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jeudi 31 janvier 2013

COMME ON SE RETROUVE ? (L'arme fatale)

 
 
Quand les acteurs se retrouvent, c'est pas forcément pour faire une suite à la saga qui les a réuni. Par exemple, Dany Glover et Joe Pesci on bien tournée l'arme fatale 3 et 4 ensemble mais en 1998, il sont les héros comiques d'un film qui parle de vacances, et de pêche, bref une comédie qui se laisse voir avec un plaisir coupable..
Deux amis ayant gagné un séjour de pêche partent profiter de vacances bien méritées et sont ravis à l'idée de s'adonner à leur passe-temps préféré. Malheureusement, tout ne va pas se passer comme prévu.

 

Avec : Joe Pesci, Danny Glover, Rosanna Arquette, Lynn Whitfield, Willie Nelson,
Nick Brimble

 

 





 
Réalisateur : Christopher Cain
Durée : 1H34
Année de production : 1997
Genre : Comédie
 
 
 
 
ci dessus Dany Glover & Joe Pesci dans L'arme fatale 3
ci dessous, Dany Glover dans MAVERICK face à MEL GIBSON
 
 

L'HOMME DE FEU


Dans la catégorie même titre mais pas même film, je demande MAN ON FIRE. Il est tellement rare qu'un film français soit remaké, et quand c'est Tony Scott qui s'y colle, on a droit à un de ses meilleurs films depuis True romance. Pour ma part, c'est peut être son dernier grand film* au cinéma (sans oublier Déjà vu).

Le Mexique est en proie à une vague d'enlèvements sans précédent. Face au danger, certaines familles aisées engagent des gardes du corps pour assurer la protection rapprochée de leurs enfants. C'est dans ce contexte lourd de menaces que débarque à Mexico l'ancien agent de la CIA John Creasy. Appelé par son vieil ami Rayburn, ce dernier se voit proposer un job inattendu : bodyguard de la petite Pita Ramos, fille de l'industriel Samuel Ramos. La fillette, précoce, pleine de curiosité et de vitalité, insupporte John par ses questions personnelles. Pourtant, au fil des jours, Pita parvient à percer ses défenses. Après bien des années, celui-ci retrouve le goût de vivre. C'est alors que Pita est kidnappée. Bien que grièvement blessé, Creasy se lance à la poursuite des ravisseurs. Inflexible, il remonte la piste, se jurant de retrouver sa protégée.

 

Un vétéran du Vietnam reprend goût à la vie grâce à une petite fille de 12 ans dont il est le garde du corps. Lorsque celle-ci est kidnappée, il fait tout pour la retrouver
 
 
* comprendre que Unstopable est sympathique et que L'attaque du métro 123 reste quand même un film moyen (Travolta cabotine trop à mon goût).

mercredi 30 janvier 2013

ROBERT BOULIN, "UN CRIME D'ETAT" le téléfilm



 
Mardi 29 janvier, France 3 a proposé, en première partie de soirée, le téléfilm Crime d’état. Véritable reconstitution des derniers jours de Robert Boulin et du contexte politique de l’époque, celui-ci démontait les rouages de l’entreprise crimino-politique dont a été victime, en octobre 1979, le ministre en exercice.

La fiction a pu compter à son casting sur François Berléand (Robert Boulin), Florence Muller (Colette Boulin), Philppe Torreton (Henri Tournet), André Marcon (Jacques Foccart) ou encore Eddie Chignara (Patrice Blank).

Le résultat, très attendu par Fabienne Boulin-Burgeat, fille de l’ancien ministre du Travail, déterminée à ce que les circonstances de la mort de mon père soient comprises par le public, a été vu par 3.08 millions de Français. Entre 20h45 et 22h20, Crime d’état a réalisé une part de marché de 11.1% auprès de l’ensemble du public.

La fiction a réalisé de belles performances sur les cibles avec 12.1% des femmes, 11.4% des hommes et 19.1% des 50 ans et plus (leader sur cette cible).

