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En 2257, le croiseur spatial C-57-D du commandant Adams se pose sur la planète Altaïr 4 pour secourir le Bellérophon, un vaisseau d'exploration dont l'équipage n'a plus donné signe de vie depuis 19 ans. Sur place, l'équipage ne découvre que deux survivants : le docteur Morbius et sa fille Altaïra, assistés de Robby le robot. Ceux-ci lui apprennent qu'une mystérieuse force invisible a tué un à un tous les membres de l'expédition et que la planète recèle les derniers vestiges d’une civilisation hautement évoluée et disparue, les Krells.
Planète interdite est l'un des premiers films de science-fiction ayant bénéficié de la couleur et du format cinémascope. Avec 2001, l'odyssée de l'espace, il est également l'un des deux films de science-fiction qui ont durablement marqué le genre et leur époque.
Le robot de la serie télévisée Perdus dans l'espace (Lost in space) partage beaucoup « des traits de caractère » de Robby ainsi que certains de ses attributs mécaniques bien que d'une mobilité moins évoluée. Les deux robots ont été créés par le même homme, Robert Kinoshita, et se rencontreront même dans l'épisode 60 de Perdus dans l'espace intitulé Les condamnés de l'espace (Condemned of Space). La musique du film et les effets sonores, créés par les époux Louis Barron et Bebe Barron, forment ce que l'on considère comme la première bande originale de film n'utilisant que des sources électroniques. Le film permit à la musique électronique de toucher le grand public et l'impact sur le développement de cette musique aux USA fut important.
Planète interdite, le film, a fortement influencé la série télévisée Perdus dans l'espace (Lost in space). Les personnages sont différents car nous avons à faire ici avec une sorte de famille Robinson suisse (perdue) dans l'espace, ou plus particulièrement sur une planète, alors que le film décrit un équipage qui s'est écrasé sur une planète, avec peu de survivants, qui vont être secourus... Mais le véritable vecteur de la série est le robot, une copie quasi conforme du film. La série télé a elle-même engendré, en 1998 le film Perdus dans l'espace (Lost in space).
Le film est également l'ancêtre conceptuel de la série télévisée Star Trek (1966-68). On retrouve d'ailleurs la même toile de fond: un vaisseau spatial militaire capable de voguer à une vitesse supérieure à celle de la lumière. Il y a la même curiosité de faire des découvertes, d'enquêter et, au besoin, de risquer sa vie. On y retrouve également la même complicité dans l'équipage - particulièrement dans la relation entre le capitaine et le médecin de bord. En fait, les deux capitaines et médecins de bord sont interchangeables, et ils auraient été à l'aise dans les deux vaisseaux
source ; Wikipédia. (merci à l'internaute anonyme de m'avoir prévenu, j'avais oublié.)
La semaine commence mal, la nouvelle est tombée ce matin, L’acteur canadien Leslie Nielsen, vedette de la comédie Y a-t-il un pilote dans l’avion?, est mort dimanche dans un hôpital en Floride à l’âge de 84 ans, a annoncé son neveu Doug Nielsen.
Hospitalisé depuis douze jours pour des problèmes pulmonaires, il a vu son état s’aggraver ces dernières 48 heures, a indiqué Doug Nielsen à une radio du Manitoba, CKNW. Dimanche après-midi, «avec ses amis et sa femme Barbaree à ses côtés, il s’est juste endormi et il est mort», a-t-il ajouté.
Leslie Nielsen s’est fait connaître grâce à ses apparitions dans les séries télévisées américaines à succès telles que Peyton Place, Dr Kildare, Le Fugitif, Kojak ou M.A.S.H.
Il a acquis une célébrité internationale grâce à quelques films-cultes comme PLANETE INTERDITE et surtout Y a-t-il un pilote dans l’avion? (1980), puis la trilogie Y a-t-il un flic pour sauver la Reine?, Y a-t-il un flic pour sauver le président? et Y a-t-il un flic pour sauver Hollywood?
Une page du cinéma parodique se tourne avec la disparition de ce grand acteur. Le plein de Super lui rendra hommage toute cette semaine.
Marc de Jonge est un acteur français né le 16 février 1949 à Nancy (France), décédé le 6 juin 1996 à Paris (France) des suites d'un accident.
Il a joué dans une cinquantaine de films. En 1982, il interpréte le coiffeur Oscar dans Mon curé chez les nudistes Il est connu pour avoir interprété le colonel soviétique Zaysen dans Rambo 3, en 1988.
Dans ce film, il est un redoutable pilote d'hélicoptére de guerre et le chef du camp soviétique en Afghanistan qui combat Sylvester Stallone.
Il tourne en 1985 la pub de BOURSIN qui restera dans toutes les mémoires !
En 1994, il est l'homme de main Rossberg dans Un indien dans la ville avec Patrick Timsit.
