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mardi 28 février 2012

UN GÂTEAU, UNE BOUGIE & MARILYN



Marilyn Monroe sera l’effigie du Festival de Cannes 2012 qui a choisi une photo de l’actrice de « Certains l’aiment chaud » pour l’affiche de sa 65e édition organisée du 16 au 27 mai, ont annoncé mardi les organisateurs. La photo en noir et blanc, signée Otto L. Bettmann, montre l’actrice, dans une voiture, la bouche en cœur, soufflant une bougie ornant un gâteau d’anniversaire

lundi 27 février 2012

THE FRENCH ACTOR !

C'était impossible.... ils l'ont fait....

lu sur le net : la presse étrangere


Not Lost in Translation, Unfortunately for Him: A tweet from French-proficient Gilles Marini tipped us off to the possibility that Best Actor winner Jean Dujardin got an F-word by the TV censors by dropping a French F-bomb. When we asked the dapper star of The Artist to confirm his acceptance-speech gaffe, Dujardin thought we had asked him to offer a general translation. "I said it's amazing, it's incredible…" he began, before his translator leaned in, and explained. Dujardin paused. And then he confessed. "Uh, yeah," he said with a smile. "I'm sorry."

http://fr.eonline.com/redcarpet/2012/oscars/news/guess-which-oscar-winner-got-f-bomb-by-the-tv-censors/296889

"AND THE OSCAR GOES TO DJAN DOUJARDIN"



"And the Oscar goes to Jean Dujardin" par lemondefr
Dujardin est le premier acteur français à décrocher un Oscar. YES WE CAN !!! Seules les actrices Claudette Colbert, Simone Signoret, Juliette Binoche et Marion Cotillard y étaient parvenues jusqu’à présent. (NB Claude Lelouch pour son film un homme et une femme, Oscar du meilleur film étranger).


"Si George Valentin pouvait parler, il dirait : 'Putain, génial, merci, formidable'





L’Oscar du Meilleur film 2012 revient donc à un film français, muet et en noir et blanc. Vous avez bien lu. Michel Hazanavicius et Thomas Langmann, le réalisateur et le producteur de "The Artist", sont allés décrocher l’or, au nez et à la barbe de Martin Scorsese, Steven Spielberg, Terrence Malick ou encore Woody Allen, la dernière fois qu’un film français a remporté la statuette du Meilleur film, c’était… jamais. Au total, "The Artist", nommé dans 10 catégories, a décroché pas moins de 5 statuettes, s’imposant comme le grand vainqueur de la soirée.

Sans vouloir faire de jeu de mot facile, c'est LA CLASSE AMERICAINE pour Michel HAZANAVICIUS !

l'intégrale de l'article : ici

dimanche 26 février 2012

LES CESAR SELON MATHIEU


L’événement de la cérémonie des César 2012 était sans conteste l’apparition de Mathieu Kassovitz, Le réalisateur de L’Ordre et la morale. ....  Kassovitz est monté sur scène remettre le trophée de la Meilleure photographie à Guillaume Schiffman pour The Artist.  On pensait le réalisateur persona non grata : il déclare "je suis venu honorer ma promesse", provoque quelques rires jaunes, il remet le trophée et s’éclipse. Repentir ? Ultime provocation dans le non-dit ? Il tweete dans la foulée : "ça, c'est fait".


Les films nommés, si tu les regardes avec un oeil de cinéaste, c'est des téléfilms. Et les films qu'ils mettent de côté sont malheureusement des films qu'ils devraient mettre plus en avant parce qu'ils ne se contentent pas d'essayer de faire rigoler les gens ou de leur tirer des larmes."


Mathieu Kassovitz s'en prend également au film Polisse: "C'est triste que les gens ne sachent pas ce que c'est qu'un travail de mise en scène parce qu'on a besoin de réalisateurs qui ont une vision artistique et pas de gens qui font des produits. J'aurais applaudi «Polisse» des deux mains s'il y avait pas de star dans le casting, si on l'avait joué réaliste sans star de la comédie ou du rap. (...) «Polisse» tu fais une affiche normale tu fais pas deux millions d'entrées."



