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dimanche 28 juillet 2013
STEADYZINE 3 EN PREPARATION
Bientôt le retour du Steadyzine de Chris du Steadyblog, fanzine numérique collaboratif où l'on "poursuit les années glorieuses" que sont les 80'S.
En attendant, replongez vous dans les anciens numéros !
http://steadyleblog.blogspot.fr/2013/02/le-steadyzine-2-enfin.html
http://steadyleblog.blogspot.fr/2012/06/steadyzine-numero-un.html
En attendant, replongez vous dans les anciens numéros !
copier coller le lien ci dessous
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vendredi 26 juillet 2013
LE FILS D'APOLLO
Selon le site Deadline, la MGM préparerait « Creed », un film sur la carrière du petit-fils du boxeur Apollo Creed.
Apollo Creed (Carl Weathers) fut l’un des adversaires de Rocky Balboa dans « Rocky » et Rocky II : la revanche, avant de devenir son meilleur ami dans « Rocky III : l’œil du tigre » et de se faire tuer sur le ring par le boxeur Ivan Drago (Dolph lundgren).
le pitch :
Elevé dans une famille riche, le jeune garçon (Michael B. Jordan) ne veut pas devenir boxeur mais son instinct le pousse à monter sur le ring. Pour l’aider Rocky Balboa ( Sylvester Stallone) sera son entraîneur.
« Creed » sera réalisé par Ryan Coogler, qui a déjà dirigé Michael B. Jordan dans « Fruitvale Station ».
Ce serait Ryan Coogler qui aurait suggéré l’idée à Stallone. L’acteur conquis compte même produire le film avec la MGM.
source ICI
source ICI
BERNADETTE LAFONT 1938-2013
«Tant que je le pourrais, je continuerai à travailler. Mon
moteur, c’est le plaisir de jouer la comédie. Je ne m’en suis jamais lassée».
Bernadette Lafont est morte ce jeudi matin à l’âge de 74 ans
au CHU de Nîmes (Gard). Elle laisse une immense filmographie ponctuée par des
succès comme «La fiancée du pirate» «L’effrontée» et Paulette, son dernier film.
À la fin des années 50, elle était l'égérie de la nouvelle vague tournant notamment "Le beau serge" de Claude Chabrol, puis "La fiancée du pirate" de Nelly Kaplan, "Une belle fille comme moi" de François Truffaut ou encore "La maman et la putain" de Jean Eustache.
de "La Gueule de l'autre" de Pierre Tchernia avec Michel Serrault et Jean Poiret en 1979 à "L'Effrontée", de Claude Miller, avec Charlotte Gainsbourg en 1985, rôle pour lequel elle a obtenu le César du Meilleur Second Rôle féminin.
Couronnée également d'un César d'honneur en 2003 pour l'ensemble de sa carrière, qui compte plus d'une centaine de films, elle avait rejoint plus récemment Alain Chabat et Charlotte Gainsbourg pour "Prête-moi ta main" en 2006 ou "La première étoile" en 2009 de Lucien Jean-Baptiste.
de "La Gueule de l'autre" de Pierre Tchernia avec Michel Serrault et Jean Poiret en 1979 à "L'Effrontée", de Claude Miller, avec Charlotte Gainsbourg en 1985, rôle pour lequel elle a obtenu le César du Meilleur Second Rôle féminin.
Couronnée également d'un César d'honneur en 2003 pour l'ensemble de sa carrière, qui compte plus d'une centaine de films, elle avait rejoint plus récemment Alain Chabat et Charlotte Gainsbourg pour "Prête-moi ta main" en 2006 ou "La première étoile" en 2009 de Lucien Jean-Baptiste.
En 2009, elle est faite Officier de la Légion d'honneur, à l'occasion de la promotion du 14 juillet. Parallèlement au cinéma, Bernadette Lafont montait régulièrement sur les planches comme avec "La Tour de la Défense" du dramaturge argentin Copi en 1981 ou en 2002, ou en 2006 pour "Si c'était à refaire" de Laurent Ruquier et faisait de régulières apparitions dans des téléfilms comme "Le juge est une femme" ou encore "Les Enquêtes d'Eloïse Rome". En 2013, elle avait été à l'affiche de "Paulette", un film au joli succès en salles et réalisé par Jerome Enrico. Elle incarnait une grand-mère veuve, aigrie et raciste qui se réconcilie peu à peu avec la vie en devenant dealeuse de haschich. Sorti en janvier, il avait accueilli près d'un million de spectateurs.
