Toutes les vidéos et images incluses sur ce blogs sont la propriété de leurs ayants-droits respectifs. Elles peuvent être retirées à tout moment par simple demande d'un ayant-droit. Les articles dont la source est mentionnée peuvent aussi être retirés par simple demande de l’auteur.
mardi 31 mai 2011
lundi 30 mai 2011
APRES LE GRUYERE, LE CONCOMBRE QUI TUE
Grace à Signé Furax, on a eu droit au gruyere qui tue, aujourd’hui, c’est le concombre !
http://www.enviro2b.com/2011/05/30/le-spectre-du-concombre-tueur-touche-la-france/
Une bactérie responsable de cas d'hémorragies du système digestif a été détectée dans des concombres espagnols, exportés dans plusieurs pays d'Europe. Si la France semble épargnée, la bactérie mortelle menace l'Allemagne, la Suède, les Pays-bas, le Danemark et le Royaume-Uni.
Le Système d'alerte rapide pour la nourriture et l'alimentation a sonné l'alarme et la Commission européenne appelle la population de certains pays européens à la plus grande vigilance vis à vis d'une bactérie potentiellement mortelle, responsable d'hémorragies du système digestif, l'E.coli enterohémorragique.
Cette bactérie aurait été détectée dans trois concombres espagnols exportés, mais aussi dans un concombre néerlandais exporté en Allemagne. Après recherches, s'agissant des concombres espagnols, la bactérie se serait développée dans deux exploitations des provinces de Malaga et d'Almeria, et les autorités espagnoles cherchent aujourd'hui encore la source de contamination.
Une vingtaine de morts en Allemagne, en Suède, au Danemark et au R-U
En Allemagne, au moins deux personnes sont décédées d'un syndrome hémolytique et urémique, causé par cette bactérie, et 214 cas pathologiques ont été recensés. Dix cas ont également été déclarés en Suède, 4 au Danemark, 3 au Royaume-Uni et 1 au Pays-Bas. La contamination se manifeste par des diarrhées et du sang dans les selles, des maux de tête et de vives douleurs au ventre.
samedi 28 mai 2011
vendredi 27 mai 2011
LES ARCHIVES DE FOX MULDER
Quand la réalité dépasse la fiction !
OVNI NASA et DIVULGATIONS INVOLONTAIRES - une... par florent0121
source
Libellés :
INTERNET,
OVNI et compagnie,
SF,
TELEVISION,
X FILES
jeudi 26 mai 2011
KEVIN COSTNER dans une série TELE
L'acteur Kevin Costner quitte un temps le cinéma pour produire et jouer dans la mini-série, The Hatfield and the McCoys, pour la chaîne américaine History Channel, d'après Hollywood Reporter.
La fiction sera diffusée à l'occasion des 150 ans de la querelle entre les Hatfield et les McCoys. Une dispute qui selon la légende aurait failli conduire à une guerre entre le Kentucky et la Virginie.
La chaîne et l'acteur ont par conséquent décidé de tourner cette mini-série dans l'espoir de démêler le vrai du faux. Kevin Costner jouera une des membres de la famille Hatfield.
La fiction sera diffusée à l'occasion des 150 ans de la querelle entre les Hatfield et les McCoys. Une dispute qui selon la légende aurait failli conduire à une guerre entre le Kentucky et la Virginie.
La chaîne et l'acteur ont par conséquent décidé de tourner cette mini-série dans l'espoir de démêler le vrai du faux. Kevin Costner jouera une des membres de la famille Hatfield.
IL ETAIT UNE FOIS ORANGE MECANIQUE
Il était une fois... Orange Mécanique
Par Igor Hansen-Løve LEXPRESS.fr
Le lien
http://www.lexpress.fr/culture/tele/il-etait-une-fois-orange-mecanique-ce-jeudi-sur-arte_996460.html?xtor=x
et ce soir sur ARTE
Il était une fois... Orange Mécanique.
Un film d'Antoine de Gaudemar et Michel Ciment, réalisé par Antoine de Gaudemar.
Jeudi 26 mai, 22h05, Arte
mercredi 25 mai 2011
LES MAITRES DU TEMPS
"LES MAITRES DU TEMPS" est un de mes films cultes. Je l'ai vu au cinéma quand j'avais 10 ans. Le film n'est peut être pas facile à comprendre pour un enfant (l'espace temps), le récit est un peu lent c'est vrai, mais c'est d'une beauté incroyable.
Le travail de moebius y est pour beaucoup. Bref, un chef d'oeuvre de l'animation française signé René Laloux beaucoup trop sous estimé à mon goût.
SARKOZY et DSK dans "l'élève et le professeur"
Le débat SARKO - DSK qu'on ne verra jamais en 2012 !
ou peut être dans un épisode de la 4ème dimension !
Dommage.
mardi 24 mai 2011
lundi 23 mai 2011
FLASH GORDON
J’ai fêté mes 40 ans ce week end, l’occasion de revenir sur 40 ans de cinéma, les films qui m’ont fait aimer le cinéma (qu’ils soient bons ou mauvais !), des souvenirs plein la tête, une époque ou la place tarif réduit était à 25frs, ou la séance pour la fête du cinéma était à 1Fr…
Un des premiers films qui m’a marqué c'est FLASH GORDON, loin d’être un chef d’œuvre, mais tellement "hors du temps" par rapport à ce qu'on pouvait voir à l'époque , j'avais 9 ans !
Juste une annecdote, je devais aller voir « les fourberies de scapin », film beaucoup plus "scolaire" aux yeux de ma maman !
et coup de chance, le film ne passait plus. Ma mère et moi sommes donc allés (sans savoir ?) voir FLASH GORDON ! Et là c’est le choc, ni un navet , ni un chef d'oeuvre, juste un film qui s'inspire d'une bd S.F. avec un manque de moyen visible - Tout est "kitch" dans le film, les costumes, les décors, les dialogues et même la musique (QUEEN) mais peu importe, on passe un bon moment. Un film comme ça, on en voit pas tous les jours. A 9 ans, on le regarde avec des yeux d'enfants ... à 40 ans, c'est plutôt au second, voir 3ème degré !
Janvier 1981
Le footballeur Flash Gordon et ses amis, le docteur Zarkov et Dale Arden, sont fait prisonniers par Ming, empereur de la galaxie Mongo. Ils trouvent une alliée, la fille de Ming, qui va les sauver de la mort certaine. Celle-ci a en tête bien d'autres projets pour Flash Gordon.
DUJARDIN Ze ARTIST !
Cannes a couronné dimanche soir un cinéaste rare en décernant la Palme d'or à "L'Arbre de vie", cinquième film de l'Américain Terrence Malick, distinguant par ailleurs la génération montante, dont la benjamine de la sélection, la Française Maïwenn (35 ans).
