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lundi 31 janvier 2011

JOHN BARRY


John Barry, le célèbre compositeur britannique de musique de films, est décédé à l'âge de 77 ans d'une attaque cardiaque, selon le site internet BBC News.

Il est connu en particulier pour la musique d'Out of Africa de Sydney Pollack, ainsi que celles des James Bond. Son travail avait été récompensé par cinq Oscars.






Il débute dans une formation de jazz avant d'écrire pour le cinéma. Son tout premier film est L'Aguicheuse (Beat Girl, 1960). Il remanie le thème musical de James Bond écrit par Monty Norman et en fait l'un des thèmes les plus connus au monde. Il compose par la suite les musiques des James Bond jusque dans les années 1980.


AMICALEMENT VOTRE





Amicalement Votre Generique


Sa musique pour la série télé Amicalement vôtre (1971) contribue aussi à sa notoriété déjà bien établie.

LE JEU DE LA MORT






Bruce Lee " The Game Of Death " - Opening Theme


Considéré comme l'un des plus grands compositeurs de musique de films contemporains (comme par exemple John Williams, Jerry Goldsmith, Lalo Schifrin, Michel Magne, Michel Legrand, et Ennio Morricone), il a composé les musiques de très grosses productions, telles que Out of Africa ou Danse avec les loups. John Barry compose généralement une musique au style romantique exacerbé, dont le style est aisément identifiable.


Il fut le premier mari de Jane Birkin dont il eut une fille, la photographe Kate Barry

vendredi 28 janvier 2011

SPACE COWBOYS


En 1958, les astronautes Frank Corvin, Hawk Hawkins, Jerry O'Neill et Tank Sullivan se preparent pour une mission spatiale mais, au dernier moment, la Nasa leur prefere un singe. Quarante-deux ans plus tard, le satellite russe de communication Ikon menace de s'ecraser sur la Terre. Corvin est le seul homme capable de maitriser l'antique systeme de guidage, calque sur celui qu'il avait concu quelques decennies plus tot pour Skylab. Il accepte la mission, a condition que ses trois compagnons partent avec lui...



C'est un comico-thriller à suspense. Comique car le ton général en est fortement imprégné. C'est là qu'on retrouve le style eastwoodien fait d'auto-dérision, de moqueries comme dans la majorité de ses films, avec en prime une morale à propos des retraités. Un des derniers bons films de Clint Eastwood (c’est mon avis).

SECRETS DE TOURNAGES - Allociné.fr


Eastwood rend hommage aux pionniers


« L'équipe Daedalus réunit d'authentiques précurseurs. En franchissant le mur du son et en s'élevant jusque dans la stratosphère, des pionniers de l'aviation moderne comme Chuck Yeager ont aussi ouvert la voie à la conquête spatiale. Mais ils n'ont pu participer à cette grande aventure. Alors qu'ils étaient fin prêts et que le monde entier s'attendait à les voir partir dans l'espace, ils furent remplacés… par un singe ! »


Les lieux de tournage


Les extérieurs du film ont été tournés dans la périphérie de Los Angeles.
Le Johnson Space Center de Houston (Texas) et le Kennedy Space Center de Cap Canaveral (Floride) ont accueilli les scènes d'intérieur, dans la seconde partie du film.


Créer l'apesanteur à l'écran


Pour créer l'impression d'apesanteur à l'écran, l'équipe du film a opté pour des méthodes assez peu orthodoxes, comme le confirme Tommy Lee Jones : « Ici, nous avons utilisé tous les trucs possibles et imaginables. On nous a harnachés et accrochés au plafond, on nous a poussés sur des tabourets à roulettes, on a fait voler dans les airs divers objets suspendus à des filins translucides, etc. Tous ces procédés mécaniques, combinés à une abondance de mouvements de caméra, ont «fait la blague» dans 80% des cas. »

Pour les 20% restants, Clint Eastwood a eu recours aux effets spéciaux de ILM (Industrial Light & Magic) associés à des procédés plus traditionnels, comme les modèles réduits.

CHALLENGER, 28 janvier 1986



Il y a des évennments qu'on n'oublie pas, comme le 11 septembre 2001. En janvier 1986, l'explosion de Challenger en plein vol a marqué à jamais ma mémoire d'adolescent. Ce qui devait être un grand moment s'est terminé en cauchemar. retour sur cette journée noire.




Il faisait froid en cette matinée du 28 janvier 1986 sur le pas 39B de Cap Canaveral où, la navette spatiale Challenger était sur le point de s'élancer vers l'espace. L'instant zéro du compte à rebours tomba presque par routine peu après la mise à feu des moteurs principaux. Soixante-treize secondes plus tard, des millions de spectateurs regardaient, incrédules, le vaisseau spatial se désintégrer au milieu d'une gigantesque boule de feu, tuant sept astronautes et, avec lui, le rêve américain.






Explosion de Challenger 28/01/1986

L'accident a été provoqué par la rupture de l'un des joints toriques d'un des deux propulseurs à poudre accolés au réservoir principal d'hydrogène. Il avait souffert de conditions climatiques particulièrement froides au cours de la nuit précédant le tir. Les joints en question, développés par la compagnie américaine Morton Thiokol, située au nord des États-Unis, n'avaient pas été testés en conditions de grand froid. Les concepteurs considéraient que le lieu de tir, la Floride, bénéficiait d'un climat toujours ensoleillé. Le fait est qu'un phénomène météorologique touchant assez fréquemment la Floride avait fait descendre la température bien en dessous de 0 °C au cours de la nuit précédant le tir.

Les ingénieurs de Morton Thiokol avaient néanmoins de sérieux doutes sur la capacité de résistance du joint au froid, à cause notamment d'incidents remarqués au cours de certains vols précédents. Mais le joint n'ayant pas été formellement testé puisque la question du froid ne s'était même pas posée, ils furent incapables de prouver la faiblesse de cette pièce au directeur de tir.
L'enquête révélera également que les ingénieurs de sécurité de la NASA estimaient les probabilités d'accident de l'ensemble du dispositif à environ 1 % alors que les directeurs de tirs, prenant la décision finale, tablaient des probabilités mille fois inférieures. Dans ces deux contextes, l'information concernant la solidité du joint ne prenait pas la même ampleur. Les directeurs de tirs décidèrent donc de passer outre et d'effectuer le tir.