Il décède des suites d'un accident domestique. (En 1996, alors qu'il avait oublié ses clés chez lui, il a voulu escalader son immeuble mais a chuté... mortellement. Lu sur le net)
FILMOGRAPHIE SELECTIVE :
1978 : Et vive la liberté! de Serge Korber 1984 : Rue barbare de Gilles Béhat 1984 : Ronde de nuit de Jean-Claude Missiaen : Roland Bauchaud
1984 : Rive droite, rive gauche de Philippe Labro : Jaffré 1987 : Empire du soleil (Empire of the Sun) de Steven Spielberg : Frenchman 1987 : De guerre lasse de Robert Enrico : Capitaine SS Interrogatoire 1988 : Rambo III de Peter Mac Donald : Col. Zaysen
1989 : La Révolution française de Robert Enrico et Richard T. Heffron: Antoine Joseph Santerre 1990 : Présumé dangereux de Georges Lautner : Vigier 1991 : L'Opération Corned-Beef de Jean-Marie Poiré: Consul Burger 1994 : La Vengeance d'une blonde de Jeannot Szwarc : Vernon 1994 : La Cité de la peur de Alain Berberian : Le patron de Karamazov
Arthur a voulu se la jouer à l’Américaine en lançant son talk show sur Comédie.
Ça s’appelle Ce soir avec Arthur et ça a démarré le 8 Novembre dernier. Ce qu’il avait oublié de préciser, c’est que le générique de son show était plagié sur celui du Late Show, présenté par Craig Ferguson sur CBS aux États Unis.
Le présentateur américain en a eu écho par le biais de Twitter et s’est amusé à comparer, dans sa propre émission, les deux génériques.
ACTE 2 :
Arthur a réagi ce matin sur Europe 1. Un très beau numéro d’Actors Studio. C’est en jouant le mec mort de rire qu’Arthur s’est expliqué sur les accusations de plagiat portées à son encontre par Craig Ferguson, l’animateur du Late Late Show, dont nous vous parlions ce matin.
« Je suis le plus heureux des hommes », a déclaré Arthur sur l’antenne d’Europe 1. « Avant, je faisais des émissions que tout le monde regardait mais dont personne ne parlait. Là, tout le monde parle d’une émission que personne ne regarde », a-t-il fait mine de se réjouir. Car Arthur réfute en bloc avoir pompé de A à Z le Late Late Show de CBS en créant Ce soir avec Arthur sur la chaine Comédie !. Il admet tout au plus s’être largement inspiré du générique américain pour créer le sien, mais uniquement pour rendre un « hommage appuyé » à Craig Ferguson, dont il est « super fan ».
Non, vraiment, penser qu’Arthur ait pu copier le talk show US n’est qu’un délire de « journalistes crétins », qui ne comprennent rien à rien. Rien du tout. D’ailleurs, selon Arthur, Craig Ferguson devrait être ravi de cette affaire : « Personne ne parlait de lui en France, personne ne parlait de moi là-bas, c’est win win », a-t-il assuré. Ferguson va-t-il appeler Arthur pour le remercier ? Pas sûr. Alors qu’hier, l’entourage du Français assurait que les deux animateurs étaient « plus complices qu’on ne le croyait », Arthur a admis ne pas le connaître personnellement.
Peut-être la seule chose de vraie dans les explications données ce matin par le « comique » de Comédie !.
Julien Guiomar est mort. L'acteur avait 82 ans. Sans être une tête d'affiche, l'acteur était devenu en une soixantaine de films un visage hyper familier du cinéma français. Il s'est également illustré dans de nombreux téléfilms (Lagardère, La nuit des hulottes, Le capitaine Fracasse...). Julien Guiomar est remarqué en 1969 dans le film Z de Costa-Gavras, dans lequel il incarne un colonel grec.
Il tourne ensuite pour des réalisateurs de renom tels Claude Sautet (Mado), André Techiné (Souvenirs d'en France), Michel Audiard (Bons baisers...à lundi), Philippe de Broca (L'incorrigible), et enchaîne les collaborations avec Claude Zidi (il était l'infâme Tricatel de L'Aile ou la Cuisse, le chef de la police dans Inspecteur la Bavure,le commissaire sniffeur des Ripoux...). Les Français l'avaient également adoré dans le rôle du Colonel Vincent dans Papy fait de la résistance, de Jean-Marie Poiré en 1983.
Parallèlement à sa carrière sur petit et grand écran, Julien Guiomar a toujours gardé un pied sur les planches, dans des pièces telles Mère Courage, Songe d'une nuit d'été ou encore Le roi des cons. Cinéma, théâtre, télévision, Julien Guiomar était un acteur polyvalent, habitué aux personnages drôles et forts en gueule.