"Ce n'est pas à moi de dire qui est un bon réalisateur ou pas, par contre ce qui me casse les couilles c'est le manque d'ouverture des César. C'est pour ça que j'ai poussé ma gueulante, si c'était pas mon film j'aurais poussé ma gueulante de la même façon.

L’idée générale de Kasso est que les votants ne reconnaissent en fait que les films qui ont fait le buzz ou ont cartonné en salles : "les gens ne vont pas aller voter pour des gens qu'ils ne connaissent pas ou alors ils votent pour des gens qui ont fait 2 millions d'entrées. Si on n'avait pas fait 2 millions d'entrées avec «La Haine» on n'aurait jamais eu de César". Quant à Intouchables, il n’est pas non plus épargné, avec ironie : "avec 9 nominations tu te dis que ça doit être un classique du cinéma français".



 "les César c'est mortuaire, tout le monde est habillé en croque-mort et on y va pour enterrer les films. En espérant qu'on pourra leur donner un dernier choc d'adrénaline pour faire encore un petit peu de blé en salles avant de les enterrer sous forme de plastique en DVD. C'est pas très excitant."

tout l'article sur


samedi 25 février 2012

CESAR 2012



Omar Sy a remporté le César 2012 du meilleur acteur, il s'agit là de la seule récompense de la soirée pour Intouchables qui avait pourtant était nommé neuf fois. L'incontestable vainquer des César 2012, c'est donc The Artist, qui empoche six César, dont celui du meilleur film ; meilleur réalisateur pour Michel Hazanavicius ;





Bérénice Béjo, très émue, décroche le titre de la meilleure actrice. Mais le film devrait continuer sa marche triomphale avec les Oscar, organisé dimanche à Los Angeles, où le film est nommé dix fois, un record pour un film français.

L'Exercice de l'Etat de Pierre Schoeller avec Olivier Gourmet, moins connu du grand public mais nommé onze fois, remporte trois César, dont celui du meilleur second rôle masculin pour Michel Blanc, qui décroche son premier César.



Et Polisse de Maïwenn, qui faisait figure de favori avec treize nomminations, n'a récolté que deux César, dont celui du meilleur espoir féminin ex-aequo pour Naidra Ayadi.



Un César d'honneur a également été remis par le réalisateur français Michel Gondry à l'actrice britannique Kate Winslet, héroïne de Titanic des Noces rebelles ou encore de Carnage.




L'intégralité de l'article est ici :
 



Toute l'équipe du film est montée en scène autour de Michel Hazanavicius, l'heureux auteur de 44 ans, qui a rappelé le singulier destin de cet ovni cinématographique, muet, en noir et blanc.



"C'est un film qui part de très, très bas et dont personne ne voulait au départ et on est très haut aujourd'hui, ça fait une très belle histoire, c'est très émouvant", a lâché Michel Hazanavicius, également César du meilleur réalisateur, au côté de son producteur Thomas Langmann.



"The Artist" repart également avec les Césars de Meilleure actrice pour Bérénice Bejo, très émue, meilleure musique (Ludovic Bource), meilleurs décors et photo, était nommé dix fois aux césars, comme aux Oscar.



En revanche le trophée du Meilleur acteur a échappé à Jean Dujardin pour couronner Omar Sy, grand favori de la soirée qui a esquissé quelques pas de danse en montant sur scène: "Je voulais faire des vannes mais je n'y arriverai pas", a-t-il lancé la voix nouée en recevant son prix, remerciant avec émotion ses deux metteurs en scène, Olivier Nakache et Eric Toledano.



A 34 ans, le môme de Trappes (banlieue parisienne), acclamé en salles par 19 millions de spectateurs, décroche sa première récompense et devient le premier acteur noir ainsi césarisé.



"Intouchables", qui emporte l'adhésion même hors des frontières hexagonales, n'a donc arraché qu'un seul prix alors qu'il était cité dans dix catégories.

L'intégralité de l'article sur
http://www.lexpress.fr/actualites/1/actualite/omar-sy-et-the-artist-fetes-par-les-cesar-en-attendant-dimanche_1086458.html

vendredi 24 février 2012

mercredi 22 février 2012

From Melissa Fairbanks to Jean Dujardin



Cher M. Dujardin,

Je voulais juste vous envoyer ce petit message pour vous remercier pour ce magnifique film, The Artist. Pas seulement parce qu'il est brillant, mais aussi parce que, d'un point de vue plus personnel, j'ai cru reconnaître en vous mon grand-père, Douglas Fairbanks Sr.