La rupture progressive du joint sur le propulseur d'appoint solide (SRB) de droite laissa passer une flamme dirigée vers des éléments structuraux du réservoir de carburant principal. Vers 72 secondes, la structure du réservoir principal et des propulseurs d'appoints commence à lâcher et se désintègre vers T+73,124 s. L'orbiteur, encore intact, pivote de son orientation optimale pour résister aux forces aérodynamiques intenses et se déchire immédiatement en morceaux (73 s).
Challenger n'a pas été détruite par une explosion. Après la désintégration due aux forces aérodynamiques, le combustible qui se trouvait dans l'orbiteur et le réservoir principal brûle en quelques secondes, créant une boule de feu massive.
L'habitacle, toujours largement intact, est retombé vers l'océan.

Il a été prouvé que des astronautes ont survécu au choc initial (une bouteille d'oxygène de secours ayant été activée), mais on ignore si ils sont décédés durant la chute qui dura deux minutes au sein d'une cabine dépressurisée ou lors de l'impact avec l'océan.


L'équipage de cette mission était essentiellement militaire. Il s'agissait avant tout de déployer sur orbite le satellite TDRS-2 de l'US Air Force, mais aussi d'observer la comète de Halley. Parmi les membres d'équipage, se trouvait pourtant Christa McAuliffe, une jeune enseignante qui s'était vue confier pour mission de donner un cours depuis l'espace.

Le commandant de bord de ce vol 51-L était Francis R. Scobee, accompagné du pilote Michael J. Smith et des quatre spécialistes de mission Judith A. Resnik, Ellison S. Onizuka, Ronald E. McNair et Gregory B. Jarvis. A plusieurs reprises déjà, le lancement de Challenger - dont c'était le 10ème vol - avait été reporté pour des raisons météorologiques ou techniques. Mais ce 28 janvier, malgré une température particulièrement basse - elle ne dépassait pas les -13°C - les conditions étaient favorables.

La mise à feu fut suivie sur place par un nombre considérable d'invités, mais aussi par les téléspectateurs de l'Amérique entière. Les problèmes survinrent rapidement : 678 millièmes de seconde après l'instant zéro du décollage, une première bouffée de fumée grise apparut au niveau du joint inférieur du booster droit. L'endroit où se produisit cette fuite fait directement face au réservoir ventral, et sur les images enregistrées par les cinéthéodolites*, un écoulement de matière vaporisée apparaît nettement, démontrant la défaillance de l'étanchéité à cet endroit.







En moins de trois secondes, 8 autres bouffées apparurent, soit environ 4 par seconde, ce qui correspond à la fréquence oscillatoire du booster en plein effort. Puis, la structure se stabilisant, le joint redevint étanche... provisoirement.

Trente-sept secondes après la mise à feu, Challenger subit un effet de cisaillement atmosphérique provoqué par la traversée de deux courants aériens de sens contraire. Ces perturbations sont redoutées par tous les pilotes de ligne en raison des turbulences qu'elles engendrent, pouvant aller jusqu'à déstabiliser l'appareil.

Les systèmes d'orientation de la navette réagirent immédiatement en adaptant la poussée des moteurs de l'orbiteur - qui fonctionnaient à ce moment à 104 % de leur puissance - de façon à maintenir une trajectoire optimale. Il s'agissait néanmoins - l'enquête le révèlera - de la plus forte turbulence rencontrée jusqu'alors durant une ascension de navette spatiale.

A ce moment, les moteurs des boosters - dont le fonctionnement est automatique et continu - voyaient toujours leur puissance augmenter progressivement lorsqu'une petite flamme apparut au même endroit que la fumée grise un peu plus tôt. Pendant la trentaine de secondes qui suivirent, les capteurs enregistrèrent une différence de pression interne croissante entre les boosters gauche et droit, conséquence de la fuite observée. Durant ce même temps, la flamme grandit, atteignant une température de 3 100°C et allant jusqu'à lécher la surface du réservoir externe - qui renfermait un réservoir d'hydrogène liquide surmonté d'un réservoir d'oxygène liquide - et l'entretoise inférieure maintenant le booster droit.

A 64,7 secondes, la couleur de la flamme se modifia, indiquant un changement dans son alimentation. L'enquête a révélé plus tard qu'à ce moment, l'hydrogène commença à s'échapper du réservoir externe. A 73 secondes et 124 millièmes, un nuage circulaire de vapeur blanche apparut brusquement à sa surface : la structure était en train de céder sous la chaleur. Tout se précipita alors en quelques millisecondes.






Au même moment, le dôme inférieur du réservoir se sépara brutalement de l'ensemble, qui s'ouvrit comme une boîte de conserve. Des flots d'hydrogène liquide jaillissent en s'enflammant, et transformèrent toute la structure en un monstrueux chalumeau provoquant instantanément une poussée verticale estimée à 1 270 tonnes. Sous cette violence, le réservoir d'hydrogène remonta à travers la structure ; il percuta violemment le réservoir d'oxygène liquide qui le surmontait, et céda instantanément.

Au même instant et sous l'action de la chaleur, l'entretoise inférieure du booster droit lâcha. Celui-ci pivota sur son attache supérieure avant de heurter l'aile droite de l'orbiteur, avant de se retourner et de perforer la partie inférieure du réservoir d'oxygène. Cet enchaînement s'est échelonné sur exactement 13 millièmes de seconde.

Challenger - qui grimpait toujours à mach 1,92 et atteignait l'altitude de 14 km, était condamnée. Un nuage d'hydrogène et d'oxygène liquides entouraient le vaisseau. L'explosion fut titanesque. Les tensions subies par l'orbiteur, dont la charge aérodynamique était sévère durant cette phase de vol, provoquèrent aussitôt sa rupture, les ailes s'arrachant du fuselage qui, lui-même, se sépara en plusieurs tronçons.