Elle n’en avait pourtant pas fini avec le cinéma, encore
prête à incarner la grand-mère du «Petit Nicolas» dans la suite des aventures
de ce gamin tournée en ce moment à Noirmoutier, «Les vacances du Petit
Nicolas». Avant de se rendre dans cette île, la comédienne avait décidé de se
reposer un peu dans sa maison familiale de Saint-André de Valborgne, petite
village des Cévennes gardoises, près du Mont Aigoual. C’est là qu’elle aurait
victime d’un premier malaise cardiaque, début juillet. Peu après, elle aurait
été contrainte de séjourner au centre hélio-marin du Grau-du Roi.
http://www.leparisien.fr/loisirs-et-spectacles/mort-de-bernadette-lafont-la-fiancee-du-cinema-25-07-2013-3007393.php
jeudi 25 juillet 2013
RETOUR SUR DIE HARD 5 et MES 50 RAISONS D'AIMER DIE HARD
Die hard 5 était le film du début de l'année qui a fait couler beaucoup d'encre. certes, il n'est pas parfait, on n'est clairement en dessous d'un DIE HARD 3, Bruce Willis cabotine à mort, le scénario tient sur un ticket de métro, l'intro du film ressemble "à un direct to dvd" l'histoire est prévisible et parfois risibles, mais où sont les méchants ?
DIE HARD 5 a joué la facilité c'est vrai (après la fille, c'est le fils.. dans le 6, on retrouve son ex femme ?) mais c'est un vrai défilé d'action, on se croirait dans un Tex Avery, ne boudons pas notre plaisir, c'est du divertissement, du film qui explose la rétine.
Dans les films qui se terminent par un 5, on a vu bien pire !!! le 5 n'est pas meilleur que DIE HARD 4, ni moins bon finalement, il respecte en tous les cas le cahier des charges, même si le scénario reste très (trop) basique, le film est bien dans l'esprit DIE HARD cuvée 2013.
Pour conclure,
PIEGE DE CRISTAL est à Bruce Willis ce que STICKY FINGERS est aux Rolling Stones. on peut très bien écouter un nouvel album des Stones sans forcément le comparer systématiquement aux précédents.
Le plein de super va faire une petite pause estivale, histoire de recharger les batteries pour la rentrée. replongez vous dans le STEADYZINE N°2 , en cliquant sur le lien ICI
http://steadyleblog.blogspot.fr/2013/02/le-steadyzine-2-enfin.html
mardi 23 juillet 2013
BRUCE LEE REVIENT DANS UNE PUB
Une publicité pour une marque de whisky ressuscitant le comédien crée la polémique pour les 40 ans de la disparition de Bruce Lee.
Le discours que le Bruce Lee en images de synthèse - réalisé pour les besoins de la publicité - tient est en revanche le véritable discours tenu par l’acteur sur les bienfaits de l’eau et non du whisky…
Ci dessous la video originale.
Ci dessous la video originale.
source de l'info
COCKTAIL (MEME TITRE MAIS PAS MEME FILM)
Dans la collection MEME TITRE MAIS PAS MEME FILM, je demande ....
ci dessus, le classique de Roger Donaldson de 1987 avec Tom Cruise et la très sexy Elisabeth Shue
En bonus, saison estivale oblige ! ça peut toujours servir !
j'ai cru un instant que c'était une affiche minimaliste du film de 1987 mais non !!!!
http://blog.kipooz.com/2012/02/20/tous-les-cocktails-en-une-affiche/
lundi 22 juillet 2013
DENIS DE LA PATELLIERE 1921-2013
Le réalisateur s'est éteint à l'âge de 92 ans samedi 20 juillet dans son appartement de Dinard.
Le réalisateur était devenu célèbre avec des films comme Le tatoué avec Jean Gabin et Louis de Funès, Un taxi pour Tobrouk avec Lino Ventura et Charles Aznavour ou des séries pour la télévision, notamment Le Comte de Monte-Cristo, avec Jacques Weber.
Originaire de Nantes, le cinéaste affectionnait Dinard. Après y avoir passé régulièrement des vacances, il s’était installé dans un appartement de la station balnéaire pour y vivre à l’année.
Ses fils sont aussi dans le monde du cinéma. Alexandre a signé, entre autres, la pièce Le prénom puis son adaptation en film. Fabrice est directeur de la fiction de Canal +.
