Toutes les vidéos et images incluses sur ce blogs sont la propriété de leurs ayants-droits respectifs. Elles peuvent être retirées à tout moment par simple demande d'un ayant-droit. Les articles dont la source est mentionnée peuvent aussi être retirés par simple demande de l’auteur.



lundi 31 mars 2014

FEMME FEMME FEMME


Dans la collection "films qui se ressemblent" je demande TROP JEUNE POUR ELLE et 20 ANS d'ECART. 


Alice Lantins a 38 ans. Elle est belle, ambitieuse et fait preuve d’une impeccable conscience professionnelle au point d’en oublier sa vie privée. Bref, elle a tout pour devenir la prochaine rédactrice en chef du magazine « Rebelle », tout sauf son image de femme coincée. Mais lorsque le jeune et charmant Balthazar, à peine 20 ans, va croiser le chemin d’Alice, le regard de ses collègues va inexplicablement changer. Réalisant qu'elle détient la clef de sa promotion, Alice va feindre la comédie d’une improbable idylle.
 


ce dernier avec Virginie EFIRA se laisse voir avec beaucoup de plaisir ! 




L'histoire : Rosie est scénariste sur un soap pour la télé. Divorcée, elle vit seule avec sa fille, qui connaît ses tout premiers émois amoureux. Mais les audiences de son feuilleton chutent et l'équipe tente de recruter un nouvel acteur qui pourrait donner un peu de peps à l'émission. Le vainqueur du casting est un charmant jeune homme... qui est fasciné par la magnifique Rosie. Mais celle-ci ne veut pas entendre parler d'une quelconque relation avec un homme qui a plus de dix ans de moins qu'elle. Sauf qu'elle craque...  

JOHNNY REVIENT (au cinéma)

 
JOHNNY HALLYDAY A LA MEMOIRE SELECTIVE et je vais vous expliquer pourquoi !  Invité sur TF1 ce week end pour parler de son nouveau film réalisé par Claude Lelouch,  Johnny a parlé des 5 films qui on changé sa vie

On a  eu droit a DETECTIVE de Godard, l’HOMME DU TRAIN de Patrice Leconte,  le moins connu POINT DE CHUTE de Robert Hossein de 1970  et JEAN PHILIPPE avec Fabrice Luchini sans oublier celui qui sort mercredi prochain… évidemment.

 
  




































Un photographe de guerre et père absent, qui s'est plus occupé de son appareil photo que de ses 4 filles, coule des jours heureux dans les Alpes avec sa nouvelle compagne. Il va voir sa vie basculer le jour où son meilleur ami va tenter de le réconcilier avec sa famille en leur racontant un gros mensonge...


Je ne vais donc pas parler des films cités ci dessus mais plutôt des autres ... ceux qu'on a oublié... ceux qu'on essaie de nous faire oublier... mais le plein de super est là pour vous raffraîchir la mémoire. 

Qui n'a pas oublié le  western spaghetti réalisé par Corbucci en personne, film sympathique, tout comme l'aventure c'est l'aventure, un des meilleurs films de LELOUCH.




il fait quelques apparitions, dans l'Animal de Claude Zidi mais aussi dans le film ci dessous ou il joue le rôle d'un homme dans l'hopital , Johnny aussi a du oublier ce film qu'il a tourné avec Michel Modo et Maurice Risch.

Son plus grand rôle , il l'aura dans une série Télé à la fin des années 80.



sans oublier les comédies 



Johnny n'a pas eu de chance du côté du 7eme art, ça compense avec tous les disques qui nous a pondu  durant les années 70 et début 80.  Entre son film de Science Fiction qui n'a pas su trouver son public (on comprend pourquoi quand on voit la m...)



et son film de guerre qui est resté inédit chez nous !




A la fin des années 90, Johnny  renoue avec le cinéma ...est ce bien raisonnable ?

On le retrouve dans une comédie face à Harvey Keitel et Depardieu, avec son complice RENAUD.
Rien que le casting est cultissime, pour le reste, excepté une scène ou deux,  le film ne tient pas ses promesses malheureusement.


Son plus beau rôle restera le SURVIVANT, tout en finesse, costume, acteur, décor, réalisation, le césar n'était pas loin. merci Pierre Billon !



POUR VOIR LE CLIP, CLIQUER ICI

vendredi 28 mars 2014

BUDDY HOLLY STORY, le film


Après une semaine très ROCK N ROLL sur mon autre blog LE MUR DU SON, je vous propose comme "film de fin de semaine" ce BIOPIC qui date de 1978 consacré à BUDDY HOLLY. 

Avec dans le rôle principal Gary Busey plus connu dans les années 80 pour ses rôles de méchants  (Drop Zone, Piège en haute mer, l'Arme fatale).





Le film suit Buddy Holly de la patinoire où il chante ses premières reprises devant un jeune public forcément conquis jusqu'à la tournée marathon-hivernale qui lui sera fatale.