Nous sommes tombés d'accord pour affirmer que c'était +LE+ film qui avait la grandeur, l'ampleur, les intentions et l'impact qui semblent convenir à ce que l'on peut attendre d'une Palme d'or", a expliqué Robert De Niro, qui présidait le jury de la 64e édition du festival.
L'Américaine Kirsten Dunst, 29 ans, a été couronnée du Prix d'interprétation féminine pour son rôle de mariée dépressive dans "Melancholia", oeuvre applaudie du controversé Lars Von Trier, exclu, lui, des festivités pour ses confidences déplacées sur Hitler.
Le prix masculin est allée au Français Jean Dujardin, 38 ans, magnifique star déchue du cinéma muet dans "The Artist" de Michel Hazanavicius, film muet en noir et blanc.
Dans son enthousiasme, le comédien s'est agenouillé devant De Niro avant de quitter la scène, en lâchant: "Je vais me taire... ça me réussit pas mal"!.
"Monsieur le Président", accueilli en début de cérémonie par une standing-ovation dans le grand auditorium du palais du festival, a déclenché un bel éclat de rire en se lançant bravement dans un français hésitant, l'amenant à confondre "compagnons" et "champignons" pour évoquer ses camarades jurés.
Terrence Malick, 67 ans, avait séduit les festivaliers avec l'histoire d'une famille texane dans les années 50, conduite par un Brad Pitt habité, en père austère et religieux, qu'il mêle à une ode symphonique à la vie sur Terre.
D'une timidité maladive, fuyant les caméras depuis plus de 30 ans, Malick était représenté par l'un de ses producteurs, Bill Pohlad.
Source
orange.fr
AFP Cannes
vendredi 20 mai 2011
jOHNNY HALLYDAY est LE SURVIVANT
Johnny a toujours souhaité faire du cinéma. En 1982, il prépare le palais des Sports et tourne le clip "le survivant". Ce court métrage lui permet de faire ses preuves comme acteur. On est à la frontière du nanar, mais bon... c'est Johnny, son seul (?) défaut est de ne jamais dire "non". Voilà le résultat.
Le survivant ( Clip 1982 )
jeudi 19 mai 2011
Lars Von Trier ou le festival de Naze !
Le réalisateur danois Lars Von Trier est prié de quitter Cannes pour ses propos sur Hitler exprimés la veille.
«Le Conseil d'administration condamne très fermement ces propos et déclare Lars Von Trier persona non grata au Festival de Cannes, et ce, à effet immédiat», indique la direction dans un communiqué. Elle a précisé que cette sanction n'excluait pas le cinéaste de la compétition officielle pour la Palme d'Or.
Le président du festival, Gilles Jacob, avait convoqué jeudi matin un conseil d'administration extraordinaire pour examiner d'éventuelles sanctions à l'égard du réalisateur.
«Le Festival de Cannes offre aux artistes du monde entier une tribune exceptionnelle pour présenter leurs oeuvres et défendre la liberté d'expression et de création» et «regrette profondément que cette tribune ait été utilisée par Lars Von Trier pour exprimer des propos inacceptables, intolérables, contraires aux idéaux d'humanité et de générosité qui président à l'existence même du Festival», ajoutent ses responsables.
La veille, le réalisateur danois Lars Von Trier avait créé le premier scandale du festival de Cannes 2011 en exprimant sa «sympathie» pour Hitler et à dû présenter des excuses à la demande des organisateurs. Une provocation de la part d'un homme habitué à ce type de sorties.
«Je dis seulement que je comprends l'homme. Il n'est pas vraiment un brave type, mais je comprends beaucoup de lui et je sympathise un peu avec lui», a-t-il poursuivi. «Je suis avec les juifs, mais pas trop, parce qu'Israël fait vraiment chier», avait-t-il enchaîné devant une assistance gênée.
Lars Von Trier présentait Melancholia, son neuvième film, en compétition officielle avec Kirsten Dunst et Charlotte Gainsbourg dans les principaux rôles. L'actrice américaine, à son côté à la tribune, était visiblement embarrassée, murmurant «Oh my God» en se tournant vers la Française, dont le père, Serge Gainsbourg, était juif d'origine russe.
La journaliste qui a posé la question n'en espérait pas tant: elle interrogeait le réalisateur sur ses origines allemandes, découvertes en 1989 à la mort de sa mère et sur ses propos tenus récemment dans une revue danoise, concernant son «goût pour l'esthétique nazie».
«Ce que je veux dire à ce propos, c'est que j'aime vraiment beaucoup (l'architecte d'Hitler Albert) Speer», répond-il encore. «Même s'il ne fut peut-être pas l'une des meilleures créatures de Dieu, il avait ce talent qu'il a pu exercer pendant le régime nazi.» Albert Speer a été jugé avec les autres dignitaires nazis, condamné à 20 ans de prison et emprisonné jusqu'en 1966 pour crimes de guerre et crimes contre L'humanité .
Lars Von Trier finit par conclure, un peu mal à l'aise et riant à moitié: «Ok, I'm a nazi» («OK, je suis un nazi»).
Mercredi, en fin d'après-midi, le festival de Cannes faisait savoir qu'il avait demandé au cinéaste, Palme d'Or 2000 pour Dancer in the Dark et Grand Prix en 1996 pour Breaking the waves, de présenter des excuses. Lars Von Trier avait déjà dégainé via ses agents: «Si j'ai pu blesser quelqu'un par les propos que j'ai tenus ce matin, je tiens sincèrement à m'en excuser. Je ne suis ni antisémite, ni raciste, ni nazi», affirmait-t-il dans une mise au point.
Des excuses qui n'auront pas suffi.
(Source AFP)
B13U
Banlieue 13, deux ans plus tard. Le gouvernement a changé, pas le reste... Le mur d'isolement - toujours plus haut, toujours plus grand, toujours plus loin - s'est étendu autour des cités ghettos et les gangs qui y prolifèrent ont encore accru leur influence. Le trafic se répartit désormais entre cinq quartiers ethniques, chacun dirigé par un redoutable chef de gang. Plus que jamais déterminés à "régler le problème", les services secrets mettent volontairement le feu aux poudres. Damien, flic expert en arts martiaux, et Leïto, capable de se faufiler dans les moindres recoins de la banlieue, font à nouveau équipe. Leur objectif : sauver la cité du chaos. Leur programme : combats musclés et course-poursuites défiant les lois de la gravité...
Comme le 1er volet, j'ai regardé ce film sans à priori. Un film qui vaut le coup d'oeil que pour les scènes de cascades. Le scénario loge facilement sur un ticket de bus mais peu importe.
L'affiche US du premier Banlieu 13 !