Libellés :
AUDIARD,
HOMMAGE,
JEAN GABIN,
LINO VENTURA,
LOUIS DE FUNES,
REALISATEUR
vendredi 19 juillet 2013
jeudi 18 juillet 2013
ERROL FLYNN : son dernier film avec Juliette GRECO
En 1958, Errol Flynn tourne son dernier grand film : Les Racines du ciel, d'après le roman de Romain Gary. Sa rencontre avec le réalisateur John Huston est mouvementée : lors d'une soirée, ils en viennent aux mains au sujet de la qualité d'un comédien et se retrouvent tous deux à l'hôpital22. Cette mésaventure instaure entre les deux hommes un respect mutueln 8. Le tournage en Afrique équatoriale française est éprouvant : Flynn se saoule tous les soirs et le lendemain doit prendre des excitants pour se remettre sur pied. Avec des températures de 50 °C à l'ombre, des épidémies de dysenterie amibienne et de malaria déciment l'équipe, exceptés Flynn et Huston, les seuls à ne pas boire d'eau.
Errol Flynn meurt d'une attaque cardiaque à l'âge de cinquante ans le 14 octobre 1959. Il est enterré au cimetière Forest Lawn Memorial Park à Glendale en Californie.
Errol Flynn est considéré par de nombreux critiques comme l'héritier de Douglas Fairbanks. Son autobiographie, Mes 400 coups (My Wicked, Wicked Ways en version originale), publiée quelques mois après sa mort, contient des anecdotes pleines d'humour sur Hollywood.
Plusieurs films en partie biographiques ont mis en scène Errol Flynn : My Wicked, Wicked Ways... The Legend of Errol Flynn31, téléfilm américain de Don Taylor avec Duncan Regehr dans le rôle de Flynn en 1985 ; Without Walls: For One Night Only: Errol Flynn, téléfilm britannique de Jane Oliver avec Nathaniel Parker en 1994 et Flynn, film australo-américain de Frank Howson avec Guy Pearce en 1997. À noter que Jude Law a également interprété le rôle de Flynn dans Aviator de Martin Scorsese en 2004, un film sur le producteur Howard Hughes.
Les Racines du ciel (titre original : The Roots of Heaven) est un film réalisé par John Huston en 1958
En 1950, à Fort-Lamy, en Afrique équatoriale française, Morel, un étranger, milite pour la protection des éléphants car l'espèce, victime de la chasse, se trouve menacée. Afin de réussir au mieux sa mission, l'homme trouve des alliés auprès de Minna, barmaid dans un club et Forsythe, vétéran de l’armée britannique. Cependant bien qu'il dispose d'une aide certaine, le chemin sera semé d'embûches.
ALLO Ciné J'écoute
j'aime lire les avis des internautes sur allociné, les bons commentaires comme les mauvais !
Mise en scène en carton, décors en carton, dialogues en carton, voix françaises en carton ; bref... Si vous cherchez un bon western, c'est le film à éviter de toute urgence !
mardi 16 juillet 2013
D'AMOUR ET D'EAU FRAICHE (le film avec Julien Clerc et miou miou)
Nombreux sont les acteurs qui sont passés derrière un micro pour sortir un 45T (on en parlera prochainement dans un numéro spécial de mon ami Chris) mais rares sont les chanteurs qui se sont essayés au métier d'acteur (sauf Alain Souchon et bien entendu Eddie Mitchell qui a bien su gérer sa carrière de chanteur et d'acteur).
En 1975 Julien CLERC s'était essayé au cinéma. Il avait interprété le rôle principal. Il interpretait Jip (Julien Clerc), un professeur de piano, qui était l'amant de Mona (Annie Girardot), maman d'un petit garçon. Mais voilà, un jour, Jip rencontra Rita (Miou-Miou). Il tomba amoureux d'elle, et Mona devint furieuse...
"D'amour et d'eau fraîche" sort en 1976.
Love and Cool Water
(International: English title)
84 min
Réalisé et écrit par Jean-Pierre Blanc
Love and Cool Water
(International: English title)
84 min
Réalisé et écrit par Jean-Pierre Blanc
Annie Girardot....Mona
Miou-Miou .... Rita Gonzalez
Julien Clerc .... Jip
Jean-Pierre Darras .... Clément
Cerise .... Eglée
Geoffrey Carey .... Colin Loiseau
Sylvain Choquet .... Boris
Robert Dalban .... Potter/Le père de Mona
Josy Foichat .... Chombidon/Femme canadienne
Gérard Hernandez .... Ben
Béatrice Costantini
Muriel Cayzac
Josée Yanne .... Une mère d'élève
Miou-Miou .... Rita Gonzalez
Julien Clerc .... Jip
Jean-Pierre Darras .... Clément
Cerise .... Eglée
Geoffrey Carey .... Colin Loiseau
Sylvain Choquet .... Boris
Robert Dalban .... Potter/Le père de Mona
Josy Foichat .... Chombidon/Femme canadienne
Gérard Hernandez .... Ben
Béatrice Costantini
Muriel Cayzac
Josée Yanne .... Une mère d'élève
Scénario,
production
--------------------------------------------------------
Producteur : Alain Poiré
Production : Gaumont, France
Equipe Technique
--------------------------------------------------------
Compositeur : Michel Bernhloc et Julien Clerc
Directeur de la photographie :
Edmond Séchan
Chef décorateur : Claude Moesching
--------------------------------------------------------
Producteur : Alain Poiré
Production : Gaumont, France
Equipe Technique
--------------------------------------------------------
Compositeur : Michel Bernhloc et Julien Clerc
Directeur de la photographie :
Edmond Séchan
Chef décorateur : Claude Moesching
http://www.julien-clerc.net/bonus/cinema.html
CAMILLE & PEGGY SUE
CAMILLE REDOUBLE parce que CAMILLE a copié sur PEGGY SUE, voilà pourquoi elle repique la Camille... film original pour celui qui n'a jamais vu le film avec Katleen Turner de 1986. Bref, on passe un bon moment même, certaines scènes nous plongent vraiment dans les années 80, l'interprétation est en dents de scies, parfois très juste, parfois peu crédible. film bien sympathique quand même mais très sur estimé.