Ce fût une expérience extraordinaire et complètement surréaliste. Je ne sais pas quelle influence il a eu sur votre interprétation, mais j'ai vraiment eu l'impression que vous aviez redonné vie à son esprit vif, à sa "joie de vivre" (ndlr : en français dans le texte) et à cet aspect de sa personnalité qui me laissent toujours entre le rire et les larmes quand je revois ses films.

Il avait compris comment provoquer des émotions sincères et vous faites la même chose. Hélas, il est mort sept ans avant ma naissance, mais j'ai toujours ressenti un lien particulier avec lui. Plus encore qu'avec mon propre père.

Je ne suis plus toute jeune, mais j'ai envoyé mes enfants et mes petits enfants voir votre film. Eux aussi l'ont aimé, pour les mêmes raisons ! C'est pourquoi, pour conclure, je voulais vous dire un grand merci pour nous avoir touché au cœur de cette manière. Je vous souhaite plein de belles choses pour votre avenir et vous remercie d'avoir apporté cette magie au monde entier. Et en ce qui me concerne, quelque chose de plus personnel et de profondément émouvant.



Melissa Fairbanks

London, England






mardi 21 février 2012

1982 LE CINEMA A LA MAISON avec Disney

BLURAY vs VOD


"la VOD a affiché  en 2011 une croissance de 50 % avec des ventes de 230 millions d’euros. C’est plus que le Blu-ray qui peine toujours à séduire un large public et dont les ventes n’ont rapporté que 210 millions euros aux éditeurs. L’offre en matière de VOD s’est d’ailleurs considérablement étoffée et compte aujourd’hui environ 20 000 programmes."


LU SUR
http://www.01net.com/editorial/558596/ce-qui-va-changer-dans-nos-tv-en-2012-7-11-lessor-de-la-vod/

VIDEO CLUB IS NOT DEAD ?


La fermeture de MegaUpload, il y a un mois, a eu un effet chez les commerçants louant ou vendant des DVD.

La fermeture du site de partage MegaUpload le 10 janvier dernier a eu le mérite de faire sortir certains internautes de chez eux. Désemparés sans leur plate-forme de téléchargement préférée, ils ont dû braver le froid et se rendre dans un vidéoclub ou chez un revendeur.

«Le jour après la fermeture de MegaUpload, c’était clairement perceptible, répond Didier Matthey-Doret, de la Fnac de Lausanne. Et durant les deux semaines qui ont suivi, nous avons eu des commandes plus intensives qu’auparavant.» Chez Manor, «les ventes de DVD et de Blu-ray sont depuis une semaine particulièrement bonnes, surtout pour les nouveautés». D’autres facteurs, comme les températures actuelles favorisant les soirées télé, expliquent aussi ces bonnes ventes. Mais la fin de MegaUpload semble avoir donné un second souffle au format DVD.

L’article complet est ici

http://www.lematin.ch/high-tech/Les-accros-des-films-reviennent-aux-DVD/story/26613879

Que de souvenirs, les videos clubs dans les années 80, je me rappelle que lorsque ma maman était chez le coiffeur, j'attendais dans le vidéo club à côté, dévorant les jaquettes, des blockbusters (le flic de Beverlly Hills, Rambo 2 la mission) aux films improbables (Dar L'invincible, les Seigneurs de la Route...)





lundi 20 février 2012

L'HOMMAGE DE KEVIN COSTNER A WHITNEY HOUSTON


Kevin Costner a rendu un bel hommage à sa partenaire dans Bodyguard

Il est 19h20 quand la figure publique la plus célèbre de l'Assemblée prend place à la chaire de l'église baptiste New Hope de Newark (dans le New-Jersey). Comme annoncé Kevin Costner, son partenaire dans Bodyguard, prend la parole :