Les scènes d'actions de Cyrill Raffaelli et les sauts de David Belle sont les raisons auquel je mets 2 étoiles. Le film est mal écrit, mal joué (David Belle et Cyrill Raffaelli compris) bien réalisé mais trop caricaturale. C’est quand même mon petit coup de cœur de la semaine car on sent quand même la sincérité des deux comédiens principaux dans leur travail (voir le making of).
CLAUDE LELOUCH et les films 13
Claude Lelouch raconte comment est née sa superstition : "J'avais 20 ans, je voulais baptiser ma société de production Les Films de l'Apocalypse. Mais mon avocat m'a dit que je faisais une grosse connerie. Et là, il a commencé à me faire remarquer que mon nom comptait 13 lettres, que nous étions un 13 avril, qu'il était 13 heures et que 1937 (mon année de naissance) était un multiple de 13... C'est le chiffre du paradoxe, et j'adore ça. Il peut vous réserver le pire et le meilleur, mais personnellement, il m'a prouvé des centaines de fois son efficacité."
mercredi 18 mai 2011
PALME D'OR POUR BELMONDO A CANNES
Acclamé par des milliers de fans et applaudi par les photographes de presse au pied des marches, Jean-Paul Belmondo a reçu une Palme d'Or pour l'ensemble de sa carrière, mardi soir, à l'occasion d'un émouvant, mais joyeux hommage rendu par le Festival de Cannes.
Tout sourire, l'interprète du "Magnifique", du "Professionnel" de "L'As des As" ou de "100.000 dollars au soleil", était entouré de la "bande à Bébel" de toujours (Marielle, Rochefort, Vernier, les copains du Conservatoire, et aussi Charles Gérard, Guy Bedos, Claudia Cardinale, Claude Lelouch, etc.). La jeune génération était représentée par Albert Dupontel, Samy Naceri, Richard Anconina, les cinéastes Xavier Beauvois et Michel Hazanavicius.
"Je suis très ému par cette Palme qui me va droit au coeur. Je veux remercier tous ceux qui sont ici, ceux que je connais et ceux que je ne connais pas. Un grand merci du fond du coeur !", a dit Bébel, 78 ans, visiblement très ému.
S'en est suivie une longue ovation debout dans le Palais des Festivals où a été projeté ensuite un documentaire inédit sur sa carrière signé Vincent Perrot et Jeff Domenech, diffusé simultanément sur la chaîne de télévision France 2.
Pour Gilles Jacob, le président du Festival et le délégué général Thierry Frémaux, "l'étendue du registre de Bébel, le charisme de sa personnalité, la précision de son jeu, la gouaille de ses propos, l'aisance de son allure en ont fait avec Jean Gabin et Michel Simon, l'un des plus grands comédiens français de tous les temps".
Sur la musique du "Professionnel" signée Enio Moriccone, Bébel, au bras de sa compagne Barbara Gandolfi, a reçu dès sa descente de voiture les acclamations de la foule des grands soirs. A l'applaudimètre, Bébel a même fait mieux que Mel Gibson qui avait foulé le tapis rouge une heure plus tôt.
Fait inattendu et exceptionnel, les 240 photographes de presse ont longuement applaudi Bébel. "Je n'ai pas le souvenir d'un tel hommage", a dit à l'AFP Gilles Jacob.
Une bonne partie du cinéma français l'a rejoint pour une autre séquence émotion, dont Nicole Calfan, Georges Lautner, Claude Pinoteau, Jean-Paul Rappeneau, Claude Lelouch, Danièle Thompson, la fille de Gérard Oury, le cascadeur Rémy Julienne, Rachid Ferrache qui interprétait l'enfant dans "L'As des As", mais aussi l'actrice américaine Faye Dunaway.
S'appuyant sur une béquille en raison des séquelles de son accident vasculaire de 2001 et soutenu par sa compagne, Jean-Paul Belmondo a rejoint sous de nouvelles acclamations la scène où Gilles Jacob lui a remis une "Palme d'or à la carrière", distinction décernée par le passé à Jeanne Moreau, Catherine Deneuve, Clint Eastwood et Gérard Oury.
Depuis 1960, Jean-Paul Belmondo a été six fois en compétition à Cannes avec "Moderato Cantabile" de Peter Brook (1960), "100.000 dollars au soleil" d'Henri Verneuil (1964), "La Viaccia" de Mauro Bolognini (1961), "La Ciociara" de Vittorio De Sica (1962), "Les Mariés de l'an II" de Jean-Paul Rappeneau et "Stavisky" d'Alain Resnais (1974).
Pour Jean Rochefort, Bébel est un "phénomène". Pour Albert Dupontel, "c'est l'Arc de Triomphe et la Tour Eiffel réunis, un trésor national comme au Japon".
http://www.ladepeche.fr/article/2011/05/17/1084190-une-palme-d-or-hommage-pour-belmondo-le-magnifique.html
THE ARTIST
• INTERVIEW - Pour la première fois, celui que l'on surnomme «le nouveau Jean-Paul Belmondo» est en compétition à Cannes pour son rôle de star déchue du cinéma muet dans The Artist de Michel Hazanavicius.
LE FIGARO. - À l'heure où la 3D triomphe sur les écrans, qu'est-ce qui vous a pris de tourner dans un film muet en noir et blanc ?
JEAN DUJARDIN. - Avec Avatar, James Cameron a placé la barre si haut que personne ne pourra rivaliser avec lui avant longtemps. Le moment était donc venu de revenir à la base du septième art : le muet. Je ne connaissais pas ce cinéma-là. Je craignais même de m'ennuyer en le regardant. En fait, j'ai découvert des films d'une modernité incroyable, comme L'Aurore , de Murnau. Le verbe ne pollue pas l'image. C'est léger, gracieux. Si on me proposait d'en tourner un autre, j'accepterais tout de suite.
Quelle a été votre réaction lorsque Michel Hazanavicius vous a proposé le rôle de George Valentin ?
Nous sortions du deuxième OSS 117. En me tendant le scénario de The Artist, il m'a dit : «Ne te moque pas de moi : ce n'est pas une comédie, mais une histoire d'amour.» Derrière son côté taiseux, Michel est un grand romantique.
Quelles ont été vos sources d'inspiration pour ce personnage ?
Nombreuses et éclectiques : Gene Kelly évidemment, mais aussi Belmondo pour le côté guignolo, le Pierre Fresnay de la trilogie de Pagnol et même Gabin avec son petit chien dans Le Quai des brumes . Sans oublier Tintin. Mais dès que je commence à tourner, j'oublie mes références.
Votre numéro de claquettes avec Bérénice Bejo fait évidemment penser à Chantons sous la pluie … Comment avez-vous abordé cette scène ?
