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dimanche 29 septembre 2013

LE CASSE, le film de fin de semaine




Un casse dans une riche villa de la banlieue d'Athènes. Azad, le chef des cambrioleurs, est en train d'ouvrir le coffre quand Zacharia, un policier, vient l'interrompre. Bien qu'il ne croie pas aux explications d'Azad, il quitte quand même les lieux. Après son départ, Azad s'empare d'une trentaine d'émeraudes. Un contretemps oblige les cambrioleurs à se séparer quelques jours. Azad, qui a gardé les pierres, s'aperçoit qu'il est suivi. Après une folle poursuite, il s'avère que c'est Zacharia, bien décidé à s'approprier les émeraudes, qui le traque...

Réalisateur Henri VERNEUIL Année 1971 Nationalité Français, Italien Drapeau Français Drapeau Italien Genre Action, Policier, Thriller Durée 2H00 Acteurs principaux Marc ARIAN, Jean-Paul BELMONDO, Nicole CALFAN, Dyan CANNON, Myriam COLOMBI, Jose Luis DE VILALLONGA, Raoul DELFOSSE, Robert HOSSEIN, Renato SALVATORI, Omar SHARIF

jeudi 26 septembre 2013

JANE BIRKIN : CIRCULEZ Y' A RIEN A VOIR


 
film de Patrice Leconte (1983), avec Michel Blanc, Jacques Villeret et Jane Birkin. Une bonne comédie policière
 
Les inspecteurs Leroux enquêtent chez la propriètaire d'une galerie d'art contemporain, Hélène Duvernet, soupçonnée d'être mêlée à un trafic de tableaux volés. Pélissier ne la croit pas impliquée tandis que Leroux à la fois intrigué et attiré par la jeune femme, la suit partout et en tombe amoureux. Il finit par la prendre ne flagrant délit et lorque son amant meurt accidentellement, il l'aide à se débarasser de son corps.
 
Interview Patrice Leconte

JANE BIRKIN : Moutarde et échalote


La course à l’échalote

Jeune et dynamique fondé de pouvoir de la « 20th century bank », Pierre Vidal épie régulièrement avec ses jumelles sa compagne Janet, qui travaille dans un salon de coiffure de l'autre côté de la rue. Ce dont celle-ci, lasse d'être ainsi constamment surveillée, profite pour exciter sa jalousie. Son patron ayant pris quelques jours de vacances, Pierre est chargé de le remplacer. Plus nerveux que jamais sous le poids de cette écrasante responsabilité, il doit bientôt accompagner jusqu'à la salle des
coffres un certain M. de Rovère, venu déposer l'acte de cession des parts de l'Alcazar, le célèbre cabaret parisien. Mais la précieuse mallette contenant les documents est dérobée sous leurs yeux...










































La moutarde me monte au nez

Pierre Durois, brave professeur de mathématiques dans un lycée de jeunes filles à Aix-en-Provence est également le fils (et parfois le nègre) du maire de la ville, le chirurgien Hubert Durois, et l'ami (et parfois le nègre) de Patrick le photographe d'un journal à scandales que dirige Albert Renaudin, le concurrent d'Hubert Durois au poste de maire.

Un jour, ses élèves, pour lui faire une blague, échangent le contenu de trois dossiers contenant des copies à corriger, un discours de son père et un article pour Patrick sur l'actrice Jackie Logan. Tout s'en trouve chamboulé et Pierre arrive tant bien que mal à rétablir la situation. Pourtant, au moment de récupérer les copies qu'il avait donné par erreur à Patrick, Pierre se retrouve sur le tournage du film de Jackie, puis par un concours de circonstances finalement chez elle où il passe la nuit.

Le lendemain, la presse à scandale fait ses gros titres de cet événement au grand désarroi de Hubert Durois (car cela constitue un camouflet dans le cadre de sa campagne contre Renaudin) et de Danièle, la fiancée de Pierre...

mardi 24 septembre 2013

LA FIN DE DEXTER QU'ON NE VERRA JAMAIS


La série Dexter s'est terminée hier soir à la télé américaine, aujourd'hui le producteur Clyde Philips, qui quitta Dexter en 2009  (4e saison), avait en effet imaginé une conclusion très précise pour la série.


