Toutes les vidéos et images incluses sur ce blogs sont la propriété de leurs ayants-droits respectifs. Elles peuvent être retirées à tout moment par simple demande d'un ayant-droit. Les articles dont la source est mentionnée peuvent aussi être retirés par simple demande de l’auteur.



lundi 28 février 2011

ANNIE GIRARDOT 1931-2011


Une page du cinéma français se tourne, celle qui a joué avec Delon, Belmondo, De Funes, Blier, Audiard s'en est allée paisiblement.

L'actrice Annie Girardot est décédée "paisiblement" lundi à l'hôpital Lariboisière à Paris, à l'âge de 79 ans, a annoncé à l'AFP sa petite-fille Lola Vogel.


Elle est partie paisiblement. Maman et moi étions à ses côtés", a déclaré Lola Vogel, petite-fille d'Annie Girardot.

L'actrice souffrait depuis plusieurs années de la maladie d'Alzheimer, révélée au public par sa famille en 2006 et dont elle était devenue un symbole, après avoir accepté de se faire filmer pour le documentaire "Ainsi va la vie", de Nicolas Baulieu.

CESARS 2011 : FRANCOIS DAMIENS a crée le BUZZ

Les césars 2011, c'était vendredi 25 février. Cérémonie présentée par Antoine de Caunes. François Damiens, alias François l'embrouille, a créé le buzz lors de la remise du césar du meilleur court-métrage... une vraie Embrouille !



François parle de... complots! de... grosse déception!

LES OSCARS 2011


L'Oscar du meilleur film a été attribué dimanche au "Discours d'un roi" de Tom Hooper, face notamment à "The Social network", lors de la 83e cérémonie des Academy Awards à Hollywood.
 
Le film, qui a aussi raflé l'Oscar du meilleur acteur pour la prestation du Britannique Colin Firth et celui de meilleur réalisateur pour Tom Hooper, est le grand vainqueur de la soirée."Le Discours d'un roi" raconte l'histoire vraie du roi George VI qui tente de surmonter un bégaiement sévère à la veille de l'entrée en guerre de l'Angleterre contre l'Allemagne nazie.En recevant sa statuette de meilleur réalisateur, Tom Hooper a rendu hommage à sa mère en expliquant qu'elle était à l'origine de ce film.
 
L'acteur britannique Colin Firth a remporté dimanche l'Oscar de meilleur acteur pour son rôle dans "Le discours d'un roi".

 

L'Oscar de la meilleure actrice a été attribué dimanche à Natalie Portman pour son rôle dans "Black Swan".

Emue aux larmes, à quelques semaines d'acoucher de son premier enfant, Natalie Portman a notamment remercié le réalisateur français Luc Besson "qui m'a offert mon premier rôle quand j'avais onze ans", faisant référence à son rôle de Mathilda dans "Léon".

 

Le scénariste américain Aaron Sorkin a été distingué pour le script de "The social network", adapté du livre de Ben Mezrich "La revanche d'un solitaire, la véritable histoire du fondateur de Facebook". Déjà vainqueur aux derniers Gloden Globes, il a battu dimanche les scénaristes de "127 heures", "Toy story 3", "True grit" et "Winter's bone".
 
Pour le scénario original, l'Oscar est allé à David Seidler, pour "Le discours d'un roi".
 
L'acteur britannique Christian Bale a remporté l'Oscar du meilleur acteur dans un second rôle pour "Fighter
 
L'actrice américaine Melissa Leo a remporté l'Oscar de meilleure actrice dans un second rôle pour sa prestation dans "Fighter".
 
"Toy story 3", du studio Pixar/Disney, a remporté l'Oscar du meilleur film d'animation, dimanche soir à Hollywood, battant notamment "L'Illusionniste", du Français Sylvain Chomet.
 


Le film danois "Revenge", signé Susanne Bier, a été sacré dimanche meilleur film étranger

source : morandini.com










dimanche 27 février 2011

FERNANDEL : 40 ans déjà !

Fernandel est un chanteur et acteur français né le 8 mai 1903 à Marseille et mort le 26 février 1971 à Paris.




Issu du music-hall, il fut durant plusieurs décennies l'une des plus grandes stars du cinéma français. Comique emblématique du cinéma d'après-guerre, beaucoup de ses films sont devenus des classiques, comme Le Schpountz, L'Auberge rouge, Ali Baba et les Quarante voleurs ou La Cuisine au beurre, au même titre que plusieurs de ses personnages, à l'image de Don Camillo. Il a également brillé dans les compositions plus dramatiques notamment dans La Vache et le Prisonnier, Naïs ou Heureux qui comme Ulysse.

Fernandel - Félicie Aussi

Chanteur populaire, il a également laissé une discographie importante, parsemée là aussi de classiques tels que Félicie aussi, Ignace ou Le Tango corse. Reconnaissable grâce à sa fameuse « gueule de cheval » comme il se plaisait à le dire lui-même.



