Jack Bauer est à nouveaux sur les dents : après plusieurs mois d'enquête et d'infiltration pour capturer le chef d'une organisation terroriste mexicaine, le célèbre agent du CTU se retrouve face à un incroyable dilemme lorsque les sbires du criminel se manifestent.
Leur leader doit être relâché dans la nature aujourd'hui même sous peine de voir un virus mortel se répandre en quelques heures sur Los Angeles. Jack n'a alors plus aucune alternative et va devoir enfreindre toutes les juridictions pour empêcher la catastrophe.
Série phare, série culte, série novatrice mais surtout série qui permettait à la petite lucarne de ne pas avoir à rougir face aux mastodontes s'enlisant sur le grand écran, 24 heures chrono est parvenu à attirer nos faveurs sans nous faire sourciller deux années durant.
Concept génial en l'état, le temps réel permettait d'offrir une implication plus précise du spectateur dans l'aventure de son personnage favori puisque l'on pouvait vivre avec lui ses trajets en voitures, ses conversations, ses coups de barres et autres problèmes poussés à l'extrême par des scénaristes sans cesse sadiques.
Mieux encore, ce vrai faux temps réel (44 minutes pour en raconter l'histoire de 60, sont inclus les 16 minutes de pub aux USA) pouvait permettre au spectateur le plus chevronné de vivre simultanément ce même laps de temps en regardant les épisodes les uns à la suite des autres.
Une idée originale au service de scénarios qui ne le sont pas moins, puisque sans cesse renouvelés par des coups de poker - la plupart du temps improvisés en milieu de saison – et autres twists scénaristiques nourrissant le suspens jusqu'au gong final.
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