Toutes les vidéos et images incluses sur ce blogs sont la propriété de leurs ayants-droits respectifs. Elles peuvent être retirées à tout moment par simple demande d'un ayant-droit. Les articles dont la source est mentionnée peuvent aussi être retirés par simple demande de l’auteur.
vendredi 29 avril 2011
jeudi 28 avril 2011
MARIE FRANCE PISIER : 1944-2011
Dimanche 24 avril , la nouvelle tombait : Décès de Marie-France Pisier:
des traces d'alcool et de médicaments
Les analyses réalisées après le décès de Marie-France Pisier ont révélé des traces d'alcool, importantes, et de médicaments, alors que l'enquête se poursuit, entre accident et suicide, sur la mort de la comédienne retrouvée dimanche dans sa piscine
L'actrice, qui était âgée de 66 ans, sera inhumée samedi à 12H00 au cimetière de La Guicharde dans la commune varoise de Sanary-sur-Mer, dans le caveau de famille de son époux Thierry Funck-Brentano, l'un des co-dirigeants du groupe Lagardère, a-t-on par ailleurs appris jeudi auprès de la mairie de la ville littorale.
"Un taux d'alcoolémie important a été détecté par les analyses, qui ont mis en évidence la présence d'anti-dépresseur et d'antalgique à doses thérapeutiques", a déclaré à l'AFP une source proche du dossier, précisant que "ces prises, conjuguées à l'alcool, ont pour effet d'altérer la réactivité et les réflexes".
L'enquête, qui n'est pas criminelle comme l'a précisé le parquet de Toulon dès le début de l'affaire, se poursuit dans l'attente des résultats d'autres expertises médico-légales, qui "peuvent prendre plusieurs jours".
Pratiquée mardi à Marseille, l'autopsie n'avait pas permis de déterminer les causes de la mort de manière certaine.
Pour autant, l'hypothèse de la noyade, ni confirmée ni infirmée par l'autopsie qui n'avait pas trouvé beaucoup d'eau dans les poumons, n'est pas écartée. "Quinze à 20% des noyades sont dites blanches, c'est-à-dire par un blocage glottique" (sans avaler d'eau), a expliqué à l'AFP le procureur adjoint de Toulon, Pierre Cortès.
Restent les questions qui entourent les circonstances du décès, le corps ayant été retrouvé au milieu de la piscine enchevêtré dans une lourde chaise en fer forgé, et la victime portant des bottes en caoutchouc. Des éléments qui peuvent permettre de lester et pourraient orienter l'enquête vers l'hypothèse d'un suicide.
Les gendarmes travaillent également sur l'environnement de l'actrice, qui en particulier avait eu une récidive de cancer et était en phase de rémission.
Ils ont procédé depuis mardi à l'audition de ses enfants et de ses proches, pour tenter de cerner son état psychologique avant son décès. Rien n'a filtré de ces auditions ni des investigations techniques conduites sur le téléphone portable et l'ordinateur de Marie-France Pisier.
Les premiers éléments recueillis n'avaient pas laissé apparaître un état dépressif chez la comédienne, qui "avait des projets professionnels et confirmé sa présence à l'hommage rendu à Jean-Paul Belmondo au Festival de Cannes", avait-on indiqué de source proche du dossier.
Marie-France Pisier séjournait dans sa villa de Saint-Cyr-sur-Mer quand, au petit matin dimanche, vers 04H00, son mari s'était aperçu de son absence. Il avait entrepris de la chercher et c'est en sortant dans le jardin qu'il avait découvert le corps dans le bassin
source : orange.fr
vendredi 22 avril 2011
J'ARRETE LE CINEMA
Une semaine de vacances, à partir de ce soir, pas d'internet, pas de dvd, pas de telephone portable, une semaine avec la ptite famille au bord de la mer, le bonheur tout simplement.
Dans ma valise, un livre.
PATRICE LECONTE, j'arrête le cinéma*
J'adore ce réalisateur, peut être plus que ses films ; certains m'ont laissé indifférents quand d'autres sont pour moi des films cultes (les grands ducs, les specialistes, les bronzés, viens chez moi j'habite chez une copine etc...)
Le plein de super est en mode "veille" pour une semaine, mais ça ne vous empêche pas de consulter les vieux posts des mois précédents ! n'hésitez pas à me laisser des messages !
A bientôt
*Cinéaste inclassable, Patrice Leconte ne cesse de surprendre. Passant de films populaires cultes en films d'auteur célébrés, sautant de succès commerciaux inattendus en échecs tout aussi imprévus, il n'est jamais là où on l'attend. Il raconte ici avec humour et généraosité ses quarante ans de traversée du cinéma français.
Mais ce livre n'est pas qu'une enfilade d'anecdotes drôles, même s'il en regorge. Leconte est le premier critique de ses oeuvres, dont il parle avec une exigeante lucidité, avouant avec une rare franchise telle erreur, telle faiblesse, telle limite...