Une scène surréaliste se déroulait alors dans la tribune des invités de Cap Canaveral : les spectateurs, pour la plupart peu habitués à voir un lancement autrement que devant leur petit écran, applaudissaient à tout rompre. Ils étaient persuadés d'avoir assisté à la séparation des boosters. En fait, les accélérateurs s'étaient bien détachés de la navette suite à l'explosion, mais celle-ci était en train de s'éparpiller en milliers de fragments incandescents, qui retombaient lentement dans l'océan Atlantique.

36,6 secondes après l'explosion, l'ordre d'autodestruction fut transmis aux deux boosters, chacun de ceux-ci poursuivant son vol individuellement et menaçant de retomber en zone habitée.

Une commission d'enquête fut formée afin d'examiner les enregistrements et films du décollage, ainsi que les nombreux fragments de l'orbiteur, des boosters et du réservoir externe, récupérés au fond de l'océan durant les mois qui suivirent.
Il apparut plus tard que la catastrophe avait bien été provoquée par la rupture des joints toriques (de section circulaire) situés entre les deux premiers segments du booster droit de la navette, provoquant vers l'extérieur une fuite de gaz incandescents. Ces joints, en caoutchouc synthétique, avaient été fragilisés et durcis par le froid extrême qui régnait en ce 28 janvier 1986.

Au moment de l'envol, la température était de - 13°C. Or, les joints étaient conçus pour pouvoir se comporter normalement jusqu'à une température de - 20°C. Que s'est-il donc passé ?
Ce matin-là, soufflait un léger vent provenant du booster gauche en direction du booster droit. Or, entre les deux, se trouvait le réservoir externe, réfrigéré à - 183°C afin de maintenir liquides l'hydrogène et l'oxygène qu'il contient. Les filets d'air à - 13° enveloppaient donc une masse rendue extrêmement froide, malgré son isolation thermique, avant d'entourer le booster droit dont ils abaissaient encore la température. Analysées ultérieurement, les données enregistrées ont révélé que celui-ci avait atteint une température inférieure à - 30°C.

Les boosters sont divisés en quatre segments reliés par des systèmes d'emboîtement à joints toriques. Ces derniers doivent s'adapter instantanément aux déformations subies par la contrainte du vol, avec une tolérance de 6 mm. Or, le durcissement des joints les amène à réagir beaucoup moins rapidement aux mouvements, avec un temps de réponse variant de 0,53 s (par + 24°C) à 1,9 s (par - 10°C). A - 30°C, cette durée devient prohibitive, ce qui explique la fuite intermittente constatée dès le départ.
& wikipedia

L'ETOFFE DES HEROS


L'histoire de spationautes, aventuriers et intrépides, dont le destin fut intimement lié à celui d'une des plus extraordinaires aventures qu'ait connu l'humanité : la conquête spatiale.






Un must des films sur la conquête spatiale !

jeudi 27 janvier 2011

UN SHERIF A NEW YORK


Coogan est un shérif aux méthodes plutôt expéditives. Histoire de sanctionner sa brutalité, ses supérieurs le chargent de récupérer un prisonnier à New York pour le ramener en Arizona. Le captif s'échappe lors de l'extradition et le shérif est dessaisi de l'affaire. Mais Coogan n'est pas homme à rentrer les mains vides. S'engage alors une traque brutale dans la grande cité.






Avant "L'inspecteur Harry" qui marqua sa patte dans l'histoire du septième art, les deux maitres ont fait "Un shérif à New York" qui est une bonne série B.



Don Siegel disait au sujet du film :


"C'est un film qui est né du chaos, un film sur lequel ont travaillé successivement six ou sept écrivains, qui était prévu avec un autre producteur, avec un autre réalisateur... [Alex Segal, puis Don Taylor] Il n'y avait que Clint qui était engagé depuis longtemps, à qui l'on payait un salaire important, et qui attendait sans pouvoir rien faire. c'est alors qu'on m'a proposé de reprendre la mise en scène. Après, tout s'est déroulé facilement car je me suis très bien entendu avec Clint."


Le réalisateur retrouvera l'acteur par la suite en 4 occasions : Sierra Torride en 1970, Les Proies et L' Inspecteur Harry en 1971, L' Evade d'Alcatraz en 1979.

mercredi 26 janvier 2011

JEAN CLAUDE MICHEL La voix de CLINT

Jean-Claude Michel était un acteur français, spécialisé dans le doublage, né le 5 janvier 1925 à Paris et mort le 10 décembre 1999.

Marié à la comédienne Paule Emanuele, c'est l'un des comédiens de doublage les plus importants de la seconde moitié du XXe siècle, de par le nombre de films et la notoriété des acteurs doublés.


il a prêté notamment sa voix à Sean Connery dans presque tous ses plus grands films et de Clint Eastwood dans la plupart de ses films dont la saga des Inspecteur Harry, mais aussi à Robert Mitchum, Tony Curtis, Charlton Heston, Leslie Nielsen, Rock Hudson, etc.






Jean-Claude Michel la voix française de Clint Eastwood



• http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Claude_Michel

lundi 24 janvier 2011

JOSEY WALES HORS LA LOI


Josey Wales, un paisible fermier, voit sa femme et son fils massacres par des soldats nordistes. Laisse pour mort, Josey decide de se venge



Un excellant western qui est certes moins mystérieux que "L'homme des hautes plaines" (nettement meilleur que JOE KIDD ou PALE RIDER) mais qui parvient néanmoins à trouver une place de choix dans l'immense filmographie de Clint Eastwood.


Partant d'une histoire simple, un très bon film d'aventure, une épopée eastwoodienne, un classique du genre qui n’a rien à envier à la trilogie du Dollars.

samedi 22 janvier 2011

LOUIS DE FUNES, LE CORNIAUD - scène inédite






une scène coupée au montage , Louis de Funes dans le CORNIAUD de Gérard Oury !