Pour sa quatrième aventure, l'inspecteur John McClane se trouve confronté à un nouveau genre de terrorisme. Le réseau informatique national qui contrôle absolument toutes les communications, les transports et l'énergie des Etats-Unis, est détruit de façon systématique, plongeant le pays dans le chaos. Le cerveau qui est derrière le complot a tout calculé à la perfection. Ou presque... Il n'avait pas prévu McClane, un flic de la vieille école qui connait deux ou trois trucs efficaces pour déjouer les attaques terroristes.
Je viens de revoir le 4 en bluray, le film tient toutes ses promesses, pourtant c'était pas gagné
DIE HARD 4 sort en 2008, 13 ans après le 3 "Une journée en enfer". L'attente a été longue. quelques mois avant, d'autres sagas telles que ROCKY, INDIANA JONES et RAMBO avaient tenté leur chance avec plus ou moins de succès.
Avec le recul, les films tels que ROCKY BALBOA comme JOHN RAMBO (pas indispensables) cloturent bien leur saga respective, quant à INDIANA JONES 4, tout a été dit, c'est l'épisode de trop, tout ce qu'il ne fallait pas faire est dans le film. comment peut ont faire un chef d'oeuvre tel que "la dernière croisade" et foirer un "crâne de cristal" à ce point. j'ai peut être la réponse (SHIA LE BOEUF) mais j'en reparlerai prochainement.
Visionner DIE HARD 4 la 1ere fois sans appréhension me semblait impossible vu que la trilogie fait partie des mes films cultes.
Heureusement, le résultat est à la hauteur de la saga, le méchant n'arrive certe pas à la cheville d'Allan Rickman (Die hard 1) , mais peu importe, on regarde ce numéro 4 avec beaucoup de plaisir.
DIE HARD 4 RETOUR EN ENFER sauve donc avec honneur la saga. Bruce Willis parle déjà d'un N°5... wait and see.
À l'occasion de la sortie en Blu-ray de l'édition collector d'Avatar, 20th Century Fox Home Video a donné à une bloggeuse/artiste plasticienne appelée Lo-Lopas moins de 4000 Blu-ray du film afin que celle-ci recrée l'affiche du film de James Cameron, sous forme de mosaïque, uniquement composée de Blu-ray. En fait, la demande de la Fox n'était pas absolument absurde, puisque Lo-Lo détenait déjà le record (homologué au Guinness Book !) de la plus grande mosaïque composée avec des toasts (9852 tranches de pain, pour une superficie de 10 mètres sur 13). Elle avait donc du temps devant elle...
L'artiste a donc installé sa mosaïque faite en Blu-ray au London Film Museum : elle mesure 9,6 mètres sur 6, soit 57,6 mètres carrés au total.
INUTILE DONC INDISPENSABLE !
source : ECRAN LARGE http://www.ecranlarge.com/article-details-17919.php
Actuellement en plein tournage de Tower Heist, une comédie d'action avec Ben Stiller, Eddie Murphy et Casey Affleck, le réalisateur Brett Ratner a ressorti le vieux dossier du Flic e Beverly Hills 4, que l'on croyait pourtant mort et enterré. Le site MTV News a pu discuter avec Ratner et en a donc profité pour lui demander s'il était toujours intéressé par ce quatrième épisode de la franchise. Il aurait simplement répondu "Oh oui, croyez-moi, je suis à fond dessus. Je suis à fond dessus". ("Oh yeah, believe me, I'm all over it. I am all over it"
A propos de l'implication d'Eddie Murphy : "Il est très sensible à ce sujet, car après le succès des deux premiers épisodes, le troisième n'a pas marché. C'est un film important pour lui car son personnage est emblématique. Je ne pense pas qu'il y ait un seul endroit au monde où les gens ne lui disent pas 'Yo, Axel Foley !'. C'est son Clark Kent. C'est son Darth Vader. Son albatros. Donc, je suis heureux qu'il m'ait choisi comme réalisateur pour cet épisode."
A propos d'une éventuelle date de sortie : "Ce n'est pas un processus facile. Ca ne se fera pas de si tôt. Mais Murphy veut que je le fasse et moi je veux le faire avec lui... "
58 minutes pour vivre (DIE HARD 2) était une très bonne suite à piège de cristal (pas facile de faire mieux ?) mais DIE HARD 3 est une réussite totale. En général, les N°3 sont toujours moins bons que le précédents, ce film est l’exception qui confirme la règle..
New York à l'aube, une bombe explose dans un grand magasin. Peu de temps après, un homme du nom de « Simon » contacte la police et revendique l'attentat. Sans en révéler davantage, il demande à jouer à Jacques a dit (Simon says) avec un homme de la police, à défaut de quoi la ville sera mise à feu et à sang.
L'inspecteur en question, c'est John McClane, protagoniste de Piège de cristal et 58 minutes pour vivre. Seulement, désormais séparé de sa femme et alcoolique, il n'est depuis plus que l'ombre de lui-même. Aussi se demande-t-il bien pourquoi ce mystérieux terroriste tient tant à le faire souffrir.