A l'heure où il souhaite revenir à un cinéma plus personnel, le réalisateur nous confie ses doutes, ses rêves, et s'interroge avec émotion sur sa place de créateur dans le cinéma d'aujourd'hui.
http://www.editions-calmann-levy.com/livre/titre-385927-J-arrete-le-cinema.html
jeudi 21 avril 2011
LA FILLE DU PUISATIER
Le projet de réadapter sur grand écran La Fille du puisatier de Marcel Pagnol a vu le jour quand la famille du défunt cinéaste a soumis cette idée au producteur Alain Sarde. Ce dernier en a tout de suite parlé à Daniel Auteuil (qui était d'ailleurs toujours en contact avec la famille de Pagnol depuis son rôle d'Ugolin dans le diptyque de Claude Berri). Le comédien a aussitôt réagi : "J’ai sauté sur l’idée immédiatement – le puisatier est l’un des plus beaux personnages de Pagnol – et lorsque Alain m’a dit : «Tu penses à qui comme metteur en scène ?», j’ai répondu «Moi !». Alain n’a pas toussé, il y a juste eu un blanc d’une seconde, puis il m’a dit «Pourquoi pas ?»", raconte Auteuil.
La fille du puisatier est une nouvelle version du film homonyme réalisé par Marcel Pagnol en 1940, et porté par Raimu et Fernandel. Une œuvre que Daniel Auteuil a revue pour préparer la sienne, s'inspirant également du texte écrit par Pagnol après la sortie de son film. "(...) il y a dans ce texte de nombreuses indications supplémentaires, des scènes que Pagnol n’avait pas tournées dont je me suis servi. J’ai passé tout cela au tamis et n’ai récupéré que les pépites. Ce qui, chez Pagnol, est universel, ce qui fait que 70 ans après on est encore amusés et émus," explique Auteuil,
Après La Fille du puisatier, Daniel Auteuil envisage de réaliser de nouvelles versions de Marius, Fanny et Cesar, trois autres célèbres œuvres de Marcel Pagnol
source
http://www.allocine.fr/film/anecdote_gen_cfilm=146276.html
mercredi 20 avril 2011
MONSIEUR UNI VERS L'EUROPE ?
A 63 ans, l'ancien "Monsieur Univers", d'origine autrichienne, s'interroge toujours sur son avenir politique et son entourage lui conseillerait de revenir en Europe pour se présenter à la présidence de l'UE, selon le magazine Newsweek.
"Dans les prochaines années, l'Union Européenne va devoir se trouver un président de plus grande envergure, quelqu'un capable d'unifier l'Europe", a déclaré au magazine Terry Tamminen, l'ancien chef de cabinet de M. Schwarzenegger.
"Les Français ne voudront pas d'un Allemand, et les Allemands ne voudront pas d'un Italien. Et s'ils choisissaient plutôt un Européen parti aux Etats-Unis, ressuscitant la vision d'un Washington ou d'un Jefferson d'une Europe nouvelle et unifiée?", a ajouté M. Tamminen, sans nommer explicitement son ancien patron.
Après deux mandats à la tête de la Californie, les rumeurs vont bon train sur l'avenir politique ou cinématographique du "Governator".
source
orange.fr
lundi 18 avril 2011
ANTONY WONG A TOUTE EPREUVE
Les méchants, les mauvais au cinéma sont souvent les faire-valoir du héros. Parfois incarnés par des second-rôles, parfois par de vraies stars. Ce n'est pas très évident le rôle du méchant car mal interprété, le méchant devient parfois caricatural et n'est plus vraiment crédible. Par contre certains acteurs jouent à merveille ces rôles et sont franchements inquiétants.
Né en 1961 d’une mère chinoise et d’un père anglais, il commence par entrer à la télévision à l’âge de 21 ans, la chaîne ATV où il y suit des cours d’art dramatique. Il s’inscrit ensuite à une académie de théâtre pour y apprendre le métier d’acteur, y interprétant le rôle de Cyrano ! Puis il entre à la chaîne TVB où il commence à acquérir une certaine notoriété dans des séries où il interprète la plupart du temps des rôles de méchant de service.
Il joue dans son premier film de cinéma en 1985, un drame signé Angela Chan, My Name Ain’t Suzie ? qu’il considère d’ailleurs comme l’un de ses rôles favoris. Mais c’est au début des années 90 que sa carrière d’acteur prend réellement son envol. Après des rôles secondaires dans des films qui ne le sont pas moins, il obtient son véritable premier rôle important dans Dancing Bull du réalisateur de la Nouvelle-vague HK, Allen Fong. Il enchaîne avec un polar signé Lee Lik-Chi, The Set Up.
Il fait ensuite sa première apparition chez celui qui deviendra l’un de ses réalisateurs fétiches, mais également un ami, en l’occurrence Herman Yau, le film, une comédie Andy Lau et Tony Leung Chiu-Wai. La même année, il apparaît dans Casino Raiders 2, un film de commande signé par un autre grand de l’ex-colonie, Johnnie To. A noter sa première incursion dans l’un de ses genres de prédilection la même année 1991, la catégorie 3 avec un Erotic Ghost Story 2 signé par l’acteur réalisateur Peter Ngor. Déjà sa présence crève l’écran faisant parfois de l’ombre au premier rôle.