Juste après, le Ce soir ou jamais ! consacré à l’affaire Boulin, a séduit 2.1 millions de personnes, soit 11.3% de part de marché jusqu’à 23h30. Il s’agit là du record historique de l’émission

+ d'infos ici
http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/01/29/crime-d-etat-un-telefilm-choc-sur-l-affaire-boulin_1822642_3246.html

http://www.toutelatele.com/crime-d-etat-le-telefilm-choc-attendu-par-la-famille-de-robert-boulin-46595

mardi 29 janvier 2013

LOUIS DE FUNES FACE AUX REALISATEURS



Travailler avec Louis de Funes sur un plateau de cinéma n'est pas facile pour les réalisateurs comme pour les acteurs, voici quelques annecdotes piochées sur allociné, qu'on peut trouver aussi dans les bonus des dvd, ou livres dédiés à Louis de Funes ainsi que dans le hors sérié TELERAMA.


Face à Gérard Oury

Sur le tournage du Corniaud durant l'été 1964, Louis de Funès entame une "grève de l'expression", pratique consistant à jouer de façon la plus miminale et neutre possible, sans aucune exubérance. La raison invoquée à l'adoption d'une telle attitude ? L'acteur, accompagné de sa femme Jeanne qui lui sert accessoirement d'agent, considère, au terme d'une première projection de rushes, que son personnage n'est pas assez présent à l'écran et que d'une manière plus générale, le film fait la part trop belle aux scènes jouées par Bourvil. Pour "rattraper le coup", le réalisateur Gérard Oury devra consentir à la mise en boîte de quelques séquences supplémentaires avec Louis de Funès, non prévues dans le scénario d'origine, dont celle, devenue culte, de la douche avec le culturiste.

Face à Serge Korber

Louis de Funès est à l'origine de beaucoup d'idées dans certains de ses films. Mais quand il a l'impression que les réalisateurs se reposent pleinement sur son génie comique pour faire avancer le tournage, cela l'horripile au plus au point. Ce fut notamment le cas avec Serge Korber, cinéaste ayant travaillé à deux reprises avec l'acteur sur L'Homme orchestre (1970) et Sur un arbre perché (1971).

Face à Edouard Molinaro

S'il y a un cinéaste avec qui Louis de Funès entretint des relations on ne peut plus ombrageuses, c'est bien Edouard Molinaro, plus enclin à équilibrer les scènes entre sa star et ses partenaires qu'à polariser son film sur celle-ci. Cette situation donnera lieu à plusieurs altercations sur le tournage de Oscar et Hibernatus. Le producteur Alain Poiré, qui dirige alors la Gaumont, devra même intervenir pour calmer le jeu. Autre problème : Molinaro n'est pas du genre à s'esclaffer de rire lorsque de Funès fait ses pitreries devant sa caméra, ce qui désarçonne quelque peu le comédien qui aime savoir que son "public" lui est acquis. Ainsi, Louis de Funès se fera longuement prier pour livrer son fameux morceau de bravoure dans Oscar, la "tirade des nez".

Face à Robert Dhéry
Louis de Funès et Robert Dhéry ont eu beau passer d'agréables moments ensemble du temps des Branquignols (Ah ! les belles bacchantes !, La Belle Américaine, La Grosse valse...), leurs retrouvailles sur le tournage du Petit baigneur en 1968 n'en ont pas moins été orageuses. Eh oui, il faut dire que de Funès est entre-temps devenu une star et qu'il a quelque peu perdu l'esprit de troupe cher au compagnon de Colette Brosset. Les deux hommes entreront souvent en conflit sans que leur amitié n'en souffre véritablement.

source de l'info : ICI




L'ECUME DES JOURS, le(s) film(s)


Le nouveau film de Michel GONDRY sortira le 24 avril prochain.
"Romain Duris et Audrey Tautou incarnent parfaitement la fantaisie et la mélancolie de Colin et Chloé, l'un des couples les plus poignants, sinon mythiques de la littérature française. Le décor? Un Paris rétro-futuriste issu directement de l'imaginaire du réalisateur

L'histoire commence avec un jeune homme idéaliste et inventif, Colin, qui rêve de tomber amoureux et rencontre Chloé. Leur relation, d'abord idéale tourne à l'amertume quand Chloé tombe malade d'un nénuphar qui grandit dans son poumon. Pour payer ses soins, Colin doit travailler dans des conditions de plus en plus absurdes, pendant qu'autour d'eux leur appartement se dégrade et que leur groupe d'amis, dont le talentueux Nicolas (Omar Sy), et Chick (Gad Elmaleh), fanatique du philosophe Jean-Sol Partre, se délite."