On connaissait des acteurs français (Jugnot / Auteuil...) qui, le temps d'une pause sortaient un 45T. Le résultat était parfois surprenant, toujours à la limite du ridicule. Certaines actrices ont aussi tenté l'aventure musicale. Caroline Munro, actrice Italienne de séries Z et de nanars incontournables (STAR CRASH) avait fait un duo de Choc avec un certain Hamilton dans les années 70. Qui s'en souvient ?
Véritable choc visuel et sonore lors de sa sortie en 1982, Conan le barbare participe grandement au début de la gloire d'Arnold Schwarzenegger, deux avant le Terminator de James Cameron. La violence crue des images et la composition épique de Basil Poledouris permettent au film de marquer une génération entière de spectateurs, leur ouvrant la porte d'un univers heroic fantasy jusque là inconnu du grand public.
L'année du dragon, de Michael Cimino
Michael Cimino signe L'Année du dragon adaptation du roman de Robert Daley sur un scénario coécrit avec Olivier Stone. Un film qui permettra à Mickey Rourke, dont ce n'était pas le premier rôle, de se tailler une belle notoriété publique juste avant Neuf semaines et demi. Un film réussi sur un vétéran du Viêt Nam devenu flic à New York et qui enquête sur des meurtres et un trafic de drogue à Chinatown.
King Kong (1976)
S'attaquer à King Kong reste une gageure à Hollywood. Après le film de 1933, Dino De Laurentiis lance la production d'un remake avec dans le rôle de la belle Dwan Jessica Lange. Jeff Bridges est également au générique du film réalisé par John Guillermin. Pour la petite histoire, Roman Polanski avait refusé la réalisation de cette version 1976. Différence notable entre la première version et son adaptation, l'Empire State Building a été remplacé dans la scène finale par les tours jumelles du World Trade Center.
Dune de David Lynch
Dino De Laurentiis produit cette adaptation d'un monument de la littérature, l'oeuvre de science-fiction écrite par Frank Herbert parue en 1965. David Lynch tente, tant bien que mal, de donner vie aux Atréïdes et à leurs ennemis les Harkonnens. Parmi le casting, on retrouve Brad Dourif, Linda Hunt, Kyle MacLachlan ou encore le leader du groupe The Police, Sting. L'épouse de Dino De Laurentiis, Silvana Mangano, a même le droit à un petit rôle.
Les 3 jours du Condor de Sydney Pollack
Réalisé par Sydney Pollack, Les Trois jours du Condor réunit un casting cinq étoiles (Robert Redford, Faye Dunaway, Max Von Sydow) autour d'un thriller où un romancier met en lumière un réseau d'espions au sein même de la CIA. Pour une réalisation soignée, qui brillait dans les années 70.
Le Sixième sens, de Michael Mann
En 1986, Michael Mann, alors jeune réalisateur en devenir surfant sur le succès de sa création télévisée Deux flics à Miami, est bien le premier à adapter sur grand écran le roman de Thomas Harris, Dragon rouge. Certes, le Hannibal Lecter interprété par Brian Cox ne reste pas gravé dans les mémoires autant que celui d'Anthony Hopkins cinq ans plus tard, mais l'atmosphère asphyxiante du thriller est bien là. Le film est un échec commercial, mais Dino de Laurentiis pourra tout de même se vanter d'avoir mis en lumière deux futurs monstres sacrés, Michael Mann et Hannibal Lecter.
Hannibal, de Ridley Scott
A l'exception du Silence des Agneaux, Dino de Laurentiis a également produit les différentes aventures du serial-killer, Hannibal Lecter. Parmi elles, il y a ce pur plaisir coupable : Hannibal, réalisé par Ridley Scott, où Julianne Moore remplaçait à la dernière minute Jodie Foster. Bien que tièdement accueilli à sa sortie, ce festin cru, reposant sur une accumulation de scènes presque émétiques, donne au spectateur un arrière-goût nauséeux dans la bouche. Comme s'il venait de manger de la carne empoisonnée. A noter, une scène culte d'autoparodie où Hannibal fait manger... de la cervelle !
J'ai maté DIE HARD 2 en bluray hier soir et bien, même s'il ne rivalise pas avec les derniers films HD du moment, même si la restauration n'est pas du niveau d'un blade runner, l'apport de la HD fait quand même la différence (précision de l'image sur l'ensemble du film (ex flagrant touches du talkie walky, et j'en passe...) Quant au film, souvent sité comme le moins bon de la saga... hahaahaha je rigole ! DIE HARD 2 est aussi bien voir meilleur que PIEGE DE CRISTAL ce qui n'est pas souvent le cas des trilogies et autres sagas, c'est pour cette raison qu'il fait partie de la nouvelle rubrique "LES SUITES AU TOP"
L'acteur Thierry Lhermitte est très lucide sur son avenir dans le cinéma, ainsi qu'il le dit dans une interview accordée à VSD.
