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jeudi 30 septembre 2010

TONY CURTIS 1925-2010


L'acteur américain Tony Curtis, connu pour son rôle dans "Certains l'aiment chaud" avec Marilyn Monroe, est mort à l'âge de 85 ans, selon sa famille citée jeudi par des médias américains.

Un porte-parole de la fille de Tony Curtis, l'actrice Jamie Lee Curtis, a confirmé la mort de l'acteur lors de l'émission de télévision Entertainment Tonight, selon le site internet de l'émission. La chaîne ABC News a également annoncé son décès.

Né dans le Bronx, quartier pauvre de New York, Tony Curtis avait été co-nominé pour l'Oscar du meilleur acteur pour son rôle dans "The Defiant Ones" ("La chaîne"), avec Sidney Poitier. Il avait insisté pour que son partenaire, un Noir, soit également proposé pour l'Oscar, une rareté à l'époque, avant la déségrégation.

Mais il est surtout connu pour son rôle dans le classique de Billy Wilder en 1959, "Certains l'aiment chaud", en travesti aux côtés de Jack Lemmon et Marilyn, avec laquelle il eut une aventure de trois ans. Il s'était fait connaître dans les années 50 en jouant dans de nombreux films d'aventure, avant de triompher dans le genre comique.



Fils d'un tailleur juif hongrois, Tony Curtis (Bernard Schwartz de son vrai nom) naît le 3 juin 1925 à New York dans le quartier pauvre du Bronx. De son enfance difficile -lui et son frère seront un temps placés en orphelinat et sa mère souffre de schizophrénie-, il acquiert une volonté farouche de "s'en sortir" et rêve de devenir un acteur célèbre.

Il s'engage dans l'US Navy à 16 ans pendant la deuxième guerre mondiale où il est sous-marinier et fait ses débuts de comédien amateur. Démobilisé, il fait quelques apparitions à Broadway et en 1948, il obtient un rôle dans le film noir de Robert Siodmak ("Criss Cross", "Pour toi j'ai tué"). Remarqué par un producteur, ce beau brun aux yeux bleus signe en 1950 un contrat de sept ans avec les studios Universal.

Après de très nombreuses comédies, registre où il excelle, l'acteur réussit à obtenir quelques rôles plus consistants, comme dans "Trapèze" de Carol Reed en 1956, "Le Grand Chantage" d'Alexander Mackendrick en 1957 où il interprète un journaliste véreux, "Vikings" de Richard Fleischer en 1958 et "Spartacus" de Stanley Kubrick en 1959.

Puis Tony Curtis cabotine, à la fin des années 60, aux côtés de Roger Moore dans la série télévisée à grand succès "Amicalement Vôtre" ("The persuaders"). C'est dans "l'Etrangleur de Boston", de Richard Fleischer en 1968 qu'il estime avoir donné le meilleur de lui-même.

Père de six enfants, il avait été marié six fois et avait reconnu que son addiction au sexe - plus d'un millier de conquêtes féminines revendiquées - avait ruiné sa vie de famille.

L'actrice Jamie Lee Curtis est issue de son premier mariage en 1951 avec Janet Leigh - héroïne de la scène de la douche du "Psychose" d'Alfred Hitchkock.

Depuis 25 ans, Tony Curtis se consacrait surtout à la peinture. En 1995, il avait publié son autobiographie, "Tony Curtis", en 1995. En 2004, il avait reçu une Caméra d'Or à Berlin pour l'ensemble de son oeuvre.

"J'ai l'impression de ne pas avoir eu les films que j'aurais dû avoir. J'avais l'impression que j'aurais mérité mieux", regrettait-il en 2008 lors d'un entretien avec l'AFP, évoquant les quelques 120 films de sa carrière.

ARTHUR PENN, LITTLE BIG MAN



Le cinéaste Arthur Penn s'est éteint mardi soir à New York. Il avait fêté la nuit d'avant ses 88 ans. Il fut l'un des réalisateurs les plus doués de sa génération, du moins l'un des plus subversifs en filmant à la fin des années 1960 la violence et le sexe de manière révolutionnaire. Acteur de théâtre dans sa jeunesse, Arthur Penn avait fait ses débuts dans la mise en scène au sein de la télévision avant de rejoindre le monde du cinéma en 1958, année de la sortie de son premier long métrage, Le Gaucher, où l'on découvrait un tout jeune Paul Newman dans la peau de Bill the Kid.


Avec ses films majeurs Bonnie and Clyde, La Poursuite impitoyable et Little Big Man, Arthur Penn avait su insuffler au cinéma américain un rythme plus rapide et nerveux grâce à un montage virtuose. Il a ouvert la voie à la génération des metteurs en scène américains des années 1970 comme Martin Scorsese, Francis Ford Coppola ou encore Paul Schrader.




