Long Playing)
En 1972, mise au point du vidéodisque à lecture laser de Philips. En 1979, Philips a lancé de façon progressive son lecteur aux USA, quelques dizaines de milliers de lecteurs y furent vendus en 1980. Philips a alors rencontré des problèmes techniques pour la fabrication des disques.
En 1982, Philips le commercialise en Europe, d’abord en Grande-Bretagne puis en R.F.A. Il utilise un procédé de lecture et gravure optique par laser hélium-néon. A l'enregistrement, les modulations en fréquence qui caractérisent l'image et le son sont gravés par un rayon laser sur un disque en verre dont la surface est soigneusement polie et recouverte d'une couche photorésistive. La piste est alors formée de cuvettes microscopiques de largeur et de profondeur constantes. C'est la longeur de ces microcuvettes et leur espacement qui déterminent les différentes caractéristiques du signal (luminance, chrominance, synchronisation, modulations sonores). La lecture se fait sur le même principe : le rayon du laser est réfléchi sur le fond des cuvettes. La spirale commence près du centre et se termine vers le bord du disque. Un asservissement électronique permet avec une grande précision de régler la vitesse de rotation et l'alignement tant vertical que radial du rayon sur la piste. Une image est enregistrée par tour de disque, soit donc 30 images par seconde à la vitesse de 1800 tours par minute en standard NTSC américain. Dans les standards PAL-SECAM européens, cela donne 1500 tr/mn (25 images par seconde). Ce disque, appelé "à lecture active" par le constructeur contient 30 mn de programme par face ou 45.000 images fixes. Il tourne à vitesse angulaire constante. Outre les possibilités de ralenti et d'accéléré, on peut facilement obtenir l'arrêt sur image.
Un autre type de disque sera produit par Philips, s'adressant plus particulièrement au marché grand public : le disque "longue durée" trourne à vitesse tangentielle constante, soit, en fonction du diamètre de la spire, de 1500 à 500 tr/mn. La capacité est ainsi augmentée à 46 mn par face, mais on perd les possibilités d'arrêt sur image et d'accès aléatoire. Dans les deux cas, le disque mesure 20 ou 30 cm de diamètre. Il est recouvert d'une couche protectrice métallisée qui protège la gravure contre les traces de doigts et de poussières et réfléchit le rayon lumineux. Le son est enregistré sur 2 canaux pour écoute stéréophonique ou enregistrement en 2 langues de haute qualité : bande passante de 40 à 20.000 Hz, rapport signal/bruit supérieur à 60 dB. Des licences de fabrication ont été achetées par Grundig, Sanyo, Sharp, Kenwood, Sony, Goldstar. Philips avait passé des accords avec MCA (Universal) pour l’édition des programmes enregistrés, avec IBM pour la fabrication des disques et avec Pioneer pour la fabrication des lecteurs.
En 1984, le système Laservision reçoit deux renforts de poids : ceux de Sony et d'Hitachi. Pendant ce temps, Pioneer met au point un lecteur compatible disque compact/Laservision et réalise le premier vidéodisque Laservision avec son numérique. En Europe, le système Laservision semble réservé aux usages professionnels. Selectavision ou Selectivision - disque CED En 1974, l'américain RCA opte pour un système à lecture capacitive, le Selectavision. Lancé en mars 1980 (ou mars 1981 ?), à grand renfort de publicité. La stratégie de RCA consistait à imposer rapidement son standard au moyen d’un investissement massif en proposant le lecteur le moins cher et le catalogue de titres le mieux fourni.
En 1984, c'est l'échec : RCA doit abandonner le Selectavision et perd 600 millions de dollars. Thorton Bradshaw qui annonce l’abandon du système donne l’essor des magntoscopes à cassettes comme cause principale. Selon ses termes c’était un succès technologique mais un échec commercial. Sa technologie ne permettait qu’un son mono non hi-fi. Le principe était identique (lecture capacitive) au VHD mais le procédé de guidage de l’électrode de lecture était différent. Celle-ci est en effet guidée par un sillon, de façon analogue aux disques audio de l’époque. Ce dispositif de guidage mécanique facilitait la construction des lecteurs qui étaient donc moins onéreux mais au détriment de la qualité d’image légèrement moin bonne, d’une usure de la tête de lecture et du disque et par l’impossibilité d’un arrêt sur image. La vitesse de rotation du disque était de 450 tr/mn.