Gary Busey : Buddy Holly Don Stroud : Jesse Charles Charles Martin Smith : Ray Bob Simmons Conrad Janis : Ross Turner William Jordan : Riley Randolph Maria Richwine : Maria Elena Holly Amy Johnston : Cindy Lou Dick O'Neill : Sol Gittler Fred Travalena : Madman Mancuso Gailard Sartain : The Big Bopper Freeman King : Apollo M.C Matthew 'Stymie' Beard : Luthor Joe Renzetti : Violiniste Buddy Miles : Musicien


jeudi 27 mars 2014

LUCY


Après Nikita, Angela, c'est le nouveau BESSON au doux prénom  de LUCY qui débarquera sur nos écran durant l'été 2014, mais dès mercredi prochain (le 2 avril), Luc Besson dévoilera quelques images...


A la suite de circonstances indépendantes de sa volonté, une jeune étudiante voit ses capacités intellectuelles se développer à l’infini. Elle « colonise » son cerveau, et acquiert des pouvoirs illimités.

Le casting du film est également composé de Morgan Freeman et Scarlett Johansson.


Plus d'infos sur le site officiel

mercredi 26 mars 2014

Enthiran ou le TERMINATOR made in INDIA


Dans la collection film improbable, je vous recommande de jeter un oeil sur l'extrait ci dessous : cet Objet filmique non identifié s'appelle  : Enthiran, c'est un film de science-fiction indien coécrit et réalisé par S. Shankar*, sorti en 2010.

 

 résumé

L'histoire du film tourne autour de la lutte d'un scientifique pour contrôler sa création, un robot androïde (Chitti) dont le processeur a été mis à niveau pour lui donner la capacité de comprendre et de générer des émotions humaines. Cela fonctionne si bien que le robot tombe amoureux de la fiancée du chercheur… 

Star Screen Award :
Srinivas Mohan pour les Meilleurs effets spéciaux ; Prix spécial du jury Spectacular Cutting Of Age Technology (sélection spectaculaire de scènes montrant l'ère de la technologie)

IIFA Awards :
Sabu Cyril pour la Meilleure direction artistique ; Banu pour le Meilleur maquillage ; Meilleurs effets spéciaux


 
*S. Shankar (né le 17 août) est un réalisateur et producteur indien qui travaille principalement à Kollywood. Il fait ses débuts en tant que réalisateur du film Gentleman (1993) pour lequel il a reçu le Prix du meilleur réalisateur. Il est l'un des réalisateurs les mieux payés en Inde. Deux de ses films, Indian (1996) et Jeans (1998) ont été soumis par l'Inde pour l'Academy Award du meilleur film en langue étrangère. Son entreprise de production grâce à la production de Veyil (2006) a reçu le Prix National pour le meilleur long métrage en 2007. La même année, il reçoit un doctorat honorifique de l'Université de MGR. Il est généralement connu pour faire des films à très gros budget tel son film Endhiran (2010) dont le coût est estimé à 30 millions d'euros. C'est aussi le film qui détient le plus gros budget dans le cinéma Indien.

lundi 24 mars 2014

LES ACTEURS EN NUMERIQUE



Paul Walker sera du tournage de Rapides et dangereux 7 malgré lui, grâce à la magie des effets spéciaux.
L'équipe de production semble en effet en voie de réaliser une première dans l'histoire du cinéma dans de telles circonstances, et le parti semble très risqué.

C'est que Paul Walker sera vraisemblablement du tournage malgré lui, grâce à l'embauche de quatre autres doublures qui lui ressemblent physiquement. Mais ce n'est pas tout. Le réalisateur James Wan et son équipe ont l'intention d'ajouter le visage de Walker et sa voix par le biais d'effets spéciaux (CGI), une première qui a de quoi surprendre.

Paul Walker demeure donc l'une des vedettes principales de Rapides et dangerweux 7, lui qui avait eu le temps de tourner quelques scènes avant son tragique décès.
«Ils ont engagé quatre acteurs qui ressemblent physiquement à Paul, et ils seront utilisés pour les mouvements et comme base. Le visage de Paul et sa voix seront ajoutés par CGI», confirme une source.

source de l'info

Hunger Games 4 : Philip Seymour Hoffman 
en numérique le temps d’une scène cruciale

Seule solution pour terminer le tournage après la mort de l’acteur : dupliquer certaines de ses expressions déjà filmées et les incruster par ordinateur.
L’avenir de Plutarch Heavensbee dans Hunger Games – La révolte : Partie 2 avait été mis en doute suite à la soudaine disparition de son interprète Philip Seymour Hoffman. Introduit dans L’embrasement, sorti cet hiver, le personnage devait prendre de l’ampleur par rapport au roman dans Hunger Games – La révolte. Philip Seymour Hoffman avait terminé le tournage de la première partie mais 7 jours étaient encore au programme de la seconde, dont une dernière scène clé.