"L'Écume des jours a déjà été adapté à l'écran en 1968 sous la direction de Charles Belmont avec dans les rôles titres, Marie-France Pisier (Alise) et Jacques Perrin (Colin). Une version qui s'éloigne du livre de Boris Vian, le film se concentrant sur la relation qu'entretiennent Colin et Chick (Sami Frey) tous deux amoureux de la même femme, Alise"




intégralité du de l'article :  ICI

lundi 28 janvier 2013

JAMES BOND & BATMAN : Les Portraits robots



 
Sur Reddit, un internaute s'est amusé à rassembler les visages de tous les acteurs ayant interprété 007 pour révéler le "vrai" visage de James Bond. Sean Connery et Pierce Brosnan sont très reconnaissables, alors que les traits de que Timothy Dalton et Roger Moore sont difficilement visibles...

 
Quelques semaines avant, c'est le portrait de Batman qui avait été réalisé. Adam West, Michael Keaton, Val Kilmer, George Clooney et Christian Bale: presque tous les acteurs ayant interprété l'homme chauve-souris sont présents dans le morphing, créé par le même internaute

source
http://next.liberation.fr/cinema/2013/01/28/le-vrai-visage-de-james-bond_877308

LOUIS DE FUNES & GEORGES LAUTNER : LE CACTUS



Louis de Funes a tourné plusieurs fois avec Georges Lautner

les pissenlits par la racine,
Plusieurs personnes recherchent désespérément un ticket de courses. Mais ce dernier est dans la poche d'un cadavre, lui même caché dans un étui de contrebasse.


les bons vivants aussi connu sous le titre "Un grand seigneur)
Trois sketches ("Les Bons vivants", "La Fermeture", "Le Procès") sur le thème de la fermeture des maisons closes.


Dans la collection "les films qui n'existent pas" (ou projet non abouti), je demande LE CACTUS. 

"En 1977, Louis de Funès était bien parti pour retrouver le cinéaste Georges Lautner.  Le film qui devait sceller cette nouvelle collaboration avait pour titre Le Cactus et racontait comment un cruel patron était pris d'une soudaine envie de faire le bien autour de lui. "


Le scénario avait été écrit par l'ancien Charlot Luis Rego et les dialogues par le maître Audiard. Mais le projet tourna court, le comédien changeant brutalement d'avis à la dernière minute. Georges Lautner se consolera cette année-là avec le tournage de l'excellent Mort d'un pourri interprété par Alain Delon."


source de l'info : ICI




Dans la petite commune du CELLIER (44)



Trente après la mort de Louis de Funès, le 27 janvier 1983, les habitants du Cellier se souviennent avec fierté de l'acteur qui a séjourné pendant près de trente années dans cette commune située à 25 km de Nantes. Une cérémonie d'hommage a d'ailleurs eu lieu samedi, autour de la tombe où le comédien repose.


«Les personnes qui l'ont côtoyé ne sont plus très nombreuses mais le souvenir reste. Malgré sa discrétion, sa simplicité, c'est un homme qui a marqué la commune », explique Fernand Buisson, secrétaire de l'association d'histoire locale.

l'intégralité de l'article est ici

LOUIS DE FUNES FACE AUX ACTEURS



 Travailler avec Louis de Funes sur un plateau de cinéma n'est pas facile pour les réalisateurs comme pour les acteurs, voici quelques annecdotes piochées sur allociné, qu'on peut trouver aussi dans les bonus des dvd, ou livres dédiés à Louis de Funes.