"Le cinéma ne fait plus appel à vous ?" La réponse de l'acteur est franche : "de moins en moins"
Thierry Lhermitte ne remet pas en cause son jeu pour autant. Il confie toutefois: "[...] être bankable, c'est sans rapport avec la qualité d'un acteur, juste une question d'ordre commercial", justifie Thierry Lhermitte.
A l'en croire, loin des plateaux de tournage, il aurait même amélioré ses performances : "Je pense même être meilleur qu'il y a vingt ans", confesse Thierry Lhermitte, toujours sincère.
filmographie selective : les bronzés 1 & 2 & 3 papy fait de la résistance : Le mariage du siècle Les ripoux 1 & 2 les secrets de Dr Affeulgluck : La totale Le dîner de cons L'invité
Dino De Laurentiis, producteur italien notamment du film de Giuseppe De Santis "Riz Amer" et de films à succès de Fellini comme "La Strada" et "Les Nuits de Cabiria", est décédé à l'âge de 91 ans à Los Angeles, ont indiqué jeudi plusieurs agences italiennes.
Né le 8 août 1919 à Torre Annunziata près de Naples, Agostino, surnommé Dino, De Laurentiis, personnage flambloyant, avait aussi produit des films à grand spectacle comme "Guerre et Paix", "La Bible" ou des succès du box-office comme "Les trois jours du Condor" de Sydney Lumet avec Robert Redford. Il vivait aux Etats-Unis depuis les années 70 quand sa société de production italienne Dinocitta avait fait faillite.
A Los Angeles, il avait notamment produit un remake de King Kong en 1979 réalisé par John Guillermin et "Le Bounty" de Roger Donaldson en 1984 avec Mel Gibson. Parmi les films les plus récents, Hannibal (2001) de Ridley Scott.
Il avait débuté à seulement 20 ans, devenant l'un des producteurs phares de la renaissance culturelle de l'Italie dans l'après-guerre et du cinéma néo-réaliste.
Dans les années 50, outre les Fellini et "Riz Amer", il avait travaillé avec les réalisateurs Roberto Rosselini et Eduardo de Filippo et avait produit "La grande guerre" de Mario Monicelli avec Alberto Sordi et Vittorio Gassman.
Avec Carlo Ponti, producteur qui deviendra plus tard l'époux de Sofia Loren, De Laurentiis avait fait réaliser en 1948 le premier film italien "Toto en couleurs", confié à Steno.
Gérard Depardieu reprendra le rôle d'Obélix dans le 4ème volet des aventures du petit Gaulois, "Astérix chez les Bretons" et Fabrice Luchini incarnera César l'Imperator, annonce mardi soir le Parisien.fr citant Luchini.
Gérard Depardieu avait déjà interprété Obélix dans les trois précédents épisodes des aventures imaginées par Goscinny et Uderzo.
Fabrice Luchini, qui succèdera dans le rôle de Jules César à Alain Delon, l'empereur romain dans "Astérix aux Jeux Olympiques", a jugé "le scénario de Laurent Tirard et son complice Grégoire Vigneron irrésistible" et "devrait bientôt signer son contrat", ajoute le site.
Quant à l'acteur qui succèdera à Christian Clavier et Clovis Cornillac dans le rôle d'Astérix, "le nom de Lorant Deutsch revient avec insistance", dit Le Parisien en ligne. Le site précise que Laurent Tirard, réalisateur du "Petit Nicolas", signera ce nouveau chapitre cinématographique, produit cette fois par Fidélité Films et non plus par Thomas Langman.
Selon la branche européenne du Digital Entertainment Group,les ventes du Blu-ray ont progressé de 98,3 % entre le troisième trimestre 2009 et le troisième trimestre 2010, ce qui représente plus de 24,7 millions de disques vendus, soit presque le double de l’an dernier. Le troisième trimestre 2010 représentent à lui seul un chiffre d’affaires de 445 millions d’euros avec une progression de 72,3 % par rapport à l’an passé. Il n’empêche quele DVD domine avec 342 millions d’unités vendus au cours du troisième trimestre 2010.On enregistre tout de même un léger recul par rapport à l’an passé au niveau des ventes -5,8 % et de son chiffre d’affaires -4,3 % (3,5 milliards d’euros). Le Blu-ray progresse donc, à son rythme, et tente de se faire une vraie place aux côtés du DVD.