Sorti en 1967, Bonnie and Clyde, l'histoire du couple de gangsters Bonnie Parker (Faye Dunaway) et Clyde Barrow (Warren Beatty) demeure son chef-d'oeuvre. On doit également à cette figure majeure et respectée du cinéma les films Miracle en Alabama (1962), Mickey One (1965), Alice's Restaurant (1969) ou encore Missouri Breaks (1976), où Jack Nicholson donnait la réplique à Marlon Brandon


source : orange.fr

mardi 28 septembre 2010

GOLDORAK


GOLDORAK est une série animée japonaise réalisée par Tōei animation en 1975 d'après un manga de Gō Nagai. La Série compte 74 épisodes de 26 minutes. Elle a été diffusée au Japon du 5 octobre 1975 au 27 février 1977. En France, elle a fait son apparition sur Antenne 2 dans l'émission Récré A2 le 3 juillet 1978,

Un empire extra-terrestre belliqueux, les Forces de Véga, a asservi et détruit la lointaine planête avancée mais pacifique d'Euphor. Le prince d'Euphor, Actarus, a toutefois pu échapper au massacre en volant le robot de combat Goldorak qui peut traverser l'espace dans sa soucoupe porteuse. Actarus, réfugié sur terre, est soigné et adopté par un scientifique humaniste, le professeur Procyon, directeur d'un centre de recherches spatiales, et Goldorak caché dans une caverne sous le centre. D'apparence humaine, contrairement aux humanoïdes hideux de Véga, Actarus se fait passer pour un terrien et travaille comme fermier au Ranch du Bouleau Blanc voisin, propriété de l'irrascible vieillard Rigel.

Lorsque l'empire de Véga tourne sa soif de conquête vers la Terre et établit une base militaire dans ce but sur la face cachée de la lune, Actarus et Goldorak s'opposent à leurs plans et combattent leurs soucoupes et monstres robotiques. Ils sont aidés d'abord par Alcor, l'ancien pilote de Mazinger Z et protagoniste de la série du même nom, aux commandes d'une soucoupe construite par ses soins, l'OVTerre. Au fil de la série, l'identité secrète d'Actarus s'estompe et deux femmes les rejoignent: Vénusia, la fille de Rigel, et Phénicia, la soeur d'Actarus, qui a, elle aussi, échappé au massacre. Le quatuor devient la Patrouille des Aigles, équipée de trois engins qui s'assemblent à Goldorak pour les combats aériens, sous-marins et souterrains à mesure que les stratagèmes de Véga deviennent plus complexes. L'empereur de Véga, le Grand Stratéguerre, finit par abandonner sa planète à une destruction écologique pour commander personellement l'invasion de la Terre. Il est anéanti ainsi que toute sa flotte dans un combat ultime entre la Terre et la Lune. Sortant victorieux de cette dernière bataille, Actarus et Fénicia peuvent retourner sur Euphor, leur planète d'origine, afin de recommencer une civilisation.



Lors de sa diffusion au Japon, la série télévisée connaîtra un certain succès (les audiences furent aussi bonnes, voire légèrement meilleures que celles de Great Mazinger, dont Goldorak prenait la relève), mais son succès sera, il est vrai, bien moindre comparé à celui de Mazinger Z (premier robot géant piloté de l'intérieur, créé lui aussi par Gō Nagai, en 1972)

C'est à l'export que Goldorak va obtenir un succès sans précédent : en Italie, au Québec, dans de nombreux pays arabes, ainsi qu'en France, où il est devenu le dessin animé emblématique de toute une génération : lors de sa première diffusion en France le succès fut immédiat. Les multiples génériques de la série (quasiment un par diffusion) ont pour certains été disque d'or ; des remontages d'épisodes furent diffusés au cinéma, bref Goldorak était partout, y compris dans la polémique. Un livre intitulé À cinq ans, seul avec Goldorak est même écrit par Liliane Lurçat. Malgré tout, Goldorak tiendra bon. Il s'agit d'ailleurs du seul programme en France réputé avoir jamais atteint les 100 % d'audimat même si ce chiffre est sujet à caution. C'est également Goldorak qui donna une grande popularité aux dessins animés japonais, même si Prince Saphir et le Roi Léo l'avaient précédé dès 1974. Bien meilleur marché que les dessins animés français et américains, les dessins animés japonais connaissent des diffusions massives dans les émissions jeunesse.

Contrairement à la plupart des séries animées de la même époque, Goldorak n'a toujours pas été commercialisé en France au format DVD en raison de conflits juridiques entre les éditeurs potentiels et les détenteurs japonais des droits d'auteurs. Toutefois, la version française des DVD a très brièvement été mis en vente dans certains circuits de grande distribution, en été 2005, pour être rapidement retirés au bout de quelques semaines en raison des conflits persistants de droits d'auteurs entre les éditeurs français et japonais.

lundi 27 septembre 2010

UN FILM MINOR


Dans une île imaginaire perdue en Mer Egée, aux temps très lointains d'avant Homère, Minor, mi-homme mi-cochon, orphelin et muet, file des jours tranquilles dans la douce tiédeur de la porcherie en compagnie de sa bonne amie la Truie. Au cours d'une escapade en forêt mythologique, il fait la rencontre d'un des personnages les plus influents de son époque, le Dieu Pan - alias Satyre, qui l'initie à sa manière de bouc aux imprévus du paganisme.Perché sur une branche d'olivier pour épier Clytia, la fille du Patriarche promise au poète Karkos, Minor fait une mauvaise chute et se tue. Comme on est encore au début du film, et que la période le permet, il ressuscite et recouvre la parole.Les villageois éberlués découvrent que non seulement il n'est pas mort, mais qu'il se révèle doué d'un stupéfiant sens de l'éloquence.Sur les conseils du devin, Minor est sacré roi.Les ennuis commencent...
SA MAJESTE MINOR

c'est le dernier film de JEAN JACQUES ANNAUD avec JOSE GARCIA ET VINCENT CASSEL
Soyons honnete; ce film a fait un gros bide à sa sortie.

