Tout ce que vous voulez savoir sur le directors cut de JOHN RAMBO. La différence avec le montage cinéma, minute par minute, c'est pas ici....
http://www.ecranlarge.com/article-details-16934.php
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Why did they pick you? Because you like to fight?
Rambo:
I'm expendable. Co Bao: What mean expendable? Rambo: It's like someone invites you to a party and you don't show up. It doesn't really matter.
Rambo II
Arrivée en hélicoptère et tapis rouge : l'acteur Sylvester Stallone est attendu jeudi à Rosny-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis, département populaire du Nord de la région parisienne, loin des paillettes, mais qui ne va pas sans susciter l'intérêt d'Hollywood et des Américains. Une visite qui ne va pas passer inaperçue. Jeudi, vers 19h, le célèbre interprète de Rocky ou Rambo doit atterrir en hélicoptère à Rosny-sous-Bois. Au programme, tapis rouge et présentation de son nouveau film, "Expendables", dont la sortie est prévue le 18 août. Il pourrait être accompagné d'autres acteurs du film : Jason Statham, Dolph Lundgren et, peut-être, Mickey Rourke.
"Je les ai contactés après le succès de la visite de Travolta", explique Olivier Févin, directeur du cinéma UGC de Rosny. Car, en février, le multiplexe accueillait la star de "Grease" et de "Pulp Fiction", pour la présentation du film "From Paris with love". "S'il y a un public pour ce genre de films populaires, de grand spectacle, c'est bien à Rosny", lance-t-il. Son cinéma est le quatrième en terme d'entrées, avec plus de deux millions de spectateurs en 2009.
Travolta avait en effet été acclamé par des centaines de spectateurs, à Rosny : pas vraiment d'échange avec le public mais juste un "Bonjour, je suis heureux d'être là. J'aime beaucoup" et de longs et vigoureux applaudissements. L'équipe de production s'était félicitée d'un accueil très enthousiaste, bien différent de celui réservé par le public parisien, jugé plus froid. En avril, c'était au tour de Samuel Jackson ("Pulp Fiction", "Shaft") de débarquer à Bondy, toujours en Seine-Saint-Denis, un département pourtant bien plus habitué aux pages "faits divers" que "cinéma" ou "people". Immense succès pour lui aussi. Mais il était venu dans un cadre bien différent d'une promo de film, avec l'ambassadeur des Etats-Unis en France, Charles Rivkin. Ce dernier, avait promis quelques jours auparavant, lors d'une visite à La Courneuve, de revenir avec une vedette.
Le diplomate, ex-producteur du "Muppet show", avec son réseau hollywoodien, a donc proposé cette visite à l'acteur, "un des plus grands ambassadeurs de la culture américaine" selon lui. "Vous avez le pouvoir de changer les règles !", avait alors dit Samuel Jackson aux jeunes, les encourageant à travailler dur et persévérer. "Ces visites, c'est pour que les habitants de là-bas, de Bondy ou de La Courneuve, sachent que nous, à l'ambassade des Etats-Unis, nous nous intéressons à eux et que nous aimerions tisser des liens avec eux", explique-t-on à l'ambassade. "On essaye d'être un peu partout en France depuis des années, car les leaders de demain peuvent sortir de n'importe quel endroit, pas juste des grandes écoles", poursuit-elle.
Des mots qui détonnent, pour une jeunesse des quartiers difficiles qui se plaint souvent d'être stigmatisée et même discriminée. "En France, on a l'impression que la banlieue, c'est loin. Les Etats-Unis se sont rendus compte qu'il y avait des énergies en banlieue", avait dit Nordine Nabili, du "Bondy blog", après la visite de l'acteur. "Le tissage de ces liens, la construction de ces ponts ne se font pas en un jour, pas à partir d'une seule visite d'un seul acteur américain, mais si ça peut susciter l'intérêt des habitants, tant mieux", poursuit l'ambassade. Bondy a accueilli une autre star, le 22 juillet : le chanteur Prince, venu y répéter, en pleine tournée estivale européenne. Mais cette fois, en toute discrétion.
"Je les ai contactés après le succès de la visite de Travolta", explique Olivier Févin, directeur du cinéma UGC de Rosny. Car, en février, le multiplexe accueillait la star de "Grease" et de "Pulp Fiction", pour la présentation du film "From Paris with love". "S'il y a un public pour ce genre de films populaires, de grand spectacle, c'est bien à Rosny", lance-t-il. Son cinéma est le quatrième en terme d'entrées, avec plus de deux millions de spectateurs en 2009.
Travolta avait en effet été acclamé par des centaines de spectateurs, à Rosny : pas vraiment d'échange avec le public mais juste un "Bonjour, je suis heureux d'être là. J'aime beaucoup" et de longs et vigoureux applaudissements. L'équipe de production s'était félicitée d'un accueil très enthousiaste, bien différent de celui réservé par le public parisien, jugé plus froid. En avril, c'était au tour de Samuel Jackson ("Pulp Fiction", "Shaft") de débarquer à Bondy, toujours en Seine-Saint-Denis, un département pourtant bien plus habitué aux pages "faits divers" que "cinéma" ou "people". Immense succès pour lui aussi. Mais il était venu dans un cadre bien différent d'une promo de film, avec l'ambassadeur des Etats-Unis en France, Charles Rivkin. Ce dernier, avait promis quelques jours auparavant, lors d'une visite à La Courneuve, de revenir avec une vedette.
Le diplomate, ex-producteur du "Muppet show", avec son réseau hollywoodien, a donc proposé cette visite à l'acteur, "un des plus grands ambassadeurs de la culture américaine" selon lui. "Vous avez le pouvoir de changer les règles !", avait alors dit Samuel Jackson aux jeunes, les encourageant à travailler dur et persévérer. "Ces visites, c'est pour que les habitants de là-bas, de Bondy ou de La Courneuve, sachent que nous, à l'ambassade des Etats-Unis, nous nous intéressons à eux et que nous aimerions tisser des liens avec eux", explique-t-on à l'ambassade. "On essaye d'être un peu partout en France depuis des années, car les leaders de demain peuvent sortir de n'importe quel endroit, pas juste des grandes écoles", poursuit-elle.
Des mots qui détonnent, pour une jeunesse des quartiers difficiles qui se plaint souvent d'être stigmatisée et même discriminée. "En France, on a l'impression que la banlieue, c'est loin. Les Etats-Unis se sont rendus compte qu'il y avait des énergies en banlieue", avait dit Nordine Nabili, du "Bondy blog", après la visite de l'acteur. "Le tissage de ces liens, la construction de ces ponts ne se font pas en un jour, pas à partir d'une seule visite d'un seul acteur américain, mais si ça peut susciter l'intérêt des habitants, tant mieux", poursuit l'ambassade. Bondy a accueilli une autre star, le 22 juillet : le chanteur Prince, venu y répéter, en pleine tournée estivale européenne. Mais cette fois, en toute discrétion.
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