Jean Marais
Ce n'est un secret pour personne. Sur le tournage des trois Fantômas, Jean Marais et Louis de Funès ne s'appréciaient guère. Le premier était en effet jaloux du succès de son partenaire et constatait, non sans une certaine aigreur, que l'importance de son rôle déclinait au fur et à mesure des épisodes. Ceci au profit des scènes comiques dans lesquelles excellait Louis de Funès. Cette mésentente entre un bellâtre à l'étoile pâlissante et un faire-valoir sur la voie de la starification sera en partie à l'origine de l'arrêt de la franchise en 1966.















Fernandel
En 1954, sur le tournage du Mouton à cinq pattes, Fernandel, qui ne souhaitait sans doute pas qu'on lui conteste son statut de star comique numéro un du cinéma français d'après-guerre, essaya de récupérer à son compte, dans une scène d'échange tournée en champ / contre-champ avec Louis de Funès, une mimique mise en place par son cadet. Pas dupe, le réalisateur Henri Verneuil fit en sorte, lors du montage final, que de Funès conserve le brevet de sa création.















Jean Gabin
Alors qu'il avait l'ascendant sur son partenaire dans La Traversée de Paris (1956) et Le Gentleman d'Epsom (1962), Jean Gabin doit cette fois-ci composer d'égal à égal avec Louis de Funès pour Le Tatoué en 1967. Et là, les choses se passent de façon moins idyllique. Ces retrouvailles au sommet entre deux monstres sacrés va rapidement tourner à la querelle d'égos. La première manifestation de cet affrontement à fleurets mouchetés, ce sont les nombreuses modifications de scénario exigées par les deux acteurs, afin que l'autre ne tire pas toute la couverture à lui. Même si durant le tournage, on ne déplore aucun incident majeur, on ne peut pas dire pour autant que le climat soit à la franche camaraderie. Le réalisateur Denys de La Patellière devra d'ailleurs souvent jouer le rôle de tampon pour ménager les susceptibilités de chacun.






Robert Lamoureux

En 1957, heureux de sa collaboration avec Louis de Funès sur la comédie Papa, maman, la bonne et moi (1954) de Jean-Paul Le Chanois, Robert Lamoureux convainc Sacha Guitry de l'engager pour le rôle du mari trompé dans la pièce Faisons un rêve que le maître avait créée en 1916. Les premières représentations se déroulent on ne peut mieux, mais rapidement l'ambiance sur les planches se détériore. La faute à une incompatibilité d'improvisations entre les deux trublions. Tandis que l'un - Robert Lamoureux - s'approprie le texte en le détournant de façon désinvolte, l'autre - Louis de Funès - s'amuse à gesticuler dans tous les sens et à laisser libre cours à ses trouvailles visuelles, ce qui a le don d'agacer son partenaire.



Jean Lefebvre
Malgré sa cote de popularité et son aspect bonhomme, Jean Lefebvre n'a pas toujours eu la réputation d'être facile sur les plateaux de cinéma. Autant dire que face à un tempérament aussi écrasant que celui de de Funès cela pouvait faire des étincelles. Les deux hommes en feront l'amère expérience à l'issue du tournage du Gendarme se marie. En effet, lors de la première du film, en octobre 1968, l'interprète de Fougasse constate que des scènes dans lesquelles il figure avec Geneviève Grad, alias Nicole Cruchot, ont disparu du montage final, ce qui le met quelque peu en rage. Accusant dans les médias de Funès d'être responsable de ces coupes, il récoltera un sévère blâme de la part du cinéaste Jean Girault qui le qualifie de "médiocre" et de "figurant le mieux payé du monde" dans une tribune libre du quotidien "Paris-Jour". Cette brutale altercation n'empêchera pas Jean Lefebvre d'apparaître une dernière fois au générique du Gendarme en balade en 1970.