"Dans la toute dernière scène, Dexter se réveille. Tout le monde pense "Oh, c'était un rêve". Puis la caméra recule de plus en plus, et alors on réalise : "Non, ce n'est pas un rêve". Dexter ouvre ses yeux, il est sur la table d'exécution dans la prison de Floride. On s'apprête à lui faire son injection, il regarde derrière la vitre de la salle d'exécution. Tous les gens qu'il a tués sont là, y compris le Ice Truck Killer et le Trinty Killer (son frère Rudy), LaGuerta (il est responsable de son décès), Doakes (il peut être considéré comme responsable de son décès), Rita (il peut être considéré comme responsable de son décès), Lila."


"Tous les morts fameux, et aussi tous ceux qui ont été tués semaine après semaine : ils sont tous là. Voilà ce que je visualisais pour la fin de Dexter. Tout ce qu'on avait vus tout au long des huit saisons se produit pendant les quelques secondes qui séparent le début et la fin de l'exécution. Il voit littéralement défiler sa vie devant ses yeux au moment où il est sur le point de mourir. Je crois que ça aurait été une conclusion superbe, épique, très satisfaisante."

JANE BIRKIN : LA PISCINE



Jean-Paul et Marianne forment un couple idéal et coulent des jours heureux dans leur villa de Saint-Tropez, jusqu'au jour où arrive Harry, au bras de sa fille l'incendiaire Pénélope. Ancien amant de Marianne, l'homme trouble cette vie tranquille. La tension monte.

La Piscine est le premier film français de Jane, fraîchement débarquée de sa Grande-Bretagne natale. L'actrice deviendra ensuite l'une des plus populaire du cinéma français dans les années 70 et 80. 


"Quand j’ai connu Serge, j’étais encore  amoureuse du compositeur John Barry, et Serge, lui, était encore accro à Brigitte Bardot. Un soir, pendant le tournage de « La Piscine », de Jacques Deray, à Saint-Tropez, on a dîné au restaurant avec Serge. Soudain, Brigitte Bardot est entrée, et il est devenu blanc. 
De mon côté, à Londres, un jour que John Barry s’est éloigné dans la rue en tenant la main de Kate (la fille qu’ils ont eue ensemble, ndlr), Serge m’a surprise penchée à la fenêtre, en larmes. Et, peu à peu, avec le temps, on arrive à superposer une image à une autre. L’image du début est toujours là, on brode des choses dessus, et à la fin, vu de très loin, on voit quelque chose d’autre. Mais je ne crois pas qu’on efface quelqu’un"

lundi 23 septembre 2013

ANTOINE DE CAUNES REND HOMMAGE A GILLES VERLANT



Antoine De Caunes a lancé Le Grand Journal de vendredi 20 septembre par un vibrant hommage

« Ce matin, un matin comme les autres, j'ai appris la mort d'un ami. Une mort stupide alors que mon ami était très intelligent. Il s'appelait Gilles Verlant, il était Belge, il était drôle et il aimait le rock. 

 Au début de Canal, on avait animé ensemble un magazine de pop culture, Surtout l'après-midi. La voix de Rapido, des bandes-annonces, le biographe de David Bowie, de Gainsbourg, et pleins d'autres choses encore, c'était lui. 

Une voix s'est tue comme on dit, mais on ne l'oubliera pas. Ce Grand Journal lui est dédié. Salut Gilles. »




Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo

Dominique FARRUGIA
"Que de souvenirs heureux avec Gilles Verlant. 1984. SLAM. Les couloirs de C+ avec sa moquette étoilée. Des rires. Et maintenant des larmes."

