Toutes les vidéos et images incluses sur ce blogs sont la propriété de leurs ayants-droits respectifs. Elles peuvent être retirées à tout moment par simple demande d'un ayant-droit. Les articles dont la source est mentionnée peuvent aussi être retirés par simple demande de l’auteur.
lundi 31 juillet 2017
vendredi 28 juillet 2017
mercredi 26 juillet 2017
BOURVIL sa dernière apparition dans CLODO
Comment Bourvil, qui venait de tourner « Le Mur de l’Atlantique » s’est-il contenté, comme dernière apparition à l’écran, d’un caméo ? Alors très souffrant, il l’a fait par amitié, en souvenir du passé, nous dit le réalisateur.« J’avais 17 ans quand j’ai découvert Bourvil. À l’époque, il animait des attractions dans une salle de cinéma, boulevard Voltaire. Je l’ai trouvé très bon ! Le proprio des lieux lui, n’aimait pas ce qu’il faisait et ne l’a gardé que quelques semaines ! On ne peut pas dire qu’il ait eu du nez ! », sourit Georges
« Ma femme, comédienne, avait travaillé avec lui dans la salle de l’Alhambra pendant huit mois. Il savait que j’allais tourner mon premier film après quelques courts-métrages. Je me suis rappelé à son bon souvenir. Il m’a dit : si tu veux que je fasse un petit quelque chose en copain, je viendrai. »
Le film s’intitulait donc « Clodo ». « Je le produisais, je le mettais en scène et je jouais dedans aussi, avec mon épouse et des comédiens comme Raymond Souplex et Colette Renard ». Bourvil, malgré son microrôle, se retrouve en tête d’affiche de ce film à tout petit budget. « C’était un bon petit film sans prétention. Je voulais payer Bourvil, il m’a répondu : ‘non, je fais ça amicalement’. J’ai donc payé tout le monde sauf lui. Bourvil était tellement gentil… Pour nous il est comme de notre famille. »
Bourvil a tourné durant une seule journée. « On a fait toutes les séquences ce jour-là. On a même fait un prétournage. Au moment de ce tournage, il était déjà très malade. Il avait perdu ses cheveux et subi une quarantaine de séances de traitement au cobalt. Deux mois après (le 23 septembre 1970) il disparaissait (des suites de son cancer). J’ai dû doubler sa voix dans ses scènes », continue Georges Clair. « J’ai dû le faire car sa voix était abîmée par la maladie. Et comme j’avais pour habitude de l’imiter… »
Pourtant, ce sont des souvenirs joyeux de cette journée de tournage que conserve le réalisateur. « On a bu et mangé quand même. Il a pris un cigare et un whisky à la fin du tournage. Je lui ai demandé si c’était bien raisonnable. Il m’a répondu que c’était quand même foutu. Je l’ai raccompagné jusqu’à son Austin, il a admiré la nature autour. On était très ému car il savait qu’il allait mourir. » C’était la dernière fois que les deux hommes se voyaient.
Ces adieux ont été gâchés des années plus tard quand Georges Clair découvre qu’est diffusée dans plusieurs salles une version érotique de son « Clodo » qui, lui, n’avait connu qu’une distribution assez confidentielle dans les cinémas. On est en 1974, le porno fait fureur. Et le petit chien « Clodo » est devenu « Clodo et les vicieuses ».
Des images de scènes pornographiques sont incrustées dans le film. Georges Clair s’est fait flouer ! « Un voyou avait trafiqué avec le distributeur du film. Je ne sais pas comment ils ont osé faire ça ! », s’indigne encore le réalisateur, dont l’œuvre a été sabotée.
http://namur.lameuse.be/107068/article/2017-07-26/il-est-le-dernier-avoir-fait-tourner-bourvil
mercredi 19 juillet 2017
FLICS EN JEAN
Flics en jeans (Squadra antiscippo) est un néo-polar italien comique de Bruno Corbucci sorti en 1976. C'est le premier des onze films où apparaît le pittoresque inspecteur Nico Giraldi, interprété par l'acteur cubain Tomás Milián, qui affronte ici Jack Palance.
L'inspecteur Nico Giraldi (Tomás Milián) lutte à la tête d'une équipe de policiers à moto contre une vague de criminalité. Il cherche à remonter aux receleurs qui la rendent possible, en particulier en mettant la main sur Baronetti (Guido Mannari), un voleur à moto. Mais celui-ci dérobe malencontreusement la mallette d'un gangster américain, un certain Norman Shelley (Jack Palance). À l'intérieur, cinq millions de dollars... Les ennuis commencent pour Baronetti et sa bande, tandis que Nico Giraldi fait la conquête d'une de ses victimes, Mlle Catani (sans jamais retirer son bonnet de laine).
LASERBLAST - le film
Rayon laser (titre original : Laserblast) est un film américain, de science-fiction, réalisé par Michael Rae, sorti en 1978. Dans le désert californien, deux aliens s'affrontent et l'un est même abattu. Quittant la Terre, l'alien victorieux laisse accidentellement son arme sur le lieu de son crime. Un adolescent renfermé et mal à l'aise tombe par hasard sur cette arme
jeudi 13 juillet 2017
mercredi 12 juillet 2017
vendredi 7 juillet 2017
PHILOSOPHER AVEC CLINT - 2/4
c’est aujourd’hui le philosophe Michel Erman qui vient nous éclairer sur cette obsession qu’est la vengeance dans les films de Clint Eastwood.
mercredi 5 juillet 2017
Philosopher avec Clint Eastwood 1/4
La loi du cowboy
Inscription à :
Articles (Atom)