Claude Rich
Jeune acteur à l'époque du tournage d'Oscar, Claude Rich ne garde pas un bon souvenir de Louis de Funès. Agacé d'entendre sans arrêt cité en exemple Guy Bertil - qui avait joué l'escroc amoureux avant lui dans la pièce de théâtre dont est issu le film - l'acteur brisa de rage une flûte de champagne devant un de Funès blême de peur.

source
Auteur  G.M. sur allociné, l'intégralité du dossier est visible ici :

http://www.allocine.fr/article/dossiers/cinema/dossier-18592010/?page=7&tab=0





samedi 26 janvier 2013

CERTAINS L'APPELAIENT FUFU (PREMIERE 1983)

Il y a 30 ans presque jour pour jour, le plus grand acteur comique français nous quittait.
L'occasion de replonger dans les archives de PREMIERE



vendredi 25 janvier 2013

UN CHASSEUR SACHANT CHASSER

Dans la collection même titre mais pas même film....




LOUIS DE FUNES et LE CINEMA



extrait de l'article d'Alain Riou pioché sur http://teleobs.nouvelobs
De Funès admire sans réserve Chaplin, Langdon, Laurel, Hardy et W.C. Fields. Selon Daniel Gélin, qui l’avait connu au cours Simon, de Funès connaissait « Hellzapoppin » par coeur. Afin de mettre toutes les chances de son côté, il va étudier systématiquement la construction des films (il a passé quelques mois à l’école technique de la photo et du cinéma, rue de Vaugirard) de manière à devenir le second rôle idéal. Un plan qui fonctionne, et même un peu trop bien : vers le début des années 1950, Fu-Fu devient le piment tellement indispensable aux réalisateurs qui flairent quelques défauts dans leurs scénarios que nul n’a l’idée de lui confier un premier rôle. « Il avait deux handicaps, observe le journaliste Michel Pascal. D’une part, son comique, influencé par les grands burlesques anglo-saxons, était essentiellement visuel. Or le cinéma de distraction était dominé, à l’époque, par l’humour verbal, le mot d’auteur, ce qui le confinait dans les utilités. D’autre part, dans une France provinciale, les comiques de premier plan soulignaient fortement leurs origines régionales : Bourvil, Fernandel, Fernand Raynaud. »
 
C’est dans un rôle très parigot que Louis va engranger son premier triomphe au cinéma. On l’a vu chez Becker (« Antoine et Antoinette »), chez Guitry (« la Poison »), et Robert Dhéry a écrit une revue entière pour mettre en valeur ses dons de pianiste agité : « Ah ! les belles bacchantes ». Au cabaret, il a même interprété le « Journal » de Jules Renard, avec Jean Carmet. Mais le rôle de Jambier, charcutier du marché noir dans « la Traversée de Paris », de Claude Autant-Lara, d’après Marcel Aymé, le propulse très haut. D’utile, il devient indispensable.
 
Pas moins de 100 rôles (toujours petits) vont suivre. Tandis qu’au théâtre, dans « Oscar », il apprend à « péter les plombs » (selon un de ses fils), il éclate au cinéma dans un banal vaudeville intitulé « Pouic-Pouic ». Dès lors, de Funès est tête d’affiche, et aligne les « Gendarme », les « Fantômas », les « Corniaud », les « Grande Vadrouille » . C’est ici qu’on touche, peut-être, au secret du talent funésien. « Mon père, témoigne un de ses fils, notait sur des bouts de papier des observations concernant des attitudes, des démarches, des mouvements des gens qu’il croisait. Le soir, ma mère classait. Il étudiait ainsi l’espèce humaine comme un zoologue étudie les chimpanzés. Son auteur favori était Jean Henri Fabre, qui n’était pas un naturaliste, comme on le croit, mais un éthologue, c’est-à-dire qu’il traitait de la morale des comportements. Mon père voyait un animal gonfler son poil pour s’imposer : il transposait la chose dans ses rôles à l’échelle humaine. »
 