Scène disponible sur le dvd collector du film.

jeudi 20 janvier 2011

UN FRISSON DANS LA NUIT


Dave Garland est disc-jockey à la station de radio KRML de Monterey. Régulièrement, une auditrice lui demande de passer "Misty" d'Errol Garner. Un soir, il la rencontre dans le bar de son ami Murphy. Elle s'appelle Evelyn Draper. Ils passent la nuit ensemble. Le lendemain, elle le rejoint chez lui. Dave la trouve un peu inquiétante et envahissante. Il renoue avec son amie Tobie Williams, qui est de retour. Cette dernière lui demande quelques jours pour faire le point.
Evelyn retrouve Dave et ils passent une nouvelle nuit ensemble. Dave se sent oppressé par Evelyn. Elle lui prépare un dîner auquel il se rend, décidé à rompre. Elle l'importune. Il rompt et part. Evelyn continue à le poursuivre au téléphone et le surveille sans qu'il s'en rende compte alors qu'il est avec Tobie. Elle se précipite en pleine nuit chez lui et s'ouvre les veines...




C'est un bon Thriller (suspens comme on disait avant !) qui est fortement influencé par certains films d'Hitchcock avec un scénario original. Je ne dirai pas que ce film a fortement inspiré « Liaison fatale » avec Michael Douglas & Glen Close dans les années 80 car je n’ai pas l’info, je peux juste vous dire que lorsqu’on voit ce dernier, on ne peut que penser à « UN FRISSON DANS LA NUIT ».



Un succès pour Eastwood


Les recettes du film atteignant 5,5 millions de dollars, soit plus de cinq fois le coût de production, Clint Eastwood put poursuivre sereinement sa carrière de metteur en scène.



Don Siegel au casting



Pour le rôle de Murphy, Clint Eastwood a fait appel au cinéaste Don Siegel, qui l'a notamment dirigé dans Un shérif à New York (1968), L' Inspecteur Harry (1971) ou encore Les Proies (id.).


Misty contre Stranger in the night



Concernant le choix du thème musical, Clint Eastwood, qui optait pour la chanson Misty d'Errol Garner, s'est opposé aux studios Universal Pictures qui souhaitaient utiliser Stranger in the night. Finalement, Clint Eastwood obtint gain de cause.




Jessica Walter nominée aux Golden Globes



Pour sa prestation d'auditrice inquiétante, Jessica Walter fut nominée au Golden Globe de la meilleure actrice en 1972.

mercredi 19 janvier 2011

CLINT EASTWOOD VERS L'INFINI & AU DELA


Le nouveau Clint Eastwood sort aujourd'hui sur les écrans. Avec un sujet aussi universel que celui là, je pense que Clint va encore mettre tout le monde d'accord. Vous pourriez croire que je manque d'objectivité en disant ça, qu'un film ne se juge pas uniquement sur son thème, son casting ou sa réalisation, que l'histoire prime avant tout. Je suis bien placé pour le savoir puisque j'ai été (?) fan d'EASTWOOD pendant des années (1982-1994). Durant cette période je n'ai raté sous aucun pretexte ses films à la télévision (le dvd n'existait pas à l'époque et pour dire la vérité, la qualité d'image d'un film à la télé était parfois meilleur qu'une VHS).
Peu de film m'ont laissé indifférent (peut être bronco Billy/Honky tonk man et Chasseur blanc coeur noir).
Tout a commencé avec SUDDEN IMPACT le retour de l'inspecteur Harry, et puis, ça s'est enchâiné avec FIREFOX, les western (Josey Wales, Joe Kidd, L'homme sans nom, la trilogie du dollars évidemment) et ses premiers films comme réalisateur (Play misty for me), L'épreuve de force... etc....
L'un des derniers (bons) films que j'ai vu au cinéma, c'est évidemment IMPITOYABLE et surtout UN MONDE PARFAIT avec Clint Eastwood et Kevin COSTNER (voir billet précédent).

Le film que j'ai détesté, il y 'en a un, c'est Sur la route de MADISON, allez savoir pourquoi ?
J'avoue, ensuite j'ai un peu laissé tomber (on ne peut pas tout voir non plus ?) jusqu'à SPACE COWBOY que j'ai trouvé très sympa.
ET puis, JEAN CLAUDE MICHEL (la voix française de Clint & Sean Connery) est décédé en 1999 et voir un film de Clint avec une autre voix française me semblait impossible (CREANCE DE SANG est l'exemple type)
J'aime les films en V.O. mais Clint est un des rares acteur a avoir une voix doublée en VF meilleur que la VO (?) (c'est mon avis). Pour bien comprendre, regarder un Columbo en version française, ensuite regarder le même épisode en VO.
Le contre exemple c'est Tom Cruise, j'ai l'impression qu'à chaque film, il change de doubleur ; le pire c'est de prendre un acteur français comme Yvan Attal que j'adore, mais "comment faire abstraction de la voix d'Yvan Attal quand on regarde un Tom Cruise?" et puis il faut dire la vérité, passer après Patrick Poivey n'est pas facile, Yvan est un des meilleurs acteurs de sa génération avec Vincent CAssel, mais côté doublage, il n'est pas très convaincant.
Je n'imaginais donc pas pouvoir regarder dans de bonnes conditions un film avec Clint comme avant. J'ai eu donc ma période de vide, presque 10 ans sans voir un "Nouveau clint" au cinéma ou en dvd jusqu'au très bon mais TRES sur estimé GRAN TORINO.


AU DELA sort aujourd'hui, l'occasion de parler de CLINT, je n'oublie pas qu'il a beaucoup compté dans mes choix cinématographiques quand j'étais ados, qu'il m'a fait découvrir SERGIO LEONE, DON SIEGEL, et même si certains films ne m'ont pas touché (qui aime l'intégrale des albums des Stones ?) je dois dire qu'il est sûrement l'acteur qui m'a fait aimer le cinéma.

mardi 18 janvier 2011

SENS UNIQUE


Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de KEVIN COSTNER, c'est l'occasion pour revenir sur sa carrière qui a vraiment débuté avec deux grands films en 1987 :
LES INCORRUPTIBLES de Brian de Palma et SENS UNIQUE de ROGER DONALDSON.