C’est dans cette logique de consécration qu’en 1992 il obtient une nommination aux HK Awards de meilleur second rôle pour Now You See Love… Now You Don’t de Alex Law. Dès lors, aucune de ses apparitions ne passera inaperçues. Souvenons nous de ses apparitions dans des rôles plus ou moins important comme le très noir Full Contact de Ringo Lam, dans lequel il interprète le rôle de Sam, l’ami trahissant Chow Yun-fat ou dans Hard Boiled de John Woo.
La consécration
L’année 1993 est l’année de la véritable consécration, il obtient l’HK Award du meilleur acteur pour son rôle de psychopathe dans The Untold Story de Herman Yau. La même année il interprète le rôle de "Dinosaur" dans le film d’action à l’eau de rose de Benny Chan A Moment Of Romance 2 (véritable film-culte chez certains cinéphiles). La même année il apparaît dans Heroic Trio de Johnnie To, il joue le tueur de chauffeurs de taxi vengeur dans le non moins culte Taxi Hunter et le rôle du policier de service dans le très « hard » Daughter Of Darkness, véritable sommet de mauvais goût…
Son incroyable faculté à se mouvoir dans tous les genres lui permet d’apparaître dans tous les genres, on le voit ainsi dans le film de kung fu fantaisiste chez Johnnie To The Mad Monk, dans la comédie non-sensique aux côtés de Stephen Chow Fight Back To School 3 de Wong Jing ou le thriller destroy ultra-violent The Underground Banker de Bosco Lam.
Le passage à l’acte
Désormais, Anthony Wong est un acteur important, il interprète des premiers rôles. En 1995, avec l’aide du réalisateur Tony Leung Hung-Wah (A Lamb In Despair) il réalise son premier film, il s’agit d’un drame tendance polar classé catégorie 3.
The Number One of the Beast
En 1998, Gordon Chan, aidé par Dante Lam réalise le polar noir Beast Cops, dans lequel le bon Anthony, interprète le rôle d’un flic ripoux capable de péter les plombs aux côtés de « l’autre » gweilo au même patronyme, en l’occurrence Michael Wong. Son rôle de flic névrosé lui vaudra d’ailleurs un rôle de « meilleur acteur » aux HK Awards. Il réussit un véritable numéro dans un film oscillant entre étude de mœurs et polar brut. Il apporte d’ailleurs le petit plus à ce film qui est tout de même loin d’atteindre des sommets.
La même année il apparaît dans le The Group de l’ami Alfred Cheung et dans la comédie Mr Wai-Go du très inégal Aman Chang. Passons sur son apparition dans le wu xia pian frimeur d’Andrew Lau Storm Riders.
Le nouveau siècle
Le nouveau siècle commence avec un de sinistre mémoire, et s’enchaîne alors toute une flopée de produits plus ou moins intéressants. Il tente de renouer avec le succès de Beast Cops dans un navet du mauvais Steve Cheng avec , il joue le rôle d’un flic dans le sympathique Baroness aux côtés de Chin Kar-Lok et joue dans toute une série de films d’épouvante post Ring plus ou moins mauvais. Son rôle anecdotique de Docteur Tang dans Gen-Y Cops est l’un des seuls intérêts de ce film de djeun’s à la mèche.
Dans l’interview qu’il accordait à David Martinez, il disait vouloir un jour jouer dans un film de Tsui Hark, ce sera chose faîte avec son rôle d’Uncle Ji dans le Time And Tide.
Il apparaît dans le rôle mémorable et furtif de Master Kwan dans ce que je considère comme l’un des meilleurs films des années 2000 en l’occurrence Jiang-Hu The Triad Zone d’un Dante Lam au meilleur de sa forme. Il remettra le couvert avec ce réalisateur l’année suivante dans le marrant Runaway dans un rôle de chef de triades dépressif.
Depuis très peu de rôle réellement marquant pour lui, ne serait-ce qu’un rôle secondaire dans le Princess D de l’actrice Sylvia Chang, un rôle solide dans l’Infernal Affairs d’Andrew Lau et surtout Alan Mak et le rôle de Hung dans Demi-Haunted de Patrick Leung.
Il a tourné avec Johnny Hallyday dans VENGEANCE de JOHNNY TO
source :
Philippe Quévillart
http://www.hkcinemagic.com/fr/people.asp?id=156
vendredi 15 avril 2011
jeudi 14 avril 2011
LES VERSIONS QUEBECOISES par Jean Marc
Fidèle lecteur de DVDR, je lis aussi les commentaires des internautes, et celui de Jean Marc a propos des versions quebécoises sur certains dvd ou bluray m' a particulièrement intéressé.
jean-marc le 13 avril 2011 à 19:13
Marc Labrèche Jacques Lavallée Geneviève Déryne sont pas des voix connues par toi, mais elles le sont par les Québécois .
D'ailleurs tous les Québécois ne clament pas que les VQ sont meilleures que les VF (parisienne comme ils disent).
Certains disent qu'ils en ont assez justement d'avoir toujours les mêmes voix... Certains disent même que cette volonté d'avoir des VF différentes des VF du reste de la francophonie, n'existent principalement que pour des raisons de protectionnisme (faire travailler des Québécois plutôt que des "Parisiens" vu que pour eux le reste de la Francophonie ce sont tous des parisiens).
