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vendredi 30 novembre 2012

NO LIMIT SAISON 2 en préparation


je ne sais pas vous, mais en tous les cas, je  n'attendais rien de cette série, et bien je peux dire, après avoir vu les 6 épisodes que j'ai été agréablement surpris. Le casting y est sûrement pour beaucoup.
 
Luc Besson flirte (un peu trop)  parfois avec la facilité, du moins, on reconnait dans sa série beaucoup d'influences qui ont fait le succès du cinéma ou de la télé dans les années 90-2000 (la mémoire dans la peau, la totale (ou true lies comme vous voudrez), Dexter pour la relation frère soeur,), nu soupçon de 24 pour la relation père fille.
 
Bref, Luc BESSON a gagné son pari, une série pour tout public (ou presque)  mais j'avoue que le final de la saison 1 laisse une porte grande ouverte sur une saison 2 qui peut sûrement reserver de bonnes surprises.
 
 
 


Luc Besson semble avoir pris goût aux séries télévisées : une deuxième saison de No Limit est en préparation ! No Limit : la suite La série a débuté il y a trois semaines sur TF1 et se termine ce soir, avec deux épisodes dès 20h50. Les téléspectateurs pourront vivre la nouvelle mission de l'agent Libérati, incarné par Vincent Elbaz. Cet ancien militaire à la vie de famille compliquée, a accepté de travailler pour les autorités en échange d'un traitement expérimental. En effet, l'agent Libérati est atteint d'une tumeur qui réduit son espérance de vie.
 
Mais la série No Limit ne s'arrête pas là : c'est officiel, le tournage de la deuxième saison aura lieu avant l'été 2013. Cette saison 2 sera divisée en 8 épisodes de 52 minutes, soit deux épisodes de plus que pour la saison 1.
 
Des séries plein la tête Luc Besson ne s'en cache pas : les séries il aime ça ! Et il a plein de projets de séries en tête : parmi eux Life after Life ou encore Les Sous-doués. Le secret d'une série réussie d'après Luc Besson ? Une histoire emballante et des personnages auxquels l'on peut s'identifier. A l'image de l'agent Libérati mi-héros mi-homme normal.

http://www.tf1.fr/no-limit/news/luc-besson-no-limit-reviendra-pour-une-saison-2-7694705.html

Ah oui, j'allais oublier, dans la collection MEME TITRE MAIS PAS MEME FILM ! et un de plus.

jeudi 29 novembre 2012

CAROLE BOUQUET (portrait de Willy ROVELLI-Europe1)



Super portrait de willy Rovelli avec carole bouquet, c'était (hier) mercredi matin sur EUROPE 1

L'histoire de Coluche en BD racontée aux enfants

 Extrait d''un magazine pour les enfants (Youpi  mensuel n°279 de décembre 2011), une idée originale pour présenter celui qui est à l'origine des Restos du Coeur.










Auteur : Bertrand Fichou
illustration  : Olivier Deloye

mercredi 28 novembre 2012

REBELLE(s)



Dans la famille "MEME TITRE MAIS PAS MEME FILM" je demande REBELLE.

Kim Nguyen signe l'un des films les plus forts de cette fin d'année avec Rebelle, l'histoire d'une gamine enlevée dans son village d'Afrique centrale et contrainte à combattre, puis à porter l'enfant d'un chef de guerre. «Le film correspond à la réalité, explique Lionel Quille, responsable de la coordination des enfants à Amnesty International

Rebelle raconte l’histoire de Komona, une adolescente de 14 ans qui raconte à l’enfant qui grandit dans son ventre l’histoire de sa vie depuis qu’elle a été enlevée, il y a deux ans. Depuis, elle se bat avec une kalachnikov, entraînée de force dans l’armée des guerriers rebelles. Le seul qui l’aide et l’écoute est Le Magicien, un garçon de 15 ans qui veut l’épouser.