Son succès ne s'est jamais démenti. Marcel Pagnol dit aussi de lui : « Il a été l'un des plus grands et des plus célèbres acteurs de notre temps et l'on ne peut le comparer qu'à Charlie Chaplin ».

samedi 26 février 2011

ANTOINE DE CAUNES AUX CESAR 2011



La soirée en quelques photos ...

César d'Honneur pour Quentin TARANTINO


Jodie FOSTER, Présidente de la Cérémonie 

le réalisateur de Gainsbourg "vie héroique" obtient le CESAR du meilleur premier film.


Roman POLANSKI part avec le CESAR du méilleur réalisateur pour GHOST WRITER

vendredi 25 février 2011

GAINSBOURG : Avé CESAR

Sous la présidence de l'actrice américaine Jodie Foster,  la 36e cérémonie des Césars est diffusée en direct sur Canal plus, depuis le théâtre du Châtelet à Paris


Le film sur Gainsbourg décroche 3 césars dont
le César du meilleur Acteur . ERIC ELMOSNINO


mardi 22 février 2011

CAPRICES DE STARS



Ce matin, Le Figaro publiait le classement des acteurs les mieux payés du cinéma français. Et nos confrères ont consacré un autre dossier aux caprices des stars...


Et c'est Isabelle Huppert qui serait "la plus redoutée"...

Les caprices de Isabelle Huppert: Suite dans un palace et deux chambres mitoyennes. Voyages aller/retour pour sa famille ou toute personne choisie par elle. Une voiture exclusive de première catégorie, dont elle choisit la marque. Sa maquilleuse Thi Loan N'Guyen, son coiffeur et son habilleuse. Sur Copacabana, son nom devait être cité au-dessus du titre sur une seule ligne et devant celui de sa fille, Lolita Chammah. Cette clause de trois lignes a fait beaucoup jaser dans le milieu du cinéma.

Les caprices de Kad Merad. Sur le tournage de Protéger & Servir. Une suite au cinq étoiles Manos 1er à Bruxelles. 100 euros de défraiement par jour. Le salaire de son chauffeur Marcel Sanel pendant trois mois (2500 euros net par mois) et celui de sa maquilleuse Lisa Schonkert.

Les caprices de Benoît Magimel. Voyage de préférence sur Air France. Junior suite avec connexion internet et blanchisserie. 80 à 120 euros de défraiement quotidien.

Les caprices de Vanessa Paradis. Précise qu'elle habite Los Angeles et voyage uniquement en première sur Air France. Suite de première catégorie dans palace. Monospace vitres fumées. Toujours accompagnée de son chauffeur/garde du corps Philippe Fendt (à payer 2600 brut par mois) et de son maquilleur et coiffeur Fred Marin qui voyagent et logent dans les mêmes conditions qu'elle. Défraiement de 120 à 180 euros par jour pour elle comme pour son garde du corps. Accès à la cantine pour son chauffeur, ses enfants et leur nourrice.

Les caprices de Audrey Tautou. Dans son contrat pour De Vrais mensonges: une maison avec son intendance (femme de ménage…) et pour son usage exclusif: sa maquilleuse Nathalie Kovalski, sa coiffeuse Jane Milon, son habilleuse Chloé Lesueur.


Source: http://www.lefigaro.fr/cinema/2011/02/21/03002-20110221ARTFIG00574-les-acteurs-les-mieux-payes-du-cinema-francais.php

lundi 21 février 2011

FAIR GAME

On  a tous des films en tête qu'on aime, et pourtant, dieu sait qu'ils sont à la limite du nanar.

Celui ci un a casting assez surpenant (Cindy Crawford), mais william Balwin, abonné aux serie b voir Z ne remonte pas le niveau.

Pourtant le film se laisse regarder.





Film sous estimé : Oui, on a vu mieux quand même.


samedi 19 février 2011

LA FIN DES RIPOUX ?


Mauvaise nouvelle pour la famille Zidi. Malgré une bonne campagne de promotion et des critiques plutôt positives, le pilote de la série "Ripoux Anonymes" n'a pas fait exploser l'audimat jeudi soir.



Du coup, selon le Parisien, TF1 a décidé d'annuler la suite prévue, le premier épisode était pourtant déjà écrit !



L’audience du pilote, pourtant en tête de la soirée avec2,5 millions de téléspectateurs d’avance sur sa concurrente principale, demeure insuffisante aux yeux de TF 1 pour assurer le succès d’un hypothétique rendez-vous.



Surtout la ménagère de moins de 50ans a boudé le programme (21,9 % de part d’audience sur cette cible commerciale).

source : MORANDINI.COM

BONS BAISERS

jeudi 17 février 2011

BERNARD GIRAUDEAU dans PREMIERE

Abonné pendant plus de 10 ans à PREMIERE, le magazine du cinéma sans compter les années ou je l'ai lu à l'oeil grace à une amie qui m'avait donné toute sa collection -(1982 à 1986), j'ai pris le temps de scanner quelques articles avant de les jeter.