De plus les VQ sont généralement faites beaucoup plus rapidement que les VF et avec un budget moindre (normal ils les font pour 1 millions de personnes), et que ça se ressent...
Perso, les VQ (exceptées peut être celles faites pour Disney qui sont elles à la hauteur), je les trouve insupportables, même si elles se veulent en "Français international" c'est à dire faites par des Québécois avec un accent "à la parisienne" (c-à-d Français d'Europe) mais avec des noms américains prononcés comme au Texas, et avec des expressions québécoises (je me demande où est l'international là)...
Enfin bref, grand bien leur fasse qu'ils aient leurs propres doublage, mais par pitié qu'on nous mette pas sur "Mars Attack!" vendu en BD en France QUE la version Québec.
source dvdfr.com
jean-marc le 13 avril 2011 à 19:13
mardi 12 avril 2011
SIDNEY LUMET : 1924-2011
Sidney Lumet est décédé le 9 avril 2011 à New York. Il etait un réalisateur américain, avec plus de 50 films sous sa direction, dont Douze Hommes en colère, acclamé par la critique en 1957, Serpico, un après midi de chien, familly buisness,
Mort de Sidney Lumet, New-York est en deuilLe réalisateur culte Sidney Lumet est mort samedi 9 avril 2011. Le réalisateur qui a filmé les aspects les plus sombres de New York avait 86 ans.
Son père Baruch était acteur, sa mère Eugenia Wermus danseuse. Sidney Lumet aurait pu suivre les pas de son géniteur sur les planches, il choisira finalement la réalisation. C'est à la télévision dès le début des années 50 qu'il fait ses armes, réalisant des séries et des émissions pour CBS. En 1957 avec le film Douze hommes en colère, avec Henry Fonda, ce new-yorkais connaît un succès mondial qui lui apporte l'Ours d'or du meilleur film et le conduit aux portes des Oscars. Nommés trois fois, il ne décroche pourtant pas la statuette. Il lui faudra attendre 2005 pour que l'Académie le distingue d'un Oscar d'honneur ce passionné de New-York, qu'il a filmée avec noirceur et puissance tout au long de son illustre carrière. On compte parmi quelques-uns de ses chefs-d'oeuvre Un après-midi de chien. ce drame avec Al Pacino, l'histoire d'un braquage qui rate avant de se solder dramatiquement. On a aussi adoré Serpico, toujours avec Pacino. Les déboires d'un flic honnête dans un univers où la police de Big Apple est corrompue jusqu'à la moelle. Il y a aussi Le crime de l'Orient-Express, Le prince de New York. En 2007, il réalise son dernier long-métrage, 7h58 ce samedi-là.
En tout une cinquantaine de films, pas tous salués par la critique, mais qui ont indubitablement marqué le cinéma hollywoodien dans son âge d'or. Frédéric Mitterrand, le ministre de la Culture a déclaré dans un communiqué : "Le cinéma américain perd aujourd'hui l'une de ses plus grandes figures. Il savait allier l'action avec une magie du texte, un sens formidable de la mise en scène et du dialogue".
Quelques jours après un autre monstre du septième art, Elizabeth Taylor, Sidney Lumet a succombé chez lui à un cancer lymphatique. Il avait 86 ans, ce samedi-là.
source :
lundi 11 avril 2011
(N)ULTIMATE GAME
Dans un futur proche, les nouvelles technologies ont fait évoluer le jeu vidéo. Le principe créé pour le jeu "Les Sims" est appliqué à des êtres humains qui sont manipulés par des joueurs en ligne.
Le milliardaire Ken Castle a créé le divertissement ultime : "Slayers", un jeu vidéo dans lequel des condamnés à mort, guidés à distance par des joueurs en ligne, s'entretuent lors de combats diffusés sur les écrans du monde entier.
S'ils survivent à 30 épreuves, ils retrouveront leur liberté.
Kable, téléguidé par Simon, un ado fan de réalités virtuelles est aujourd'hui la star du jeu. Mais Kable ne s'appartient pas : arraché à sa famille, emprisonné et forcé à combattre contre sa volonté, ce gladiateur des temps modernes doit survivre assez longtemps pour s'échapper du jeu et regagner sa liberté...
hum hum hum.... que dire...
Au niveau de la réalisation, ça pourrait s'inspirer de Paul Verhoeven (TOTAL RECALL), Côté image, c'est la perfection, on s'en prend plein les rétines. c'est le DVD (ou Bluray) de démo pour tester son home cinéma.
Au niveau de l'histoire, on pense forcément à "RUNNING MAN" avec SCHWARZENEGER ou au film d' Yves BOISSET "LE PRIX DU DANGER", mais le film n'arrive même pas à la cheville de ces deux films.
sinon, le gros problème de ce film, c'est son casting, RICHARD BUTLER en tête ! c'est le RUSSEL CROW du pauve (ça marche aussi avec CLIVE OWEN) même Georges CLOONEY dans BATMAN & ROBIN joue mieux que lui !
côté suspens, on est proche du Zéro.
côté suspens, on est proche du Zéro.