 Christian Fechner, producteur : « De Funès avait vu sa mère démolir leur maison pour retrouver un billet perdu. Ainsi avait-il eu, très jeune, le sentiment de la folie qui peut habiter l’être humain. En général, les comiques incarnent les victimes. Lui, cas unique à mon avis, représentait le bourreau. Il jouait, à l’écran, des lâches, des brutes, des mufles, des faux derches. Il nous vengeait. »
auteur : Alain Riou
l'intégralité de l'article d'Alain Riou est ici :
http://teleobs.nouvelobs.com/rubriques/la-selection-teleobs/articles/40085-il-etait-une-fois-louis-de-funes-pourquoi-il-faisait-rire

jeudi 24 janvier 2013

MAD MAX, PAS LE FILM (Groupe de hard rock heavy metal)

Je vous avais parlé de THOR : groupe de hard rock heavy metal il y a quelques semaines déjà. Aujourd'hui, j'apprends que MAD MAX est le nom d'un groupe de hard rock. + d'infos sur le groupe ICI 
photo extraite de source info : http://born666.blogspot.fr/

DEUX ROUES

Quand les affiches de films se ressemblent, ça donne ça.

T5 : DANS LES TUYAUX


A la lecture de cette news (voir ci-dessous), le scénario de Terminator 5 est tout trouvé pour le PLEIN DE SUPER.  voici mon scénario.

Règle numéro 1 :  Terminator 5 doit se terminer là où terminator 1 à commencé !!!

Kyle Reese et John Connors font toujours partis de la résistance. Ayant subit beaucoup de perte, Skynet doit remettre en route l’usine pour fabriquer à nouveau des T800, des robots qui ont fait la gloire de skynet quelques années auparavant.

En même temps, le projet T1000 est validé par l’équipe de chercheurs Skynet, mais la production ne peut commencer faute de moyens.

L'équipe de chercheurs de Skynet a aussi trouvé le moyen de remonter le temps, grâce au projet « Time Tunnel ». Cette machine conçu par le Général devait à la base servir pour la téléportation.

Qui est le général ? (Arnold Schwarzenegger) il est le chef suprème de Skynet, il a lui même servi de modèle pour le premier prototype T800 et c'est  un ancien chercheur militaire et prisonnier de guerre américain, qui a été radié de ses fonctions par le tribunal militaire en 1990.
Avant d’en informer le général, deux prototypes "time tunnel" sont fabriqués et installés pour des tests dans deux lieux éloignés l'un de l'autre pour des questions de sécurités.

Le général cherche par tous les moyens à éliminer John Connors, mais la résistance a une longueur d’avance, elle est sur le point d’attaquer la base du Général et de détruire l'usine T800. 

Le général se sentant pris au piège, décide à la dernière minute d’utiliser le projet « time tunnel » non pas pour se téléporter mais pour envoyer un de ses T800 dans le passé, en 1984, avant la naissance de John Connors….

John Connors tombe nez à nez avec le Général , le combat ne fait que commencer....

John arrive trop tard, la première machine a voyager dans le temps est détruite, le T800 est déjà envoyé dans le passé. La seule solution est de trouver la seconde machine avant qu’elle ne soit détruite par skynet et d’y envoyer son père, kyle Reeze.

La boucle est bouclée
auteur : Willis du Plein de super.

Qu'en pensez vous ?

Arnold Schwarzenegger se trouve actuellement à Londres, dans le cadre de la promotion du film « Le Dernier Rempart ». Lors d’une conférence de presse, l’acteur a confirmé qu’il va jouer dans « Terminator 5 », sans préciser à quel titre. Il a également annoncé officiellement qu’il va jouer dans la suite du film « Jumeaux », qui va s’intituler « Triplés », mais aussi dans « La Légende de Conan ».

En avril 2011, Arnold Schwarzenegger devait jouer dans la version de « Terminator 5 » réalisée par Justin Lin, mais beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis. Actuellement, les droits du film reviennent à Annapurna Pictures, car Pacificor les lui a revendus en mai 2011. En septembre 2011, Justin Lin s’est désisté et a quitté le projet, qui a repris un second souffle avec l’embauche de David Ellison et de sa sœur Megan Ellison qui seront attachés à la production. Les scénaristes Patrick Lussier et Laeta Kalogridis ont aussi signé en début de mois pour écrire le script du film, si aucun réalisateur n’a encore été engagé pour remplacer Justin Lin. Ce dernier a déjà déclaré qu’il pourrait revenir et prendre en charge la réalisation de « Terminator 5 » si Annapurna Pictures peut patienter jusqu’à ce qu’il termine « Fast and Furious 6 ».
http://www.actucine.com/news/terminator-5



mercredi 23 janvier 2013

VENTE AUX ENCHERES : BATMOBILE



Un riche Américain s'est offert samedi la Batmobile créée en 1966, La voiture de Batman a été vendue 3,15 millions d'euros  