Olivier Cachin : "J'apprends avec tristesse la mort de mon camarade Gilles Verlant, journaliste et exégète de Gainsbourg. Rest In Peace, Gilles."


tous les postes dédiés à Gilles Verlant sur mon autre blog LE MUR DU SON ICI











JANE BIRKIN : SLOGAN


Semaine spéciale Jane Birkin sur mes deux blogs, retour sur sa filmographie (via le plein de super) et sa discographie (via le mur du son)... et je vous réserve une GROSSE SURPRISE  le week end prochain (si tout va bien)



Slogan 

En plein festival à Venise, le réalisateur de la publicité Serge Faberger rencontre et s'éprend d'une jeune Anglaise Evelyne. Il ne cache pas que sa femme attend un bébé. Cette situation se complique pour bientôt… Réalisateur : Pierre Grimblat


Pour le rôle d’Evelyne, la jeune beauté dont Serge – le réalisateur incarné par Serge Gainsbourg –, va s’amouracher, Pierre Grimblat avait pensé à Marisa Berenson. Mais poursuivant son casting dans les capitales européennes, il tombe, à Londres, sur une jeune Anglaise en minirobe. Lorsqu’il la voit, Grimblat se moque d’elle. Quelle curieuse façon de s’habiller quand on a des jambes si maigrichonnes : « Si vous me payez l’opération, je peux rectifier mes jambes qui ne se joignent pas de manière réglementaire », lui répond-elle. En anglais, car Jane Birkin, non contente de s’habiller de « façon invraisemblable » – l’effet Swinging London n’a pas encore traversé la Manche –, ne parle pas du tout français. Sélectionnée pour un bout d’essai, elle va apprendre, avec l’aide du maître d’hôtel chinois du réalisateur, un texte dont elle ne comprend pas un traître mot. 
Quand elle se présente pour donner la réplique à Gainsbourg, il la carbonise. Il aurait préféré une partenaire d’un meilleur standing, comme Marisa Berenson par exemple, qui n’avait jamais tourné mais était l’une des trois mannequins vedettes du moment. Birkin, elle, parfaite inconnue, n’affichait comme états de service que le rôle de modèle posant nue dans « Blow Up » de Michelangelo Antonioni. « Pourquoi vous ne me dites pas comment ça va ? » lui demande-t-elle. Dans le rôle de peau de vache, Gainsbourg était impec : « Parce que ça m’est parfaitement égal. » En larmes, elle remporte le rôle.


 

« Si ce n’était pour “Slogan”, je ne serais jamais venue en France, je n’aurais jamais connu Serge. On ne sait pas ce que le destin aurait donné, mais, en tout cas, me concernant, cela aurait été vachement moins marrant. » 

Les scènes du film ont été filmées entre 26 juin et 16 août 1968 à Venise en Italie. « C'est sur ce film que se sont rencontrés Serge Gainsbourg et Jane Birkin.

 


Le tournage débute dans une ambiance congelée. Gilles Verlant, le biographe de Gainsbourg, raconte comment Jane se plaignait de son affreux partenaire auprès de son frère Andrew, descendu dans le même hôtel à Venise : « Ce mec me traite comme de la merde. » Serge Gainsbourg venait de se faire plaquer par Brigitte Bardot, pour qui il avait écrit le scandaleux « Je t’aime, moi non plus ». A côté de BB, sex-symbol planétaire, la petite Anglaise de 20 ans aux jambes comme des brindilles ne faisait pas le poids.

Suintant d’animosité, le film, censé raconter une histoire d’amour torride entre Paris et Venise, allait tourner au désastre. Pour sauver « Slogan », Grimblat joue alors les marieuses. Il invite les « amoureux » un vendredi soir chez Maxim’s, où il omet sciemment de se rendre. Après le dîner, Serge emmène Jane danser chez Régine : « Il n’y avait rien que des slows. Il me marchait sur les pieds, j’ai adoré ça. Sa timidité, sa maladresse. » Le lundi matin, les deux acteurs arrivent sur le plateau, main dans la main. Grimblat sait déjà qu’il flirte avec le succès. Alors qu’il avait écrit sa propre histoire, le réalisateur va filmer celle de Jane et Serge. Pour la bande originale, ils vont chanter ensemble, c’est la première fois.* 



 La musique du film a été composée par Serge Gainsbourg, enregistrée au studio Gaîté à Paris. La bande originale est sortie en juin 1969, sous la direction du label Philips

le film est disponible en dvd



source info
wikipedia
*Catherine Castro 
sur http://www.marieclaire.fr/,gainsbourg-birkin-quelle-histoire,20178,142.asp
 

vendredi 20 septembre 2013

DISJONCTE, le film de fin de semaine


Le vidéo club du plein de super vous propose de voir ou de revoir un des films les moins connus de Jim Carrey et sûrement un des  plus sous estimés, avec Mathew Broderick (war games, Ferry Bueller) , bref, un des films cultes du plein de super. Bon film et bon week end. 
 