Pendant un temps, la réécriture du scénario a été considérée afin de ne pas avoir à réaliser cette scène mais selon le Hollywood Reporter, l’équipe du film fera appel à la technologie numérique pour faire  "revivre" l’acteur et tourner cette séquence capitale, où la présence de Plutarch est essentielle. Comment est-ce possible ? Selon Rob Legato, grand directeur des effets visuels, qui a récemment collaboré à ceux du Loup de Wall Street (voir une vidéo des SFX ici ), "cela ne permet pas de générer un Philip Seymour Hoffman et toutes les facettes de son jeu, mais cela offre la possibilité de le dupliquer pendant une prise ou deux". Le montage sera également revu, afin d’éviter qu’il soit trop au premier plan. En jouant sur les angles, les ombres et en misant sur des technologies numériques de pointe, l’équipe sait que les spectateurs n’y verront que du feu.




À noter que ce n’est pas la première fois qu’un acteur est recréé de façon digitale dans un film.  Ridley Scott avait dû faire face à la disparition d’Oliver Reed en plein tournage de Gladiator. Son équipe avait alors superposé le visage de l’acteur sur celui d’une autre personne afin d’éviter de réécrire le scénario en pleine production. 








Ces infos me rappellent le fameux film inachevé de Bruce Lee : "Le jeu de la mort", sorti 5 ans après sa mort avec des trucages terribles pour l'époque (je plaisante).

Depuis le décès du petit dragon en 1973, Le Jeu de la mort son dernier film resté inachevé, tourné après Opération Dragon pour la légende (et avant dans la réalité) avait fasciné le conscient collectif. Il avait fallut patienter pendant cinq longues années, avant de voir finalement se matérialiser le long métrage signé Robert Clouse en 1978. Le résultat était au delà de tout : une honteuse pellicule constituée de stock-shots de ses films précédents, d’apparitions de deux « sosies » pas très convaincants, et de bricolage digne des comédie des frères Zucker telle cette séquence surréaliste ou une photo du visage de Bruce Lee a été collée sur un miroir, devant lequel se tient une doublure, pour tenter de donner l’illusion du petit dragon en entier ! Accessoirement, le film contenait environ 12 mn du vrai Jeu de la mort, assemblées n’importe comment au climax du film, et n’entretenant qu’un rapport lointain avec les intentions originelles de l’acteur-réalisateur.-
Extrait d'un article de  David Fakrikian Mad Movies. lien ici


une autre annecdote :

Brandon Lee trouve la mort à l'âge de 28 ans à la suite d'un accident dû a un tir de revolver au cours du tournage du film The Crow. Tout comme la mort de son père, décédé des suites d'un œdème cérébral vingt ans plus tôt, la mort de Brandon Lee crée une controverse. Dans le cas de Brandon, la polémique se cristallise sur les circonstances de l'accident.
Dans la nuit du 31 mars 1993, lors d'une scène tournée pour le film The Crow, l'acteur Michael Massee doit tirer sur Brandon Lee avec un revolver chargé de cartouches à blanc. La détonation retentit, Brandon s'écroule sur le plancher, comme aux répétitions précédentes. Le réalisateur hurle « Coupez », mais Brandon reste à terre. Les secours sont immédiatement alertés et le transportent en ambulance à l'hôpital Wilmington en Caroline du Nord. Un projectile est entré dans l'abdomen inférieur droit avant de perforer l'estomac et d'autres organes vitaux, et a fini sa course près de l'épine dorsale. Les lésions étant trop importantes, les médecins ne peuvent stopper l'hémorragie interne et il tombe dans le coma. Onze heures après son arrivée aux urgences, Brandon meurt le 31 mars 1993 à l'âge de 28 ans.

La mort de Brandon Lee aura également un coût : de 15 millions de dollars, le budget du film dépassera les 23 en raison du procédé de numérisation nécessaire pour tourner les scènes que Brandon Lee n'avait pas pu terminer.

LE CLUB MED RECRUTE THIERRY LHERMITTE


"C'est marrant c'est pas du tout le souvenir que j'en avais"

Pour sa nouvelle campagne publicitaire, Club Med rend hommage aux "Bronzés" en détournant la célèbre chanson du film .



Dans sa nouvelle campagne publicitaire, la marque de club de vacances propose un clin d'oeil au film pour lequel il a servi de décor. 

Le spot se déroule dans une salle d'opéra. Un couple de danseurs classiques entre en scène. L'orchestre se met alors à jouer une version symphonique de... la célèbre chanson des "Bronzés" et les choeurs commencent à chanter "darla dirladada". Les danseurs débutent alors la chorégraphie du film avant d'être rejoints par tout le corps de ballet !

source de l'info ici

samedi 22 mars 2014

LE DOUBLAGE DE IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE







Premier doublage : Version Française : S.P.A.R.T.–Jacques Barclay Direction artistique : Sergio Leone Adaptation Française : Eric Kahane Ingénieur du son : Jacques Thomas-Gerard Enregistrement : Auditorium S.I.S. Mixage : Auditorium Auditel