C'est bien de tout garder, mais je vous laisse imaginer 15 ans de PREMIERE dans des boites à cartons, 12 magazines par an sans oublier le hors séries CANNES, sur 15 ans... la place que çà prend sans oublier les kilos de papiers. Bref,  je suis content aujourd'hui de vous en proposer quelques pages, en espérant que PREMIERE ne me tapera pas sur les doigts !!!!

Aujourd'hui, je vous propose une interview de BERNARD GIRAUDEAU de 1982.

UN AIR DE PATRICK DEWAERE !



En voyant la nouvelle affiche du prochain film de Jean paul Rouve, un autre film m'est venu à l'esprit : LEGITIME VIOLENCE avec Claude brasseur (1982). Et puis, Jean Paul Rouve aussi sérieux sur cette affiche me fait penser à PATRICK DEWAERE, vous ne trouvez pas ? et pouquoi pas un biopic ?




Date de sortie cinéma : 16 mars 2011
Réalisé par Pierre Lacan
Avec Jean-Paul Rouve, Claude Brasseur, Olivier Gourmet
Long-métrage belge , français . Genre : Policier
Durée : 01h22min Année de production : 2010
Synopsis : Benoît, jeune père de famille, mène une vie heureuse et sans histoire. Un jour, son père détective privé, disparaît mystérieusement. Benoît va découvrir la part d’ombre d’un père qu’il pensait connaître. Et pour la première fois, il va devoir se battre pour sauver sa peau et protéger les siens.


 
Réalisé par Serge Leroy
Avec Claude Brasseur, Thierry Lhermitte, Roger Planchon, plus
Long-métrage français . Genre : Policier , Action
Durée : 01h35min  : 1982
Synopsis : Un homme décide d'adopter la technique de la légitime défense lorsqu'il prend conscience que les forces de l'ordre ne mettront jamais la main sur ceux qui ont fait périr les membres de sa famille.

mercredi 16 février 2011

lundi 14 février 2011

LA SAINT VALENTIN


FRIENDS

Friends

Spéciale St Valentin, un petit BEST OF "ROSS & RACHEL" qui regroupe quelques scènes culte d'une série que j'ai beaucoup aimé dans les années 90 : Friends. Série à voir absolument en V.O.S.T. !




CASH CASH


Quand deux films sortent au cinéma avec le même titre entre 2006 et 2010, on peut dire sans se tromper que le plus récent ne s'est pas foulé...

Mais Cash avec Dujardin n'est pas non plus tout blanc dans l'histoire, car faire un film avec un titre aussi accrocheur et finalement se retrouver à l'arrivée avec une banale copie (hommage ?) à la sauce "Frenchie"  d'OCEAN ELEVEN , c'est pas non plus la grande classe. Le film est regardable, on passe un bon moment, vite vu vite oublié.

Autant se revoir LES SPECIALISTES avec Lanvin et Giraudeau (la scène du coffre fait quand même penser à OCEAN ELEVEN pour ceux qui auraient décroché !) 

Sinon, j'ai bien la solution, le fameux CASH CASH avec Jean Lefèbvre et Dary Cow!

dimanche 13 février 2011

PATRICK DEWEARE, la dernière interview

Je vous fait partager cette ultime interview de Patrick que je viens de trouver (par hasard) sur internet. Enregistrée chez lui en juillet 1982, quelques jours avant sa mort par un journaliste canadien. Document rare.


Patrick DEWAERE - Dernière interview
envoyé par charly49.

jeudi 10 février 2011

CLAUDE BRASSEUR CHANTEUR


Dans la série, je suis acteur mais entre deux films j'enregistre un disque, Claude Brasseur rejoint la liste des chanteurs / acteurs... pour un unique 45T . Le titre n'est pas resté dans les mémoires, ce n'est pas une réussite, mais ça aurait pu être pire.

VINCENT CASSEL : interview sur ECRANLARGE.COM


Chorégraphe ambigu et pervers dans Black Swan, Vincent Cassel revient pour nous sur le tournage d'un des films les plus importants de l'année. Il évoque sans langue de bois son parcours, ses projets, son image, sa relation avec les metteurs en scène. Un entretien qui confirme pour ceux qui ne le sauraient pas encore que Cassel est un des comédiens les plus importants de ce pays et de sa génération.

Pourquoi vous a-t-il choisi ?

Je crois qu'il m'apprécie comme acteur, parce j'ai joué dans des films qui lui ont plus. Il a beaucoup aimé la Haine, Irréversible, c'est un grand fan de Cronenberg.



Accepter ce rôle, est-ce aussi retourner aux sources, vis-à-vis de votre père ?