« Whitney si tu pouvais m'entendre maintenant, je te dirais que tu n'étais pas seulement bonne actrice. Tu étais excellente. Tu n'as pas seulement chanté cette chanson toute seule, tu as fait du film ce qu'il est. Beaucoup de grands acteurs auraient pu jouer mon rôle, beaucoup de mecs auraient pu avoir ce rôle. Mais toi Whitney, je suis certain que tu étais la seule à pouvoir jouer ce rôle à l'époque. »

Et l'acteur de poursuivre, et de raconter leur rencontre, le tournage : « Quand j'ai décidé de faire le film Bodyguard et que j'ai choisi Whitney pour partenaire à l'écran, les gens autour de moi m'ont dit : " Réfléchis. Elle n'a jamais été actrice. Peut-être faudrait-il choisir quelqu'un de blanc -sans le dire tout haut- ou du moins quelqu'un avec plus d'expérience." En tout cas, on m'a fait comprendre qu'il fallait que j'y réfléchisse. J'ai fini par leur dire que j'avais remarqué qu'elle était noire ! »

Intarissable sur son amie et partenaire, Kevin Costner ajoute encore : « Tu étais plus que jolie, les gens ne t'aimaient pas, ils t'adoraient. »


dimanche 19 février 2012

BATMAN LE MAGICIEN



Quand la bande son du film "le Prestige" de Christopher Nolan illustre la bande annonce de la dernière Trilogie de BATMAN, ça donne ça :

Ci dessous l'introduction en VF

« Toute illusion consiste en trois parties ou actes. La première partie se nomme La Promesse. Le magicien vous montre quelque chose d’ordinaire : un paquet de cartes, un oiseau ou un homme. Il vous le montre. Peut-être vous demande-t-il de l’inspecter pour voir s’il est en effet réel, non altéré, normal. Mais bien sûr… il ne l’est probablement pas. Le deuxième acte s’appelle Le Retournement. Le magicien prend l’objet ordinaire et lui fait faire quelque chose d’extraordinaire. Là, vous commencez à chercher quel est le truc… mais vous ne le trouvez pas, car bien sûr, vous ne regardez pas comme il faut. Vous ne voulez pas vraiment savoir. Vous voulez vous faire avoir. Pour autant, vous n’applaudissez pas encore. Car faire disparaître quelque chose ne suffit pas. Il faut le faire revenir. C’est pour ça que chaque tour de magie a un troisième acte. Le plus difficile. L’acte que l’on nomme Le Prestige. »


source
cinémateaser.

LE PRIX DU DANGER (tournage) PREMIERE 1982


vendredi 17 février 2012

Les dossiers secrets du MI5 contre Charlie Chaplin

1952, en pleine guerre froide avec l'Union soviétique, soudés derrière le sénateur Joseph MacCarthy, les Etats-Unis traquent sans relâche les "traîtres" communistes. La chasse aux sorcières, initiée deux ans plus tôt et qui durera jusqu'en 1954, vise tous les milieux sans discrimination.

Déjà mondialement connu pour ses films Les Temps modernes (1936) et Le dictateur (1940), l'acteur et réalisateur britannique Charlie Chaplin est dans le viseur des Maccarthystes. Pour les services de renseignement intérieur américains, le FBI, il est "un Bolchévique de salon d'Hollywood". L'acteur est soupçonné d'avoir fait un don dissimulé au Parti communiste américain en 1923 et d'avoir maintenu ses activités communistes par la suite. Plus de 2 000 pages sont réunies sur l'acteur comique.

En 1952, le FBI demande à son homologue britannique, le MI5, de les aider dans la collecte d'informations pouvant corroborer leurs soupçons. Le FBI veut savoir si Chaplin rencontre des "personnes haut placées" à Londres et développe des liens avec le parti communiste. Les services s'intéressent aussi tout particulièrement au lieu de naissance de l'acteur et cherche à vérifier si son vrai nom est Israel Thornstein, comme ils le supposent.