Pourquoi j'ai pris le temps de le regarder ?

et bien, c'est mon côté cinéphil ou cinéphage... j'aime savoir pourquoi un film fait un bide.
(il y a tellement de films SUR ESTIMé, pourquoi un film ne serait il pas SOUS ESTIMé ???)

j'ai donc regardé SA MAJESTE MINOR ......

résultat :

les bons points :

LES ACTEURS :
JOSE GARCIA est impécable, idem pour VINCENT CASSEL, 2 tres bons acteurs.

LE REALISATEUR :
JEAN JACQUES ANNAUD, un des plus grands, on lui doit LA GUERRE DU FEU, L'OURS, LE NOM DE LA ROSE, STALINGRAD, bref, je comprends JOSE GARCIA, travailler avec ANNAUD ne se refuse pas, c'est un honneur...

L'IMAGE : magnifique, signé J J ANNAUD.

les mauvais points

l'histoire... pas terrible .. je dirai même tres con voir nul... bref Zero côté scénario...
en deux mots : ça parle de cul, de cochon et de pouvoir....


ma note : 2/5
1 point pour les acteurs
1 point pour le réalisateur

conclusion : pour apprécier les BONS films, il faut savoir apprécier les mauvais !=)

jeudi 23 septembre 2010

BILBO BEGINS : 2012


Le tournage de l'adaptation grand écran du roman fantasy de J.R.R. Tolkien, Bilbo le Hobbit, devrait commencer en janvier 2011, selon le comédien britannique Ian McKellen, interrogé par le quotidien The Bolton News.


Ian McKellen reprendra le rôle du sorcier Gandalf dans ce récit situé avant les événements rapportés dans la trilogie Le Seigneur des anneaux. Le Néo-Zélandais Peter Jackson devrait faire son retour derrière la caméra afin de filmer les deux parties du long métrage.

En route depuis 2007, le projet Bilbo le Hobbit a dû faire face à la situation financière délicate des studios MGM. La difficulté de la firme à combler sa dette de 4 milliards de dollars avait eu raison de l'implication du cinéaste mexicain Guillermo Del Toro en mai dernier. Spyglass Entertainment est depuis candidat au rachat du studio.


Selon les plans initiaux, Bilbo le Hobbit se divisera en deux parties. La sortie du premier épisode est prévu pour fin 2012. La deuxième partie devrait sortir en salles, un an plus tard, fin 2013.
source : Merci FX pour l'info :=)

mercredi 22 septembre 2010

AFFICHE CINE : COPIER COLLER


Shoot and Run, film de de série B qui sauf erreur de ma part pompe sur tout ce qui se fait de mieux en matière de films d'actions depuis 15 ans, sans oublier l'affiche du film qui manque cruellement d'originalité (dans le montage, la police de caractère, l'accroche... etc.)
Manque d'inspiration ? copiage ? hommage ?
le(s) flingues, la voiture, l'effet noir & blanc et j'en passe et des meilleurs... on appelle ça surfer sur la vague !!!!

mardi 21 septembre 2010

LUNETTES 3D


Voilà une étude singulière menée par l’institut Good Housekeeping Research. Si Avatar a propulsé la 3D relief en tant que véritable révolution, méfiez-vous tout de même des lunettes 3D (actives notamment) que vous pouvez emprunter dans les salles de cinéma numérique. Car elles sont potentiellement porteuses de vilains germes comme le signalent les résultats de cette étude.
L’institut a emprunté sept paires de lunettes 3d relief, censées être nettoyées entre chaque séance. Sans citer le complexe en question, il s’est avéré qu’aucune paire n’était stérile mais que pire encore : une paire fut contaminée par le Staphylococcus aureus, espèce la plus pathogène du genre Staphylococcus qui peut causer des maladies de peau, conjonctivite, septicémie et même pneumonie. Le bilan est simple : ayez l'assurance que les lunettes que vous empruntez ont été nettoyées à l’aide d’un tampon imbibé d’alcool ou procurez-vous pourquoi pas vos propres lunettes actives.

ANNIE GIRARDOT, LA BELLE IMAGE, LES BEAUX SOUVENIRS


Annie Girardot c'est le Grand cinéma Français des années 60 et 70, avec des films magnifiques tels que ROCCO ET SES FRERES, MOURIR D'AIMER, ELLE BOIT PAS ELLE FUME PAS MAIS ELLE CAUSE... et surtout LA ZIZANIE avec Louis de Funes, bref une grande dame du cinéma français au même titre que Jeanne MOREAU, elle a tourné avec les plus grands ( Belmondo, De Funes, Noiret, Delon, Audiard...)... merci pour tous ses grands moments de cinéma.