 
 
 

Aux Etats-Unis, la coutume veut que contre cinquante dollars l'employé du câble installe «gratuitement» les chaînes de télévision que l'on désire. Lorsque Steven Kovacs, jeune architecte, emménage dans son nouvel appartement, il propose à l'installateur les fameux cinquante dollars en échange des programmes dont il a envie. Mais celui-ci refuse d'être payé. Tout ce qu'il veut, c'est un ami. Et selon lui, Steven est le parfait candidat...

 
 
 

Second long-métrage de Ben Stiller comme réalisateur après Génération 90, Disjoncté n'a pas rencontré le succès commercial attendu aux États-Unis, mais est le deuxième plus grand succès mondial de Stiller derrière la caméra après Tonnerre sous les Tropiques.

jeudi 19 septembre 2013

LA SUITE DU PONT DE LA RIVIERE KAI : 32 ANS APRES


Lorsqu'un film cartonne au cinéma, il n'est pas rare qu'une suite soit en préparation dans les deux ans à venir, mais parfois, il faut des années avant de voir arriver le N°2, bienvenue dans la nouvelle rubrique du plein de super : "LA SUITE OUI MAIS PAS TOUT DE SUITE"

Retour de la rivière Kwaï (Return from the River Kwai) est un film de Andrew McLaglen sorti en 1989, librement inspiré du roman Return from the River Kwai.

Un camp de prisonniers britanniques et australiens doit être évacué vers le Japon quand un bombardement allié sur le port proche du camp bouleverse la donne.

Plus un remake qu'une suite, par le réalisateur des oies sauvages...

32 ans avant sortait au cinéma  :


Le Pont de la rivière Kwaï,  un film britanno-américain, réalisé par David Lean et sorti en 1957.

BENOIT BRISEFER : LE FILM


Le tournage du film sur la première aventure du super-héros Benoit Brisefer* au cinéma, vient de commencer au Portugal.

*imaginé par le créateur des Schtroumpfs, le dessinateur belge Peyo


Pour les besoins du tournage de "Benoit Brisefer : les taxis rouges" la petite ville française a été reconstituée à Lisbonne et ses environs.


Benoit Brisefer, 10 ans, est campé par le jeune Leopold Huet. Thierry Lhermitte, Hippolyte Girardot  font également partie de la distribution.

Le long métrage réalisé par Manuel Pradal ("Marie, baie des Anges", "Un crime") est doté d'un budget de 11 millions d'euros

L'histoire se déroule dans une petite ville française menacée par une bande de malfrats qui viennent pour la piller sous couvert de l'implantation d'une nouvelle compagnie de taxis, les Taxis rouges, menée par le bandit Poilonez (Jean Reno). Or Benoît Brisefer n'est pas un enfant comme les autres : il a des super pouvoirs. Mais il les perd… dès qu'il s'enrhume et personne ne croît en ses pouvoirs, pas même son ami Jules Dussiflard (Gérard Jugnot), chauffeur de taxi menacé de chômage.

La sortie au cinéma est prévue pour le 22 octobre 2014.

source de l'info
Lambart productions
et le lien ci dessous :
http://cinema.nouvelobs.com/articles/27665-tournages-benoit-brisefer-devient-un-super-heros-de-cinema

mercredi 18 septembre 2013

CHRISTOPHE LAMBERT dans LA SOURCE sur FRANCE 2



"La Source", la série d'espionnage réalisée par Xavier Durringer, commence ce mercredi 18 septembre sur France 2. Extrait de Interview de Christophe Lambert pioché sur http://www.allocine.fr   Il parle de son premier grand rôle dans une série, du métier d'acteur mais aussi de ses goûts en matière de cinéma...


Qu'est-ce qui vous a accroché tout de suite ?