Dans un accès de rage, le Secrétaire d'Etat à la Défense David Brice assassine sa maîtresse. Pour étouffer l'affaire, l'adjoint de Brice crée la couverture idéale : inventer de toutes pièces un tueur - un espion russe - puis enjoint le commandant Tom Farrel à retrouver sa trace. Mais par un fait du hasard, Farell est lui aussi lié à la victime... et les indices qu'il découvre l'accusent du meurtre...

L’année 1987 a été une année riche en nouveauté cinématographique. Entre L’arme Fatale, Piège de Cristal, Predator et Sens unique (l’un des premiers films avec Kévin Costner), inutile de vous dire que toutes les occasions étaient bonnes pour aller au cinéma (25 francs la place de ciné en tarif réduit à l'époque soit 4 euro !


je rappelle pour les moins de 20 ans que pendant la fête du cinéma dans les années 80 , le premier film était plein tarif, mais les autres séances étaient à 1 FRANC ! oui 1 FRANC la séance (pour mémo : 1 euro = 6,55 francs) !
Mais la fête du ciné ne durait qu'une journée à l'époque , alors il fallait enchaîner les séances non stop de 10h00 du matin à 20h00 pour en profiter au maximum.


J’ai eu la chance de le découvrir au cinéma et ce fut une claque magistrale. Un scénario digne d’Alfred Hitchcock, Gene Hackman au top de sa forme et Sean young toujours aussi magnifique. Bref, c’est à partir de ce moment là que j’ai commencé à m’intéresser à la carrière de Kevin Costner (Danse avec les loups / les incorruptibles / waterworld / Robin des bois / Bodyguard / Revenge / Postman).

SENS UNIQUE est un des « mes films » de chevet que je ne me lasse pas de regarder. FILM CULTE ! Pour ceux qui sont passés à côté, je ne peux que vous le conseiller.

jeudi 13 janvier 2011

2001 L'ODYSSEE DE L'ESPACE


Quand on est fan de cinéma, et qu'on apprend que 20 minutes du film de Kubrick "2001, l'odyssée de l'espace" ont été retrouvées dans un coffre de la Warner, c'est un peu le graal.

Mais quand on sait que Warner propose depuis des années la version longue de Shining uniquement aux USA, on peut évidemment se demander si on peut espérer voir apparaitre ses 20 minutes même en bonus !




mardi 11 janvier 2011

HENRI VERNEUIL


Henri Verneuil, de son vrai nom Achod Malakian, né le 15 octobre 1920 à Rodosto (auj. Tekirdağ, en Turquie) et mort le 11 janvier 2002 à Bagnolet, est un réalisateur et scénariste de cinéma français d'origine arménienne. Il a raconté son enfance dans ses deux derniers films formant diptyque : Mayrig et 588, rue Paradis.


En 1956, il est proposé pour l'Oscar du meilleur scénario pour le film Le Mouton à cinq pattes.
En 1973, il obtient le Prix Nessim Habif
En 1980, il est proposé pour le César du meilleur scénario pour I comme Icare.
En 1996 il obtient le César d'honneur pour l'ensemble de sa carrière.



Quelques répliques cultes « tirées » de ses meilleurs films

UN SINGE EN HIVER





100 000 DOLLARS AU SOLEIL











MELODIE EN SOUS SOL










LE CLAN DES SICILIENS




PEUR SUR LA VILLE




LES MORFALOUX




Filmographie selective :

On lui doit

• 1954 : Le Mouton à cinq pattes (+ scénariste)
• 1959 : La Vache et le Prisonnier (+ scénariste)
• 1961 : Le Président (+ scénariste)
• 1962 : Un singe en hiver
• 1963 : Mélodie en sous-sol - avec Jean Gabin, Alain Delon
• 1964 : Cent mille dollars au soleil (+ scénariste)
• 1964 : Week-end à Zuydcoote
• 1969 : Le Clan des Siciliens (+ scénariste)
• 1975 : Peur sur la ville (+ scénariste)
• 1976 : Le Corps de mon ennemi (+ scénariste)
• 1979 : I comme Icare (+ scénariste)
• 1982 : Mille milliards de dollars (+ scénariste)
• 1984 : Les Morfalous (+ scénariste)
• 1992 : Mayrig (+ scénariste)
• 1993 : 588, rue Paradis (+ scénariste)

lundi 10 janvier 2011

THIERRY LA FRONDE

PETER YATES : 1929-2011


Le cinéaste britannique Peter Yates est décédé à Londres, dimanche 9 janvier, à l'âge de 82 ans, des suites d'une longue maladie, d'après le site américain Deadline.


Peter Yates connaîtra le succès avec "Trois milliards d'un coup" en 1967, puis avec le film policier "Bullit",1968, avec Steve Mcqueen.



Peter Yates aura droit à quatre nominations aux Oscars pour "La bandes des quatre" en 1979 et pour "L'habilleur" en 1983, dans les catégories réalisateur et producteur. Il a fait Jouer Philippe Noiret & Peter O Tool dans "la guerre de Murphy".


dimanche 9 janvier 2011

ROLAND GARROS A VERSAILLES ?



Je dis que le monde est fou… parfois, c’est justifié comme pour l’Olympia en 1997 « Le lundi 14 avril 1997, le rideau de l'Olympia est tombé pour la dernière fois en clôture d'une soirée télévisée. Instant mémorable tant pour les nostalgiques que pour les partenaires du projet de réhabilitation de l'Ilot Edouard VII. En effet, cette date marque le lancement d'une nouvelle phase de travaux : la démolition de l'ancienne salle et sa reconstruction immédiate à l'identique sur le même site. Le tout, dans un temps record » Mais souvent c’est n’importe quoi, comme la PARIS DAKAR qui se déroule en Amérique du Sud… sans oublier l’émission PEKIN EXPRESS qui se déroule en inde. En lisant l’article sur Roland Garros, les bras m’en sont tombés, on change de lieu comme on change de sponsor ?