Ce matin, la fille de la grande dame du cinéma Annie Girardot parle de sa maman à l'occasion de la journée mondiale contre la maladie d'’Alzheimer.

Elle explique: "Elle ne sort plus, elle ne veut pas. Elle reste assise toute la journée dans son fauteuil. Et puis elle n’est plus assez stimulée.Elle n’est plus vraiment là. Enfin, elle est là mais elle s’en va de plus en plus loin. (...) Ses seuls souvenirs concernent sa famille, son mari… Le reste a dis-paru. Maman ne se souvient pas qu’elle a été actrice."

Mais surtout, Giulia Salvatori lance un appel aux photographes : "Si j’ai un message à faire passer, c’est de ne plus essayer de rencontrer Annie Girardot, d’avoir une dernière photo… Si vous avez aimé maman, surtout, il faut lui foutre la paix, garder d’elle une belle image."
source : morandini.com

lundi 20 septembre 2010

André Robert Raimbourg alias BOURVIL


Bourvil de son vrai nom André Robert Raimbourg est un acteur et chanteur français, né le 27 juillet 1917 à Prétot-Vicquemare (Seine-Maritime), et mort le 23 septembre 1970 à Paris (XVIe).

André Raimbourg, alias Bourvil n'a jamais connu son père, tué durant la Grande Guerre. Il passa son enfance avec sa mère et le nouveau mari de celle-ci, un agriculteur nommé Ménard, dans le village de Bourville (qui lui inspira son nom de scène).

Il épousa Jeanne Lefrique (1918-1985) le 23 janvier 1943 avec qui il eut deux fils.

Après un apprentissage de boulanger, il partit en région parisienne pour tenter une carrière musicale, qu'il commença par des radio-crochets. Jeune artiste en quête de succès, il s’installe avec son épouse, à Vincennes dans un minuscule appartement de la rue des Laitières, au septième étage, sous les toits (il y restera jusqu’en 1947).

Il enchaina ensuite avec des numéros de « comique-paysan » (dérivé du comique troupier), mais c'est avec la chanson Les Crayons que sa carrière débuta vraiment en 1945. C'est d'ailleurs avec cette chanson qu'il fit sa première apparition au cinéma, en 1945 dans La Ferme du pendu, de Jean Dréville.

Voici un film assez rare (mais trouvable) de BOURVIL avec Bernard BLIER et Louis de Funes.






Ci dessous, Louis de Funes dans un petit rôle !


il retrouvera Bourvil dans "poisson d'Avril" et " La Traversée de Paris" avec Jean Gabin avant le cultissime "le Corniaud" de Gérard Oury.


vendredi 17 septembre 2010

BLIER M'EMMERDE


Comme TRED, je n'arrive pas à aimer les films de BERTRAND BLIER j'ai essayé plus d'une fois et c'est toujours la même chose, on s'emmerde. Le seul film regardable est "LA FEMME DE MON POTE" avec Coluche. Sinon, pour les autres films, les histoires ne sont jamais intéressantes, les acteurs sont à côté de leurs pompes, bref on y croit pas une seconde. Son dernier film "Le bruit des glaçons" me tenterait bien, le casting est au top (Dujardin et surtout Dupontel), mais est ce qu'un film peut être sauvé grace au casting, non, il faut une bonne histoire et c'est surtout ça qui manque chez BLIER.
Si je le compare à PATRICE LECOMTE, c'est le jour et la nuit. LECOMTE, même avec un mauvais film ou une histoire peu intéressante, on sent l'amour du cinéma, la passion de filmer les acteurs (ex "la guerre des miss" ou "la veuve de St Pierre").
En résumé, je ne déteste pas BLIER, mais à l'inverse des films de son père (Bernard BLIER) ses films m'emmerdent.




LU SUR LE NET
Publié le 16 septembre 2010 par Tred
"J’ai bien envisagé d’intituler mon billet autrement, mais c’est bien là le fonds de ma pensée. Et s’il y a de toute façon un cinéaste qui ne s’offusquerait pas que j’emploie un vocabulaire cru pour interpeler, c’est bien Bertrand Blier. Alors oui, Blier m’emmerde. Ce n’est pas nouveau. Aussi loin que je me souvienne, Blier m’a emmerdé. Pas l’homme directement bien sûr. Je serais tenté de dire que l’homme, on s’en tamponne un peu. Non, c’est bien son cinéma qui m’emmerde. Et forcément, à force de réaliser des films qui me font ainsi réagir, c’est lui qui finit par m’emmerder.



Mon premier souvenir d’un film de Bertrand Blier au cinéma, c’est Mon Homme. Je m’en souviens très bien, j’avais 14 ou 15 ans (après vérification de la date de sortie, j’avais 14 ans), le cinéma m’intéressait déjà énormément, mais ce n’était pas encore passionnel. Je ne lisais qu’occasionnellement la presse spécialisée, n’allais que trois ou quatre fois par moi au ciné (et essentiellement du film Hollywoodien), et en général quand ma mère me traînait au Ciné 104 de Pantin pour voir un film d’auteur français, c’était plus une corvée qu’autre chose.