Nous avons répété quatre à cinq mois à Los Angeles. Nous avons commencé notre apprentissage par le shuffle step. Le plus compliqué a été de maîtriser le transfert de notre poids du pied gauche au pied droit. Ensuite, cela devient tribal. Mais j'ai dit à Bérénice : «Nous ne serons jamais des génies des claquettes. Alors soyons généreux, jouons cette scène comme nous la sentons.»
C'est la première fois que vous tournez aux États-Unis. Comment avez-vous vécu cette expérience ?
J'ai fait le touriste en même temps que l'acteur. Je profitais des pauses pour visiter les mythiques studios Warner, où avait lieu le tournage. Je contemplais les vieilles voitures et les décors. Pour moi, c'était le Versailles du cinéma. Le souvenir de Bogart hantait les plateaux où nous jouions.
La critique américaine est dithyrambique sur The Artist . Est-ce une nouvelle carrière qui s'annonce pour vous ?
Vous savez, nous ne sommes pas entrés par la grande porte aux États-Unis, mais plutôt par la fenêtre. Ce film reste le pur produit d'une petite équipe gauloise. S'il plaît tant aux Américains, c'est parce qu'il raconte leur histoire. Ils doivent peut-être se demander : «Mais pourquoi n'y avons-nous pas pensé avant ?»
Qu'est-ce que ça vous fait, à vous, la mascotte du cinéma populaire français, de vous retrouver en compétition à Cannes ?
Même si socialement The Artist n'est pas vraiment dans la ligne, ce film a une gueule de Cannes. Il a sa place ici.
lien
http://www.lefigaro.fr/festival-de-cannes/2011/05/16/03011-20110516ARTFIG00422-jean-dujardin-ce-film-a-sa-place-a-cannes.php
LE NOUVEAU FILM DE MATHIEU KASSOVITZ
Le nouveau film de Mathieu Kassovitz, date de sortie : 21 septembre 2011 !
A ne pas rater ! j'aime le travail de Mathieu Kassovitz (Acteur / réalisateur), j'adore ce type car c'est un passioné de cinéma, ses films sont comme des coups de poings, c'est pour moi un des plus grands réalisateurs français de la nouvelle génération, digne d'un BESSON.
LE PORTRAIT DE DSK par STEPHANE GUILLON
En février 2010, la matinale de France Inter recevait le directeur général du FMI. L'humoriste Stéphane Guillon, qui signait alors des portraits au vitriol des invités politiques trois fois par semaine, avant d'être licencié pour son irrévérence, avait demandé que «des mesures de sécurité exceptionnelles» soient prises à destination du personnel féminin de la station.
«C'est la première fois qu'il revient en France après son aventure avec une jeune Hongroise (ndlr. Piroska Nagy)», expliquait le trublion. Il faisait mine, plus loin, de lire un tract syndical : «Les membres féminins (de la tranche 7 heures - 9 heures) doivent porter des tenues longues, sobres, anti-sexes. Sont à proscrire le cuir, les talons aiguilles et les dessous chic. Helène Jouan (Ndlr : alors directrice de la rédaction de la radio publique) accueillera DSK en burqa. (...) Parking, toilettes et placards ont été condamnés».
A coups d'une sirène de bateau retentissante, Stéphane Guillon imaginait ensuite cinq seuils d'alerte, jusqu'à «l'évacuation du personnel
Le patron du FMI avait immédiatement répliqué au micro de Nicolas Demorand : «J’ai assez peu apprécié les commentaires de votre humoriste. L’humour, c’est pas drôle quand c’est principalement de la méchanceté.» Garantissant un succès retentissant à la chronique, diffusée sur le site internet de Radio France.
Les difficultés de Stéphane Guillon avaient commencé là, la situation s'était envenimée après plusieurs billets pas doux sur Eric Besson, et le patron de Radio France, Jean-Luc Hees, avait réorganisé la grille de la rentrée de septembre 2010 sans Stéphane Guillon. «Si l'humour se résume à l'insulte, je ne peux le tolérer pour les autres mais également pour moi», avait-il déclaré le 23 juin 2010, après une attaque contre lui du chroniqueur.
Fin janvier, le groupe a été condamné par le conseil des prud'hommes de Paris pour le licenciement de l'humoriste, jugé «sans causes réelles ni sérieuses».
source
http://www.leparisien.fr/dsk-la-chute/video-affaire-dsk-quand-stephane-guillon-mettait-les-femmes-en-garde-15-05-2011-1450740.php
mardi 17 mai 2011
MICHAEL DOUGLAS
Afin de soigner son addiction au sexe, Michael DOUGLAS avait suivi une cure de désintoxication sexuelle.
En se mariant avec Catherine Zeta Jones, il aurait signé un contrat de mariage stipulant qu'elle toucherait 1,7 million de dollars par liaison découverte.
lundi 16 mai 2011
BELMONDO, ITINERAIRE...
En parallèle du 64ème Festival de Cannes, France 2 crée l’événement mardi 16 mai en proposant une soirée spéciale en l’honneur de Jean-Paul Belmondo.
Simultanément à la montée des marches et à la cérémonie consacrée à Jean-Paul Belmondo à Cannes avec la première du documentaire "Belmondo, itinéraire…", France 2 propose à ses téléspectateurs d’être au coeur de l'événement du 64e Festival de Cannes en diffusant à 20h35 ce film inédit de 90 minutes réalisé par Vincent Perrot, qui revient sur le parcours du comédien à travers des témoignages et des extraits des plus grands films dans lesquels il a joué, suivi de la diffusion de deux films « Le Marginal » de Jacques Deray (1983) et « Stavisky » d’Alain Resnais (1974). Les différentes éditions de la rédaction de France 2 relayeront l’événement avec notamment une page spéciale dans le Journal de 20h et de nombreux invités en direct du Festival de Cannes.
Un film de Vincent Perrot et Jeff Domenech, réalisé par Vincent Perrot.
Une co production La Prod et U.S.M-Swan Production avec la participation de France Télévisions et le soutien du Centre National du Cinéma. En partenariat avec RTL.
Un personnage populaire que tout le monde croit connaître, et pourtant… Jean-Paul Belmondo demeure depuis cinquante ans, un des acteurs français préférés du public. Depuis ses débuts éclatants dans A bout de souffle (1959) de Jean-Luc Godard révélant une personnalité atypique, jusqu’à ses grands succès populaires des années 70 et 80, Jean-Paul Belmondo n’a cessé de se remettre en question. Dévorant la vie à pleins poumons grâce à un dynamisme hors-pair, cet homme lucide et avisé a géré sa carrière de producteur-comédien par des choix qui lui permirent d’alterner harmonieusement genres, passant aisément de l’univers de Godard à celui de Verneuil, de Truffaut à Jean Becker, de Resnais à Lautner, de Malle à Philippe de Broca…
Réfractaire à l’autosatisfaction et aux honneurs de pacotille, Jean-Paul Belmondo n’a jamais accepté qu’un film analyse sa carrière, visite sa famille et cerne la personnalité réelle de l’homme. « Belmondo, itinéraire… » s’annonce comme un docu-événement car pour la première fois, Jean- Paul Belmondo cautionne et s’implique dans l’écriture et la réalisation du « film de sa carrière ».