« Le plus important pour moi, c’était de ne pas faire un film sur les enfants soldats, mais plutôt un film sur une fille dont l’une des réalités est celle des enfants soldats. Je souhaitais rendre hommage à une enfant africaine qui vivrait une odyssée, qui serait capable de rire, de vivre, de faire preuve de résilience, de prendre son destin en main, par les choses qu’elle vit, mais aussi par la richesse de sa vie de tous les jours », racontait Kim Nguyen à ma collègue Manon Dumais qui l’a rencontré peu avant que le film ne prenne l’affiche au Québec en avril dernier.


Présenté en compétition officielle lors du dernier Festival du film de Berlin, Rebelle a reçu une mention spéciale du jury œcuménique en plus de voir son interprète principale, la Congolaise Rachel Mwanza, remporter l’Ours d’argent de la meilleure actrice. De plus, le long métrage a triomphé au Festival du film de Tribeca en remportant les prix du Meilleur film et de la Meilleure actrice.



+ d'info ici
ou là
http://voir.ca/nouvelles/actualite-cinematographique/2012/09/29/le-film-rebelle-de-kim-nguyen-reprend-laffiche-au-quebec/

Ce film n'a rien à voir avec celui de Disney (Année 2012) !

mardi 27 novembre 2012

LE DOSSIER CRUISE (PREMIERE 1996)



Votre mission si vous l'acceptez est de produire et d'interpréter une adaptation digne de ce nom d'une des plus grandes séries des années 60 et 70....




Article paru en Août 1996 - PREMIERE

samedi 24 novembre 2012

JR IS DEAD



Dallas ton univers impitoyable
Dallas glorifie la loi du plus fort
Dallas et sous ton soleil implacable
Dallas tu ne redoutes que la mort
 
L'acteur américain Larry Hagman est mort vendredi des suites d'un cancer à l'âge de 81 ans. Il s'est éteint - ça ne s'invente pas - précisément dans un hôpital de Dallas, entouré de ses proches.

Larry Hagman a joué dans de nombreux téléfilms américains, et même pour le cinéma, mais son rôle du méchant "JR", homme d'affaires sans aucun scrupule, lui collait à la peau. Dallas a débuté aux Etats-Unis en 1978. Dès les années 80, le feuilleton américain s'est imposé dans le monde entier. Les téléspectateurs ne parlaient plus que de "JR", de sa femme trompée Sue Ellen et du gentil Bobby. Dans les années 2000, Dallas a tenté de renouer avec le succès. Et même vieillissant, Larry Hagman, alias "JR", tenait encore la tête d'affiche.



source photo ci dessous
http://allenou.famille.free.fr/paturel_dominique.htm

C'est l'occasion aussi de parler à nouveau sur le PLEIN DE SUPER d'un grand monsieur du doublage DOMINIQUE PATUREL, sans qui JR et d'autres personnages télé n'auraient sûrement pas eu le même succès.


je me souviens de la rencontre entre l'acteur Larry hagman et Dominique Paturel , j'étais devant mon poste télé au début des années 80, et oui, qui n'a jamais regardé DALLAS ?


encore merci à Dominique PATUREL !

vendredi 23 novembre 2012

L'AFFICHE D'UN FILM EN TROIS ETAPES


DANS LA COLLECTION AFFICHE DE FILM MEILLEUR (ou plus belle) QUE LE FILM, je demande DANS LES BRAS DE L'ENFER
Y'a des affiches de films qui surfent sur le succès des autres films. En 1986, Stallone cartonne avec RAMBO2, un film qui a pour thème la guerre du vietnam, l'occasion pour d'autres acteurs de surfer sur la vague (comme Chuck Norris avec son MISSING IN ACTION) ainsi que DAVID CARRADINE ci dessous.


ETAPE 1, La premiere affiche ne "paye pas de mine", mais elle fait un peu "direct to video".