Ultime candidat à présenter son projet pour accueillir les Internationaux de France à partir de 2016, Versailles a marqué des points dans les esprits des élus du Comité de la Fédération française de tennis. Ces derniers ont en effet été séduits par le dossier présenté samedi par la commune yvelinoise. Verdict final les 12 et 13 février prochains.

Roland-Garros aura t-il la vie de château que lui propose Versailles ? Après Gonesse (Val-d'Oise), Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne) et Paris, les représentants de la commune des Yvelines ont été les derniers des candidats déclarés à exposer leur dossier pour le futur des Internationaux de France devant les 45 membres de la Fédération française de tennis. Reçus au siège de la FFT, samedi matin, François de Mazières, maire de la ville, et ses collaborateurs ont passé un grand oral de 90 minutes pour représenter au mieux le prestige de leur projet. Une opération séduction, soignée jusque dans ses moindres détails, qui aurait porté ses fruits à en croire le communiqué adressé par la Fédération, sitôt l'audition terminée.

"Le dossier (...) a séduit les élus de la FFT par la qualité du projet, tant par la surface disponible (35 hectares), son emplacement prestigieux, son potentiel en matière de transport routier et ferroviaire, ainsi que par le montant de redevance évoqué et envisagé." Info ou intox ? En tout cas, la ville des Yvelines n'a pas attendu le verdict final, délivré logiquement le 12 et 13 février prochains, pour y aller de son petit commentaire, estimant que son projet "placerait Roland-Garros, dès 2016, en position de leader des tournois du Grand Chelem en termes de superficie, d'accueil et de notoriété." Avec sa concession d'au moins 50 ans sur un site de 35 hectares au pied du célèbre Château, la faisabilité de cette installation et surtout la force de sa notoriété, Versaille possède en effet des atouts qui pourraient bien faire pencher la balance de son côté.

Jusqu'à présent, le projet d'extension Porte d'Auteuil à Paris, défendu bec et ongle par Betrand Delanoë face à l'hostilité d'une partie de l'opposition de droite et des écologistes, avait les faveurs des pronostics mais la séduisante prestation des élus de Versailles pourrait bien renverser la tendance. Un retournement de situation qui sonnerait comme un nouveau désaveu politique pour le maire de la capitale, après l'échec des JO 2012. Surtout face à un bastion connoté historiquement à droite. Mais la délégation francilienne n'a pas pour autant déjà mis le champagne au frais puisque ses deux autres concurrents possèdent un avantage qui compte. En s'installant à Gonesse ou à Marne-la-Vallée, la Fédération deviendrait propriétaire des lieux et éviterait ainsi des loyers conséquents. Un sacré capital pour l'avenir. Rendez-vous en février pour la balle de match.
source : orange.fr

vendredi 7 janvier 2011

LA 3D AU CINEMA


Voici un tres bon article sur la 3D au cinéma, ça ne date pas d'hier, et ce n'est pas non plus le fruit du hasard, bonne lecture et bon week end !

"Là-haut", "Le drôle de Noël de Scrooge", "Fly me to the Moon", "L'âge de glace 3", "Voyage au centre de la Terre", "Destination Finale 4" et surtout "Avatar"... Tous ces récents longs métrages ont un point commun : ils ont été filmés et diffusés en 3D relief. Mais contrairement aux idées reçues, la mode du cinéma en relief n'est pas nouvelle. Une première vague de films en reliefs avait émergé au milieu des années 50, avant de disparaître aussi vite qu’elle était apparue. Le cinéma 3D est-il un nouveau divertissement à la mode ou va-t-il, cette fois-ci, définitivement squatter les salles obscures ?




Les nouvelles technologies au secours du 7e art


Après le passage au parlant, la généralisation de la couleur, l'évolution logique vers l'impression de réalisme est la 3ème dimension. Mais si cette évolution est logique, la mise au point et la généralisation de la technologie 3D ne sont pas le fruit du hasard.



Concurrencé par la télévision, dont l'implantation dans les foyers américains explose au cours des années 50, le cinéma se voit contraint d'évoluer pour continuer à exister. La contre-attaque débute avec l'apparition du cinémascope, en opposition au bon vieux 4/3 de l'écran de télé. Il faut dire que le cinémascope avait pour effet de réduire les images à peau de chagrin sur les minuscules écrans télévisés des années 50. C'est donc à cette époque qu'émergent les films à grand spectacle et aux budgets pharaoniques tels que "Ben Hur", "Lawrence d'Arabie" ou encore "Cléopâtre".

Mais les spectateurs se montrent de plus en plus avides en nouveautés. De nouveaux procédés techniques viennent donc titiller les sens du public. On avait déjà le son et l'image en deux dimensions, voici qu'on nous propose d'expérimenter le toucher et l'odorat. Mais la mise en place de ces effets s'avère coûteuse et complexe. Après quelques essais plus ou moins fructueux, ces effets "live" sont abandonnés. A la même période, les techniciens de l'image cherchent de nouveaux moyens d'attirer le chaland. Après avoir optimisé la largeur de l'écran et la profondeur de champ, ils décident de se pencher sur le relief.

Un procédé encore hésitant
Le procédé est somme toute assez simple. Pour reproduire ce que nos deux yeux font naturellement, il suffit de filmer le plan en prenant deux points de vues légèrement décalés. Un des points de vue sera ensuite capté par l'œil droit, le second par l'œil gauche, notre cerveau se chargeant ensuite de fusionner les deux pour donner la sensation de relief. Emergent alors de nombreux films en trois dimensions, et ce dans tous les genres confondus. Beaucoup ignorent par exemple que "Le crime était presque parfait" d’Alfred Hitchcock (1954) fût à l’époque diffusé en 3D Malheureusement, les tournages en trois dimensions demeuraient très coûteux et compliqués. Un handicap qui explique en grande partie pourquoi la 3D se voit reléguée aux parcs d’attractions.