Les technologies employées dans le film font penser à MINORITY REPORT mais c'est bien là le seul point commun.
on s'ennuie devant le film, c'est ultra prévisible, et c'est là le problème, je n'ai pas eu le courage d'aller jusqu'à la fin, je ne vous parle même pas du doublage.
jeudi 7 avril 2011
LES TITULAIRES DE L EQUIPE DE FRANCE
En écoutant la radio , je me suis (encore ?) rendu compte que je n’étais plus vraiment jeune ! L’invité Mystère de Laurent Ruquier sur Europe 1 était un joueur de foot, titulaire de l’équipe de France. ok, je ne suis pas un passionné de foot, j’ai comme tout le monde suivi l’équipe de France en 1998, mais çà fait 13 ans déjà. Lorsque le présentateur a demandé de nommer au moins 5 joueurs de l’ Equipe de France, j’étais incapable d’en trouver 2, et le comble, c’est que tous les noms que j’avais en mémoire dataient de la grande période 1977-1986.
JANViON, CASTANEDA, BOSSIS, GIRESSE, PLATINI? TIGANA, SIX, LACOMBE, ROCHETEAU…
Les années ou j’étais vraiment fan de foot ! Quand on est môme, on est toujours fan de foot !
JANViON, CASTANEDA, BOSSIS, GIRESSE, PLATINI? TIGANA, SIX, LACOMBE, ROCHETEAU…
Les années ou j’étais vraiment fan de foot ! Quand on est môme, on est toujours fan de foot !
Mais que sont ils devenus ?
JEAN CASTANEDA
9 sélections A.
Clubs: Saint-Etienne (1972-1989), Marseille (1989-1990).
Palmarès: 2 titres de champion de France (1981, 1990), 4e de la Coupe du Monde 1982 en Espagne.
Formé à l'Olympique de Saint-Etienne, le club voisin, Jean Castaneda rejoint l'ASSE en 1972 à l'âge de 15 ans. Dans l'ombre du géant Curkovic (il est remplaçant à Glasgow), il apprend patiemment son métier.
Après avoir fait sa première apparition en D1 le 27 avril 1979, au Parc des Princes contre le Paris FC, il supplante définitivement son mentor lors de la saison 1980-81, celle du dernier titre des Verts.
Fidèle à ses couleurs, il accompagne son équipe en D2 en 1984 et participe activement à sa remontée en 1986. Il sera à son tour supplanté par sa doublure en 1989, Jean-Pascal Beaufreton. Au moment de son remplacement, Robert Herbin, l\'entraineur de l'équipe déclarera : "On ne vit pas avec des légendes."
Après sa carrière de joueur, il passe de l'autre côté de la barrière et devient entraîneur. Son parcours l'a amené à prendre la direction de l'US Endoume-Marseille, un club de CFA, club dont il est déchargé en janvier 2007.
Depuis 2009, il travaille à Sisteron comme conseiller du président du club.
http://www.anciensverts.com/joueur.php?numero=castaneda&prenom=Jean
mardi 5 avril 2011
BANLIEUE 13
Paris, 2013. Damien est l'élite de la police. Officier d'une unité spéciale d'intervention, expert en arts martiaux, il est passé maître dans l'art de l'infiltration et sait mener à terme ses opérations par des actions rapides, précises et néanmoins musclées.
Et c'est bien la mission la plus extrême de sa carrière qui vient de lui être confiée : une arme de destruction massive a été dérobée par le plus puissant gang de la banlieue. Damien est chargé d'infiltrer dans le secteur pour désamorcer la bombe ou la récupérer.
Le film se laisse regarder, côté scénario : merci luc besson, ça tient sur un ticket de metro comme souvent et il a fait mieux (LE TRANSPORTEUR) ! il a fait pire (TAXI 2, TAXI 3, TAXI 4) sans oublier yamakazi ). côté action : les deux mecs sont fortiches ! respect ! rien à dire, côté jeu d’acteur, on est proche du niveau zéro, on va dire qu’on a affaire à des amateurs.
Les bons points : Une réalisation d’enfer, une histoire qui tient la route (c’est le plus important) même si c'est du "déjà Vu" (merci John CARPENTER / NEW YORK 1997) , bref, ce n'est pas un chef d'oeuvre, ni un navet, juste un bon film d'action made in BESSON, 1h20 de divertissement, juste assez pour passer une bonne soirée.
Pour Pierre Morel, Banlieue 13 est synonyme de baptême du feu. Après avoir été directeur de la photographie sur Le Transporteur et L'Américain, et cadreur pour La Vérité sur Charlie et L'Art (délicat) de la séduction, il se frotte pour la première fois à la mise en scène. En plus, c'est presque par accident qu'il s'est retrouvé aux commandes de Banlieue 13. " Un jour ", explique le réalisateur, " je me suis retrouvé dans le bureau de Luc Besson qui me dit "tiens, lis ça et dis moi si ça te branche de réaliser ce film". J'ai passé la nuit à lire le scénario et je l'ai rappelé le matin. Je lui ai dit que ça me branchait, mais que je me demandais si j'allais être à la hauteur. Il m'a répondu "ne commence pas à être désagréable !" (rires) On a débuté la préparation en janvier 2004."