Le dossier ouvert en 1952 par le MI5 sur Charlie Chaplin - numéro PF710549-, rapporte le Guardian, a été divulgué vendredi par les Archives nationales britanniques (en consultation payante sur leur site). Plusieurs éléments semblent corroborer les soupçons américains. "Chaplin a financé des organisations communistes... Il a été impliqué dans des affaires de paternité et d'avortement", rapporte alors un officier de liaison du MI5 à Washington en octobre 1952. Les services britanniques rapportent également que dix ans plus tôt, Charlie Chaplin a déclaré devant la branche de Los Angeles du Conseil national du l'amitié sovieto-américaine : "Il y a du bon dans le communisme. Nous pouvons utiliser ce qui est bon et mettre de côté le mauvais"


Les dernières minutes du film Le dictateur (1940)

Mais, pour le MI5, il s'agit moins de mettre en lumière les sympathies communistes de la star que de déterminer si il présente un risque pour la sécurité. Et, sur ce point, le verdict est sans appel : "Nous ne trouvons aucune trace de cet homme dans nos dossiers et nous ne voyons aucun élément concret permettant de le présenter comme un risque pour la sécurité", conclut à l'époque le directeur du MI5, Sir Percy Sillitoe. Sur ses sympathies communistes présumées, le MI5 est même nuancé : "Il est possible que Chaplin soit un sympathisant communiste, mais au regard des informations dont nous disposons, il ne semble pas être davantage qu'un 'progressiste' ou un 'radical'". Pour les services de renseignement britannique, le nom de la célébrité a même pu être exploité dans les intérêts du communisme pour le présenter comme "l'une des victimes du Maccarthysme".

Les autorités américaines n'en démordront toutefois pas. En 1953, Charlie Chaplin se voit notifier une interdiction d'entrée sur le territoire américain. Une décision contre laquelle il ne fera pas appel, bien que niant être communiste. "Je suis la victime de mensonges et d'une propagande vicieuse", dira l'acteur, décidé à s'installer en Suisse, où il mourra le jour de Noël 1977.


Londres ? Paris ? Ailleurs ? Le mystère entourant la naissance de Charlie Chaplin reste entier. Le MI5, les services secretes britanniques, qui enquêtaient dans les années 50 sur les sympathies communistes prêtées à Chaplin, ont en effet découvert qu'il n'y avait aucune trace de la naissance du cinéaste à Londres.

Les renseignements britanniques avaient été chargés en 1952 par l'ambassade américaine d'enquêter sur le cinéaste, accusé d'avoir fait un don caché au parti communiste américain en 1923 et de continuer à entretenir des liens avec le PC.

Ils n'ont trouvé aucun certificat de naissance attestant que la star du muet était née à Londres en 1889, comme on le croyait, dans un quartier pauvre de la capitale, avant d'émigrer vers les Etats-Unis en 1910. Il «n'y a pas de trace dans nos archives de Charlie Chaplin» et «pas de preuve non plus que le vrai nom de Chaplin soit Israel Thornstein», patronyme d'un juif russe suggéré par les Etats-Unis, écrivent les services secrets de l'époque.

Chaplin ne serait pas non plus né en France

Les services secrets britanniques ont également écarté l'idée que Charles Spencer, de son nom de scène Charlie Chaplin, ait pu naître en France, comme cela avait été aussi avancé. Mais l'absence de certificat de naissance de la star n'a pas troublé outre mesure le patron de la branche anti-subversion du MI5, John Marriott: «Il est curieux que nous ne trouvions aucune archive sur la naissance de Chaplin, mais je considère que cela n'a pas grande importance du point de vue de la sécurité», explique-t-il alors.

En 1953, Chaplin, venu faire la promotion d'un de ses films à Londres, se voit interdire tout retour en Amérique, en proie à la fièvre anti-soviétique du MacCarthysme, malgré ses dénégations sur ses sympathies communistes. Cinq ans plus tard, les services britanniques concluaient qu'il n'y avait pas d'éléments permettant de considérer que Chaplin constituait un «risque pour la sécurité nationale». A leurs yeux, c'était un «progressiste» ou un «radical», plutôt qu'un communiste, même si le nom de celui qui était considéré comme l'une des victimes du McCarthysme» a été utilisé pour servir les intérêts du communisme.

LeParisien.fr

jeudi 16 février 2012

LE RETOUR DU JEDI C'est CHOUETTE (1983)



C'est chouette" était la séquence cinéma de Récré A2. Dans ce spécial "retour du jedi", le présentateur nous dévoile qu'il y aura 9 films et que le tournage s'arrêtera en l'an 2000...