ETAPE 2  : Un petit rellooking histoire de reconnaitre l'acteur ! on enlève le casque.


ETAPE 3 : Verison finale (Affiche Française), on lui rajoute un drapeau américain, ça en jette !

je vous avoue que je "kiffe" cette affiche, on en fait plus des comme ça. Par contre, quand j'ai eu l'occasion de trouver le film en dvd dans les bacs à soldes il y a quelques années; et bien, je peux vous dire que le film n'est pas à la hauteur de l'affiche cinéma, ça ressemble plus à un téléfilm. Vite vu, vite oublié. Dommage.

MEME TITRE MAIS PAS MEME FILM

 Dans la série MEME TITRE MAIS PAS MEME FILM, je demande le dernier volet de l'INSPECTEUR HARRY Clint EASTWOOD et dans la catégorie B MOVIE tendance NANAR, je demande Mickael DUDIKOFF (American warrior) dans ...


Le slogan qui tue "Quel prix à  payer pour sa liberté?" ... tout un programme.

L'IMAGE DANS LES FILMS DE MILLER par Gerard BATTISTA


Gérard de Battista est un directeur de la photographie français.Il a notamment signé la photographie de Gazon maudit de Josiane Balasko et a travaillé avec Claude Miller.

Mort en avril dernier après avoir achevé « Thérèse Desqueyroux », le cinéaste n’a pas emporté tous ses secrets d’artistes avec lui. Son chef opérateur, Gérard de Battista, raconte.

Il n’y a pas de grands hommes pour leur maître d’hôtel, mais il y a de grands metteurs en scène aux yeux de leur chef opérateur. Nul n’est mieux placé que le responsable de la photo pour apprécier la lumière qui jaillit de certains hommes. Gérard de Battista a éclairé les quatre derniers films de Claude Miller et, bien sûr, « Thérèse Desqueyroux », dont la lumière est admirable. Miller, mort au printemps juste après avoir mis la dernière main à la version définitive de son film, n’a pas emporté tous ses secrets d’artistes avec lui. La façon dont il s’est entendu avec Battista en dit beaucoup sur sa manière de travailler. « Claude tenait énormément à tourner “Thérèse”. Dans son esprit, l’image devait y être prédominante. Il fallait marquer par la photo les différents climats de l’histoire, tous très différents, puisqu’on avait des scènes de nuit extrêmement sombres, et la clarté lumineuse des moments sur la plage. Compte tenu de l’époque évoquée, ce serait un film d’apparence classique, très différent de “la Petite Lili”, à l’occasion duquel nous nous étions connus. »

Annie Miller, la femme de Claude, venait alors de produire « Un dérangement considérable » (1999), film de Bernard Stora, très vif, dont le héros (joué par Jalil Lespert) est un jeune footballeur professionnel. D’où une caméra très mobile, toujours portée à l’épaule par Gérard de Battista, et, au final, des prises de vues remarquables, qui avaient frappé Miller. Or le cinéaste avait découvert les irremplaçables possibilités du numérique en réalisant « la Chambre des magiciennes » pour Arte, et voulait adapter Tchekhov (« la Petite Lili » s’inspire de « la Mouette ») de façon très moderne, ce que lui offrait la technique de Battista, qui avait appris l’art du reportage avec Jean Rouch. « Je n’ai fait aucune école, explique le chef opérateur, mais je suis allé au lycée avec Serge Moati, qui avait joué un petit rôle dans “les 400 Coups de Truffaut” et ne pensait plus qu’au cinéma. A 14 ans, nous réalisions déjà des films amateurs. Nous passions les jeudis et les dimanches dans les rues à tourner, et le reste du temps dans les cinémas du Quartier latin, à nous gaver de films anglais et (surtout) italiens. Quand nous avons dû choisir entre le cinéma et les études, nous n’avons eu aucune hésitation : il nous était impossible de renoncer à filmer. »