Y'a des matins comme ça, j'ai testé la panne d'ascenseur au PARKING RIVAUD (ce matin),
A 09h01 je monte dans l'ASCENSEUR qui s'ouvre.... 3 personnes l'ascenseur se ferme, on monte d'un étage et puis plus rien... porte bloquée.
on appuie sur le bouton "SOS"
moi
"bonjour, nous sommes 4, on est bloqué dans l'ascenseur"
le gars du parking
"j'appelle le technicien, ne bougez pas "
(il a de l'humour ????)
le technicien est arrivé dans les 30 minutes. Bravo.
On connaissait la musique d'ascenseur, j'ai jeté un oeil sur les films ayant un rapport avec "l'ascenseur" et bien, ça existe et il y en a pour tous les goûts !
dans le genre, film de braquage & polar
Dans le genre film d'horreur !
Dans le genre ..... ? y'a t'il un rapport avec l'ascenseur !
j'ai déjà parlé de l'inutilité des remakes, surtout quand l'original est culte. Francis Veber qui avait signé le scénario et les dialogues à l'époque a eu la drôle d'idée de refaire le film d'Edouard Molibaro (Un peu comme le jour où il a "remaké" lui même "LES FUGITIFS" (les trois fugitifs avec nick Nolte...) à la fin des années 80.)
Pour l'annecdote, les Americains avaient acheté les droits pour un remake de l'emmerdeur (buddy buddy) au début des années 80 avec Jack Lemmon. Bref, on recycle encore les bonne idées mais à ce point.
Cette "accident industriel" me fait penser à Jean Jacques Annaud avec "sa majesté Minor", gros bide au cinéma lui aussi mais pour d'autres raisons. Dans les deux cas, ce sont deux très grands réalisateurs, et travailler avec eux est sûrement un grand honneur quand on est acteur ; ça ne se refuse pas. C'est rare, mais même les plus grands peuvent se vautrer, comme quoi, la recette du succès n'existe pas !
Retour sur l'emmerdeur 2008, avec ses défauts et quelques atouts non négligeables.
Les points FORTS :
1- le casting :
Berry est toujours au top,
Timsit est bon mais pas exceptionnel dans son rôle de PIGNON, il est quand même plus convaincant que BREL dans l'original (oui, j'aime le film mais j'ai jamais trouvé BREL extraordinaire comme acteur, PIERRE RICHARD à l'époque aurait cartonné).
Les seconds rôles sont toujours un régal chez Veber (PASCAL ELBE)
2 - l'histoire : Elle reprend celle du film de Molinaro mais avec la "Veber 's Touch" c'est à dire le côté théatral qu'on retrouve dans le dîner de cons. En résumé, ce n'est pas un copier/coller du film avec Ventura et Brel et ça c'est une bonne nouvelle.
3 - les dialogues : rien à dire, c'est du Audiard... euh du VEBER.
pour résumer : Veber fait mieux que LA DOUBLURE et le PLACARD c'est certain, mais le film est parti avec un gros handicap : le remake d'UNE COMEDIE des années 70. pas facile de faire oublier Ventura & Brel.
Les points FAIBLES :
c'est un remake donc peu d'intérêt pour le spectateur,
un film à voir à la télé.
flashback sur la presse quand le film était à l'affiche :
Sortie dans les salles mercredi, la comédie de Francis Veber avec Richard Berry et Patrick Timsit a été totalement boudée par le public. Décryptage d'un accident industriel avec son producteur délégué, Patrice Ledoux.
ET SI les mésaventures de François Pignon, le héros récurrent de Francis Veber, avaient fini par lasser ? Et si le champion de la comédie populaire avait trop exploité le même filon ? L'échec de « l'Emmerdeur », remake du film d'Edouard Molinaro (sorti en 1973), avec Richard Berry et Patrick Timsit dans les rôles créés par Lino Ventura et Jacques Brel, s'annonce en tout cas comme l'un des plus gros ratages du cinéma français de ces dix dernières années. Sorti mercredi dernier dans plus de 500 salles, le film de Veber (adapté de la pièce qu'il avait montée avec les mêmes acteurs) n'a attiré que 19 000 spectateurs sur la France pour son premier jour d'exploitation. Et samedi soir, il atteignait péniblement les 17 000 entrées sur Paris/périphérie au bout de quatre jours ! Ce qui le met au mieux, au dire d'un spécialiste du marché, à moins de 200 000 entrées en fin de carrière. Des effets comiques désuets A ce stade, on peut parler d'un naufrage. Jamais, au cours de sa carrière, le scénariste et réalisateur de « la Chèvre » et du « Dîner de cons » n'avait atteint un score aussi faible. Considéré comme un demi-succès commercial, son avant-dernier film, « la Doublure », avec Gad Elmaleh (dans le rôle de François Pignon), avait tout de même dépassé les 3 millions. A l'époque déjà, certains critiques avaient fait la grimace. Avec « l'Emmerdeur », ils ont unanimement déploré des effets comiques désuets. Alors, assiste-t-on, avec cet échec, à l'essoufflement d'une génération de cinéastes ? Le succès phénoménal de « Bienvenue chez les Ch'tis » (plus de 20 millions d'entrées) montre en tout cas que le public est toujours friand de comédies, mais qu'il n'est pas disposé à consommer du réchauffé
Affaire d'acteurs (Lino Ventura et Jacques Brel avaient une présence, un abattage, un timing auprès desquels Richard Berry et Patrick Timsit font pâle figure), et de scénario. On est même étonnés de voir un constructeur d'intrigues tel que Francis Veber se vautrer dans des gags scatologiques (colique et vomissements du témoin transporté dans un car de CRS aspergés par ses débordements), et traiter si laborieusement le quiproquo par lequel le film est censé innover. Cascade d'apparences trompeuses oblige, un garçon d'hôtel très efféminé se persuade que ces deux clients très agités sont des homosexuels effrénés. Aux gestes équivoques s'ajoutent des répliques à double sens, ou tout simplement piteuses ("Si tu veux ton petit haut, il est en bas !". La première version était drôle, pas celle-ci.