Mon Homme faisait exactement partie de ces films dont je me serais bien passé à l’époque, mais après tout, 1h40 au ciné valait mieux que rester à la maison pour faire mes devoirs. Voilà comment je me suis laissé entraîner vers mon premier Bertrand Blier sur grand écran. A l’époque j’avais déjà dû voir La femme de mon pote, le film le plus mainstream de Blier, à la télé. Probablement. Mais Mon homme a inauguré ma relation cinématographique avec Blier. Ce fut une torture. 1h40 d’ennui et d’agacement pour l’adolescent que j’étais qui aurait préféré voir L’armée des douze singes de Terry Gilliam.



Mais que le moi de 1996 ait détesté Mon Homme n’est pas plus surprenant que cela. Ce qui m’étonne au contraire, c’est que depuis ce jour de 1996 (même en fouillant dans mes vieux tickets je ne retrouverais pas la date exacte, désolé, ces vieux tickets de salles art & essai étaient génériques, sans le titre du film et la date imprimés dessus, et puis ça aurait fait un peu trop geek non ?)… où en étais-je moi ? Oui, le plus étonnant, c’est que depuis Mon Homme, je n’ai pas raté un seul Blier au cinéma. Vous me direz que finalement, ça ne représente que quatre longs-métrages, mais tout de même. Parce que ce qui est ENCORE plus étonnant, c’est que j’ai détesté tous ces films. Ces quatre films. Sans exception.



J’ai détesté Les acteurs, cet hommage creux et vain aux acteurs du cinéma français. J’ai détesté Les côtelettes, cette adaptation foutraque et agaçante de la propre pièce de Blier. J’ai détesté Combien tu m’aimes ?, ce n’importe quoi fatigant malgré la plastique irréprochable de Monica Bellucci (on se raccroche comme on peut dans ces moments-là). Et le week-end dernier, j’ai détesté Le bruit des glaçons, que j’étais allé voir après moult hésitation, en me disant « Allez, le pitch est pas mal, le duo Dujardin / Dupontel promet, tente ! ».




Quelle mauvaise idée ce fut. Blier, qui à une époque pouvait au moins se targuer d’écrire des dialogues mordants, n’est plus qu’une parodie de lui-même sur ce plan. Ses dialogues sont prévisibles et faciles, tous plus clichés les uns que les autres dans les situations ennuyeuses dans lesquelles il plante ses personnages. Il y a certes quelques belles idées d’interaction entre la mise en scène et la narration, comme ce glissement du flash-back dans le présent, mais c’est bien maigre face à l’abus de blagues sur la bouteille de blanc.
Les dialogues sont si téléphonés, le personnage de Jean Dujardin si horripilant, le dénouement si décevant… la messe est vite sonnée. Le bruit des glaçons ressemble à une mauvaise pièce de théâtre filmée dans laquelle surnage Albert Dupontel en cancer squatteur. A la sortie (ô combien bienvenue !) de la salle, une pensée résolue m’a assailli : plus jamais je ne me laisserai piéger par Blier. Stop. Fini. C’était le dernier. Je ne m’installerai plus dans une salle de cinéma pour un film qu’il aura signé. Les valseuses et Tenue de soirée sont loin, si loin… Ne me demandez même pas ce que j’avais pensé de Trop belle pour toi (que j’espère ne jamais revoir). Alors voilà, Blier m’emmerde. Adieu Blier. "

mardi 14 septembre 2010

24 SAISON 8 sur canal+

C'est jeudi prochain que Canal+ diffusera l'ultime saison de 24... une page se tourne... snif, que c'était bien.

lundi 13 septembre 2010

L'ENFER de CLAUDE CHABROL


Je ne suis pas un grand fan de Claude Chabrol, pour tout vous dire, je n'ai vu que quelques films. L'enfer est un des rares que j'ai vu et il m'a vraiment scotché de bout en bout. Le titre porte bien son nom, on n'a pas fait mieux au cinéma depuis (à part peut être Eyes wide shot de Kubrick). A voir absolument, un film qui ne laisse pas indifférent.


Paul (François Cluzet) devient propriétaire d'un charmant petit hôtel au bord d'un plan d'eau dans le sud de la France. Il épouse la splendide Nelly (Emmanuelle Béart) et tous deux se mettent au travail. La vie du jeune couple est un rêve éveillé. Toutefois, Paul est de plus en plus irritable et tendu. Il commence à prendre des somnifères et à entendre sa propre voix se moquer de lui et semer le doute dans son couple ! La tension monte alors que Paul est de plus en plus suspicieux et violent. Nelly est persuadée que son mari est en train de devenir fou. Elle est toujours plus exaspérée. Il est toujours plus désespéré. Le rêve prend fin quand la jalousie de Paul se déchaîne en une paranoïa violente et cruelle.