LE RETOUR DE LA BÊTE


Ce film devrait être une "nouvelle vision de cette célèbre histoire d'amour mais aussi la première vraie adaptation du texte original. Mon rêve secret est que, visuellement, ce film ne ressemble à aucun autre film féérique."

Christophe GANS 


source
Ecran large.

HITCHCOCK Revisited ?


Encore une nouvelle version d'un classique signé Hitchcock à Hollywood. Jusqu'où s'arrêteront-ils ?

Quelques jours après avoir appris que Rebecca d'Alfred Hitchcock  allait connaître une nouvelle version sous la houlette de DreamWorks, voici que c'est au tour de Soupçons (1941) de connaître une nouvelle version

Le thriller Soupçons, avec le couple Cary Grant / Joan Fontaine, est librement adapté d'un roman de 1932 signé Francis Iles, où une femme est persuadée que son mari veut la tuer.

mercredi 15 février 2012

LOUIS DE FUNES : SCENES CULTES

Harold Lloyd 1893-1971


Harold Lloyd est un acteur américain, né le 20 avril 1893, mort le 8 mars 1971.Au plus fort des années 20, Harold Lloyd était aussi célèbre que Charlot, et ses films étaient encore plus populaires que ceux des autres comiques. Pourtant, c’est un peu par hasard qu’Harold Clayton Lloyd, né en 1893 dans le Nebraska, s’est retrouvé dans le cinéma. Il décide, sur un coup de tête au début des années 1910, d’aller tenter sa chance à Los Angeles, comme beaucoup d’autres jeunes gens de son époque. En 1914, il fait une rencontre déterminante : Hal Roach, pour l’heure cascadeur et figurant ayant décidé de lancer sa propre compagnie, appelé à devenir un grand producteur – et à lancer, au passage, la carrière de Laurel et Hardy. Après plusieurs tentatives de personnages et un court passage à la prestigieuse Keystone, firme fondée par



l’illustre Mack Sennett et surnommée « l’usine du rire américain », Lloyd et Roach imaginent le héros qui fait décoller la carrière du jeune homme : Lonesome Luke. Ce dernier est modelé pour être l’exact contraire de Charlot, et la cinquantaine de courts-métrages tournés pendant deux ans connaît un succès formidable.


Malgré le triomphe, Harold Lloyd décide de changer d’allure et de donner vie à un nouveau héros : « lui » (« him ») ou « Harold », ou encore celui que l’on ne tarde pas à surnommer « l’homme aux lunettes d’écaille ». Un garçon comme les autres, presque banal, reflet de l’Amérique profonde et de ses aspirations, optimiste bien que souvent maladroit, un homme qui pourrait être le voisin d’à côté. Lloyd tourne ainsi de nombreux court-métrages de deux bobines, puis passe à trois bobines avant de se lancer dans une inoubliable série de longs-métrages dont le plus connu reste Monte là-dessus ! (Safety Last !) où Harold escalade un gratte-ciel et se trouve suspendu à une horloge géante. Cette silhouette devient celle de la légende, et les lunettes rondes suffisent désormais à symboliser la dimension cinématographique du personnage.



C’est sa vitalité exceptionnelle qui constitue le génie d’Harold Lloyd. Le personnage reprend des motifs

récurrents du cinéma comique muet où courses contre la montre, voitures et fiancées en folie, chutes

sur des peaux de banane et acrobaties en tous genres sont le lot habituel. Mais Lloyd y apporte un rythme et une frénésie sans égal. Le gag permet un déchaînement de cascades et de situations périlleuses. Au-delà de cela, c’est de l’Amérique des années vingt dont parlent les films d’Harold Lloyd.

Généralement tournés en décors naturels, ils sont un témoignage de l’urbanisation et de la modernisation des États-Unis avant la crise de 1929. Le héros lui-même, à l’inverse de Keaton ou Chaplin qui sont des marginaux, représente un Américain moyen, un pur produit de son époque. Le personnage d’Harold Lloyd contient tout cela à la fois : l’Amérique, le cinéma et le burlesque.



http://www.commeaucinema.com/notes-de-prod/harold-lloyd-programme-de-courts-metrages,133401-note-59367

mardi 14 février 2012

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