Des acteurs/cascadeurs
Le casting de Leïto et de Damien, les deux héros du film, était primordial. "Le public a besoin de vrai héros, plus seulemement d'acteurs qui font semblant, estime Pierre Morel,les sportifs, les cascadeurs sont en train de devenir de vrais stars. Le coté réaliste de l'action plait de plus en plus au spectateur à la recherche de sensations extrèmes. C'est dans cet esprit que David Belle et Cyril Raffaelli furent choisis.
David Belle est l'homme à l'origine des Yamakasi. Il a inventé le concept du Parcours, une philosophie de l'action basée sur la mobilité totale en milieu urbain. Il interprète le rôle de Leïto, avec lequel il se trouve de nombreux points communs.
Quant à Damien, le flic incorruptible, c'est Cyril Raffaelli qui lui donne vie. On a pu voir ce cascadeur au cinéma dans Taxi 2, Mortel transfert, Astérix et Obélix : mission Cléopâtre et Le Baiser mortel du dragon.
Sécurité, Sécurité !
Malgré les compétences de cascadeurs des deux interprètes principaux, un film d'action de cette ampleur ne se conçoit pas sans sécurité. Cyril Raffaelli raconte : " Lorsqu‘on nous a parlé sécurité sur le plateau, David et moi ont leur a montré la K7 de démo avec ce qu'on avait fait en live. Dans ma démo, je fais un salto d'un immeuble à l'autre, au quinzième étage. Pas de matelas, rien. On a une confiance absolue en nous." Mais sur le tournage, équipe et production exigent des filets, des matelas, des câbles. Et les négociations des deux acteurs n'y font rien : " La production nous a rappelé qu'on était les acteurs principaux et que si l'un de nous se faisait mal, le tournage était terminé. Mais à force de discuter, Cyril et David ont réussi à mettre tout le monde en confiance. À l'arrivée, 90 % des cascades réalisées l'ont été sans aucun trucage.
LUC BESSON parle de BANLIEU 13 ULTIMATUM
lundi 4 avril 2011
LE MARQUIS
Thomas Gardesse, VRP en système d’alarme, est arrêté pour un fait mineur et envoyé en prison pour 6 mois. Afin de gagner le respect des détenus il se fait passer pour Le Marquis, un génie du casse dont personne ne connaît le visage. Quinze jours avant sa sortie, un braqueur du nom de Quentin Tasseau le fait évader pour l’emmener à Manille afin qu’il participe à un casse dont le commanditaire a besoin des talents du Marquis…il se fait passer pour Le Marquis, un génie
Un humour qui fait plus sourire que rire,. Dubosc fait du Dubosc sans en faire des tonnes et richard berry est sympathique en gentil bandit. Tout les autres personnages ont une petite touche comique qui casse le côté sérieux du rôle (bravo à JH ANGLADE).
Le scénario quant à lui reste basique sans rebondissement. Reprenant la recette vieille comme le monde du duo de bras cassés du style "La chèvre", "Tais-toi!", "Le boulet" et consors... Pas un chef d’œuvre, ni une déception, le film se regarde avec plaisir.
Le scénario quant à lui reste basique sans rebondissement. Reprenant la recette vieille comme le monde du duo de bras cassés du style "La chèvre", "Tais-toi!", "Le boulet" et consors... Pas un chef d’œuvre, ni une déception, le film se regarde avec plaisir.
Tout savoir sur le film avec Allociné.fr
Naissance du projet
Dominique Farrugia témoigne à propos de l'histoire du film : "Je la porte en moi depuis très longtemps. (...) J'ai écrit le premier jet et je l'ai confié à Guillaume Lemans et Jean-Paul Bathany. Avoir des idées, laisser des auteurs travailler, puis intervenir de nouveau dans le développement est un processus de création que j'affectionne." Malgré cela, réaliser le film n'était pas une évidence pour lui : "Je suis d'abord producteur. Je ne pensais d'ailleurs pas mettre en scène Le Marquis, mais plus nous avancions dans le projet, plus l'idée me plaisait".
Dominique Farrugia souhaitait réaliser une comédie d'aventures mettant en scène un duo "à la Veber". Il développe : "Ce qui me touche dans la comédie c'est le supplément d'âme humaine, la fêlure, la fragilité. (...) C'est une manière d'ancrer l'histoire dans la réalité qui permet aux acteurs de jouer juste. On rit plus, il me semble, avec Le Marquis, des situations elles-mêmes que des effets comiques". Franck Dubosc ajoute : "C'est d'abord une comédie qui peut délivrer effectivement quelques moments d'émotion notamment dans la façon dont les deux personnages et leurs relations évoluent vers l'amitié. Et aussi dans leur ancrage dans la vie réelle."
Dominique Farrugia indique que l'humoriste était son choix de départ : "C’est un pari que nous avions fait quitte à ce qu’il nous dise non. Je savais que Franck était très bon acteur mais surtout qu’il était le personnage et je ne voyais personne d’autre à sa place. Je le connais bien depuis longtemps, je sais qu’il a cette capacité énorme de faire rire mais aussi cette petite fêlure enfouie en lui qui va toucher le spectateur."