Robert De Niro (VF : Michel Creton ; Jacques Frantz) : David « Noodles » Aaronson James Woods (VF : Pierre Vaneck ; Guy Chapellier) : Maximilian 'Max' Bercovicz Elizabeth McGovern (VF : Annie Balestra ; Sybille Tureau) : Deborah Gelly Joe Pesci (VF : Marc de Georgi ; Michel Mella) : Frankie Minolti Burt Young (VF : Serge Sauvion ; Michel Fortin) : Joe Tuesday Weld (VF : Florence Giorgetti ; Véronique Augereau) : Carol Treat Williams (VF : Bernard Tiphaine ; Régis Reuilhac) : James Conway O'Donnell Danny Aiello (VF : Jacques Balutin ; Philippe Dumond) : le chef de la police Vincent Aiello William Forsythe (VF : Richard Darbois ; Boris Rehlinger) : Philip 'Cockeye' Stein James Hayden (VF : Maurice Decoster) : Patrick 'Patsy' Goldberg

jeudi 20 mars 2014

Boeing Boeing

Deux semaines de mystère et des théories en pagaille concernant la disparition du vol MH370, quand la réalité dépasse la fiction, On devrait donc en savoir un peu plus dans les prochains jours sur les raisons de la disparition mystérieuse du vol MH370, avec qui les autorités malaisiennes ont perdu contact peu après son décollage le samedi 8 mars avec 239 personnes à bord. 




En moins de deux semaines, les recherches infructueuses pour le retrouver ont fait naître de nombreuses théories, parfois très fantaisistes. Revue en détail. 


La panne généralisée. Cette théorie, avancée par un ancien et relayée par Business Insider, est peut-être celle qui tient le plus la route. Selon son scénario, un incendie aurait pu se déclarer dans l'avion peu après le dernier contact, obligeant les pilotes à modifier leur cap pour rejoindre au plus vite une piste d'atterrissage, programmant la nouvelle destination dans l'ordinateur de bord. 


Ils auraient alors essayé de trouver la source de la fumée, éteint des systèmes, puis auraient avoir perdu connaissance dans le cockpit, en laissant l'avion sur pilotage automatique. «Il est très possible qu'ils aient tout fait pour résoudre un problème très compliqué, confrontés à un feu ou de la fumée», explique Barry Schiff, pilote de la TWA pendant 34 ans, interrogé sur CNN.







La dépressurisation. L'appareil a atteint les 45 000 pieds alors que les limites de cet avion se situent à 43 000 pieds. Cette éventuelle dépressurisation de l'avion aurait pu faire perdre connaissance aux pilotes et aux passagers, d'après un pilote de Boeing 777-200 interrogé par le New York Times qui ajoute que cette manœuvre pourrait avoir été menée intentionnellement par les pilotes ou des terroristes.



Le détournement. L'absence de débris autour du trajet prévu de l'avion, la possibilité qu'il ait fait demi-tour et les informations contradictoires sur le fait qu'il ait été ou non détecté par l'armée malaisienne largement hors de son itinéraire ont alimenté l'hypothèse d'un détournement, qui n'a pas été exclu par les enquêteurs. Les enquêteurs ont par conséquent déplacé leur enquête sur l'équipage et les passagers. Finalement, la piste d'une prise de contrôle par des terroristes n'a rien donnée. 



La rebellion des passagers. Les images du 11 septembre 2011 ont marqué les esprits. Alors, forcément, certains ont pensé au vol 93 d’United Airlines, reliant Newark Liberty (New Jersey) et San Francisco (Californie), où les passagers s'étaient rebellés contre les terroristes pour prendre le contrôle de l'appareil, menant au crash. Le même scénario se serait produit, selon Scott Miller, un ancien pilote de Northwest Airlines contacté par la chaîne américaine KCRA.



Le piratage informatique. «Il est de plus en plus probable que le contrôle de certains systèmes a été détourné, soit manuellement par une personne dans le cockpit, soit par l'intermédiaire d'un dispositif à distance capable d'éteindre ou d'initialiser les systèmes», a déclaré Sally Leivesley, une experte britannique dans la lutte contre le terrorisme, interrogée par le Sunday Express. «Un simple téléphone mobile aurait pu être utilisé pour réaliser une telle manipulation», a-t-elle ajouté.





Le suicide du pilote. Selon l'agence américaine de l'aviation civile (FAA), le suicide du pilote représente moins de 0,5% des accidents aériens mortels. Un suicide «est possible et, si c'était le cas, il n'y aurait pas beaucoup de débris parce que l'avion serait descendu en maintenant une intégrité structurelle», relève Terence Fan, expert à la Singapore Management University.


La vengeance du pilote. Dans le cas d'un événement non accidentel, l'expertise apparente qu'il faut pour couper les systèmes de communication et dérouter un avion a porté l'attention sur les pilotes de la Malaysia Airlines, Zaharie Ahmad Shah et Fariq Abdul Hamid. Leurs domiciles ont été perquisitionnés, leur passé retourné mais rien, pour le moment, n'a permis d'accréditer leur implication dans un éventuel acte de sabotage. 


Le commandant Zaharie est un militant de l'opposition politique malaisienne et la presse locale lui prête un lointain lien de parenté avec la belle-fille du leader de l'opposition, Anwar Ibrahim. Ces informations ont fait naître un soupçon jugé «infamant» par son entourage selon lequel le pilote aurait pu se venger de la condamnation d'Anwar pour sodomie dans un procès qu'il dénonce comme une cabale politique. Or sa condamnation en appel est intervenue quelques heures seulement avant le décollage de l'avion.