Christophe Lambert : La base de tout, c'est le scénario. Après, c'est un metteur en scène qui va comprendre, qui va travailler et qui va aller dans le sens de ce qu'il y a comme matière pour essayer de l'amplifier. Et puis, après, c'est sa manière de trouver un casting atypique et différent mais qui correspond aux personnages, sans aller systématiquement vers des noms en se disant : "tiens si on a untel ou untelle, quoi qu'il arrive, ça va attirer du public". Non, ce qui attire du public, c'est la qualité. Je pense qu'un grand texte peut être massacré par un mauvais metteur en scène. Et un grand texte avec un bon metteur en scène ne peut qu'être amplifié. Ce qui est le cas avec La Source et Xavier Durringer.


Chez quels autres réalisateurs avez-vous retrouvé cet amour des acteurs ?

Je l'ai retrouvé chez Hugh Hudson dans Greystoke, chez Michael Cimino dans Le Sicilien... Vous savez, je l'ai trouvé chez des gens qui travaillent et qui ne pensent pas que ce métier est simplement fait de facilités. Il n'y a rien de facile dans ce métier, il n'y a que du travail et il n'y a surtout que de l'amour.



On vous a déjà vu à la télévision mais c'est la première fois que l'on vous voit dans le rôle principal d'une série française. Vous y teniez ou c'est un hasard ?


Ce qui m'intéresse, ce n'est pas de savoir si c'est pour la télévision ou pour le cinéma. Bon, ça, ça vient peut-être de mon expérience, entre guillemets, américaine. A partir du moment où une histoire est qualitative, il ne faut pas hésiter une seconde, c'est tout.



Vous pensez qu'en France, justement, on fait encore cette différenciation, qu'il y a encore ce clivage ?

Oui, on fait un peu une ségrégation, un clivage en disant : "Ah ouais, mais c'est de la télé". La télé, c'est du divertissement. Pouvoir proposer du divertissement à un public, c'est le but de ce métier, quel qu'il soit, que ce soit au cinéma, à la télévision, au théâtre... C'est du divertissement. Divertissement comique, dramatique, dur, intellectuel... Ce qu'on veut. C'est tout. J'ai toujours eu, jusqu'à aujourd'hui, cette optique. J'ai fait des bons films, j'ai fait des mauvais films. Mais, quoi qu'il arrive, je me suis éclaté. A partir du moment où l'on prend du plaisir à faire quelque chose on va forcément procurer du plaisir à quelqu'un.


Toute la série est d'ailleurs basée sur ce principe, sur les faux-semblants et l'idée qu'on croit connaitre quelqu'un mais, qu'en réalité, on ne connait même jamais ses proches.


La série n'est basée que sur la manipulation. Qui est bon, qui est mauvais, qui est méchant ? Qui est juste, qui est un traître, qui ne l'est pas ? Et puis, en fin de compte, pourquoi il trahit ? Quelles sont les raisons ? Et vous savez, ce qui est marrant, c'est qu'en fin de compte, comme je l'ai toujours pensé, tout ça est basé sur l'affectif. C'est-à-dire qu'à partir du moment où l'on aime son métier passionnément, on est quelqu'un d'affectif. Ce qui veut dire que dans sa vie professionnelle comme personnelle, on est affectif. Et à ce moment-là, on a des cassures, on a des failles qui font que ça peut déraper.


Après une aussi longue carrière, est-ce que c'est important pour vous que les critiques aussi soient positives. Ca fait du bien tout de même ?


Ca fait du bien quand la critique est aussi unanime qu'elle peut l'être [dans le cas présent]. Après, je vous le dis franchement, en moyenne, je ne lis pas les critiques. C'est le public qui décide.



Et que pensez-vous des séries américaines ?


Super bien faites, super carrées, très bien écrites et construites, très bien produites. Mais, vous savez, on y arrive très bien en France aussi, comme en Angleterre. C'est la raison pour laquelle j'ai accepté La Source.



Quel est le dernier film à vous avoir marqué au cinéma ?