VHDEn 1978, le Japonais JVC met au point un troisième système de Vidéodisque, le VHD (Very High Density), à mi-chemin entre le Selectavision de RCA et le Laservision de Philips. Il sera commercialisé au Japon, puis aux Etats-Unis en 1982 et en Europe à partir de 1983. En 1986, amélioration du standard VHD par JVC. Une version offre des images en 3 dimensions. Introduction du procédé "Dolby surround" utilisé au cinéma. Sa capacité est de 2 x 60 minutes (1 heure par face).
Le processus de lecture rappelle énormément le procédé utilisé pour la lecture d’un disque microsillon mais ici la vitesse de rotation est de 900 tours/minute. Le disque est enfermé dans une pochette qui est introduite avec celui-ci dans le lecteur qui se charge de l’extraction du disque. La lecture du disque en matière plastique se fait par l’intermédiaire d’un saphir qui orne le bout du bras de lecture. Le disque ne possède pas de sillon mais un tracé en spirale formé d’une multitude de petits creux microscopiques.
Entre les différents tracés d’informations se trouvent des signaux de contrôle destinés à la commande du bras de lecture. Le saphir dont la surface en contact avec le disque est relativement importante (dix fois plus qu’un microsillion), glisse sur celui-ci car la force d’appui est très faible. Le saphir sert de support à une électrode (trace de métal microscopique), qui se situe sur la face avant de la pointe. Le disque VHD est constitué de PVC qui est conducteur en haute fréquences et entraîne de ce fait l’apparition d’une capacité entre l’électrode de la pointe de lecture et le disque. Cette capacité varie suivant la présence ou l’absence de creux sur le disque et est traduite dans le lecteur en signal vidéo.
Contrairement au système de lecture à faisceau laser, on est en présence d’un système où la friction limitée par l’absence de sillon entraîne cependant une certaine usure du saphir et du disque.
Un des avantages du système par rapport au CD à lecture laser était que l’on pouvait fabriquer les disques en utilisant des presses à microsillon légèrement modifiées. Le système permettait l’accès aléatoire à n’importe quel passage, l’arrêt sur image, le ralenti et l’accéléré car son bras était servo-controllé. Caractéristiques techniques Composition du disque PVC Durée 1 heure par face Diamètre 301 mm (ou 260 mm ?) Bande passante luminance 3,1 Mhz Epaisseur 1,8 mm au centre Bande passante chrominance 0,5 Mhz Vitesse de rotation 900 tours/minute Résolution horizontale 230 lignes Largeur de piste 1,4 µm Rapport signal/bruit vidéo 40 dB Durée de vie du disque 10.000 lectures Bande passante audio 20 Khz Pointe de lecture Saphir Rapport signal/bruit audio 60 dB Durée de vie du saphir 2000 heures Enregistrement du signal vidéo Single carrier FM format

AHDEn 1973, JVC met au point son système AHD (Audio High Density). Destiné initialement à l'enregistrement audio-numérique, le procédé AHD est totalement compatible avec le VHD grâce à un décodeur PCM (Pulsed Coded Modulation). L’AHD permet trois voies sonores et des images vidéo fixes (Video Slide Show). Caractéristiques techniques Disque voir VHD Rapport signal/bruit > 90 dB Bande passante audio 1 Hz - 20 Hkz (0,5 dB) Distorsion harmonique <>

CD VidéoEn 1988, arrivée du CD Vidéo, développé par Sony, Philips et Pioneer, avatar du CD-Audio qui a aussi donné naissance au CD-I, CD-ROM, Photo-CD. La lecture est possible dans un lecteur de CD-I pourvu d’un décodeur enfichable ou dans le lecteur CD-ROM d’un ordinateur pourvu lui aussi d’une carte de décodage ou d’un software de décodage. Bien que digital, la qualité de l’image n’est pas supérieure à une cassette VHS (230 lignes).

source
http://users.swing.be/beckerp/v_disque.htm

lundi 5 juillet 2010

QUI EST QUI ?


Affaire "Joyandet" oblige, je ne peux que sauter sur l'occasion pour parler des ressemblances entre hommes politiques et acteurs de cinéma...


Entre Bernard GIRAUDEAU et Monsieur JOYANDET, je trouve que la ressemblance est frappante mais suis je le seul a l'avoir remarqué ?


Prochainement je vous parlerai d'une ressemblance troublante entre un aute homme politique et un acteur bien connu pour avoir tourné avec Luc Besson entre autre.