Un acte terroriste des ouïghours. Selon une théorie relayée par la BBC, l'avion aurait pu être détourné par des séparatistes musulmans ouïghours qui auraient obligé l'avion à se poser dans le désert de Taklamakan, l'un des plus grands d'Asie centrale. Ce qui aurait impliqué que l'appareil échappe à tous les radars entre la Malaisie et cette zone.




Le kidnapping nord-coréen. La disparition de l'avion aurait été orchestrée par le régime nord-coréen, assurent des utilisateurs du site communautaire Reddit. Le Boeing se serait dirigé vers Pyongyang et non vers Pékin. La présence à bord de vingt ingénieurs de Freescale, une entreprise spécialisée dans la fabrication de semi-conducteurs hypothétiquement convoités par Kim Jong-un a renforcé cette théorie farfelue. 



Une bombe. Des enquêteurs américains ont émis l'hypothèse que l'avion aurait pu être dérobé pour servir de bombe volante lors d'un prochain attentat terroriste et serait pour l'instant caché dans un aéroport inconnu.



La disparition au dessus des Maldives. La police des Maldives avait fait savoir mercredi qu'elle recoupait les témoignages rapportés par un site d'information local selon lequel des habitants ont vu «un avion gros porteur volant à basse altitude» le jour de la disparition mystérieuse du vol MH370. «Je pouvais même clairement distinguer ses portes», déclare ainsi un témoin cité par le site. Mais les Maldives, situées loin des zones de recherche identifiées par la Malaisie sur la foi d'observations radars, ne font pas partie des pays concernés.



Les atterrissages improbables. En estimant les réserves de carburant de l'avion, certains experts ont expliqué que l'avion aurait pu atterrir au Kazakhstan ou aux Îles Andaman ou en Chine, qui pourrait être «le meilleur endroit pour atterrir discrètement», selon Steve Buzdygan, un ancien pilote interrogé par la BBC



L'invisibilité. Certains soupçonnent les pilotes ou des pirates de l'air d'avoir désactivé les ACARS et le transpondeur, les deux principaux systèmes de communication et de géolocalisation sur un Boeing 777, pour rendre l'avion quasiment invisible. D'autres suggèrent sérieusement que les personnes aux commandes ont pu plonger l'appareil dans l'ombre d'un long-courrier de la Singapore Airlines aux fins de se confondre dans son signal radar.



Un bouclier d'invisibilité. Toujours dans le même thème, le Boeing aurait servi de test grandeur nature à un «bouclier d'invisibilité», mis au point par la firme texane Freescale pour le rendre indétectable des radars et de l'oeil nu.



La météorite. En Chine, pays d'origine de 153 passagers à bord du Boeing disparu, des internautes ont émis l'idée que l'avion avait pu être touché et désintégré par une météorite.


http://www.leparisien.fr/faits-divers/boeing-disparu-deux-semaines-de-recherches-et-des-theories-en-pagaille-20-03-2014-3689851.php

LeParisien.fr 


D comme DOMINIQUE


En 1984, dès le lancement de la chaîne Canal+, Dominique FARRUGIA  travaille dans le montage des bandes-annonces et fut assistant de production de l’émission Tous en scène. Il rencontre ainsi le premier présentateur météo de la chaîne, Alain Chabat. En 1986, il est le cofondateur du quator "Les Nuls" (avec Alain Chabat, Bruno Carette et Chantal Lauby). En 1987, il est inclus dans l’écriture de la série Objectif : nul, la première parodie du groupe Les Nuls (7 d'Or de la meilleure série). Il présente une parodie de flash météo dans le JTN dans Nulle part ailleurs en 1987-1988.

mercredi 19 mars 2014

C comme CHANTAL


Chantal Lauby est une présentatrice française de télévision devenue humoriste et actrice. Elle a été membre et fondatrice du groupe d'humoristes Les Nuls. Elle commence à la télévision comme speakerine sur FR3 Auvergne. Sa carrière sur les antennes régionales de France 3 et de Radio France la conduisent sur la Côte d'Azur où elle rencontre Bruno Carette, puis à Marseille.

 Sur FR3, avec Bruno Carette, elle présente Azur Rock, Un petit clip vaut mieux qu’une grande claque et Bzzz !, des émissions comiques à sketches. Grâce à cette dernière, ils sont repérés par les directeurs des programmes de la jeune chaîne à péage Canal+, Alain de Greef et Albert Mathieu. Lauby et Carette vont former Les Nuls avec Alain Chabat et Dominique Farrugia.

un petit collector

Bizet Come Back, parodie de l’opéra Carmen de Bizet, paroles de Pierre Jolivet, 45 tours (1978).

 source info http://fr.wikipedia.org/wiki/Chantal_Lauby

source photo : studio mag mars 1994

LE SOLDAT DE L'HIVER - Captain America



































Dans une semaine sortira CAPTAIN AMERICA le soldat de l'hiver - Dans cette suite, Captain America (Chris Evans) et Black Widow (Scarlett Johansson) vont devoir faire équipe pour combattre Bucky Barnes (Sebastian Stan), devenu The Winter Soldier : Mais qui est le soldat de l'hiver ?