Alors ça, je m'en suis rendu compte en second lieu. Ce qui m'a d'abord attiré c'est Darren, travailler avec lui. J'ai vu ses films et je suis persuadé que c'est un des meilleurs metteurs en scène de sa génération. Et du coup ça me chauffait d'aller faire un film avec lui. Quand il m'a proposé le truc de la danse, je n'ai pas tout de suite pensé à mon père et à son passé de danseur. Mais je trouvais le personnage ambigu, qu'il avait de bonnes répliques. Que ce soit le seul mâle au milieu de toutes ces actrices, je me disais que c'était une bonne position. Après j'ai réalisé que tout d'un coup, tout ce que j'avais vécu plus jeune allait me servir, que je sois le fils de mon père allait me servir, que le fait d'avoir grandi dans des studios de danse allait me servir. Que mon père ait joué dans Chorus Line à l'époque - vous connaissez Chorus Line ? Et bien je joue le même rôle. Mon père y interprétait Zach, et tout d'un coup j'ai trouvé une espèce de mécanique céleste, vraiment intéressante, et plus personnelle.


Vous avez beaucoup répété en amont ?

Pas trop, parce qu'on se faisait un peu chier pendant les répètes, on ne pouvait pas vraiment y aller. Alors c'était un peu plat à la lecture, je n'allais pas commencer à rouler des pelles à Natalie toutes les trois minutes en répète, c'est toujours un peu délicat. C'était surtout pour passer du temps ensemble, qu'on sache tous les trois, Darren, Natalie et moi, en face de qui on était. Et puis finalement, on arrive sur le plateau, et il faut y aller. Et comme Natalie est quelqu'un qui n'a pas froid aux yeux, et je crois que moi non plus, et bien on y a été.

Est-ce qu'il n'y a pas une grande appréhension à tourner avec un réalisateur avec qui on rêve de travailler ?

En fait je ne rêve pas de travailler avec qui que ce soit. Je suis fasciné par Darren, mais je ne me suis jamais dit avant qu'il m'appelle que je rêvais de travailler avec lui, je ne me dis ça de personne en fait. Je ne vois pas le metteur en scène comme une entité sublime qui se rapproche de Dieu. Je me dis voilà des gens qui ont des univers intéressants, et que je pourrais partager un moment enrichissant. C'est marrant, on m'a demandé « Est-ce que vous cherchez un père dans les metteurs en scène? » Carrément pas une seconde. Dans le film je remplace un peu le père que Natalie n'a pas...


Et les comédiens ne sont pas narcissiques ?

Le comédien ne peut pas se regarder dans la glace sinon il commence à jouer comme un pied. Le danseur, lui, est obligé d'apprécier la qualité de ses mouvements dans la glace. Un studio de danse, c'est un endroit rempli de miroirs. Un acteur ne peut pas se regarder jouer, sinon il ne joue plus. C'est tout con, mais c'est la réalité. Le danseur doit constamment regarder la ligne de sa jambe, c'est un métier qui nécessite de se regarder dans un miroir. On ne peut pas être danseur sans miroir. Mais pour revenir à ce que vous disiez, les comédiens sont également narcissiques.



Vous parliez tout à l'heure de la place qui vous est attribuée. Est-ce que vous êtes du genre soldat obéissant, ou plutôt rebelle ?

Je ne suis pas un acteur chiant. J'ai été un acteur chiant, il y a longtemps. Mais c'était au début je savais pas très bien, je dépensais trop d'énergie pour arriver au même résultat. Maintenant que je sais comment ça fonctionne, je ne viens pas faire chier au moment où ce n'est pas utile. J'analyse vite ce qui se passe sur un plateau, je n'ai pas de jeu d'égo. Quand j'ai atterri sur Black Swan, j'étais ravi de ce que j'avais à faire avec Darren et Natalie, mais ce n'est pas mon film. C'est le film de Natalie.


Comédien, c'est une passion, une vocation, un métier ?

Ce n'est pas un métier ça c'est sûr. Une vocation, ça respire trop la souffrance, j'ai l'impression que ça devient religieux et c'est pas du tout le cas. C'est une passion, j'ai toujours voulu faire ça vous savez. Un peu vétérinaire quand j'avais 7 ans et puis c'est passé à acteur. Et je pense que je n'échangerais cette position pour rien au monde. C'est un métier quand on le fait avec un peu de recul, qui permet d'avoir une vie... Je mène l'existence dont je rêvais quand j'avais 17 ans.


André Dussolier disait : il y a le script qu'on lit, le celui qu'on tourne, celui qui est monté. C'est souvent très différent.

En fait quand le script est bon à l'écriture, c'est le même qui est monté. Mais c'est réellement très difficile d'avoir un bon script. Des scripts qui étaient vraiment très bons à l'écriture et ont été montés tels qu'ils avaient été écrits, j'ai dû en faire deux. Allez, trois. La Haine, Sur mes lèvres, et...


Mesrine ?

Non, parce que le script était bien, mais ce n'était pas celui qu'on a tourné. Donc le troisième je dirais ...


Sheitan ?

Non Sheitan, ce n'était pas le script... Mais attention, il peut y avoir de très bons films qui vont se fabriquer de manière plus organique. Mais c'est vrai qu'avec un bon script, il y a moins besoin de travail sur le plateau.