Il s’agit d’un long-métrage, de 90 minutes, non chronologique, dans lequel il accepte de nous livrer des scènes de sa vie quotidienne, preuve éclatante d’un homme vivant !
« Belmondo, itinéraire… » n’est pas seulement un film SUR Jean-Paul Belmondo mais pour la dernière fois, un film AVEC Jean-Paul Belmondo, alors qu’il avait annoncé ne plus jamais vouloir être filmé après la sortie de « Un homme et son chien ».
Grâce à ses documents personnels, des témoignages nouveaux, de nombreux extraits de films, un casting exceptionnel, des archives inédites, une musique originale et surtout la présence actuelle de Jean-Paul Belmondo dès les premières images du générique, « Belmondo, itinéraire… » nous permet de redécouvrir 50 ans de la vie d’un homme. Belmondo demeure un acteur en liberté… Avec Jean-Paul Belmondo, Jean Becker, Alain Belmondo, Paul Belmondo, Luc Besson, Bertrand Blier, Nicole Calfan, Claudia Cardinale, Vincent Cassel, Clovis Cornillac, Alain Delon, Jean Dujardin, Antoine Duléry, Anny Duperey, Albert Dupontel, Françoise Fabian, Rachid Ferrache, Michel Galabru, Charles Gérard, Robert Hossein, Rémy Julienne, Charly Koubesserian, Philippe Labro, Georges Lautner, Patrice Leconte, Gilles Lellouche, Claude Lelouch, Sophie Marceau, Jean-Pierre Marielle, Vanessa Paradis, Claude Pinoteau, Marie- France Pisier, Claude Rich, Jean Rochefort, Bob Sinclar, Danièle Thompson, Pierre Vernier, Zinedine Zidane.
source
http://www.leblogtvnews.com/article-soiree-speciale-belmondo-avec-un-doc-inedit-et-deux-films-sur-france-2-72224442.html
DSK LE JOUR OU LA TERRE S'ARRETA
Que dire sur cette information, DSK arrêté pour tentative de viol à New York, on y croit pas une seconde, c'est le ciel qui nous tombe sur la tête.
plusieurs titres de films pourraient résumer la situation comme APOCALYPSE NOW, mais c'est "le jour ou la terre s'arrêta" que j'ai choisi pour ce billet du lundi matin.
Tout le monde sait que les présidentiels de 2012 vont se jouer sans lui désormais, quoi qu'il arrive.
source : http://medias.francetv.fr/cpbibl/url_images/2011/05/16/image_68804599.jpg
L'image qui a choqué, à la Une de toute la presse depuis dimanche matin.
Réponse du C.S.A 2 jours plus tard :
Le CSA a fait parvenir aujourd'hui un communiqué aux rédactions dans lequel il demande de la retenue dans le traitement de l'affaire Dominique Strauss-Kahn :
"Le Conseil supérieur de l’audiovisuel appelle les chaînes de télévision à la plus grande retenue dans la diffusion d’images relatives à des personnes mises en cause dans un procédure pénale. Le principe de la liberté d’expression et le droit à l’information ne doivent pas méconnaître le fait que de telles images sont susceptibles de porter atteinte au respect de la dignité de ces personnes."
"Le Conseil rappelle en particulier que la loi du 15 juin 2000 renforçant la protection de la présomption d’innocence et les droits des victimes punit d’une amende la diffusion, sur tout support, d’une image faisant apparaître menottée ou entravée une personne, quelle qu’elle soit, qui n’a pas fait l’objet d’une condamnation."
vendredi 13 mai 2011
mercredi 11 mai 2011
VALERIY GISCARD D'ESTAING : souvenirs souvenirs
L’ancien président Valéry Giscard d’Estaing livre ses souvenirs du 10 mai 1981.
Invité exceptionnel d’Arlette Chabot dans Europe 1 Soir, mardi, l’ancien président de la République Valéry Giscard d’Estaing a confié ses souvenirs du 10 mai 1981, jour de sa défaite au second tour de la présidentielle face à François Mitterrand. Trente ans après, VGE livre son analyse de cette soirée, évoque quelques regrets et distribue bons et mauvais points à François Mitterrand et Jacques Chirac.
"Ils étaient 14.642.000 à voter pour moi"
Le jour de la défaite. "Je n’avais pas imaginé ma défaite parce que personne ne l’imaginait. Jusqu’à trois mois avant l’élection présidentielle, tous les Français pensaient que je serai réélu, les sondages étaient excellents et me plaçaient à plus de 60%".
Une campagne bâclée. "Ce n’est pas mon rôle d’expliquer cette défaite", a confié VGE. Avant de livrer tout de même son analyse et de la comparer à celle de Charles de Gaulle. "En France, dans les tous derniers mois d’un mandat, il se passe quelque chose (...) Moi, jusqu’au mois de janvier, j’étais réélu assez facilement. Le résultat d’ailleurs, c’est que j’ai fait une mauvaise campagne", a ajouté l’ancien chef d’Etat. "Quand on pense qu’on va être réélu, on ne travaille pas beaucoup sa campagne", a-t-il expliqué, amusé. "Ce qui me préoccupait, c’est ce que je ferai après", a-t-il conclu.
"J'ai fait une mauvaise campagne" :
Les commémorations du 10 mai. "Pourquoi vous commémorez cet anniversaire avec autant de volume alors que vous en avez laissé passer d’autres dont personne n’a parlé", s’est interrogé l’ancien président de la République. Et Valéry Giscard d’Estaing de faire référence au 40e anniversaire de l’élection de Pompidou, "dont personne n’a parlé", selon lui. Conclusion de l’ancien chef d’Etat : "on en fait un peu trop". Valéry Giscard d’Estaing ne s’est d’ailleurs pas privé de rappeler que "l’élection avait été très serrée". Et a tenu, en cette journée de commémoration, à "remercier les gens qui ont voté pour lui", ce 10 mai 1981. "Ils étaient 14.642.000", a détaillé, très précis, l’ancien président. "Un million de plus qu’en 1974 !"
Et s’il avait été réélu ? Si il avait été élu au soir du 10 mai 1981, Valéry Giscard d’Estaing aurait pris deux décisions : nommer un nouveau Premier ministre, "dans la nouvelle génération des gaullistes-européens et libéraux". "Jacques Chaban-Delmas me convenait tout à fait" a précisé VGE. Deuxième mesure : "un référendum avant l’été pour instaurer le quinquennat".