Sebastian Stan incarne Bucky Barnes dans les films Captain America: First Avenger (2011) et Captain America : Le Soldat de l'hiver


James Buchanan « Bucky » Barnes est un super-héros appartenant à l'univers de Marvel Comics. 

Orphelin, le jeune James Barnes s'engagea dans l'armée de terre des États-Unis et devint l'ami de Steve Rogers, secrètement devenu Captain America. Après avoir découvert l'identité du militaire, James l'aida dans de nombreuses missions, sous le nom de code de Bucky. Il fit partie de diverses équipes pendant la Seconde Guerre Mondiale, comme les Invaders, les Jeunes Commandos, la Légion de la Liberté et les Jeunes Alliés.

En 1945, lors d'une mission au nord de l'Angleterre, Captain America et Bucky découvrirent que le Baron Zémo avait volé un drone expérimental. Bucky tenta de désamorcer une bombe sur l'avion au moment où celui-ci décollait, mais l'engin explosa au-dessus de l'Atlantique. On pensa que le duo était mort dans le feu de l'action (Cap revint toutefois, libéré d'une hibernation par les Vengeurs).

Bucky fut secouru par un sous-marin de la marine soviétique. Gravement blessé et partiellement amnésique, il fut soigné par les autorités soviétiques, qui le placèrent en cryostase jusqu'en 1954. On lui greffa un bras cybernétique. Commença alors l'opération Winter Soldier

Bucky devint un assassin du KGB, réveillé de son hibernation par intervalle, pour accomplir des missions (dont le meurtre de la femme de Wolverine, Itsu).

Employé du Gremlin pendant un temps, il reçut pour mission de torturer un agent secret prisonnier, le major Glenn Talbot. Mais ce dernier le reconnut et sema le doute dans son esprit. Le Soldat d'Hiver tenta d'aider l'espion dans sa fuite, mais ils furent stoppés par le Kremlin, qui effaça ses souvenirs.

À la chute de l'Union soviétique, le Winter Soldier fut récupéré par le général Luskin, un dissident du régime. Cherchant à s'emparer du Cube Cosmique, Luskin envoya Barnes assassiner Crâne Rouge (sans savoir que ce dernier avait réussi à transférer sa conscience dans le corps de Luskin au moment de mourir).

Luskin l'envoya ensuite assassiner Jack Munroe (l'agent américain Nomade, qui avait l'identité de Bucky dans les années 1950) et lui fit endosser le meurtre de Crâne Rouge. Le Soldat fit ensuite exploser une bombe dans le centre de Philadelphie, ce qui le perturba mentalement. Captain America découvrit l'identité du Soldat et utilisa le Cube Cosmique pour lui rendre la mémoire. Barnes se retourna contre Luskin et disparut de la circulation. On le revit à Belgrade, opposé à Wolverine qui avait retrouvé la mémoire de son passé, puis à Londres, où allié à Captain America, il affronta un robot nazi. Dans le combat, son cyberbras fut détruit. Il partit en France où il retrouva Nick Fury qui lui en procura un nouveau.


http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Barnes

Sa première apparition est dans Captain America Comics #1 (Mars 1941) créé par Jack Kirby et Joe Simon pour Timely Comics. Il devient le Winter Soldier à partir de janvier 2005 dans Captain America (vol. 5) #1. Il prend la place de Captain America (Vol. 5) #34 à partir de janvier 2008.





mardi 18 mars 2014

JEAN ROCHEFORT vs TOM HANKS


Dans la collection FILM QUI SE RESSEMBLE, je demande Tombés du ciel avec Jean Rochefort un film de Philippe Lioret (Toutes nos envies, welcome, je vais bien ne t'en fais pas) de 1993 et le film de Steven SPIELBERG Le terminal avec Tom Hanks de 2004.


A l'aéroport de Montréal, Arturo se fait subtiliser papiers, argent et chaussures. Il prend quand même l'avion jusqu'à Roissy, où il reste coincé sous douane. Il commence ainsi une première nuit d'errance dans l'aéroport, pendant laquelle il rencontre d'étonnants compagnons d'infortune, dont certains sont là depuis des années...




Viktor Navorski est l'un de ces milliers de touristes, venus des quatre coins du monde, qui débarquent chaque jour à l'Aéroport JFK de New York. Mais, à quelques heures de son arrivée, voilà qu'un coup d'État bouleverse sa petite république d'Europe Centrale, mettant celle-ci au ban des nations et faisant de Viktor... un apatride. Les portes de l'Amérique se ferment devant lui, alors même que se bouclent les frontières de son pays : Viktor est bel et bien coincé...

APOCALYPSE LA 1ere guerre mondiale



En septembre 2009, France 2 avait diffusé au cours de trois soirées le documentaire consacré à la Seconde Guerre mondiale, Apocalypse. Composé de six volets, ce documentaire avait connu en grand succès : 6,5 millions de téléspectateurs à chaque épisode diffusé.  Devant cet engouement, Isabelle Clarke et Daniel Costelle, les deux réalisateurs avaient de nouveau tenté l 'expérience deux ans plus tard avec Apocalypse Hitler. Même résultat avec 6,1 millions de curieux devant leur écran.