Bonne question... C'est un film qui n'est pas si récent que ça, qui doit avoir 3 ou 4 ans et qui s'appelle Green Zone avec Matt Damon. Il traite de la 2ème Guerre en Irak et de la recherche impossible, puisqu'ils n'existaient pas, des déchets toxiques et des armes nucléaires. Et on s'aperçoit, en fin de compte, de toute la magouille politique qu'il y a autour de ça, toute la magouille financière, toute la conviction d'un Président qui dit qu'ils sont là et qu'il faut les trouver, alors qu'ils n'y sont pas. Et de la manière d'avouer du chef des armées de Saddam Hussein qui dit : "Mais les mecs, vous vous êtes fait balader, ça fait depuis 1990 qu'il n'y a plus d'armes chimiques en Irak." On se pose donc des questions sur l'inutilité de tout ça. C'est un film que j'ai beaucoup aimé.



Quels sont vos projets à venir ?


Je viens de finir un film américain qui s'appelle The Electric Slide, qui est une comédie dramatique sur l'histoire d'un jeune mec de 30 ans qui, du jour au lendemain, pète les plombs et attaque 60 banques en 90 jours en Californie du Sud avec un pistolet en plastique. Moi, je joue un mafieux qui lui court après parce que je lui ai filé du pognon pour le financer, sans savoir que je finançais ses opérations de gangstérisme et qui lui dit : "Quoiqu'il arrive, faut que tu me le rendes !" Ca se passe dans les années 80, donc j'ai le costume à fleurs et tout... Et puis les personnages sont très hauts en couleur. Jim Sturgess joue le jeune mec, il y a aussi Chloë Sevigny, Patricia Arquette et une pléïade d'autres rôles...

retrouvez l'intégralité de l'interview ici 

mardi 17 septembre 2013

MEME BUD MAIS PAS MEME MALABAR

 


Dans la catégorie MEME FILM MAIS PAS MEME TITRE, je demande BUD SPENCER dans... LE COGNEUR, connu aussi sous le nom de UN FLIC HORS LA LOI et MALABAR.

La jaquette de la VHS

 Réalisé par Steno
Avec Bud Spencer, Al Lettieri, Enzo Cannavale plus Genre
Action , Comédie , Policier Nationalité
Italien

L'Inspecteur Rizzo est dans de sales draps : il est accusé d'être partie prenante d'un vaste trafic de drogues. Il va donc tout faire pour prouver son innocence.


L'affiche française

L'affiche originale du film 



En france, ce film existe en dvd  à priori sous le nom de MALABAR


Une suite du cogneur existe, le titre original



le titre original

Titre original Flatfoot in Hong Kong
Réalisateur Steno
Année 1975
Nationalité italien
Genre Comédie
Durée 1H48
acteurs principaux Al Lettieri,Bud Spencer, Enzo Cannavale
Synopsis : Malabar est à Hong Kong sur le pied de guerre. Il veut découvrir l'identité du mystérieux "patron" qui se sert de la viklle comme d'une plaque tournante d'une opération de contrebande vers les Etats-Unis. Le seul moyen de mener sa mission à bien est de remonter jusqu'au origine de l'organisation dans tout l'Extrème-Orient. 


Cette suite est connue en France  sous le nom de 
MALABAR à Hong Kong


Le troisième volet  de la saga

devient "MALABAR sur le nil" ou bien comme la VHS ci dessous


 le titre PIED PLAT SUR LE NIL


MEME TITRE (ou presque) MAIS PAS MEME FILM , 


Ci dessous, un autre MALABAR réalisé par Michele LUPO
rien à voir avec le film de STENO


Capitaine Malabar dit La Bombe (titre original : Bomber) est un film italien réalisé par Michele Lupo, sorti en 1982.  

Bud Graziano dit « La Bombe », ancien boxeur devenu capitaine des hautes mers, accepte d'entraîner un jeune talent pour venir en aide à son ami Jerry qui a des problèmes avec un groupe de militaires corrompus menés par Rosco Dunn...

Du même réalisateur en 1981 : On m'appelle MALABAR


 Malabar et Girolamo, deux hors-la-loi, viennent défendre un petit village attaqué par des bandits afin de piller l'or qui a été découvert...