Loin de moi l'idée de faire dans le "people" en parlant de cet accident, je suis juste touché par cette info car j'ai eu la chance de croiser cette grande dame du cinéma (populaire) français en juin lors d'un trajet TGV PARIS-POITIERS.
Plus de peur que de mal ?
L 'actrice Anémone, 60 ans, a été victime d'un accident de la route près de Melle dans les Deux-Sèvres dans la nuit de mercredi à jeudi, a indiqué l'AFP.
L'ex-membre de la troupe du Splendid, blessée au bras, a été hospitalisée aux urgences de l'hôpital de Niort où elle a été opérée jeudi. Son chien, Turlutte, a lui été pris en charge par les gendarmes.
article centre presse
Les causes de l'accident restent floues. Anémone aurait perdu le contrôle de son véhicule sur une route départementale ; sa voiture est entrée en collision avec un îlot central et a fini sa course dans une clôture. Les gendarmes ont décidé d'ouvrir une enquête.
Smith n'aurait jamais dû se trouver là et pourtant, en pleine fusillade, il aide un enfant à naître et le sauve d'une bande de tueurs. Lui, sombre et violent, se retrouve à protéger l'être le plus innocent qui soit. Le nouveau-né est la cible d'une puissance mystérieuse décidée à effacer toute trace de son existence grâce au redoutable Hertz et à son armée d'assassins.Alors que les affrontements sont de plus en plus meurtriers, Smith ne peut compter que sur lui-même et sur DQ, une prostituée, pour sauver le petit. Le couple doit tenter de percer le secret de l'enfant en restant du bon côté des balles...
Shoot'em Up est une BD Live avec ses scènes d'action improbables, une histoire improbable, un film d'action poussé à l'extrême et assumé à 100%. Le titre est shoot em up et pendant toute la durée du film ça tire, ça shoot, pour tout et n'importe quoi.
Jouissif, jubilatoire, délirant. Shoot'em up est un film qui fait du bien au bulbe rachidien, pas de prise de tête, juste des fusillades d'anthologie, rythmées par une BO hard-rock des plus plaisantes. Le scénario n'a rien d'extraordinaire, en résumé, on adore ou on déteste mais le film ne laisse pas indifférent. On laisse son cerveau au vestiaire pendant 1h20 et on se marre en profitant du spectacle ! Enjoy !
L'annecdote : Clive OWEN avait tourné avec Vincent CASSEL (le mari de Monica) dans DERAPAGES avec Jennifer ANISTON.
SECRET DE TOURNAGE
(allociné.com)
L'influence de John Woo
C'est en voyant une scène du film de John Woo A toute épreuve que Michael Davis a eu l'idée de Shoot 'Em Up. Le réalisateur confie : "Chow Yun-Fat y joue un homme qui se retrouve en pleine fusillade avec dans une main un flingue et dans l'autre, un bébé qu'il protège. Cette scène m'a impressionné. Elle a été l'étincelle. Associer un homme et un bébé, la force et l'innocence, l'expérience et l'espoir, provoquait une réaction d'émotion et un fabuleux tremplin pour l'action."
De l'animatique pour convaincre
Pour convaincre les producteurs Susan Montford, Don Murphy et Rick Benattar, les producteurs exécutifs de New Line Cinema et les acteurs, le réalisateur Michael Davis a créé un film d'animation de quinze minutes constitué de 17 000 dessins présentant quinze scènes du film.
Il explique : "Il m'a fallu six mois pour faire ce film. Je n'avais pas imaginé qu'il allait autant m'aider. Au début, j'avais presque démarré cet animatique comme un loisir. Quand j'ai terminé la première séquence, celle de la fusillade en chute libre, j'ai trouvé que ce n'était pas trop mal, alors j'ai décidé de faire une autre scène. Et ainsi de suite !"
Paul Giamatti en méchant de service !