Avec Irréversible...

Y avait pas de script ! En tout cas, un très bon script ,c'est assez rare. En l'occurrence, quand j'ai vu Black Swan, j'ai été surpris. C'est meilleur que le script. Ce que Darren a fait avec la caméra, cette richesse visuelle n'était pas dans le script. Avec très peu d'argent, je peux vous le dire, tout est à l'image. Je crois que c'est le film où j'ai été le plus mal payé de ma vie, à part ceux que je produis moi-même. Il y a des films qu'il faut faire pour l'amour du cinéma, et celui-là en est un.


Il en a de la chance Darren...

Je ne fais jamais un film pour l'argent. Quand j'ai besoin d'argent je fais autre chose. De la pub des voix, autre chose. Pas des trucs ringards non plus, je ne fais pas de pub pour le jambon. Je fais des choses qui vont dans le sens de ce que j'ai envie de faire, mais tourner des films à proprement dit, je ne le fais pas pour l'argent. Heureusement il y a des films où je suis bien payé quand même, parce que sinon ce serait dur...

Après, c'est très bon pour votre carrière, parce que c'est un grand film, et ça ouvre forcément l'imagination d'autres réalisateurs.

De toute façon je fais du cinéma pour faire des bons films, c'est surtout ça.


Oui, et puis même si ce n'est pas « votre film »...

Vous savez je n'ai pas d'ego mal placé, et puis faire « son » film, c'est très fatiguant. Donc de temps en temps d'être là sans porter le truc sur mes épaules, ça ne me dérange pas.


Est-ce qu'on peut avoir un rapport affectif avec des metteurs en scène comme Darren, ou Cronenberg ?

J'ai cru il y a longtemps au rapport affectif automatique, parce que j'ai commencé à bosser avec des gens de ma génération. La vie et le temps m'ont fait comprendre qu'il ne faut pas trop compter là-dessus, parce que les choses changent. Maintenant je ne recherche pas ça absolument. Il y a des rapports de sympathie qui se créent, mais ce n'est pas obligatoire pour travailler. Par contre, le conflit en général c'est fini. D'abord les conflits ne font pas de bons films, j'en suis persuadé. Je ne supporte plus les trous du cul tout simplement. Quand j'étais plus jeune, j'étais prêt à avaler un peu de la merde, maintenant dès que je sens que quelqu'un est dans le rapport de force, je zappe direct.

Souvent, les acteurs, lorsqu'ils ont des enfants, utilisent ce prétexte pour pouvoir jouer des rôles un peu plus grand public. Ce n'est pas votre cas. La comédie ne vous tente pas ?

Alors moi quand je fais une comédie ça s'appelle Sheitan. Moi ça me fait marrer quand je vois une nana qui branle un chien, qu'est-ce que vous voulez que je vous dise ! J'ai eu l'opportunité de faire des films pour les kids, mais ça me fait chier, ça m'emmerde. Je n'ai pas le temps. Faut que je m'y retrouve, je ne peux pas faire des films que pour le public. C'est long un tournage, même un tournage court, ça dure deux mois. Et moi deux mois, juste pour faire plaisir à quelqu'un, je ne peux pas. Faut que je m'y retrouve, que j'y prenne du plaisir. Et puis je ne vais pas faire des films pour que mes enfants les voient, ce n'est déjà pas facile de vivre avec des parents célèbres, je préfère regarder les films des autres avec eux.

Et Fantomas ?

Fantomas je ne le fais pas. Je ne peux pas être au four et au moulin comme on dit (...) Il y a un film que j'ai fait dont j'ai vu juste des morceaux, mais j'attends ça avec impatience, c'est le film de Dominique Moll, Le Moine. Il m'a emmené sur un terrain où je n'avais jamais foutu les pieds.

Ce sera prêt pour Cannes ?

J'espère bien.


Est-ce que vous sortez enrichi de chaque tournage ?

C'est l'idée de choisir ses films. Si je sors d'un film et que ça ne m'a servi à rien, je suis déçu. Donc, j'essaie d'en ressortir toujours avec quelque chose en plus et en moins. Parce que si on est sur un film un peu chaud, on y laisse toujours quelques plumes.



Et Black swan était un film un peu chaud ?

Oui. Quand même. Faire un film qui n'est pas dans sa langue, c'est toujours un challenge. Et puis, je fais comme si c'était normal, mais se trouver sur un marché qui n'est pas le sien, se coltiner la promo, se retrouver face à des gens qui ne sont pas de votre culture... J'adore ça parce que c'est un challenge, mais ce sont des risques, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. L'expérience ne se limite pas au tournage, ce sont les répètes, la promo aussi, et puis je suis sur un terrain qui n'est pas le mien. En France, je connais tous les techniciens, sur un film américain, je suis en territoire inconnu. Ça m'oblige à m'adapter, à comprendre comment ça marche, et on apprend beaucoup.



Vous en sortez comment de ce film là ?