Alors pourquoi, malgré l’utilisation toujours indispensable des encombrantes lunettes polarisantes, la 3D revient-elle à la mode aujourd'hui ? Tout d'abord grâce à la maniabilité des nouvelles caméras 3D et au développement des images numériques, mais surtout pour des motifs purement économiques. Les premières tentatives de démocratisation du cinéma en relief coïncidaient avec la naissance de la télévision. Aujourd'hui, c'est Internet qui constitue une concurrence déloyale à l'encontre des salles obscures. Pour contrer le piratage, les producteurs de cinéma se devaient d'offrir un spectacle visuel uniquement réservé au grand écran.

Mais voilà déjà que la télévision 3D pointe le bout de son nez à l'horizon 2010-2011. Comme toute nouveauté multimédia, la télé 3D ne sera pas accessible à toutes les bourses et il faudra sans doute des années avant que la majorité des foyers soit équipée. Seulement les producteurs vont devoir réfléchir à de nouveaux moyens de déplacer les foules s'ils ne veulent pas encore une fois se faire doubler.


Source :
http://www.suite101.fr/content/quand-le-cinema-voit-la-vie-en-3d-a4770

jeudi 6 janvier 2011

LE FRELON VERT ou LE RETOUR DU DRAGON ?



Dans quelques jours sort dans les salles de cinéma le nouveau film de Michel GONDRY : The GREEN HORNET (le frelon vert), il faut savoir que ce film est le remake de la sérité télé des années 60 avec Bruce Lee.
Quant au film "LE RETOUR DU DRAGON" ce n'est qu'un best of de 3 épisodes mis bout à bout de la série LE FRELON VERT avec Bruce LEE.
Afin d'exploiter le filon Bruce Lee (décédé en 1973), ce montage à la hache a eu la chance d'être projeté au cinéma en 1975. Qui s'en souvient ? L'affiche par contre reste dans les mémoires.

mercredi 5 janvier 2011

LA FILLE DU GENDARME DE ST TROPEZ


Geneviève GRAD est née en 1944 à Saint-Ouen d'un père typographe pour France-soir. Jeune elle ne se destinait pas au métier de comédienne, mais voulait devenir danseuse. À 15 ans, elle est repérée par des producteurs. Elle s'embarque alors pour Rome pour tourner des bouts d'essai pour le film Les adolescentes. Mais elle n'est pas retenue. Cela lui valut cependant d'être repérée par Michel Boisrond et obtient le rôle de la fille de Martine Carol dans Un soir sur la plage. Puis les rôles s'enchaînent tant au théâtre qu'au cinéma.



De 1964 à 1968, elle incarne Nicole Cruchot, la fille du maréchal des logis-chef Ludovic Cruchot (Louis de Funès) dans les trois premiers films de la série des gendarmes : Le Gendarme de Saint-Tropez, Le Gendarme à New York et Le Gendarme se marie. Après ce dernier tournage, elle décide de prendre un peu de recul avec cette profession, fatiguée nerveusement.

Elle se réfugie chez des amis dans le Gers. À l'époque, elle rencontre Igor Bogdanoff, dont elle a un fils : Dimitri, né en 1976.

Elle a fait plusieurs métiers : assistante de direction pour TF1, antiquaire avant de travailler pour la ville de Vendôme où elle réside. Elle épouse au printemps 1993 Jean Guillaume, un architecte, après 11 ans de vie commune. Elle a complètement tourné la page du cinéma.

mardi 4 janvier 2011

DEUX JOURS A TUER

Antoine Méliot, la quarantaine, a tout pour être heureux : une belle épouse, deux enfants adorables, des amis sur lesquels il peut compter à tout instant, une jolie demeure dans les Yvelines et de l'argent. Mais un jour, il décide de tout saboter en un week-end : son bonheur, sa famille, ses amis. Que s'est-il passé chez cet homme pour qu'il change si étrangement de comportement ?

Albert Dupontel crève l'écran comme jamais dans son rôle de père de famille n'ayant plus rien à perdre. Marie-Josée Croze est parfaite également. Le repas d'anniversaire est un vrai moment de cinéma et la dernière partie en Irlande superbe. On se laisse piéger par la premiere scène avec Dupontel au restaurant et c'est à la fin du film que toutes les pièces du puzzle se mettent en place. Albert Dupontel comfirme encore une fois qu'il est un des meilleurs acteurs de sa génération, quant à Monsieur BECKER, il prouve une fois de plus qu'il métrise la caméra et son sujet comme personne.



Anecdotes autour de "Deux jours à tuer " et de son tournage !
(allociné)

Deux jours à tuer est adapté du roman éponyme de François D'Epenoux. Un livre qu'une amie de Jean Becker lui a donné à lire alors qu'il se trouvait en Ecosse, qu'il a commencé et n'a plus quitté. Le réalisateur explique : "J'ai tout de suite été intrigué, déstabilisé même, par le comportement d'un homme qui le temps d'un week-end envoie tout promener. (...) Cette histoire me plaisait, d'autant plus qu'il y avait une véritable explication au comportement d'Antoine..." A voir jusqu'au bout

Pour Jean Becker, la musique du générique de fin fait partie intégrante de Deux jours à tuer. Lors des projections de presse, la lumière ne se rallumait qu'à la toute fin de la chanson, et il était demandé aux journalistes de l'écouter attentivement.


La seconde partie du film a été tournée en Irlande, dans la région des lacs du Connemara. Un endroit que Jean Becker connaissait pour y avoir passé quelques jours de vacances en famille (dans l'hôtel où avait séjourné le Général de Gaulle!). Un choix qu'il appuie par son besoin de liberté : "Je me sens bien en plein air, dans ces grands espaces, tout y est plus facile pour moi."

Le réalisateur n'a eu aucun mal à choisir ses deux acteurs principaux, sur lesquels il ne tarit pas d'éloge. "Albert Dupontel est un garçon que je trouvais excellent dans ses propres films et dans ceux des autres. Je me souvenais de personnages avec un physique un peu inquiétant, avec un oeil percutant et fort. Exactement ce qu'il fallait pour assumer le comportement si étrange d'Antoine." Quant à Marie Josée Croze, "c'est une personne exquise et une très bonne comédienne. Elle a une douceur et un regard qui me touchent profondément."