Ce soir sur France 2,  ils s 'attaquent à une autre événement important de notre histoire et pas des moindres, la Première Guerre mondiale. 

Chaque épisode durera 52 minutes, et une fois de plus, Mathieu Kassovitz nous narrera l 'Histoire avec des images en couleur. Et cela démarrera avec l 'hisoire de George Price, soldat canadien, l 'un des derniers tués de cette guerre qui fit 10 millions de morts chez les militaires, 9 millions chez les civils et 21 millions de blessés. La série documentaire, inédité, a été réalisée avec plus de 500 heures d 'archives. 

Interview de Isabelle Clarke et Daniel Costelle


Pourquoi ce titre, Apocalypse ?
Daniel Costelle : Etymologiquement, apocalypse signifie “révélation” en grec, ce qui définit assez bien notre propos.
Isabelle Clarke : Et le titre joue bien évidemment sur les références bibliques, avec cette idée qu’Hitler serait le cavalier de l’apocalypse, semant ruine, misère et violence sur son passage.

Quelle est l’origine d’Apocalypse ?
Isabelle Clarke : Je voudrais tout d’abord remercier du fond du coeur les auteurs, Jean-Louis Guillaud et Henri de Turenne, de m’avoir fait confiance sur une entreprise aussi importante. Leur série — mythique — Les Grandes batailles est à l’origine de ce projet.
Daniel Costelle : Patrice Duhamel voulait commémorer le soixante-dixième anniversaire du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, 3 septembre 1939 – 3 septembre 2009. Mais comment s’y prendre, aujourd’hui ? Comment raconter de manière intéressante et claire un tel conflit ? Comment témoigner de cette folie meurtrière généralisée ? Et surtout comment faire comprendre l’indicible aux jeunes générations ? Très vite, nous avons senti que ce projet allait être atypique et résolument nouveau...
Isabelle Clarke : …d’une ampleur totalement inédite, même ! Pour la première fois, une série documentaire embrasse la Seconde Guerre dans sa globalité, s’intéressant aux stratégies et enjeux géopolitiques internationaux mais aussi s’attardant sur le visage des hommes et des femmes, racontant leur quotidien. Apocalypse est une série à hauteur d’homme : on pénètre à la fois dans la tête des grands chefs et dans celle des victimes, des sans-grade. Voilà la guerre telle qu’on ne l’a jamais vue : humaine, “atroce et familière”, pour reprendre l’expression employée par Fabrice Puchault qui était responsable du projet, au commencement.

Dans sa forme même, Apocalypse représente un pari novateur et audacieux…
Daniel Costelle : Je crois que le plus important est le sens du public et de la clarté que nous nous sommes imposé dès le départ, ainsi qu’ une rigueur historique et un grand sens de l’efficacité narrative. Ce que nous savons, c’est qu’il était extrêmement compliqué de faire simple. Isabelle Clarke a voulu faire d’Apocalypse une oeuvre cinématographique. Nous avons utilisé tous les moyens modernes pour aborder l’Histoire d’une façon nouvelle. La série, constituée exclusivement d’images d’archives, a été pensée et conçue avec les outils — narratifs, technologiques — du cinéma. Les archives bénéficient ainsi d’une qualité d’image (en couleur et en Haute Définition) et de son (mixage en 5.1) tout simplement époustouflante ! De quoi convaincre tout le monde !
Isabelle Clarke : Nous nous sommes emparés des images d’archives comme si nous les avions tournées nous-mêmes, pour les intégrer dans de véritables séquences, comme une fiction (il y a près de 800 plans par épisode). La série joue ainsi sur un équilibre délicat entre le récit historique et l’émotion. Nous avons fait en sorte de maintenir en permanence ces différents niveaux de lecture en étant extrêmement rigoureux historiquement (tout a été  vérifié et re-vérifié par nos conseillers), tout en restant accessibles au plus grand nombre, intelligibles et captivants.

Comment gère-t-on un projet aussi titanesque ?
Isabelle Clarke : Je crois que tous ceux avec qui nous avons eu la chance de travailler se sont passionnés pour le projet, autant pour ce qu’il raconte que pour son aspect pharaonique, pour les défis qu’il demandait de relever. Cette confiance, cet enthousiasme collectif, nous ont portés tout au long des deux années et demie de préparation.
Daniel Costelle : Je tiens à remercier France 2 qui nous a donné les moyens d’aller au bout de ce projet démesuré. C’est là toute la raison d’être du service public. Nous avons vécu un petit miracle, comme un temps béni de la télévision.
Isabelle Clarke : Et Louis Vaudeville ! Notre producteur, qui a pris des risques insensés pour nous…
Daniel Costelle : Oui, un vrai producteur kamikaze ! Aujourd’hui, toute l’équipe de production, dirigée par Florence Sarrazin- Mounier, est récompensée de ses efforts. Notre distributeur international France Télévisions Distribution a vendu la série dans de nombreux pays, et notamment à des chaînes prestigieuses comme National Geographic International, NHK au Japon et NDR, WDR, MDR, SWR en Allemagne. Tout un symbole.