Pour vivre, Battista tourne d’abord des films médicaux, puis son service militaire l’entraîne au Niger, où précisément opère Rouch, qui va le présenter à Pierre Braunberger et Anatole Dauman. Son premier vrai travail de fiction se fait en 1980 sur « le Soleil en face », de Pierre Kast, dont le titre est déjà un défi pour un directeur de la lumière. Suivront une soixantaine de films, comme « Un, deux, trois, soleil », de Bertrand Blier, « Level Five », de Chris Marker, « Vénus beauté (institut) », de Tonie Marshall, « Une affaire de goût », de Bernard Rapp, ou « Roman de gare », de Claude Lelouch. Mais Battista, qui a éclairé plusieurs films de Gérard Jugnot et surtout « Gazon maudit », de Josiane Balasko, passe rapidement pour un excellent spécialiste de la comédie. « Les films drôles sont évidemment les plus difficiles à faire car, sur l’image, tout doit se voir. Si vous voulez, en outre, leur donner une certaine allure, vous devrez accomplir un gros travail. »

Mais l’aspect peut-être le plus important de son talent, c’est la manière avec laquelle Battista sait composer avec les impératifs contraires des auteurs et des comédiens – surtout des comédiennes. « Certains réalisateurs se résignent à ce que leurs films ne soient que des reportages sur des acteurs en train de tourner. Claude Miller, évidemment, était de ceux qui filment des personnages, ce qui ne correspond pas toujours à ce que les interprètes souhaitent montrer d’eux-mêmes. Les acteurs et actrices étaient l’élément le plus important de ses films. “La Petite Lili” a été fait avec un tout petit budget. C’est uniquement la qualité de son casting qui donne cette impression d’abondance. Idem pour “Un secret”. Je peux vous décrire par le menu la façon dont il travaillait avec les techniciens : chaque semaine, il nous donnait un découpage complet des scènes à tourner, avec toutes les positions de caméra et toutes les grosseurs de plan. Il évoluait lui-même, tout seul, dans les décors, faisait ses choix et nous les proposait. Nous faisions parfois quelques suggestions, dont il tenait compte ou non. Puis le tournage se déroulait exactement comme prévu, ce qui lui permettait de se consacrer uniquement aux comédiens. Mais là, je suis incapable de vous révéler le moindre détail, le moindre fait. En effet, après chaque prise, il entraînait les interprètes dans un coin, et leur parlait à l’oreille. » Le cinéma est la plus belle forme d’intimité partagée.

Source info :

http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rard_de_Battista


un autre lien ici :
http://www.lapresse.ca/cinema/nouvelles/201207/17/01-4555815-ffm-claude-miller-cineaste-de-linterieur.php

mardi 20 novembre 2012

THERESE DESQUEYROUX (version 1962)



Le dernier film de Claude Miller sort ce mois ci dans les salles de Cinéma, l'occasion de mettre en lumière le film original de 1962. Un film Français de Georges Franju avec Emmanuelle Riva, Philippe Noiret, Sami Frey, Edith Scob, Renée Devilliers 

Thérèse Desqueyroux, accusée d'avoir tenté d'empoisonner son mari Bernard, obtient un non-lieu, gr ce au témoignage de la victime. Pendant le voyage qui la ramène à Argelouse, leur domaine, Thérèse essaie de préparer une confession totale qu'elle estime devoir à Bernard. Mais "où est le commencement de nos actes ?" Quel chemin l'a menée de son adolescence perdue jusqu'à cette mort lentement administrée à son mari ? Ce n'est certes pas pour hériter de l'immense propriété qu'elle a versé un peu trop de liqueur de Fowler dans le verre de son mari. Alors, pourquoi ? Elle évoque les multiples raisons qui ont pu déterminer son geste - de l'amité ou de la jalousie que lui inspirait Anne, l'amie de jeunesse, à l'assurance autoritaire de son mari dans le cadre étouffant du clan familial. Thérèse arrive à Argelouse, retrouve Bernard qui n'a jamais songé à comprendre ou à pardonner. Il n'a agi que pour l'honneur du nom ; il menace, il dicte ses ordres ; aux yeux du monde, Thérèse devra paraître innocente, mais sera, en fait, séquestrée dans sa chambre, et privée de la garde de sa petite fille Marie.....Après le mariage d'Anne, quand tout est en ordre, Bernard rend à sa femme sa liberté...




