Conan le barbare, de John Milius
Véritable choc visuel et sonore lors de sa sortie en 1982, Conan le barbare participe grandement au début de la gloire d'Arnold Schwarzenegger, deux avant le Terminator de James Cameron. La violence crue des images et la composition épique de Basil Poledouris permettent au film de marquer une génération entière de spectateurs, leur ouvrant la porte d'un univers heroic fantasy jusque là inconnu du grand public.
L'année du dragon, de Michael Cimino
Michael Cimino signe L'Année du dragon adaptation du roman de Robert Daley sur un scénario coécrit avec Olivier Stone. Un film qui permettra à Mickey Rourke, dont ce n'était pas le premier rôle, de se tailler une belle notoriété publique juste avant Neuf semaines et demi. Un film réussi sur un vétéran du Viêt Nam devenu flic à New York et qui enquête sur des meurtres et un trafic de drogue à Chinatown.
King Kong (1976)
S'attaquer à King Kong reste une gageure à Hollywood. Après le film de 1933, Dino De Laurentiis lance la production d'un remake avec dans le rôle de la belle Dwan Jessica Lange. Jeff Bridges est également au générique du film réalisé par John Guillermin. Pour la petite histoire, Roman Polanski avait refusé la réalisation de cette version 1976. Différence notable entre la première version et son adaptation, l'Empire State Building a été remplacé dans la scène finale par les tours jumelles du World Trade Center.
Dune de David Lynch
Dino De Laurentiis produit cette adaptation d'un monument de la littérature, l'oeuvre de science-fiction écrite par Frank Herbert parue en 1965. David Lynch tente, tant bien que mal, de donner vie aux Atréïdes et à leurs ennemis les Harkonnens. Parmi le casting, on retrouve Brad Dourif, Linda Hunt, Kyle MacLachlan ou encore le leader du groupe The Police, Sting. L'épouse de Dino De Laurentiis, Silvana Mangano, a même le droit à un petit rôle.
Les 3 jours du Condor de Sydney Pollack
Réalisé par Sydney Pollack, Les Trois jours du Condor réunit un casting cinq étoiles (Robert Redford, Faye Dunaway, Max Von Sydow) autour d'un thriller où un romancier met en lumière un réseau d'espions au sein même de la CIA. Pour une réalisation soignée, qui brillait dans les années 70.
Le Sixième sens, de Michael Mann
En 1986, Michael Mann, alors jeune réalisateur en devenir surfant sur le succès de sa création télévisée Deux flics à Miami, est bien le premier à adapter sur grand écran le roman de Thomas Harris, Dragon rouge. Certes, le Hannibal Lecter interprété par Brian Cox ne reste pas gravé dans les mémoires autant que celui d'Anthony Hopkins cinq ans plus tard, mais l'atmosphère asphyxiante du thriller est bien là. Le film est un échec commercial, mais Dino de Laurentiis pourra tout de même se vanter d'avoir mis en lumière deux futurs monstres sacrés, Michael Mann et Hannibal Lecter.
Hannibal, de Ridley Scott
A l'exception du Silence des Agneaux, Dino de Laurentiis a également produit les différentes aventures du serial-killer, Hannibal Lecter. Parmi elles, il y a ce pur plaisir coupable : Hannibal, réalisé par Ridley Scott, où Julianne Moore remplaçait à la dernière minute Jodie Foster. Bien que tièdement accueilli à sa sortie, ce festin cru, reposant sur une accumulation de scènes presque émétiques, donne au spectateur un arrière-goût nauséeux dans la bouche. Comme s'il venait de manger de la carne empoisonnée. A noter, une scène culte d'autoparodie où Hannibal fait manger... de la cervelle !
Véritable choc visuel et sonore lors de sa sortie en 1982, Conan le barbare participe grandement au début de la gloire d'Arnold Schwarzenegger, deux avant le Terminator de James Cameron. La violence crue des images et la composition épique de Basil Poledouris permettent au film de marquer une génération entière de spectateurs, leur ouvrant la porte d'un univers heroic fantasy jusque là inconnu du grand public.
L'année du dragon, de Michael Cimino
Michael Cimino signe L'Année du dragon adaptation du roman de Robert Daley sur un scénario coécrit avec Olivier Stone. Un film qui permettra à Mickey Rourke, dont ce n'était pas le premier rôle, de se tailler une belle notoriété publique juste avant Neuf semaines et demi. Un film réussi sur un vétéran du Viêt Nam devenu flic à New York et qui enquête sur des meurtres et un trafic de drogue à Chinatown.
King Kong (1976)
S'attaquer à King Kong reste une gageure à Hollywood. Après le film de 1933, Dino De Laurentiis lance la production d'un remake avec dans le rôle de la belle Dwan Jessica Lange. Jeff Bridges est également au générique du film réalisé par John Guillermin. Pour la petite histoire, Roman Polanski avait refusé la réalisation de cette version 1976. Différence notable entre la première version et son adaptation, l'Empire State Building a été remplacé dans la scène finale par les tours jumelles du World Trade Center.
Dune de David Lynch
Dino De Laurentiis produit cette adaptation d'un monument de la littérature, l'oeuvre de science-fiction écrite par Frank Herbert parue en 1965. David Lynch tente, tant bien que mal, de donner vie aux Atréïdes et à leurs ennemis les Harkonnens. Parmi le casting, on retrouve Brad Dourif, Linda Hunt, Kyle MacLachlan ou encore le leader du groupe The Police, Sting. L'épouse de Dino De Laurentiis, Silvana Mangano, a même le droit à un petit rôle.
Les 3 jours du Condor de Sydney Pollack
Réalisé par Sydney Pollack, Les Trois jours du Condor réunit un casting cinq étoiles (Robert Redford, Faye Dunaway, Max Von Sydow) autour d'un thriller où un romancier met en lumière un réseau d'espions au sein même de la CIA. Pour une réalisation soignée, qui brillait dans les années 70.
Le Sixième sens, de Michael Mann
En 1986, Michael Mann, alors jeune réalisateur en devenir surfant sur le succès de sa création télévisée Deux flics à Miami, est bien le premier à adapter sur grand écran le roman de Thomas Harris, Dragon rouge. Certes, le Hannibal Lecter interprété par Brian Cox ne reste pas gravé dans les mémoires autant que celui d'Anthony Hopkins cinq ans plus tard, mais l'atmosphère asphyxiante du thriller est bien là. Le film est un échec commercial, mais Dino de Laurentiis pourra tout de même se vanter d'avoir mis en lumière deux futurs monstres sacrés, Michael Mann et Hannibal Lecter.
Hannibal, de Ridley Scott
A l'exception du Silence des Agneaux, Dino de Laurentiis a également produit les différentes aventures du serial-killer, Hannibal Lecter. Parmi elles, il y a ce pur plaisir coupable : Hannibal, réalisé par Ridley Scott, où Julianne Moore remplaçait à la dernière minute Jodie Foster. Bien que tièdement accueilli à sa sortie, ce festin cru, reposant sur une accumulation de scènes presque émétiques, donne au spectateur un arrière-goût nauséeux dans la bouche. Comme s'il venait de manger de la carne empoisonnée. A noter, une scène culte d'autoparodie où Hannibal fait manger... de la cervelle !
source : ECRANLARGE
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