D'un point de vue purement basique, j'ai fait partie d'un des plus gros succès de l'année sur le marché américain, et ça va m'ouvrir énormément de portes. Rien que pour ça, ça valait le coup.



C'était l'ambition, de vous ouvrir des portes ?

Moi, mon ambition c'est d'être de plus en plus libre. Donc plus j'ai accès à des marchés différents plus ça me permet de choisir. L'Amérique étant la pierre angulaire du cinéma international, c'est très important. Maintenant d'avoir tourné au Brésil a été super utile, parce que j'ai un projet là-bas. Ça m'a ouvert des portes, m'a mis en contact avec des gens. Tant qu'on s'amuse, il y a de l'espoir.



Qu'est-ce que vous y développez ?

Le prochain Kim Chapiron. Une comédie romantique au milieu du carnaval de Rio.

mercredi 9 février 2011

JOSE GARCIA EST LE MAC

"Moi, Gilbert Chapelle, le jour où les flics sont venus me chercher dans ma banque pour m’apprendre que j’avais un frère jumeau, qui plus est un mac, le plus pourri de la Terre, et que j’avais 30 secondes pour répondre à leur deal (vingt ans de tôle ou un mois dans la peau de mon frère) je n’ai rien compris.


Les flics ne me laissent pas le choix : en 15 secondes, j’endossais, suant de trouille, le costard de ce mac. Et le meilleur, c’est que, lorsque j’ai commencé à adorer cette nouvelle vie, mon frère est revenu pour reprendre sa peau..."

 
Avant de voir ce film, je savais à quoi j'allais m'attendre, un JOSE GARCIA survitaminé comme on l'aime et on n'est pas déçu. En voyant le personnage de José dans le film, on pense tout de suite au TURC qu'il interprétait dans LE BOULET avec LANVIN & POELVOORDE (du même producteur). Le film tient bien la route du début à la fin même si le final est prévisible, on passe un bon moment.

voulez vous perdre 10 kg ?

Quelle surprise !! ce matin en ouvrant ma boite mail, une pub me propose de perdre 10 kg ? avec en objet

"william, voulez vous perdre  10 kg ?"

Bien sûr que je le veux !

j'ouvre le mail... et là... oh surprise... ! quelle belle pub ! ça donne envie de perdre des kilos ! 

KARINE SHUBERT REINE D'UN JOUR ?

Elle est d'abord remarquée en 1971 dans La Folie des grandeurs de Gérard Oury dans lequel elle interprète le rôle de la Reine d'Espagne, puis en 1972, dans Barbe-Bleue (Bluebeard) réalisé par Edward Dmytryk, ou L'Attentat d'Yves Boisset.
Toujours en 1972, elle apparaît avec Edwige Fenech dans la comédie érotique à l'italienne Quel gran pezzo dell'Ubalda tutta nuda e tutta calda. Etablie en Italie, elle tourne alors quelques films d'aventures, en particulier avec George Eastman : par exemple l'adaptation en western spaghetti des Trois Mousquetaires, Tutti per uno...botte per tutti en 1973.

Elle apparait ensuite dans des films érotiques tels que Black Emanuelle en Afrique (Emanuelle nera) de Bitto Albertini 1975, ou Black Emanuelle autour du monde (Emanuelle - perchè violenza alle donne?) de Joe D'Amato 1977 dans lesquels elle donne la réplique à Laura Gemser. Elle apparait ensuite principalement dans des films de série B.



En 1985, à 40 ans, elle décide de se lancer dans les films pornographiques et tournera une vingtaine de films, jusqu'au milieu des années 90. Les derniers années de sa carrière se dérouleront exclusivement dans le domaine du cinéma X, principalement en Italie.

Elle tourne son dernier film en 1994. Elle est actuellement internée dans un asile psychiatrique.

Source : wikipédia

mardi 8 février 2011

INCOGNITO


Loin d’être un inconditionnel de Franck Dubosc, j’ étais curieux de voir Bénabar dans son premier film. Le scénario « ne mange pas de pain », l’idée est simple, le film aurait pu être un simple téléfilm, mais le plus important c’est que les gags fonctionnent, les dialogues sont très bons la plupart du temps, le casting est parfait, on se prend facilement au jeu. Film idéal pour passer une bonne soirée devant la télé.Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Incognito " et de son tournage !




Bénabar acteur : première !
Incognito marque la première expérience d'acteur du chanteur Bénabar. Le réalisateur Eric Lavaine raconte pourquoi il l'a choisi pour tenir la vedette de sa comédie : "Parce qu'il est totalement légitime en chanteur et parce que c'est un comédien né. On s'est connu lorsque j'étais directeur artistique, responsable des auteurs sur la série H pour laquelle il écrivait des épisodes. C'est devenu un ami et c'est naturellement que je lui ai parlé d'Incognito car je connaissais ses velléités de comédien. En plus, il n'y avait que lui pour écrire les chansons dont j'avais besoin pour le film. En gros, on s'est fait confiance."