Point de vue


"On peut considérer Thérèse Desqueyroux comme le modèle de l'adaptation d'un roman à l'écran", écrit à son tour Alain Pontaut, en accord avec tous les critiques. A part un léger changement d'époque — le roman datait de 1927 — et la suppression de quelques scènes qui auraient surchargé le scénario, tout était déjà dans le roman et tout le roman passe dans le film. La progression dramatique a été scrupuleusement respectée ; les personnages sont les mêmes quoique plus sympathiques parce qu'ils s'incarnent devant nous ; les dialogues répètent souvent des phrases entières du roman et les images visualisent de nombreuses indications qui y sont inscrites ; enfin les décors et la musique restent fidèles à Mauriac. Evidemment, celui-ci a veillé au film de près. Où donc est la part créatrice de Franju ?




L'originalité du cinéaste se situe, me semble-t-il, à trois niveaux : sa sensibilité, sa vision, son univers. Artiste sensible, Franju n'a pas fait oeuvre de commande ; il s'est assimilé le roman pour le transformer en images empreintes de poésie, d'insolite, de transparence, selon son propre style. Visionnaire, Franju rejoint avec sa caméra la nudité des êtres et des choses : son regard perçant traverse les masques, les écrans et le quotidien pour révéler l'horreur qui se cache derrière eux; ici à peine quelques images, mais combien explosives dans leur simplicité, ont servi à peindre un milieu et les êtres qui y vivent. Créateur, Franju a édifié un univers personnel sur ce regard et pour ce style ; mais les dimensions de son monde restent humaines et la portée du film n'atteint pas ces résonnances mystiques que Mauriac a données à son roman. La Thérèse Desqueyroux de Franju est disponible à quelque chose qui n'est pas cetnée par la Grâce. Franju libère Thérèse joyeuse dans Paris ; Mauriac l'abandonait aux tempêtes et déjà elle devait payer sa liberté.

© Gisèle Tremblay, "Séquences : la revue de cinéma" n° 40, 1965, p. 27-34.


LE FILM !

La lente descente aux enfers d'une femme qui a tenté d'assassiner son mari, dans le terrible cadre de la grande bourgeoisie bordelaise.

Y'a comme un air de famille avec Audrey Tautou , vous ne trouvez pas ?


LE DERNIER FILM DE CLAUDE MILLER


Audrey Tautou et Gilles Lellouche parlent de Claude Miller.



TF1 NEWS : Comment avez-vous découvert le cinéma de Claude Miller ?

Audrey Tautou : J'ai découvert son cinéma avec "L'effrontée". Ado, je l'ai adoré. Je l'ai vu et revu... Plus encore que Charlotte Gainsbourg - j'étais trop jeune pour la connaître vraiment -, c'était vraiment le sujet qui me plaisait. Son personnage aussi. L'univers dans lequel elle évolue, la famille, le désir de voir ailleurs...

 
Gilles Lellouche : Pour moi, c'est "La meilleure façon de marcher". Un film que j'adore, avec des acteurs déments. Dans à peu près tous les films de Claude, il y a une espèce de rage, de colère contenue, que j'aime beaucoup. Même comme dans un film hyper mésestimé comme "La classe de neige", qui possède un climat étrange et délirant à la lisière du fantastique. Il y a les classiques comme "Mortel Randonnée" ou "Garde à vue", qui sont des chefs-d'œuvre absolus. Mais j'aime aussi ses films singuliers...