Le scénario de L'Enfer a été repris par , qui, dans les années soixante, avait tenter de porter à l'écran cette histoire de jalousie maladive, avec Romy Schneider et Serge Reggiani dans l’étonnant décor du viaduc de Garabit (Cantal), construit par Eiffel et surplombant un lac de retenue.. Mais de nombreux problèmes ont empêché le projet d'être mené à terme : tout d'abord, Serge Reggiani tomba malade (officiellement, d'une pneumonie, en fait, il souffrait de dépression) et du être remplacé par Jean-Louis Trintignant, puis ce fut au tour de Clouzot de subir une attaque cardiaque, dont la période de convalescence ne lui permit pas d'achever le tournage. Clouzot avait pourtant à cette époque souhaité expérimenter de nouveaux procédés, dont notamment l'art cinétique : il souhaite multiplier les effets, les recherches sur la lumière, la couleur, restituer par des distorsions des images les pulsions de ce mari jaloux.
En 1993, Inès Clouzot, la veuve du réalisateur, confia le scénario à Martin Kamitz (le M et le K de MK2) qui fit appel à Chabrol. Mario David est le seul comédien à avoir participé aux deux films. Chabrol choisit un autre cadre, le lac de Saint-Ferréol et la petite ville de Revel, en Haute-Garonne. « L’enfer, c’est les autres » Jean-Paul SartreEmmanuelle Béart remarquait (in «Studio», février 1994) : «Chabrol m’a mise dans une situation telle que je n’ai jamais vraiment su si je jouais une pute ou une vierge. (…) Tout ce qui séduit Paul chez cette femme — son côté faible, léger, sensuel, désirable, exhibitionniste, passionné — c’est justement ce qui va le rendre fou. «Il a pris un hôtel trop grand pour lui, une fille trop jolie pour lui», me disait Chabrol.». Chabrol s’intéresse moins à la relation sado-maso qui s’établit au sein du couple qu’à l’histoire d’un mari qui doute.. Ce n’est pas seulement une analyse clinique de la jalousie, le réalisateur nous emmène avec Paul dans l’enfer du doute.Le temps des regrets.
En moins de 32 minutes, le couple se rencontre, se marie, a un bébé. Ce n’est donc pas à la naissance d’un couple que Claude Chabrol s’intéresse mais plutôt à sa lente agonie. Mais est-ce bien la mort d’un couple ou le doute d’un homme en ses capacités ? N’a-t-il pas épousé une femme trop belle ? N’a-t-il pas vu trop haut avec son affaire ? Sa vie est-elle comme il le voulait ? Finalement ? Et c’est la somme de tous ses doutes qui va le mener à la remise en question de ce qu’il est à travers un dialogue avec lui-même (à travers une voix off). Le héros vit ce que Descartes qualifie de doute méthodique, c’est à dire ne plus jamais faire confiance quand on pense être trompé. Tout réinterpréter à travers le prisme du doute et du mensonge. Et comme l’indique Chabrol à la fin du film, il n’y a pas de panneau « fin » mais un panneau « Sans fin ». C’est une histoire banale, sans fin, puisqu’elle se répétera encore et encore.

source : dvdcritiques.com

dimanche 12 septembre 2010

CLAUDE CHABROL : 1930-2010


Fils de pharmacien, Claude Chabrol tient un ciné-club dans la Creuse pendant la guerre. De retour à Paris, il suit des études de droit et de lettres, mais fréquente surtout assidument les cinémas de la ville. Il y côtoie de jeunes passionnés avec qui il participe à l'aventure des Cahiers du cinéma de 1952 à 1957, et rencontre romancier Paul Gégauff, dont l'influence le détourne de son éducation bourgeoise.

Attaché de presse à la Fox, il profite d'un héritage de son épouse pour produire Le Coup du berger (1957) de Rivette et réaliser Le Beau Serge (1958), son premier long métrage. En grande partie autobiographique, ce film-clé de la Nouvelle vague, prix Jean Vigo, est un beau succès public et critique.

Le destin du cinéaste est alors lié à ceux de Gégauff, fidèle coscénariste, et de Stéphane Audran qu'il épouse en secondes noces et dirigera à 23 reprises. Remportant l'Ours d'or à Berlin en 1959 pour son deuxième opus, Les Cousins, il rencontre des succès divers avec ses films suivants : Les Bonnes Femmes (1960) et L'Oeil du malin déconcertent les spectateurs, plus séduits par Landru (1962) ou le parodique Le Tigre aime la chair fraîche.

A la fin de la décennie, sa collaboration avec le producteur André Génovès lui permet de revenir à des oeuvres plus personnelles, comme La Femme infidèle, Le Boucher ou Que la bête meure (1969). Le cinéaste y règle ses comptes avec la bourgeoisie de province et ses faux-semblants à travers des récits de crimes et d'adultères. Bénéficiant de la présence de Belmondo, le satirique Docteur Popaul est, en 1972, l'un des plus gros succès publics du réalisateur, qui tente à la même époque des incursions dans le thriller politique (Nada) et le fantastique (Alice ou la Derniere fugue).