La défense de son bilan. "Les changements que j’avais faits comme président de la République étaient approuvés par l’opinion et n’ont pas été remis en question par Mitterrand. Toutes les grandes lois de mon septennat sont toujours appliquées (…) La loi sur l’avortement, l’abaissement de l’âge électoral" sont toujours d’actualité, a listé l'ancien chef de l'Etat. Et Valéry Giscard d’Estaing a également défendu sa politique en matière de lutte contre le chômage et de la dette publique, rendant un vibrant hommage à son Premier ministre Raymond Barre.
"Mitterrand avait le niveau"
La passation de pouvoir. "Je l’ai fait avec bonheur. Je suis de culture démocratique et parlementaire, donc les changements – lorsque c’est fait par un vote - on les accepte". "Il n’y avait jamais eu d’alternance sous la Ve République et je me suis dit, il faut que ce soit réussi. Je voulais que ça se passe bien", a confié Valéry Giscard d’Estaing, interrogé sur sa passation de pouvoir à l’Elysée avec François Mitterrand. "J’ai donné à François Mitterrand ce que j’estimais être les secrets d’Etat, qu’il a écoutés d’ailleurs avec une certaine indifférence", a souligné l’ancien président de la République, amusé.
L’après-Elysée. "La France n’a pas d’emploi et de mode d’emploi pour ses anciens dirigeants. En 1981, j’avais 55 ans (…) j’aurais aimé faire autre chose, par exemple, diriger une grande entreprise française mais c’était impossible. Ni le milieu, ni l’opinion, ni les journalistes ne l'auraient accepté".
François Mitterrand. "Il était de niveau présidentiel (…) "Ce n’était pas un homme d’Etat, un bâtisseur mais un rhéteur, un homme de paroles, brillant, qui avait le niveau" (…) Je ne sais pas très bien ce qu’il voulait faire en fait", a confié Valéry Giscard d’Estaing. "Quelques jours avant sa mort, il m’a dit : "reconnaissez que je ne n’ai pas fait grand chose'".
Jacques Chirac. Valéry Giscard d’Estaing a aussi égratigné son rival Jacques Chirac, affirmant avoir été "le dernier président de la culture gaulliste".
source :
EUROPE 1
mardi 10 mai 2011
LE REDACTEUR EN CHEF DU DAILY PLANET EST MORT
Jackie Cooper est décédé à Los Angeles à l'âge de 88 ans, a révélé mercredi le magazine People. L'acteur américain était devenu célèbre à l'âge de 9 ans pour son rôle dans le film «Skippy».
http://www.leparisien.fr/actualite-people-medias/le-patron-de-superman-est-mort-05-05-2011-1436576.php
Son interprétation du petit garçon, héros d'un célèbre comics du même nom, lui avait valu de devenir le premier enfant nommé aux Oscars en 1932. Norman Taurog avait d'ailleurs reçu l'Oscar du meilleur réalisateur.
Tout jeune, il fut également l'interprète d'une série à succès outre-atlantique, «Les petites canailles» («Little Rascals»).
Adulte, il incarnera le célèbre rédacteur en chef du «Daily Planet», le journal qui emploie Clark Kent, alias Superman, dans les quatre films de la série.
On l'a vu aussi participer à de nombreuses séries en tant qu'acteur comme dans «Kojak, ou encore «Arabesque» ou en tant que réalisateur de nombreux épisodes de «Magnum» ou encore les «Têtes brûlées».
http://www.leparisien.fr/actualite-people-medias/le-patron-de-superman-est-mort-05-05-2011-1436576.php
LES DIAMANTS SONT ETERNELS ?
Giscard d'Estaing et les diamants de Bokassa vus par Yves Boisset
Réalisateur de "Dupont Lajoie" et de "La Femme flic", Yves Boisset s'apprête à faire son grand retour au cinéma avec un long métrage traitant des relations diplomatiques entre le Président Valéry Giscard d'Estaing et le dictateur africain Bokassa.
source :
Guillaume Martin
Le 01/12/2010
http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18599818.html
Réalisateur de "Dupont Lajoie" et de "La Femme flic", Yves Boisset s'apprête à faire son grand retour au cinéma avec un long métrage traitant des relations diplomatiques entre le Président Valéry Giscard d'Estaing et le dictateur africain Bokassa.
Avec Costa-Gavras, il fait partie de ces réalisateurs français adeptes des sujets polémiques et à forte connotation politique. Vingt ans après son thriller La Tribu, le cinéaste Yves Boisset - à qui l'on doit entre autres L'Attentat (1972), Dupont Lajoie (1975), Le Juge Fayard dit le shérif (1977) ou encore La Femme flic (1980) - pourrait faire son comeback au cinéma avec un film au thème tout aussi épineux, puisqu'il s'agira des relations diplomatiques pour le moins troubles qu'entretenait dans les années 70 le Président français Valéry Giscard d'Estaing avec le chef d'Etat de la République centrafricaine Jean-Bedel Bokassa. Une connivence politique fortement critiquée à l'époque et qui aboutit en 1979 à la fameuse affaire des "Diamants de Bokassa", en partie responsable de la défaite aux élections présidentielles de VGE en 1981. Le scénario de ce long métrage est actuellement en cours d'écriture.
source :
Guillaume Martin
Le 01/12/2010
http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18599818.html
MITTERRAND vs GISCARD, LES DEBATS
1er débat : 1974 :
Débat : 1981
« Vous n'avez pas le monopole du cœur » est une phrase prononcée par Valéry Giscard d'Estaing le 10 mai 1974, au cours du débat télévisé de l'entre deux-tours de l'élection présidentielle française de 1974. Ce propos venait en réplique à la phrase de François Mitterrand : « c'est une affaire de cœur et non pas seulement d'intelligence».
Débat : 1981
10 MAI 1981
Au soir du 10 mai 1981, François Mitterrand est élu président de la République avec 51,76 % des suffrages exprimés contre 48,24 % à Valéry Giscard d'Estaing. J'avais 10 ans, je m'en souviens encore, c'était un moment de fête !
lundi 9 mai 2011
GUNTER SACHS et BRIGITTE BARDOT
La star française s'était mariée avec ce riche photographe en 1966. Elle avait gardé des liens forts avec lui.
Le photographe allemand et ancien mari de Brigitte Bardot, Gunter Sachs, s'est suicidé, a indiqué dimanche la Fondation de l'ex-star de cinéma.
Brigitte Bardot "a été informée et elle est effondrée. Elle avait gardé des liens très forts avec Gunter Sachs qui avait assisté aux 20 ans de sa Fondation", a-t-on ajouté de même source.
Selon le magazine allemand Bunte, qui cite Rolf Sachs, fils de l'ancien play-boy et flambeur, le photographe est mort dans son chalet en Suisse à l'âge de 78 ans. De son côté, l'hebdomadaire allemand Focus, sur son site internet, affirme que Gunter Sachs s'est suicidé à l'aide d'une arme à feu.