Si l'attitude du personnage d'Antoine semblait cohérente à Albert Dupontel et qu'il dit s'y être immédiatement identifié, il déclare néanmoins qu'il ne pourrait pas être cet homme qui envoie tout valser. "Je ne suis pas sûr d'en avoir le courage et puis, franchement, je préfère ne jamais connaître ce cas de conscience."

lundi 3 janvier 2011

LES GOONIES

il y a des films de notre enfance qui ne prennent jamais un coup de vieux, Les Goonies fait parti de ses films. Réalisé par Richard Donner (l'arme fatale...) produit par Maitre Spielberg, dieu sait qu'il a enchainé les bons films dans les années 80 et rares sont ceux que j'ai raté au cinéma.
THE GOONIES a le mérite d'être fun, innovent pour l'époque, avec une histoire de gamins pour les gamins. Généralement diffusé pendant les fêtes de NOEL, pour ceux qui sont encore passé à côté, faites vous plaisir en dvd et bluray sinon, attendez NOEL prochain .. qui sait ?





dimanche 2 janvier 2011

BEST OF DES COMMENTAIRES

Voici un petit best of des commentaires sur mon blog !
Merci à vous tous !

c'est vrai que Tonny curtis à marque son temps surtout avec la série amicalement votre a cote de roger moore ils nous manquera Sami
Par Anonyme sur ETERNELLEMENT VOTRE le 04/12/10

Drebin , de la bonne rigolade devant la TV comme j'en ai pas eu depuis longtemps ^^ Il était vraiment drôle. RIP Franck !!
Par Anonyme sur Y'A T'IL UN FLIC AU PARADIS ? le 29/11/10

Un idiot à Paris, 1967, avec notamment Jean Lefebvre (la star du film alias...Goubi), et une apparition de Pierre Richard, et du très grand, c'est un pléonasme, Bernard Blier!
Par LudoFromTheSeventies sur BERNARD BLIER : SCENE CULTE le 18/10/10

C'est pour nous un deuxième décès, surtout après la perte de la voix Française complètement adaptée à Tony CURTIS, je parle de Michel ROUX aussi décédé en 2007 à 77 ans à la suite d'une crise cardiaque. Mais ils resteront inséparablement éternels dans nos coeurs. ce soir un petit passage du générique d'AMICALEMENT VOTRE de John BARRY me fera grand bien.
Par Kitschmoog sur ETERNELLEMENT VOTRE le 05/10/10

Un bon vieil acteur comme on n'en fait plus! Et je l'ai découvert il y a peu dans son excellent rôle de Goldfinger. Et pour moi, ça reste La Baleine dans le Coup du parapluie!
Par LudoFromTheSeventies sur AURIC GOLDFINGER le 30/08/10

Super film, que j'ai dû regarder au moins trente fois, si ce n'est plus!!! Quand j'ai découvert les "spécialistes", c'était au début des années 90's, avec mes frangins, on le matait très souvent, pour l'action, les acteurs ainsi que pour l'histoire, qui est bien imaginée. Ce qui est amusant dans tout ça, c'est que dix ans plus tard, je passais mes premières grandes vacances d'été dans les gorges du Verdon, et ce qui a de plus passionnant, c'est que j'ai retrouvé quelques endroit où des scènes du film ont été tournées!!! J'ajouterai que j'ai une énorme pensée pour Bernard Giraudeau, qui nous a quitté le 17 Juillet, à 07h00. Il va nous manqué, toutes mes condoléances à sa famille ainsi qu'a ses proches.
Par Anonyme sur LES SPECIALISTES, LE FILM CULTE le 02/08/10

Classieu ton blog, formidable! bravo Stéphane D
Par Anonyme sur GAINSBOURG AU CINEMA le 05/03/10

et dire que des gens ont accepté de déplacé plus de 1$ pour réaliser ce film (un grand nom quand même...) ou pour le voir...pfff et ça a contribué à la croissance économique des USA de Reagan...j'aime le old school, mais là, ce sont des furieux!
Par LudoFromTheSeventies sur LE STAR WARS DU PAUVRE le 20/02/10

Ce film est à voir! Rien que pour les effets spéciaux fauchés, le jeu d'acteur approximatif et un christopher plummer en guest star fatiguée et inexpressive!
Par hansolo sur STAR CRASH_LE CHOC DES ETOILES le 24/01/10

salut willis, c'est ludovic de PPP, merci pour tes commentaires et autres passages sur mon blog, je te souahite une bonne et heureuse année 2010. PS: tu fais du bon travail sur ton blog.
Par LudoFromTheSeventies sur LES TONTONS le 02/01/10

TMDR, j'étais plutot inconnus à l'époque, parcequ'on n'avait pas canal + ici , mais chabat me fait mourir de rire ! ^^
Par jack sur LES NULS : ZORRO le 30/12/09

trop mort de rire cette séquence ! Je crois que j'ai pas aimé le film à l'époque, mais faudrait que je le revoye! ^^
Par jack sur SCENE CULTE le 30/12/09

samedi 1 janvier 2011

BILAN DE L'ANNEE 2010

Le bilan de l'année 2010 est assez bon pour mon blog LE PLEIN DE SUPER, comme vous pouvez le voir sur le graphique ci dessus, les pages vues n'ont pas cessé d'augmenter au fil des mois (entre juin et décembre).


Les visiteurs de mon blog sont en majorité connectés de la France (12 016 pages vues) en seconde position la Belgique (682), le Canada (464) et les USA en 4ème avec 427 pages vues.


Le "billet" le plus lu sur mon blog date du 17 juin, ma rencontre avec Anémone, Coluche arrive en seconde position, et l'article sur les lunettes 3d en 3ème position. On peut voir que Richard Kiel, un des méchants de Moonraker est dans le top 10 des pages les plus consultées cette année.

CCe petit blog a quand même reçu plus de 8 270 visites entre juin et décembre 2010 et 11 400 pages vues.
Merci à vous !
Cordialement
Monsieur William



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