Clown Blanc
Pour interpréter le partenaire de Franck Dubosc, le choix du réalisateur s'est porté sur Richard Berry d'après les conseils du comique : "Franck (...) m’a dit très rapidement : «Pour ce rôle-là, j’ai besoin d’avoir quelqu’un en face qui renvoie très, très bien la balle». De fil en aiguille mais assez vite finalement nous sommes tombés d’accord sur Richard Berry. Il a lu le scénario qui lui a beaucoup plu, mais il avait quelques réserves et souhaitait quelques modifications. (...) Ces petites corrections effectuées, il a accepté immédiatement. Dès la première lecture, dans mon bureau, le tandem m’est apparu comme une évidence. (...) L’amitié qui naissait petit à petit entre les deux acteurs était de plus en plus visible à l’écran et ça ne pouvait que servir l’histoire."
Le rôle du méchant
C'est après l'avoir vu dans Braquo et Nikita que Dominique Farrugia a décidé d'engager Jean-Hugues Anglade, car il "pouvait faire vraiment peur tout en maîtrisant une forme de second degré. Lui était un peu inquiet, soucieux de savoir si notre histoire, et son personnage, allaient basculer dans la pantomime. Quand il a compris que mon voeu le plus cher était qu’il reste vrai, il a accepté. Quel grand acteur, quelle chance j’ai. Il est à fond dans son personnage, on pense qu’il peut tuer. Il est là pour ça d’ailleurs : apporter le danger et la crédibilité." L'acteur revient sur sa composition : "(...) il ne faut pas que le partenaire ou le spectateur puisse déceler le moindre état d’âme dans votre regard. Vous êtes celui qui dirige, qui est craint mais vous ne devez pas avoir à le prouver donc moins on en fait plus c’est impressionnant, menaçant. Je baisse également le registre de ma voix qui n’a plus rien à voir avec celle que j’ai dans la vie. Cela donne une tessiture enveloppante, un ton qui ne plaisante pas et qui positionne le personnage comme un chef. En accord avec Dominique nous n’avons pas voulu imaginer un personnage caricatural mais que tout ce qui émane de lui coule de source et paraisse crédible."
Changement de registre
Peu habitué aux comédies, Jean-Hugues Anglade se confie sur son expérience dans Le Marquis : "Je suis arrivé un peu parano sur le tournage. La comédie n’est pas fondamentalement mon truc, je sais que chaque détail compte, qu’il faut être à bloc sur la mécanique de jeu, comme si vous aviez une épée de Damoclès au-dessus de la tête. (...) Cette pression m’a appris beaucoup parce que j’ai été obligé de me faire violence, de trouver des solutions inédites pour proposer une autre vision de moi-même. Dans ce sens, c’est une expérience qui me laisse entrevoir de nouveaux horizons dans le domaine de la comédie. "
Les Philippines
Initialement, Dominique Farrugia souhaitait tourner sur la Côté d'Azur mais il confie : "j’ai revu La Bonne année de Claude Lelouch et je me suis dit que je ne ferais jamais mieux. Deux amis d’enfance installés aux Philippines m’ont envoyé un de leur pote qui voulait me proposer d’organiser des productions sur place. J’ai vu des photos des décors, trois jours après j’avais pris ma décision. Deux mois plus tard nous commencions à tourner et mon souhait de faire vivre des aventures à mes personnages dans un décor qui dépayse complètement - entre buildings de Manille et petites rues de quartier à Cebu - était finalement exaucé."
Références
Dominique Farrugia évoque son admiration pour les réalisateurs d'Ocean's Eleven et de Man on Fire : "Si un jour je devais être réincarné j’aimerais bien que ce soit en Steven Soderbergh, un type qui passe de genre en genre avec un tel talent, qui peut faire Solaris, L'Anglais entièrement tourné à l’épaule ou The Good German. J’avais ce dernier film en tête mais aussi certains autres longs métrages d’action de Tony Scott. Mais bon, il faut garder les pieds sur terre : je ne suis que Dominique Farrugia."
Derrière la caméra
Dominique Farrugia se décrit en tant que réalisateur : "À l’inverse de certains metteurs en scène, je n’ai pas de musique en tête, j’ai un rythme et une envie que je tente de suivre. Je sais où je veux emmener les acteurs. S’ils me font des propositions qui ne sont pas forcément dans la même tonalité, dans la même mélodie, mais qui vont dans le bon sens, je prends." Richard Berry, lui, explique que Farrugia "sait parfaitement se servir de la personnalité de chacun et utiliser ce qu’on lui propose. (...) On ne peut avoir que confiance dans le regard que Dom porte sur la comédie, il a largement fait ses preuves dans ce domaine. Sa façon, assez unique, de diriger consiste à être le premier spectateur. Son regard, son rire vous rassurent et vous donnent l’envie d’être toujours plus efficace." Pour Jean-Hugues Anglade, il est "extrêmement pragmatique : si ça marche c’est bon, sinon il n’hésite pas une seconde à vous le dire avec les mots justes, avec gentillesse, certes, mais c’est dit frontalement. Ce genre de comportement est évidemment très rassurant pour un acteur même si cela peut de temps en temps piquer votre orgueil."
