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vendredi 22 novembre 2013

L'affaire Oswald part 2


Les éléments suivants, sont de nature à convaincre de la non culpabilité d'Oswald dans le meurtre du Président Kennedy. La plupart se trouvaient dans le livre de Léo Sauvage, L'affaire Oswald (1965). L'auteur, journaliste au Figaro, confronta son enquête personnelle menée au jour le jour aux États-Unis de novembre 1963 à octobre 1964, à une lecture minutieuse du rapport Warren et conclut à l'innocence pleine et entière d'Oswald.

Sur le plan procédural, la commission Warren ignora délibérément, après sa nomination, le point de vue posthume de la défense à savoir l'innocence de Lee Harvey Oswald, exprimé par la mère de l'accusé, Marguerite Oswald et son avocat Mark Lane qui ne put assister aux séances de la Commission Warren 

Dans la famille seule l'épouse, Marina Oswald convaincue de la culpabilité de son mari, fut entendue [60].
Buell Wesley Frazier (qui a conduit Oswald au travail) et de sa sœur Linnie Mae Randle fois décrit le sac[pas clair] comme étant très court, beaucoup trop court pour s'adapter à la carabine, même dans son état démonté.
Charles Givens qui prétendait observé pour la dernière Oswald au 6e étage du TSBD à environ 11:55 - fait absolument aucune mention de cela au cours de sa première entrevue avec le FBI le 23 novembre.
4 témoins ont dit avoir vu Oswald au premier étage entre 11h45 et 12h25.
Le témoignage de Brennan est en partie discutable, notamment parce qu'il refusa, dans un premier temps, d'identifier formellement Oswald.
D'après des témoins, Oswald a été vu environ 90 secondes après l'assassinat, au premier étage, et porteur d'une bouteille de coca-cola à la main, il avait l'air calme et pas essoufflé.
Pendant ce laps de temps, plusieurs personnes ont descendu sans lui les escaliers de cet immeuble sans ascenseur.
La plupart des témoins qui ont vu un homme dans la fenêtre du cinquième étage du TSBD ont décrit un homme jeune mais portant une chemise claire sans col ou un tee shirt.

D'autres témoins ont aperçu sur le pont au moment des tirs, des hommes viser le Président.
L'empreinte de paume relevée par la police de Dallas est considérée comme douteuse car elle n'a pas été relevée dans un premier temps, puis l'arme a été confiée au FBI qui n'a rien relevé, puis l'arme est revenue à la police de Dallas et c'est à ce moment-là que l'empreinte a été relevée. Il est permis d'envisager que l'empreinte ait été obtenue de la main d'Oswald à la morgue.

À partir du film de Zapruder, on pourrait supposer que le coup de feu qui a frappé Kennedy dans la tête est peut-être venu de l'avant. Le fait que la tête de Kennedy recule lorsqu'il est frappé par la balle fatale, indiquerait que la balle a été tirée à partir de l'avant. Theroists soulignent aussi le grand nombre de médecins et d'infirmières à l'hôpital Parkland, ainsi que d'autres, qui ont déclaré que la majeure partie de l'arrière de la tête du président a été soufflée, ce qui suggère fortement qu'il avait été frappé par l'avant.
La tentative d'assassinat de Walker : Walker étant une personnalité d'extrême droite qui détestait John Kennedy, une tentative d'assassinat contre lui, pour autant qu'elle soit attestée, disculpe plutôt qu'elle n'accuse Oswald d'avoir par la suite voulu assassiner le Président pour lequel d'ailleurs Lee Harvey Oswald ne tarissait pas d'éloges 

Les interrogatoires de Lee Harvey Oswald par la police le 23 novembre 1963 n'ayant pas été consignés, et le prévenu n'ayant pas été assisté par un avocat, il est impossible de se prononcer sur la réalité ou la nature de ses mensonges que la Commission affirme exister et porter sur des points sérieux, suffisants à ses yeux pour rejeter la crédibilité de ses dénégations quant à l'assassinat du Président.

L'impossible démonstration de la culpabilité d'Oswald repose sur une erreur méthodologique de la Commission Warren : elle ne s'est pas intéressée, comme dans toute enquête criminelle de droit commun, aux ennemis déclarés de la victime, détenteurs à ce titre d'un mobile, à leurs aptitudes à commettre le meurtre, à leurs éventuelles absences d'alibis, ou capacités à en trouver par l'engagement d'un tueur. Elle s'est acharnée au contraire sur le premier suspect venu qui dans la réalité ne répondait à aucun de ces critères de base essentiels à une investigation fructueuse


http://fr.wikipedia.org/wiki/Lee_Harvey_Oswald 

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