Un autre malabar qui n'a rien à voir avec la série "Piedonne, enfin je crois ! difficile de se retrouver dans cette filmographie qui sent bon la castagne !











vendredi 13 septembre 2013

LE FILM DE FIN DE SEMAINE

Pour terminer la semaine, le plein de super vous proposera chaque week end un film à voir, à revoir, bref, du cinéma culte comme on l'aime sur ce blog.



le résumé :
Chacun de leur côté, le Manchot et le Colonel exercent la même profession : chasseur de primes. Le Manchot n'a guère que cette solution pour tirer profit de son extraordinaire adresse au tir et de son cynisme à toute épreuve, alors que le Colonel, authentique ancien officier supérieur, aime la chasse à l'homme pour le plaisir qu'elle lui procure. Fréquemment rivaux, les deux hommes sont confrontés à un problème plus complexe qu'à l'accoutumée. Un dangereux repris de justice, surnommé l'Indien, à la tête d'une bande redoutable, sème la terreur dans la région. Belle prime, songe le Manchot. Belle traque, pense le Colonel. Mais l'une et l'autre impliquent que les deux hommes s'allient...


LE FILM






Le film contient toute une série de flashbacks, sur fond de musique de boite à musique, de plus en plus longs, dévoilant petit à petit l'événement qui suscitera la soif de vengeance de Mortimer et qui n'est dévoilé qu'au moment du duel final. Ce procédé sera repris 3 ans plus tard, dans Il était une fois dans l'Ouest. La vengeance de la mort d'une sœur devient celle d'un frère et la musique de la montre devient celle d'un harmonica.


Deuxième film de la "trilogie du dollar" de Sergio Leone : 
Pour une poignée de dollars, Et pour quelques dollars de plus et Le Bon, la Brute et le Truand.




le film est disponible en dvd collector et bluray

SOYEZ PRETS ILS ARRIVENT

 


En 1977, voyageur 2 était lancé dans l'espace, invitant toute forme de vie de l'univers à visiter notre planète. Soyez prêts, ils arrivent

 Il y a quelques jours, une étude parue dans une revue scientifique tendait à penser que la sonde américaine, lancée en 1977, était sortie des frontières de notre système solaire, mais sans apporter de preuves irréfutables. L'affaire est désormais confirmée par les chercheurs de la Nasa, selon des mesures publiées dans la revue Science. Voyager voguerait bien dans l'espace intersidéral, et ce depuis août 2012, selon les données de l'agence spatiale américaine.


La sonde se trouverait ainsi à près de 21 milliards de kilomètres du Soleil. Très exactement, elle aurait quitté l'héliopause, qui constitue la frontière de notre système solaire, le 27 juillet 2012, selon l'étude de l'astrophysicien Marc Swisdak de l'Université du Maryland. Ce scientifique souligne que "c'est la première fois que l'humanité peut sortir du berceau du système solaire pour explorer le reste de la galaxie". "Voyager permet ainsi d'effectuer des observations directes hors du système solaire", explique-t-il à l'AFP.


240.000 fois moins puissante qu'un smartphone

Pour combien de temps encore ? Lancées en 1977 par la Nasa, Voyager 1 et 2 avancent dans deux directions opposées à une vitesse de 55.000 km/h. Dotées de batteries au plutonium, elles devraient continuer à être fonctionnelles jusque dans les années 2020. Deux missions de près de 50 ans qui auront largement porté leurs fruits : les deux sondes ont pu survoler Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune ainsi que 48 de leurs lunes. Les données recueillies par les neuf instruments à bord de chacune des sondes en font la mission d'exploration du système solaire la plus fructueuse de toute l'histoire spatiale.

Amusant, quand on sait que les instruments des deux sondes s'appuient sur des technologies aujourd'hui rudimentaires : un smartphone bon marché a en effet 240.000 fois plus de mémoire que les ordinateurs des deux sondes. La puissance de leur transmetteur est par ailleurs égale à celle d'une lampe de réfrigérateur.




Dans leurs bagages, les deux sondes ont aussi emporté 115 photographies censées représenter l'Humanité, une variété de sons naturels et des messages dans quelque 55 langues, dont celui du président américain Jimmy Carter, aux fonctions en 1977. Juste au cas où elles feraient une rencontre fortuite en chemin.

l'intégralité de l'article est ici 

http://www.metronews.fr/info/voyager-1-premier-ambassadeur-intersideral-de-l-humanite/mmim!E1LAuG8JIm76/


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