Intégrale de l'interview ici :
http://lci.tf1.fr/cinema/news/interview-audrey-tautou-et-gilles-lellouche-desormais-c-est-7674813.html

lundi 19 novembre 2012

ON THE ROAD AGAIN


Le film d'HUGO GELIN (petit fils de Daniel GELIN) sort dans les salles dans quelques jours, au vu de la bande annonce, et de l'histoire, j'ai l'impression que ce film surfe sur LES PETITS MOUCHOIRS (amitié, rivalité, drame..) bref, ça n'enlève rien à la qualité du film, d'autant que  le casting a l'air bien, on retrouve François Xavier DEMAISON, et  l'excellent Nicolas DUVAUCHELLE (Braquo/Secret defense/polisse) et Mélanie Thierry (Chrisalys/Babylone AD) .
 
Depuis que Charlie n’est plus là, la vie de Boris, Elie et Maxime a volé en éclats. Ces trois hommes que tout sépare avaient pour Charlie un amour singulier. Elle était leur sœur, la femme de leur vie ou leur pote, c’était selon. Sauf que Charlie est morte et que ça, ni Boris, homme d’affaires accompli, ni Elie, scénariste noctambule et ni Maxime, 20 ans toujours dans les jupes de maman, ne savent comment y faire face. Mais parce qu’elle le leur avait demandé, ils décident sur un coup de tête de faire ce voyage ensemble, direction la Corse et cette maison que Charlie aimait tant. Seulement voilà, 900 kilomètres coincés dans une voiture quand on a pour seul point commun un attachement pour la même femme, c’est long… Boris, Elie et Maxime, trois hommes, trois générations, zéro affinité sur le papier, mais à l’arrivée, la certitude que Charlie a changé leur vie pour toujours.
Le scénario et le fait que ce film soit un ROAD MOVIE, il m'a sutout fait penser à un excellent film oublié et SOUS estimé : MILLE BORNES  (1999) avec Bruno SOLO & Emma DE CAUNES.
 
Fortement choqués par la mort brutale d'un des leurs, une bande d'amis, cinq garçons et une fille, se réunissent le soir même dans un appartement. Là, par le biais d'une cassette vidéo, ils se retrouvent face à leur ami qui leur demande, au nom d'une longue amitié, d'exécuter sa dernière volonté. Voler son corps à la morgue et le transporter à Venise.
 
 
 
 

dimanche 18 novembre 2012

FRANCOIS CLUZET dans PREMIERE (1983)

 Interview de François Cluzet dans le magazine PREMIERE en 1983. Actuellement en tournage sur le film EN SOLITAIRE qui sortira en 2013.

samedi 17 novembre 2012

La vie au bout des doigts

Hommage à Patrick Edlinger, héros de "La vie au bout des doigts" il a du inspirer Tom Cruise dans MI2.

vendredi 16 novembre 2012

LE MECHANT DE SERVICE


Moussa Maaskri
 
les mauvais au cinéma sont souvent les faire-valoir du héros. Parfois incarnés par des second-rôles, parfois par de vraies stars. Ce n'est pas très évident le rôle du méchant car mal interprété, le méchant devient parfois caricatural et n'est plus vraiment crédible. Par contre certains acteurs jouent à merveille ces rôles et sont franchements inquiétants

 Moussa Maaskri
si je parle de Moussa Maaskri aujourd'hui, c'est que j'ai regardé hier soir les deux premiers épisodes de NO LIMIT, la série de Luc BESSON diffusée sur TF1 .  On retrouve cet acteur dans de nombreux films tels qu'A BOUT PORTANT, TRUANDS, COMME LES 5 DOITS DE LA MAIN (voir ci dessous) , SECRET DEFENSE, et si j'ai bonne mémoire dans la saison 2 de BRAQUO.