Pour la première fois, un film offre une vision globale du conflit. Quelle leçon en tirer ?
Isabelle Clarke : Ce qui frappe particulièrement, à mon sens, c’est la redoutable simultanéité de cette guerre. D’ordinaire, on se préoccupe de l’Europe, du nazisme et de l’arrivée des Américains. Ou alors les documentaires se fixent sur une bataille, un front, une période donnée. On ne se rend généralement pas compte que se jouait, en parallèle, dans le même temps, une autre guerre entre le Japon et les Etats-Unis. On ne réalise pas que, au cours de cette période, c’est l’ensemble du monde qui a sombré dans l’abîme… Nous avons voulu traduire le présent de l’Histoire, faire sentir l’incertitude d’alors. Par exemple, en 1942 personne n’imagine qu’Hitler va finir par perdre. Il y a une telle violence, un tel déchaînement, une telle démence, que tout paraît absolument inéluctable. Raconter ce glissement progressif vers la destruction, l’autodestruction du monde — 50 millions de morts, et majoritairement des civils ! — c’est le mouvement de notre film.

En même temps, Apocalypse semble portée par une sorte d’espoir…
Daniel Costelle : Dans le dernier épisode, sur les ruines de Berlin détruite, nous citons les paroles de l’écrivain allemand Klaus Mann : “La défaite en elle-même ne constitue pas une honte, au contraire. La honte nationale, l’avilissement, la décomposition et l’appauvrissement de la vie allemande, c’était le national-socialisme.” De même, à la capitulation du Japon, le ministre plénipotentiaire de l’empereur Hirohito dit : “Ce jour n’est pas un jour de deuil, mais le premier jour du Japon nouveau”. Une manière de montrer que, malgré tout cela, l’homme s’en sort.

UN APPEL VIBRANT
Vous sentez-vous une responsabilité morale ? L’envie de faire passer un message ?
Isabelle Clarke : Un message absolument pacifiste. Oui, c’est ce que j’ai voulu faire.
Daniel Costelle : Nous voyons cette série comme un appel vibrant. J’engage d’ailleurs tout le monde à lire ou relire Gaston Bouthoul, cet éminent sociologue qui a fondé la polémologie, discipline passionnante fondée sur l’étude de la guerre et des formes d’agressivité en société. “Si tu veux la paix, connais la guerre”, disait-il.
Notre ambition est là : montrer la guerre pour servir la paix.
Isabelle Clarke : D’autant que, aujourd’hui, il est indispensable de se souvenir, de lutter contre l’oubli. C’est l’oubli qui conduit au négationnisme. Mais plutôt que de parler de “devoir de mémoire”, je préfère l’expression de Simone Veil, “devoir d’histoire”.
Apocalypse participe pleinement de ce devoir.



source de l'info

A comme ALAIN


ALAIN CHABAT avant les nuls - 1980-1987

Il commence par dessiner des BD, il publie notamment une planche dans Antirouille, puis écrit le scénario d'un album de RanXerox, remplaçant Stefano Tamburini, avec son ami Liberatore[1]. À partir de 1980, il fait ses débuts radiophoniques sur les ondes de Radio Andorre et France Inter où il fera des piges pour l'émission l'Oreille en coin. Aux environs de 1982-1983, il devient animateur sur RMC pendant plusieurs années. C'est sur cette station qu’il rencontre Pierre Lescure en 1984, qui lui propose de le rejoindre pour travailler sur une nouvelle chaîne de télévision : Canal+. Il débutera à la météo et coanimera avec Stéphane Sirkis cinq mois plus tard 4C+, une émission quotidienne en direct, avec jeux, clips, sketches et invités. À la même période, Alain anime Prochainement sur Canal +, émission hebdomadaire en compagnie de Daniel Toscan du Plantier et une revue de presse dans l'émission Zénith, présentée par Michel Denisot. Parallèlement à ses émissions sur Canal+, il anime Ricard Passion, série d’émissions de variétés musicale, produites et réalisées par Jean-Michel Steward et diffusées sur un réseau de 150 stations.

photo extrait du studio mag. de mars 1994
source info : wikipedia

lundi 17 mars 2014

LES NULS DANS STUDIO (mars 1994)

Il y a 20 ans déjà; en mars 1994, Les nuls faisaient la couverture de STUDIO pour le film LA CITE DE LA PEUR. !! c'est l'occasion de se replonger toute cette semaine dans ce magazine.
la suite demain... (Studio - mars 1994)


UNE BELLE BROCHETTE D'ACTEURS


Les acteurs qui se croisent, ça fait toujours de belles photos et de beaux souvenirs...

Robert Conrad, Sean Connery et Leslie Nielsen

James BOND  et James BOND

Indiana Jones et Terminator


Brooke Shield et Matt Dilon




Steve Mc Queen et Lee Marjor


Davis Starsky & Rocky Balboa !!




Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...