Triple casquette pour Bénabar !
Le chanteur Bénabar débute sa carrière de comédien avec Incognito, mais il profite du film pour coiffer deux autres casquettes : celle de scénariste (il a déjà une petite expérience dans le dmaine puisqu'on lui doit l'écriture de certains épisodes de la série H) et celle de compositeur. C'est en effet lui qui a composé toutes les chansons d'Incognito. Il avait déjà composé pour le cinéma en 2004, pour Madame Edouard, et en 2006, pour Le Lièvre de Vatanen.

La naissance d'"Incognito" : sur un air de U2
Le réalisateur Eric Lavaine se souvient précisément du jour où il a eu l'idée d'Incognito : "(...) je passais des vacances à Naples et un matin, en courant le long de la baie, je tombe sur un type qui joue un morceau méconnu de U2 à la guitare électrique. Je m'arrête pour l'écouter et je lis dans ses yeux : "J'ai composé ça cette nuit, qu'est-ce que tu en penses, mon pote ?". Je suis rentré à mon hôtel et j'ai écrit le pitch d'Incognito. L'histoire simple d'un mec qui s'est approprié les chansons d'un autre."

Le fantasme de Bénabar
Bénabar évoque sa première expérience devant la caméra : "C'était plutôt quelque chose qui m'excitait secrètement, comme plein d'autres choses dont on a envie mais que l'on ne va pas forcément réaliser : grimper l'Annapurna, conduire une Ferrari ou faire du saut à l'élastique... (...) C'était quelque chose qui tenait plus de l'ordre du fantasme que du rêve. Un truc que je ne pensais jamais réaliser." Puis d'ajouter sur l'expérience Incognito en général : "Sérieusement, cette expérience m'a sincèrement bouleversé. Ce film ne m'a pas seulement apporté des choses sur le tournage, mais bien après également. Par exemple, Eric Lavaine a voulu que je me mette au sport, j'avais quelques kilos à perdre... Eh bien, je continue. C'est un film qui a changé le regard que j'avais sur moi au niveau physique. Je sais que je n'étais pas tout à fait pareil à la fin du tournage ; et ce changement me suit, sans pour autant tomber dans le cliché. Ça a été une expérience vraiment nouvelle."

Le risque Bénabar
Le réalisateur Eric Lavaine était conscient du risque qu'il prenait en embauchant le chanteur Bénabar pour tenir la vedette d'Incognito. Pour autant, jamais il n'a douté, connaissant ls qualités de l'artiste : "(...) Bénabar acteur, ça ne convainquait personne. Je lui ai fait faire des essais qui étaient prometteurs, mais il a surtout bossé. Je me suis basé sur ce que je connaissais de lui, de sa personnalité... Je l'ai associé à l'écriture du script, sachant qu'en s'appuyant sur ces détails, on aboutirait à quelque chose de vrai. Et sa fibre de comédien a fait le reste. C'est un créatif qui adore la vanne ! Et grâce à lui, on a pu débloquer certaines situations. Avec Bénabar, on aime se faire rire. Bénabar est soit génial soit fou, car accepter un premier rôle de chanteur comme première apparition au cinéma c'est une mise en abîme totale."

Les petits mensonges de la vie
Eric Lavaine, le réalisateur d'Incognito, évoque le thème du mensonge, au coeur du film : "J'aime quand le spectateur peut se mettre à la place du héros. Je n'écris que des intrigues qui pourraient nous arriver. Par exemple dans nos vies, on dit souvent des petits mensonges... petits mensonges qui peuvent avoir de grandes conséquences. C'est un petit mensonge de Lucas qui va le faire passer de contrôleur de bus à superstar de la chanson. C'est-à-dire qu'au moment où il joue la chanson de son pote disparu à une fille, avant même qu'il puisse lui avouer qu'elle n'est pas de lui, elle l'embrasse. Pour Lucas, c'est juste un cadeau posthume, l'occasion d'avoir une aventure avec cette fille grâce à cette chanson... Évidemment, il devient prisonnier de son mensonge. Ce n'est pas un salaud pour autant. On pourrait tous être emportés par ce genre de choses, comme ces hommes ordinaires qui ont des destins extraordinaires."

vendredi 4 février 2011

LES PROMESSES DE L'OMBRE

Bouleversée par la mort d'une jeune fille qu'elle aidait à accoucher, Anna tente de retrouver la famille du nouveau-né en s'aidant du journal intime de la disparue, écrit en russe. En remontant la piste de l'ouvrage qu'elle tente de faire décrypter, la sage-femme rencontre Semyon. Elle ignore que ce paisible propriétaire du luxueux restaurant Trans-Siberian est en fait un redoutable chef de gang et que le document qu'elle possède va lui attirer de sérieux problèmes...Pour Nikolai, chauffeur et homme de main de la toute-puissante famille criminelle de l'Est, c'est le début d'une remise en cause. Entre Semyon et son fils Kirill, prêts à tout pour récupérer le journal, et l'innocente Anna, sa loyauté va être mise à rude épreuve. Autour d'un document qui se révèle de plus en plus explosif, plusieurs vies sont en jeu, dont la sienne, alors que se déchaînent les meurtres et les trahisons dans la famille comme dans la ville...