Ca faisait longtemps que je n'avais pas regardé TF1, pour dire la vérité, je ne la regarde jamais, ou très rarement comme ce fut le cas hier soir.
 
Je ne parlerai pas de la série, d'autre le feront mieux que moi, je peux juste dire que ça reste fidèle à luc BESSON, un bon patchwork, calibré pour un prime pour la famille. Je m'attendais à pire.
 
Il y a l'esprit de TAXI de Luc BESSON (pas sûr que ce soit un point positif), un zest de LA TOTALE (claude Zidi) si si, le gars qui cache sa profession à son entourage, un petit soupçon de DEXTER (relation frère soeur), des dialogues sympathiques et un casting à la hauteur.  
 
Ok, on ne joue pas dans la même catégorie que BRAQUO saison 1,  mais on passe quand même un bon moment. A voir.
 
 
 je ne pouvais passer à côté du point commun entre NO LIMIT et le film d'ALEXANDRE ARCADY "Comme les 5 doigts de la main".
 
LES 2 MEMES ACTEURS, LE MEME MECHANT
 
On  retrouve Moussa Masskri dans le rôle du méchant, de + le film se passe aussi à MARSEILLE, la cerise sur le gateau, il  donne la réplique à .....Vincent ELBAZ
 
 
+ d'infos sur l'acteur ici

 
autre ressemblance toujours avec un autre film d'ARCADY ; ENTRE CHIEN ET LOUP
l'histoire d'un homme condamné par la maladie ....
Adrien vient de sortir de prison. Malade, il n'a plus que quelques mois à vivre. Il rencontre alors Radman, qui lui propose, ainsi qu'à Werner, un mercenaire suicidaire, de participer à un attentat truqué dans lequel tous deux perdront la vie. Mais le jour J, les deux hommes se rendent compte qu'ils ont été manipulés

jeudi 15 novembre 2012

LES ROLES A CONTRE EMPLOI AU CINEMA




definition : Rôle inattendu au vu de la personne à qui on le fait jouer

De plus en plus d'acteurs français ''dit"comiques" s'essaient au rôle à contre emploi, avec plus ou moins de réussite.  Le rôle de Coluche dans TCHAO PANTIN est la référence ultime que tout acteur comique souhaite avoir un jour.


Le nouveau COSTA GAVRAS sort cette semaine avec Gad dans le rôle principal.

"Monsieur MANATHAN" dans le ENTRE SES MAINS
JOSE GARCIA dans LE COUPERET
ALBERT DUPONTEL dans DEUX JOURS A TUER
JEAN DUJARDIN dans CONTRE ENQUETE
JOSIANE BALASKO dans CETTE FEMME LA
MICHEL BLANC dans MONSIEUR HIRE de PATRICE LECONTE.
pour la petite histoire, Patrice Leconte aurait souhaité le proposer à Coluche.
DIDIER BOURDON face à DEPARDIEU dans LA MACINE

DANIEL AUTEUIL dans MR73

MICHEL GALABRU dans LE JUGE ET L'ASSASSIN

JEAN YANN dnas LE BOUCHER
JEAN YANN dans NOUS NE VIELLIRONS PAS ENSEMBLE

KAD sans OLIVIER dans IMMORTEL

TIMSIT et CHABAT dans LE COUSIN, sublime film d'ALAIN CORNEAU

Thierry LHERMITTE est un habitué, ci dessus dans UNE AFFAIRE PRIVEE
ci dessous dans LA CLEF avec Guillaume CANET. Il avait tourné aussi au début des années 90 un super film "ELLES N'OUBLIENT JAMAIS".


UN INCONNU qui ne veut plus faire rire ?

ANEMONE dans LE GRAND CHEMIN

GERARD JUGNOT dans MONSIEUR BATIGNOLE

MARINA FOIS dans POLISSE

DANIEL RUSSO dans A CRAN (serie télé à voir absolument) un de ses meilleurs rôles.



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