Interrogée par l'AFP, la police du canton de Berne s'est refusée à tout commentaire. "Nous ne pouvons rien dire pour le moment", a répondu un porte-parole.
Un mariage de trois ans
Milliardaire, collectionneur d'art et mécène, Gunter Sachs était le petit-fils du fondateur d'Opel, Adam Opel, et fut le troisième des quatre maris de "BB", à l'époque icône absolue du cinéma français.
Quelques heures après leur rencontre, il avait fait larguer par hélicoptère des centaines de roses rouges sur la Madrague, la célèbre maison de Brigitte Bardot sur la côte d'Azur.
"Ce n'est pas tous les jours qu'un homme largue une tonne de roses dans votre cour", écrira-t-elle.
Quelques semaines plus tard, le 14 juillet 1966, le mariage a eu lieu, dans la plus totale discrétion, à Las Vegas. Ils divorceront le 1er octobre 1969.
source : l'express.fr
Le photographe allemand et ancien mari de Brigitte Bardot, Gunter Sachs, s'est suicidé, a indiqué dimanche la Fondation de l'ex-star de cinéma.
Brigitte Bardot "a été informée et elle est effondrée. Elle avait gardé des liens très forts avec Gunter Sachs qui avait assisté aux 20 ans de sa Fondation", a-t-on ajouté de même source.
Selon le magazine allemand Bunte, qui cite Rolf Sachs, fils de l'ancien play-boy et flambeur, le photographe est mort dans son chalet en Suisse à l'âge de 78 ans. De son côté, l'hebdomadaire allemand Focus, sur son site internet, affirme que Gunter Sachs s'est suicidé à l'aide d'une arme à feu.
Interrogée par l'AFP, la police du canton de Berne s'est refusée à tout commentaire. "Nous ne pouvons rien dire pour le moment", a répondu un porte-parole.
Un mariage de trois ans
Milliardaire, collectionneur d'art et mécène, Gunter Sachs était le petit-fils du fondateur d'Opel, Adam Opel, et fut le troisième des quatre maris de "BB", à l'époque icône absolue du cinéma français.
Quelques heures après leur rencontre, il avait fait larguer par hélicoptère des centaines de roses rouges sur la Madrague, la célèbre maison de Brigitte Bardot sur la côte d'Azur.
"Ce n'est pas tous les jours qu'un homme largue une tonne de roses dans votre cour", écrira-t-elle.
Quelques semaines plus tard, le 14 juillet 1966, le mariage a eu lieu, dans la plus totale discrétion, à Las Vegas. Ils divorceront le 1er octobre 1969.
source : l'express.fr
vendredi 6 mai 2011
VINCENT CASSEL et la Méthode BRUCE LEE
"Plus le temps passe, plus je laisse faire,
Je ne crois pas m'assagir mais je me considère comme de la flotte. Je prends la forme que l'on me demande."
Vincent Cassel- Studio Cinélive . Mai 2011
Bruce Lee Interview perdue ( Sois comme l'eau ) par Eternel_Apprenti
jeudi 5 mai 2011
JACK BAUER IS BACK ?
Après l'annonce de la capture et de la mort d'Oussama ben Laden, le héros de la Fox est devenu «trending topic» sur Twitter, et il resurgit sur les sites...
La série est terminée, mais les fans sont loin de l’avoir oublié… Jack Bauer, héros des services anti-terroristes américains dans la série 24Heures Chrono, passait son temps à sauver le monde des méchants terroristes qui essayaient de le détruire, et ces terroristes étaient plus d’une fois des islamistes affiliés à des réseaux assimilables à Al-Qaida. Depuis l’annonce de Barack Obama de la capture et de la mort d’Oussama ben Laden, le héros de la Fox ressurgit sur les réseaux sociaux. Sur le compte Twitter fictif de Jack, on pouvait lire le 2 mai: «Je viens juste de rentrer de "vacances" d’Abottabad».
Selon le site EW, «il ne fait aucun doute que beaucoup pensaient (espéraient?) que c’était un type du genre de Jack Bauer qui était responsable de l’action ayant mené à la conférence de presse d’Obama».
Quand le réel rejoint la fiction
«D’une certaine manière, c’était là l’acte ultime de Jack Bauer», estime de son côté Howard Gordon, producteur exécutif de la série.
«Le 11-Septembre était le prisme à travers lequel le public regardait 24. C’était une référence culturelle commune. Et ce n’est pas un drone, qui a tué Ben Laden, mais une équipe menant une opération tactique [comme celles que menait Jack Bauer au fil des saisons]. Ce sont le monde de la fiction de Jack Bauer et celui de l’héroïsme réel qui se rejoignent».
24 Heures Chrono avait commencé sa diffusion en novembre 2001, et s’était achevé l’an dernier, en 2010, reflétant parfaitement l’Amérique post 11-Septembre et ses angoisses. C’était même la première série à mettre en scène un président noir, préfigurant l’élection de Barack Obama. Rarement une série aura aussi bien collé à son époque…
Reste à savoir, quel sens aura maintenant, dans l’Amérique post-Ben Laden, le film tiré de 24Heures Chrono, qui doit sortir en 2012.
source
http://www.20minutes.fr/article/717335/culture-ben-laden-mort-ou-jack-bauer
QUAND LA TELE RENDAIT HOMMAGE A THIERRY LE LURON
Quand on voit la brochette d'imitateurs rendre hommage à Thierry le Luron, on peut dire que le métier n'est pas facile, et les meilleurs se comptent sur les doigts d'une main (Gerra, Canteloup, Gregorio).
A part Yves Lecoq, tous les autres sont sur la liste des vedettes oubliées de la télévision des années 80-90.
mercredi 4 mai 2011
YVETTE VICKERS : 1928 - 2011
Le corps "fortement décomposé" de l'actrice de série B américaine Yvette Vickers, âgée de 83 ans, a été retrouvé, mercredi, à Beverly Hills, par une voisine inquiète de l'amoncellement de courrier dans sa boîte aux lettres.
Yvette Vickers, playmate de juillet 1959, a joué dans "L'attaque de la femme de 50 pieds", un an auparavant. © IMDBLa voisine a été alertée par la pile de courrier qui ne cessait de s'entasser dans sa boite aux lettres. C'est la raison pour laquelle Susan Savage a pénétré, mercredi, dans la maison d'Yvette Vickers, une ancienne playmate de 83 ans, résidant à Beverly Hills. Pour la découvrir morte, "depuis des mois, voire une année", dans sa chambre, rapporte l'agence américaine Associated Press, mardi.