Après HISTORY OF VIOLENCE, Cronemberg signe à nouveau un film noir, encore plus abouti, avec toujours un casting d'enfer (Viggo Mortensen, Naomi Watts, Vincent Cassel). L'histoire est prenante de bout en bout, certaines scènes peuvent choquer les âmes sensible mais ce film est à voir absolument pour tous les fans de cinéma.

mercredi 2 février 2011

METEO VIENNE


Cette image extraite du film "die another day" (james bond) résume bien l'état des routes dans la Vienne ce matin.


RIEN A DECLARER ?

1er janvier 1993 : passage à l’Europe. Deux douaniers, l’un belge, l’autre français, apprennent la disparition prochaine de leur petit poste de douane fixe situé dans la commune de Courquain France et Koorkin Belgique. Francophobe de père en fils et douanier belge trop zélé, Ruben Vandevoorde (Benoît Poelvoorde) se voit contraint et forcé d’inaugurer la première brigade volante mixte franco-belge. Son partenaire français sera Mathias Ducatel (Dany Boon), voisin de douane et ennemi de toujours, qui surprend tout le monde en acceptant de devenir le co-équipier de Vandevoorde et sillonner avec lui les routes de campagnes frontalières à bord d’une 4L d’interception des douanes internationales



.


Vous n’avez rien à déclarer -1959-
Traumatisé par l'arrivée d'un contrôleur lors d'un voyage entrain, un jeune homme fantaisiste décide d'aller se faire soigner par une spécialiste.













Vous n'avez rien à déclarer? un douanier dans la famille




mardi 1 février 2011

JEREMY IRONS

Les méchants, les mauvais au cinéma sont souvent les faire-valoir du héros. Parfois incarnés par des second-rôles, parfois par de vraies stars. Ce n'est pas très évident le rôle du méchant car mal interprété, le méchant devient parfois caricatural et n'est plus vraiment crédible. Par contre certains acteurs jouent à merveille ces rôles et sont franchements inquiétants.
Jeremy IRONS dans die hard 3

Issu d'une famille aisée (son père était contrôleur fiscal), Jeremy Irons, fasciné par le théâtre, intègre à la fin de son adolescence le Marlowe Theater de Canterbury, puis trois ans plus tard incorpore la troupe du Bristol Old Vic. Après avoir multiplié les représentations sur scène, notamment avec la Royal Shakespeare Company, et les rôles pour la télévision anglaise, il fait ses grands débuts au cinéma à 32 ans dans Nijinski (1980), un drame d'Herbert Ross, aux côtés d'Alan Bates.

En 1982, il donne la réplique à Meryl Streep dans La Maîtresse du lieutenant français de Karel Reisz, l'adaptation du roman de John Fowles. Traînant une réputation d'acteur très exigeant et professionnel, Jeremy Irons incarne par la suite un missionnaire jésuite du XVIIIe siècle dans Mission (1986) de Roland Joffé, puis tient le double rôle des jumeaux de Faux-Semblants, l'angoissant film de David Cronenberg.

En 1990, c'est la consécration, puisqu'il reçoit l'Oscar du meilleur acteur pour son interprétation du richissime comte von Bulow dans Le Mystère von Bülow de Barbet Schroeder. En 1991, il interprète l'écrivain Kafka dans le film éponyme de Steven Soderbergh. Jouant souvent à l'écran des personnages froids et inquiétants, il tourne ensuite avec des réalisateurs aussi différents que Louis Malle (Fatale, 1992), Bille August (La Maison aux esprits, 1993). Il retrouve David Cronenberg pour M. Butterfly (1993).

Après avoir prêté sa voix à Scar dans Le Roi lion (1994) de Walt Disney Pictures, il fait un retour remarqué dans Une journée en enfer de John McTiernan. En 1997, il reprend le rôle de Humbert Humbert dans le remake de Lolita d'Adrian Lyne. Il a alterné depuis de grosses productions américaines comme L'Homme au masque de fer (1998) (Randall Wallace) ou encore Donjons & dragons (2000) de Courtney Solomon et des films européens. On le retrouve ainsi face à Patricia Kaas dans And now... Ladies and Gentlemen (2002) de Claude Lelouch et une nouvelle fois face à Fanny Ardant dans Callas Forever (2002) de Franco Zeffirelli. Depuis 2002, Jeremy Irons est la voix anglaise de l'attraction Studio Tram Tour à Disneyland Paris.

Il continue ainsi d'alterner les blockbusters comme Eragon (2006) ou Kingdom of Heaven (2005) de Ridley Scott, avec les films d'auteur comme Inland Empire de David Lynch (2007).

DIE HARD & 24 : CROSSOVER ?




Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...