Mais Chabrol est plus à son affaire lorsqu'il adapte des romans policiers ou s'inspire de faits divers, comme pour Violette Noziere, qui, en 1978, marque le début d'une fructueuse collaboration avec Isabelle Huppert.

Dans les années 80, le réalisateur tourne une série de polars aux allures de jeux de massacre, et signe ainsi, avec le concours de grands comédiens, une savoureuse galerie de portraits : Serrault en assassin méthodique dans Les Fantômes du chapelier, Poiret en inspecteur gourmet dans Poulet au vinaigre, ou encore Noiret en vedette de télé cynique dans Masques.

Par la suite, c'est pourtant avec de grands personnages de femmes que le cinéma de Chabrol trouve un nouveau souffle. Si le réalisateur offre à Marie Trintignant son plus beau rôle dans Betty (d'après Simenon, 1992), c'est Isabelle Huppert qui incarne le plus souvent ces héroïnes, tantôt victimes d'une société oppressante (Une affaire de femmes en 1988, Madame Bovary en 1991) tantôt criminelles perverses (Merci pour le chocolat) ou femme à la fois manipulatrice et manipulée (L'Ivresse du pouvoir).

En 1995, La Cérémonie, adaptation d'un polar de Ruth Rendell, constitue un sommet de l'art chabrolien, entre peinture sociale et étude de cas clinique. Le maître s'intéresse ensuite à la jeunesse, faisant appel à Benoît Magimel pour La Fleur du mal (2003), La Demoiselle d'honneur et La Fille coupée en deux, dans lequel figure aussi Ludivine Sagnier.

Ignoré par les Césars mais chéri par la critique, le malicieux Chabrol est devenu au fil des ans un personnage médiatique paradoxal, affichant sur les plateaux de télévision une bonhomie qui n'a d'égale que la noirceur de ses films. En 2008, alors qu'il fête ses 50 ans de carrière, il tourne pour la première fois avec un autre monument du cinéma français, Gérard Depardieu (Bellamy).

samedi 11 septembre 2010

9 11




À l'origine, les frères Naudet projetaient de produire un petit film documentaire retraçant le parcours d'une nouvelle recrue chez les pompiers de New York. Lorsqu'un des frères est en train de filmer les pompiers, intervenant sur une fuite de gaz non loin du World Trade Center, il pointe sa caméra en direction du premier Boeing 767, au moment où celui-ci percute l'une des deux tours. C'est l'un des deux enregistrements vidéo connus du premier crash (l'autre est de Pavel Hlava). Les deux frères suivent alors l'équipe des pompiers dans les tout premiers moments de leur intervention. Jules est ainsi le seul journaliste qui a pu filmer de l'intérieur et en continu l'organisation des opérations de sauvetage dans la tour 1 (tour Nord). Étant au moment du crash avec le commandant Joseph Pfeiffer, chef de bataillon des pompiers en charge du WTC, il a été autorisé à le suivre durant toutes les opérations. Au moment où la tour 2 (tour Sud) s'effondre, la décision est prise d'évacuer d'urgence la tour Nord. Le journaliste et une partie des pompiers parviennent finalement à s'échapper de cette tour peu avant que celle-ci ne s'effondre également.

vendredi 10 septembre 2010

AMICALEMENT VOTRE, LA SERIE CULTE !


Amicalement vôtre... (The Persuaders!) est une série télévisée britannique en 24 épisodes de 49 minutes, créée par Robert S. Baker et diffusée entre le 17 septembre 1971 et le 25 février 1972 sur le réseau ITV. En France, la série a été diffusée à partir du 3 octobre 1972 sur la deuxième chaîne



Le pilote de cette série fut inspiré par une autre série : Le Saint, avec Roger Moore dans lequel Simon Templar, dans l'une de ses nombreuses enquêtes, rivalisait avec un riche texan.


Le premier épisode raconte la rencontre entre Danny Wilde,  et Brett Sinclair (« Lord » Brett Sinclair).


Danny Wilde roule en Dino 246 GT et Brett Sinclair en Aston Martin DBS 6 cylindres






L'humour britannique de Roger Moore et les pitreries de Tony Curtis assurent le spectacle. Les deux vedettes s'entendaient bien sur le plateau. Cependant, la série ne convainc pas le public américain, et "Mission : impossible" figure parmi ses concurrentes.

Cette absence de succès ainsi que le départ de Roger Moore pour le cinéma (série des James Bond) font qu'elle s'arrête au bout d'une année. Autre élément ayant joué dans la balance : la production souhaitait revenir à un tournage en studio, au Royaume-Uni, afin de réduire les coûts.


L'immense succès en France  est dû en grande partie à l'excellent doublage de Curtis (Michel Roux) et Moore (Claude Bertrand).

mercredi 8 septembre 2010

TAIS TOI 3


Gérard Depardieu est actuellement au Canada où il a notamment participé hier à une masterclass en clôture du 34ème festival des films du monde de Montréal.

S'il n'a jamais eu la langue de bois, le comédien est depuis quelques semaines coutumier des petites phrases assassines notamment à l'égard de Juliette Binoche lors d'une interview à un magazine autrichien.