Les acteurs et le scénario
Les acteurs reviennent sur ce qui les a séduits dans le scénario : "J’ai d’abord trouvé l’histoire très drôle, écrite dans un registre comique qui me correspondait, me plaisait et m’excitait", déclare Jean-Hugues Anglade. Quant à Richard Berry, il a "trouvé ce scénario particulièrement bien écrit, fourmillant de nombreux rebondissements et de situations qui, au fil de l’histoire, me paraissaient extrêmement drôles." Enfin, Franck Dubosc explique : "l’histoire très bien ficelée, l’idée de former un tandem avec un grand acteur français, le fait que mon personnage soit un mec normal avec femme et enfant - la première fois que ça m’arrive au cinéma - qu’il soit confronté à un danger réel et qu’il possède un peu plus de vêtements qu’un simple maillot de bain, tout cela m’a attiré. Le cocktail comédie/suspense était vraiment alléchant."
Condition de tournage
Avec des températures avoisinant les 45°C, les conditions climatiques n'ont pas épargné l'équipe du film. Toutefois, l'accueil des habitants, l'environnement et la bonne ambiance du tournage ont rendu la situation plus confortable. "Le contexte est très agréable, les gens sont d’une gentillesse exquise. (...) Bien sûr, la chaleur extrême (...) nous obligeait à être encore plus concentrés, à donner le maximum. Quand vous savez qu’après cinq minutes de jeu il faudra ôter votre costume et votre chemise pour les passer au sèche-cheveux et que vous devrez vous refaire maquiller, vous avez envie d’être très bon tout de suite. Enfin bon, il y a des conditions bien pires que celles-ci qui consistent à ne pas tourner de film du tout et à être au chômage. Il ne faut pas se plaindre", explique Richard Berry. Dominique Farrugia, lui, est tombé sous le charme de l'archipel : "les gens sont adorables. Les Philippines étant un pays où le cinéma est important, nous avons pu compter sur un vivier d’acteurs, de figurants et de techniciens. À Cebu, chaque quartier (ou barangay) a son capitaine. Pour bloquer quelques rues plusieurs jours de suite, nous avons dû donner un peu d’argent à celui qui administre l’endroit où nous tournions : il a acheté un cochon et invité tous les habitants à le partager. Je suis réellement tombé amoureux de ce pays et de cette vie communautaire très forte."
Partager l'affiche avec un comique
Richard Berry revient sur le tandem qu'il forme avec Franck Dubosc : "Nous sommes très opposés, nous ne venons pas des mêmes univers, mais j’avais vraiment envie de cette confrontation. Je n’ai aucun à priori sauf sur les mauvais acteurs et les crétins. Franck ne figure dans aucune des deux catégories. Très rapidement il a oublié qui il est pour se plonger, comme moi, dans les situations et s’abandonner à elles. Je ne l’ai pas vu faire du Dubosc. Dominique qui est un excellent directeur d’acteurs et qui le connaît bien ne l’aurait jamais laissé glisser sur cette pente dangereuse. Ce qui n’a pas empêché Franck, en dehors des prises, de me faire beaucoup rire."
Face à Richard Berry
Franck Dubosc évoque sa collaboration avec Richard Berry : "Non seulement nous sommes très différents et assez complémentaires pour former un duo comique classique, mais Richard sait aussi faire rire. (...) Quand vous avez Richard Berry en face de vous, il faut lui rendre ce qu’il vous donne pour qu’il s’amuse aussi un peu, qu’il ne regrette pas son choix." Jean-Hugues Anglade ajoute : "Richard ne semble pas concerné par ce qui se passe. (...) Il arrive devant la caméra et il donne tout, de façon extraordinaire. Je trouve qu’avec la maturité, avec l’expérience de l’écriture et de la réalisation, il a pris une dimension, une ampleur incroyable. C’est une pointure."
Jouer avec Jean-Hugues Anglade
Franck Dubosc confie une anecdote de tournage au sujet de son partenaire de jeu : "Le soir de son premier jour de tournage, (...) il m’a adressé ce petit texto : «merci pour ta générosité». Recevoir ce genre de message de la part de quelqu’un qui vous a fait rêver en tant qu’acteur est une récompense formidable. Jean-Hugues participe grandement à la crédibilité de l’histoire. Il est à fond." Richard Berry ajoute : "Je n’avais joué qu’une seule fois avec lui il y a trente ans dans «L’illusion comique» au théâtre. J’ai toujours considéré Jean-Hugues comme un formidable acteur mais je trouve qu’il a pris une dimension, une profondeur nouvelle depuis la série Braquo. Je me suis extrêmement bien entendu avec lui, j’ai envie de le revoir et je dirais même de le faire tourner."
source : allociné.fr
vendredi 1 avril 2011
LEONARD AU CINEMA
Après ASTERIX, voici le prochain héro de bd qui va avoir les honneurs d'un film cinéma. LEONARD ! le tournage est prévu au mois de juin en Italie.
FRANCOIS BERLEANT dans le rôle du génie
et Ramzy dans le rôle du disciple.
Inscription à :
Articles (Atom)