La Batmobile de la série télévisée diffusée à partir de 1966 est basée sur le concept car Lincoln Futura
Pöur les déçus, on peut espérer un jour la vente aux enchères à un prix abordable de la bombe "anti requin"

 
Batman 1966 par HansPfaall


source info
http://www.metrofrance.com/info/la-voiture-de-batman-vendue-3-15-millions-d-euros/mmat!6yx3RZaJSo48A/

mardi 22 janvier 2013

INTERSECTION(S)

Dans la collection MEME TITRE MAIS PAS MEME FILM, je demande...



Avec un casting 3 étoiles (Roschdy Zem, Moussa Maaskri et Marie-Josée Croze) Europacorp va nous livrer dans quelques jours un film qui pourrait bien tenir toutes ses promesses quand on voit la bande annonce ci desssus.

Thriller écrit et réalisé par David Marconi (co-scénariste de Die Hard 4, scénariste de Ennemi d'Etat). L'histoire, c'est celle de plusieurs rescapés d’une terrible collision en plein Sahara - deux jeunes mariés en voyage de noces, une Française et son bébé, un bel Australien, un dangereux prisonnier en cavale et un mystérieux inconnu - qui se retrouvent prisonniers du désert. Pour survivre et trouver un moyen de repartir, ils n’auront d’autre issue que de coopérer. Mais sous un soleil meurtrier, les personnalités ne tarderont pas à dévoiler leurs zones d’ombres...

INTERSECTION (au singulier), remake U.S. de LES CHOSES DE LA VIE...

Vincent et Sally Eastman forment depuis 16 ans un couple apparemment parfait, mais Vincent en est venu à haïr la froide perfection de sa femme et trouve son réconfort dans les bras d'Olivia. Mais cette dernière le pousse à rompre. Il tergiverse, se décide enfin et prend la route pour la rejoindre. Il n'arrivera jamais à destination...

Pour mémo, Roschdy Zem et Marie-Josée Croze avaient déjà tourné ensemble il y a presque 10 ans :

AMITIES SINCERES

Le nouveau film avec Gérard LANVIN est bientôt à l'affiche, et la cerise sur le gâteau, on retrouve l'excellent Jean Hugues ANGLADE. 


Walter Orsini aime la pêche, un peu. Il aime la grande cuisine et les bons vins, beaucoup. Il aime aussi Paul et Jacques, ses amis d’une vie, passionnément. Il aime surtout Clémence, sa fille de 20 ans, à la folie. Mais il n’aime pas le mensonge. Pas du tout. Walter Orsini pense qu’en amitié comme en amour, on se dit tout. Il ne le sait pas encore, mais il se trompe...

Après lecture du résumé, la ressemblance n'est peut être pas si évidente que ça, mais c'est en regardant la bande annonce que j'ai trouvé que ce film me faisait penser à un autre film, celui de Claude BERRI "un moment d'égarement"... et vous ?
Deux papas à la quarantaine emmènent leurs filles à la vingtaine à St-Trop. Et Pierre se laisse séduire par Françoise, la fille de son meilleur ami. Osera-t-il le lui avouer ?

lundi 21 janvier 2013

PAULETTE (Bonne fête)


Après une année 2012 plutôt mitigée pour le cinéma français, entre les films qui ne tenaient pas leurs promesses (La verité si je mens 3, Oncle Charles) et les films qui se sont vautrés au box office (Le guetteur avec Auteuil et Kassovitz, et qui a retué Pamela Rose ?) pour des raisons x ou y , sans oublier les films qui appartenaient à ses deux catégories.