Une fois encore, Gérard Depardieu s'est laissé aller à la confidence devant la presse: "Je n’ai pas peur du ridicule. D'ailleurs, je n’ai jamais eu peur. Je chie sur la honte. On est ridicule à mon avis quand on a peur, sur ce qui nous échappe. Je dis aux jeunes acteurs, soyez sûrs de vous, et la scène devient poésie. Le jour où j’aurai peur, je serai mort" rapporte le journal de Montréal.

Par ailleurs, le réalisateur Francis Veber est selon lui un "pervers" qui "fait faire 78 prises, ce n'est pas normal" et Jean-Luc Godard est un intellectuel qui "ne sait par écrire pour le cinéma".

Le comédien s'est en revanche montré plus élogieux envers Truffaut, Berri et Pialat: "Ces gens-là manquent beaucoup au cinéma français. (...) Tous ces gens qui sont partis, ils sont là tous les jours en moi. Il ne se passe pas une journée sans que je voie une chose comme eux. C'est pour cette raison, comme disait Proust, que la mort n'existe pas, car ils vivent en nous. Il y a beaucoup de gens comme ça qui vivent en moi sans arrêt".

mardi 7 septembre 2010

MICHAEL DOUGLAS


La mauvaise nouvelle est connue depuis trois semaines, mais l’acteur Michael Douglas, 65 ans, a tenu à en parler dans une interview à l’émission de télévision Late Show de David Letterman, mardi soir. Il y a admis la gravité du cancer de la gorge dont il est atteint, mais s’est dit optimiste. «Il s’agit d’un cancer stade 4, évidemment on aurait préféré un stade 1, mais l’essentiel est qu’il ne se propage pas.» Devant les caméras, l’acteur a détaillé son état. «La tête et le cou sont atteints, pas le reste du corps ; les perspectives sont bonnes. Je n’aime pas le dire, mais pour l’instant, il paraît que j’ai 80 % de chances de survie», a-t-il ajouté. Le fils du légendaire Kirk Douglas, aujourd’hui âgé de 93 ans, a précisé qu’il avait des problèmes de gorge depuis plusieurs mois. «J’ai consulté plusieurs médecins qui n’ont rien trouvé, a-t-il dit. Puis nous sommes partis en vacances, nous avons passé un été magnifique avec Catherine [Zeta-Jones] et les enfants en Espagne, puis nous sommes allés en Russie, à Saint-Pétersbourg, splendide. Tout s’est précipité à mon retour, il y a trois semaines.»


L’acteur est actuellement sous traitement combiné de radiothérapie et chimiothérapie. Michael Douglas n’est pas le premier personnage célèbre à exposer au public la maladie dont il souffre. Avant lui, on a vu Dennis Hopper expliquer quelques semaines avant de mourir qu’il était au stade terminal d’un cancer de la prostate. En France, Bernard Giraudeau nous avait accordé un long entretien pour évoquer aussi sa maladie et… la mort.
source : liberation
filmographie selective de Michael Douglas
A la poursuite du diamant vert
Liaison fatale
Black rain
Basic instinct
The game
meutre parfait

lundi 6 septembre 2010

PIXAR ABANDONNE SON PROJET NEWT


Voilà deux jours, le blog Animation Guild Blog, réputé pour être peuplé d’insiders hollywoodiens, était secoué d’une nouvelle très peu relayée, puisque dévoilée dans les commentaires d’un article. Quelle nouvelle ? Pixar aurait décidé de mettre fin au projet NEWT, prévu en 2012, et mettant en scène les deux derniers tritons vivants, un mâle et une femelle, obligés de s’accorder pour faire survivre leur espèce, alors qu’ils ne peuvent se supporter. Rapidement, la rumeur laissait entendre que cette manœuvre de Pixar visait à laisser le créneau de sortie de l’été 2012 à MONSTRES ET COMPAGNIE 2, projet de longue date de Pete Docter, pourtant jamais officiellement lancé.


Après quelques jours de spéculation, voilà que Latino Review apprend d’une de ses sources internes que la suite des aventures de Mike et Sulley sont enfin en production pour une sortie prévue soit en 2012, soit en 2013. Pour le moment, l’implication de Pete Docter, qui avait réalisé le premier opus, reste incertaine. Tout comme le projet d’ailleurs, puisque Disney et Pixar demeurent silencieux sur le sujet.


Pixar, qui durant les quinze dernières années n’avait donné des suites qu’à sa franchise star TOY STORY, se lâche. TOY STORY 3 est prévu cette année, CARS 2 en 2011 et peut-être MONSTRES ET COMPAGNIE 2, donc. Si l’on fait toute confiance à Pixar pour ne pas tirer sur la corde et lancer des suites pour de bonnes raisons (artistiques), impossible de ne pas être troublé par cette stratégie de la part d’un studio connu pour son originalité et son indépendance totale par rapport aux canons hollywoodiens.
source
http://www.cinemateaser.com/?p=5068

samedi 4 septembre 2010

QUAND TOM S'AFFICHE !


Hasard ou coincidence, les affiches de TOM CRUISE se ressemblennt de plus en plus....
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