Playmate de Juillet 1959 pour le magazine Playboy, l'actrice américaine, née en 1928, avait joué dans des films de série B, comme L'attaque des sangsues géantes, la même année et L'attaque de la femme de 50 pieds, un an avant (voir la bande annonce). Fille unique, Yvette Vickers vivait seule et était appréciée dans son quartier, où les voisins s'interrogent : comment une vieille dame aussi âgée a-t-elle pu être négligée au point de mourir, abandonnée, sans que personne ne s'en rende compte?
La personne qui a découvert son corps, "fortement décomposé", "près d'un chauffage en fonctionnement", considère qu'il est de son devoir de veiller sur les possessions de l'actrice, en l'absence de la famille, en attendant que les ayants droits se manifestent. "C'est moi qui l'ai trouvée morte et je me sens responsable", conclut-elle.
source
http://lci.tf1.fr/people/une-ancienne-playmate-retrouvee-chez-elle-plusieurs-mois-apres-6432982.html
mardi 3 mai 2011
l'homme qui a twitté sans le savoir le raid contre Ben Laden
En micro-bloggant en direct le raid de l'armée américaine sur la résidence d'Oussama Ben Laden au Pakistan - sans vraiment savoir ce dont il parlait - un consultant informatique d'Abbottabad est devenu l'une des stars mondiales de la toile.
Suffisamment pour qu'il menace l'engin sur le ton de la plaisanterie : «Va-t-en hélicoptère avant que je ne sorte ma tapette géante !» twitte-t-il. Il va ensuite décrire une puissante explosion et le crash d'un hélicoptère. Dans ces messages, il racontera que l'armée a bouclé la zone du crash et fait du porte à porte, selon ce que lui a dit un chauffeur de taxi.
Ce n'est que par la suite qu'il a fait le lien entre l'événement qu'il a décrit et l'annonce par le président américain Barack Obama de la mort de Ben Laden dans un raid militaire ciblé contre une villa d'Abbottabad. «Oups, maintenant je suis le mec qui a blogué en direct sur le raid contre Oussama sans le savoir», lance-t-il !
Depuis, les demandes d'interviews et les messages affluent des quatre coins de la planète. Le nombre de followers de son compte, les abonnés à ses messages, dépasse dorénavant les 40 000 ! Combien en fin de journée ? «Je suis juste un utilisateur de Twitter réveillé à l'heure du crash, écrit-il encore, il n'y a pas beaucoup de gens sur Twitter à Abbottabad, les autres sont plutôt sur Facebook, c'est tout».
Et depuis, l'homme tente en vain de répondre aux sollicitations de toutes parts et s'excuse de ne pas pouvoir... Son dernier message en date : «Ben Laden est mort. Je ne l'ai pas tué. S'il vous plait, laissez moi dormir».
source :
http://www.leparisien.fr/mort-ben-laden/sohaid-athar-l-homme-qui-a-twitte-sans-le-savoir-le-raid-contre-ben-laden-02-05-2011-1432029.php
Et depuis, l'homme tente en vain de répondre aux sollicitations de toutes parts et s'excuse de ne pas pouvoir... Son dernier message en date : «Ben Laden est mort. Je ne l'ai pas tué. S'il vous plait, laissez moi dormir».
source :
COBRA AU CINEMA
Alexandre Aja dévoile déjà une affiche promo réalisée à l’occasion du festival de Cannes.
Alors qu’ils achèvent en ce moment le script, Aja et Levasseur vont faire le déplacement au prochain festival de Cannes pour rencontrer des investisseurs et rassembler le budget nécessaire à ce film dont la sortie est prévue à l’été 2013.
Une chose est sûre : la superbe affiche promo réalisée pour l’occasion devrait attiser la curiosité. « Il fallait rendre plus réaliste sa célèbre combinaison rouge, grâce à une matière proche du cuir, explique Aja. Le canon a été actualisé par le designer d’ Iron Man , Harald Belker.
source :
Ecran large
première.fr
lundi 2 mai 2011
SAUL BASS s'affiche au cinéma
Saul Bass est un graphiste américain, né le 8 mai 1920 à New York, dans le Bronx, et mort le 25 avril 1996 à Los Angeles. Célèbre pour son travail dans le domaine cinématographique, il a collaboré avec les plus grands réalisateurs, à la fois pour la création de génériques et pour la conception d'affiches.
Saul Bass révolutionne le générique de cinéma. D'une fonction purement informative et légale, il donne à celui-ci une dimension narrative et artistique, réalisant de véritable courts-métrages qui font partie intégrante du film en tant qu'œuvre. Bass souligne la thématique visuelle et dramatique du film, expose le caractère des personnages1 :
« Mon idée de départ était qu'un générique pouvait mettre dans l'ambiance et souligner la trame narrative du film pour évoquer l'histoire de manière métaphorique. Je voyais le générique comme une façon de conditionner le public de façon à ce que, lorsque le film commence, il ait déjà un écho émotionnel chez les spectateurs. J'étais convaincu que le film commence vraiment dès la première image. »
La qualité originale de Bass réside dans sa capacité à identifier le détail qui résume à lui seul le film et à le restituer de manière graphique et moderne. Pour Scorsese, ces créations sont « une image emblématique, reconnaissable instantanément et immédiatement liée au film ».
C'est cette approche très graphique (avec une prédominance des lignes, des formes découpées et d'une typographie brisée) qui marque la rupture avec les habitudes en vogue. L'affiche de L'Homme au bras d'or délaisse toute représentation de la star Frank Sinatra qui incarne le rôle principal, un parti pris très osé qui marque le début d'une nouvelle ère aussi bien dans le domaine des affiches que dans celui des génériques. Progressivement, les séquences créées par Saul Bass se diversifient et délaissent les éléments graphiques pour intégrer d'autres moyens tels que des photographies (Spartacus), des animations (Le Tour du monde en quatre-vingts jours, 1956) ou des séquences filmées (La Rue chaude).
Par la suite, les génériques explorent une autre voie et s'intègrent à la narration en se situant dans la continuité du récit. Le générique intervenant au tout début du film, Saul Bass imagine ce qui a pu exister avant les premières images filmées par le réalisateur (ce qu'il nomme « the time before »). Il montre les instants ou les mois précédant le début de l'action afin de renforcer le contexte comme dans Grand Prix de Frankenheimer1 :
« Dans ce cas, j'ai traité les instants juste avant un grand prix de Monaco. Je m'intéressais à ce qui se passe durant les préparatifs de la course. La tension. L'anxiété. Les petits ajustements techniques et gestes nerveux que vivent les pilotes. »
Martin Scorsese dira de lui1 :
« Ses génériques ne sont pas de simples étiquettes sans imagination - comme c'est le cas dans de nombreux films - bien plus, ils font partie intégrante du film en tant que tel. Quand son travail apparaît à l'écran, le film lui-même commence vraiment. »
source :
wikipedia
Inscription à :
Articles (Atom)