Habitué à incarner des personnages sujets à des crises existentielles, Paul Giamatti trouve ici l'occasion de s'illustrer dans un autre type de rôle. Le comédien raconte : "Je n'avais jamais joué de rôle de méchant ou tiré avec une arme auparavant, c'est une des nombreuses raisons qui m'ont donné envie de faire ce film. Il y a vers la fin une scène digne des interrogatoires de la Gestapo où je brise un par un tous les doigts de Mr. Smith. J'ai eu envie de jouer cette situation depuis l'instant où je l'ai découverte dans le scénario !"
Allo Clive, ici Bébé !
Pour le bébé, le réalisateur Michael Davis a eu recours à deux paires de jumeaux, des triplés et cinq mannequins très réalistes. Deux semaines avant d'accoucher de ses jumeaux, un garçon et une fille, Eva Mende Gibson reçut à Toronto un appel téléphonique d'un agent qui lui demanda si elle accepterait de participer à un film avec ses enfants quand ils seraient nés. La surprise passée, Eva Mende Gibson accepta.
Experts en maniement des armes
Charles Taylor, spécialiste en armes à feu, a fourni environ 80 armes différentes. Il explique : "Durant le film, Clive Owen se sert de 18 armes à feu différentes. Hertz utilise une des armes les plus impressionnantes du marché, un Desert Eagle calibre 50. Ses sbires emploient un mélange d'armes allant de modèles de poing jusqu'aux armes de guerre automatiques." Avant le tournage, Clive Owen et Paul Giamatti ont effectué un entraînement au maniement des armes à feu. Ils ont aussi appris les tactiques de combat rapproché avec armes.
6 000 amorces pyrotechniques
Durant le film, 85 personnes sont tuées au cours des nombreux combats. Certaines scènes ont nécessité l'utilisation simultanée de 150 à 200 amorces pyrotechniques, ce qui a demandé de multiples prises et angles de vue pour bien filmer les impacts et les étincelles qu'ils provoquent. Les effets visuels numériques ont ensuite ajouté des centaines d'impacts de balles en plus à l'image. Le coordinateurs des effets spéciaux Colin Chilvers raconte : "Je crois que la majorité de notre budget est passée dans les amorces ! Nous en avons utilisé environ 6 000. J'ai dû en employer autant sur ce film que sur tous les autres que j'ai faits réunis !"
Début de tournage
Le tournage de Shoot 'Em Up a débuté le 13 février 2006 à Toronto, au Canada.
Une trilogie en préparation ?
Le réalisateur Michael Davis songerait très sérieusement à mettre en scène deux nouveaux volets qui feraient suite à Shoot 'Em Up. Il lancerait ainsi une saga où les mêmes acteurs s'illustreraient à travers des histoires et des personnages différents, à la manière de la trilogie des dollars de Sergio Leone.
Présenté à Deauville
Shoot 'Em Up a été présenté hors-compétition au Festival de Deauville 2007.
A la frontière qui sépare le Texas du Mexique, les trafiquants de drogue ont depuis longtemps remplacé les voleurs de bétail. Lorsque Llewelyn Moss tombe sur une camionnette abandonnée, cernée de cadavres ensanglantés, il ne sait rien de ce qui a conduit à ce drame. Et quand il prend les deux millions de dollars qu'il découvre à l'intérieur du véhicule, il n'a pas la moindre idée de ce que cela va provoquer... Moss a déclenché une réaction en chaîne d'une violence inouïe que le shérif Bell, un homme vieillissant et sans illusions, ne parviendra pas à contenir...
Film très intense qui se résumé au jeu du chat et de la souris, entre le tueur au pistolet à pression, le voleur de la malette et le filc joué par tomy lee jones. Les frères COHEN ont (encore) réalisé un GRAND film digne d'un western.
Casting 4 étoiles pour le dernier film des frères COHEN, les 2 réalisateurs ne déçoivent jamais depuis le très très bon FARGO.
Le film est également l'ancêtre conceptuel de la série télévisée Star Trek (1966-68). On retrouve d'ailleurs la même toile de fond: un vaisseau spatial militaire capable de voguer à une vitesse supérieure à celle de la lumière. Il y a la même curiosité de faire des découvertes, d'enquêter et, au besoin, de risquer sa vie. On y retrouve également la même complicité dans l'équipage - particulièrement dans la relation entre le capitaine et le médecin de bord. En fait, les deux capitaines et médecins de bord sont interchangeables, et ils auraient été à l'aise dans les deux vaisseaux 
L'inspecteur en question, c'est John McClane, protagoniste de Piège de cristal et 58 minutes pour vivre. Seulement, désormais séparé de sa femme et alcoolique, il n'est depuis plus que l'ombre de lui-même. Aussi se demande-t-il bien pourquoi ce mystérieux terroriste tient tant à le faire souffrir.