HOLMES & YOYO


Le détective Alexandre Holmes na pas de chance avec ses partenaires : ils finissent tous soit à l'hôpital, soit à la morgue... Aussi lui assigne-t-on le robot Grégory "Yoyo" Yoyonovich (nommé ainsi par son inventeur) sans lui révéler la nature particulière de ce nouveau partenaire. Il s'agit en fait d'une sorte de crash-test : si Yoyo survit aux bourdes d'Holmes, il pourra alors survivre à n'importe quoi...

Pourtant, la ruse fut vite éventée et Holmes, d'abord réticent, finira vite par adopter ce robot si attachant.

Malgré ses atouts mécaniques (une poubelle intégrée ainsi qu'une mémoire photographique...), Yoyo souffre de quelques dysfonctionnements propices à de comiques situations. Mais quels que soient les obstacles, Holmes et Yoyo finissent toujours par attraper les méchants:))

A toute cette agitation, s'ajoutent les frasques amoureuses de la belle Maxine Moon qui en pince pour l'androïde...

A noter que les gags furent largement inspirés d'une autre série produite par le producteur Leonard Stern (Max la Menace), mais cela ne fut pas suffisant et la série fut annulée au bout de trois mois...

source
http://www.series-80.net/serie-tv/holmes-et-yoyo.html

vendredi 2 juillet 2010

AVATAR DANSE AVEC LES LOUPS


Si on n’aime pas du tout le pompage d’idée non crédité par ici, on n’aime pas trop non plus relayer les accusations. Surtout celles concernant James Cameron à la tête du film le plus lucratif de l’Histoire du cinéma. Pourtant là, l’affaire est intrigante.


DELGO, DANCE AVEC LES LOUPS ou POCAHONTAS, et d’autres. AVATAR ressemble à un peu tout mais c’est l’apanage, imagine-t-on, des classiques instantanés : beaucoup ont abusé avant lui des mêmes grosses ficelles, mais peu avaient rencontré le succès du film de Cameron. De quoi attiser bien des jalousies. Si le multi-oscarisé DÉMINEURS fait face à l’attaque d’un militaire qui argue s’être fait piquer sa vie, ce dernier avait lu le scénario et avait bien attendu que le film soit le favori des Oscars pour rendre ses revendications publiques.
Ici, les accusations proviennent d’un cafetier canadien de 57 ans qui, alerté fin décembre des ressemblances entre AVATAR et sa création personnelle par son graphic designer, prépare l’offensive depuis quelques semaines. C’est ce qu’il dit.

Emil Malak, le cafetier en question, a convoqué le Vancouver Sun pour leur raconter son histoire : il est actuellement en train de remplir les dossiers nécessaires pour aller en justice soutenant qu’il y a eu violation des droits d’auteur. “Je n’accuse pas James Cameron de vol. C’est indubitablement un génie” explique Malak au jounaliste de V.S., avant de lui confier qu’il souhaiterait expliquer les similarités évidentes entre son projet TERRA INCOGNITA et AVATAR.

Malak aurait dépensé près de 100.000 dollars dans son projet TERRA INCOGNITA, il y a une quinzaine d’année. L’histoire ? Celle d’humains en recherche d’un minéral précieux sur une planète éloignée de la Terre et qui rencontrent sa population alien. Des aliens bleus avec des taches de rousseur et des cheveux longs. La planète était également habitée de dragons et ornée “d’un arbre de vie qui contient la mémoire collective de la population indigène”.
N’importe quel amateur peut-il crier au plagiat si tant est qu’il aurait griffoné des bonshommes bleus sur une feuille de PQ ? Peut-être, mais Emil Malak n’est pas qu’un amateur et il n’a pas dessiné ses aliens sur une feuille de papier hygiénique : il a engagé, fin des 90’s, un scénariste et un designer pour étoffer son monde et son histoire. Des mois de travail que l’avocat de Malak a déposé légalement à la fin des années 90. Le jour où Cameron tourne DARK ANGEL à côté du Bellagio Café de Malak en 2002, le scénariste en herbe décide d’envoyer le book de TERRA INCOGNITA à… Lightstorm Entertainment Inc., la compagnie de James Cameron. Pour mémoire, James Cameron déclare régulièrement qu’il travaille sur AVATAR depuis la deuxième moitié des années 90. On ignore simplement quand se sont dessinées l’histoire et la direction artistique telles qu’on les connaît. “Le contentieux se résume à 1996, année où AVATAR a été créé” explique Malak au Vancouver Sun. Le cafetier a d’ailleurs obtenu un rendez-vous avec les producteurs de James Cameron et de la Fox, qui ont balayé ses accusations.





http://www.cinemateaser.com/
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