Bref, ce début d'année commence plutôt bien il me semble, après MAX  la semaine dernière, PAULETTE arrive sur les écrans et on peut dire que ça donne envie d'aller au cinéma

Paulette vit seule dans une cité HLM de la banlieue parisienne. Avec sa maigre retraite, elle n’arrive plus à joindre les deux bouts. Lorsqu’un soir elle assiste à un curieux trafic en bas de son immeuble, Paulette y voit le signe du destin. Elle décide de se lancer dans la vente de cannabis. Après tout, pourquoi pas elle ? Paulette était pâtissière autrefois. Son don pour le commerce et ses talents de cuisinière sont autant d’atouts pour trouver des solutions originales dans l’exercice de sa nouvelle activité. Mais on ne s’improvise pas dealer



Selon le réalisateur, Paulette n'est pas une autre Tatie Danièle : "Les deux films n’ont pas grand chose à voir", déclare-t-il, en poursuivant : "Même s’il y a dans les deux quelque chose de politiquement incorrect sur la façon d’aborder le troisième âge, Tatie Danièle, (...) est une petite bourgeoise de province qui n’évolue pas, alors que Paulette, elle, est une déclassée qui s’inscrit dans un contexte social bien particulier. Et elle change, physiquement et moralement, au fur et à mesure qu’elle retrouve sa dignité." C’est un thème qui n’a pas beaucoup été traité au cinéma. Paulette n’est pas un film sur le cannabis, c’est un film sur la précarité et la solitude du troisième âge… et puis c’est surtout une comédie !"

infos source : allociné

Hommage à PAULETTE LES CHARLOTS

GUY BEDOS

vendredi 18 janvier 2013

McCLANE Père et fils


DIE HARD 5 s'affiche !
John McClane, le flic sans état d’âme, est vraiment au mauvais endroit au mauvais moment, à Moscou, pour aider son fils Jack qu’il ne voit plus. Entre la mafia russe qui veut leur faire la peau et leur combat pour éviter le déclenchement d’une guerre, les McClane découvrent que leurs méthodes pourtant bien différentes font d’eux des héros que rien ne peut arrêter

Die Hard 5 , le titre officiel ?  "une belle journée pour mourir"
En france le titre devient le sous titre,
en effet, juste un petit détail, le titre du film c'est
"A GOOD DAY TO DIE HARD"...
pas DIE HARD A GOOD DAY TO DIE HARD. 
car sauf erreur le titre anglais n'est pas "A GOOD DAY TO DIE"...  
 qui signifie une belle journée pour mourir... "mais je chipote..."


je vous rappelle que DIE HARD 4 , le titre en français était   "DIE HARD - RETOUR EN ENFER"
alors que la traduction aurait du être " DIE HARD Vivre libre ou mourir"...

mais bon, ça pourrait être pire, on pourrait avoir PIEGE DE CRISTAL 5

je fais une proposition, si on prend l'exemple de jason bourne, ou John rambo,

Le prochain pourrait s'appeler

MC CLANE
Hard to die hard !



jeudi 17 janvier 2013

LE NOUVEAU PIGNON

 
Francis Veber met en scène Gérard Jugnot dans les nouvelles aventures de son personnage culte ! François Pignon est de retour, mais cette fois sous les traits d’un chômeur délaissé par ses proches. Un laissé-pour-compte qui n’a qu’une idée en tête, avoir un contrôle fiscal, pour se remettre à exister !

Et bien sûr le stratagème fonctionne au-delà de toutes ses espérances. "Je voulais me rendre intéressant, je les ai rendus intéressés" s’exclame Pignon qui voit sa femme (Michèle Garcia) revenir au grand galop et sa vie complètement bouleversée
 
Comment faire quand on est chômeur de longue durée et qu’on n’a pas un centime en banque ? Avoir un contrôle fiscal. Une stratégie qui peut paraître absurde : pourquoi le Trésor Public irait-il contrôler quelqu’un qui ne possède rien ?

 
A mon avis, il serait étonnant que cette pièce ne se transforme pas en film sous la caméra de l'auteur.

+ d'info ici
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