point fort : le menu dvd très old school, ça sent bon le magnetoscope !
point négatif : scène d'introduction assez gore (le film dans le film, tournage d'une scène d'horreur) qui n'apporte rien au film (pas cool lorsque votre enfant joue dans le salon)
Camille a rencontré Éric à 16 ans, il fut le premier et le
dernier homme de sa vie. Ils sont tombés fous amoureux et encore adolescents,
ont eu une fille. La mère de Camille n'a jamais su qu'elle allait être
grand-mère, elle est morte quelques heures avant que Camille le lui annonce.
Éric vient de quitter Camille pour une femme plus jeune.
Camille boit. Le jour du réveillon du jour de l'An, elle se retrouve projetée
dans son adolescence. Dans son corps d'adulte, elle a à nouveau 16 ans et retrouve
ses parents, la maison de son enfance, son lycée, ses copines, ses profs et
Éric. Elle tente de faire changer le cours de sa vie.
Quand le film commence, Camille a 40 ans, un mari qui la quitte, des parents
morts depuis des années. Une nuit de Nouvel An, elle s'évanouit et, par l'un de
ces tours de magie qu'affectionne le cinéma américain (cf. "Peggy Sue s'est
mariée", de Coppola), se réveille au beau milieu des années 80, à l'âge de 16
ans. Pour nous, spectateurs, elle a toujours son visage et son corps d'adulte,
mais ses parents, ses copines et ses profs la voient comme une ado, sans rien
trouver d'incongru à ses minijupes bariolées.
De ce scénario de science-fiction Noémie Lvovsky tire une formidable
réflexion autour de quelques interrogations fondamentales : "Qu'est-ce que le
temps fait de nous ? Nous fait-il devenir une autre personne ? Ou bien y a-t-il
en nous une part d'irréductible ?" Il est réellement fascinant de voir Camille
éprouver ce questionnement philosophique dans sa chair."Dès l'enfance, j'ai
ressenti la mélancolie du temps qui passe, explique Noémie Lvovsky.Très tôt, on
éprouve la perte, on risque de se laisser aspirer par cette tristesse. Alors il
faut contre-attaquer, retrouver la sève de la jeunesse, la violence des émotions
de l'adolescence."
Tel est sans doute le secret de cette "énergie folle" que Noémie Lvovsky
s'est découverte en jouant Camille et que dégage le film : celle que donne la
vie quand, par miracle, elle offre une seconde chance
http://www.lepoint.fr/cinema/on-ne-vit-que-deux-fois-08-09-2012-1504259_35.php
PEGGY SUE S’EST MARIEE
Accompagnée de sa fille Beth (Helen Hunt), Peggy Sue Bodell
(Kathleen Turner) part pour une réunion d'anciens élèves du lycée qui fêtent
les 25 ans de leur sortie, mais elle le fait avec hésitation. Elle vient de se
séparer de Charlie (Nicolas Cage), son ancien amour de lycée devenu aujourd'hui
son mari, et elle craint d'assister à cette réunion car tout le monde va
l'interroger sur l'absence de son époux : ils s'étaient mariés parce qu'elle
était tombée enceinte à la fin du lycée.
Peggy Sue arrive à la réunion et elle est heureuse de
renouer avec ses vieux amis, Maddy (Joan Allen) et Carol (Catherine Hicks), et
tout le monde commence à rappeler les anciens souvenirs du lycée, et combien
les temps (et les camarades de classe) ont changé. Charlie arrive à
l'improviste à la réunion, mettant mal à l'aise Peggy Sue qui ne s'y attendait
pas, mais sa gêne s'envole lorsque le Maître de cérémonie annonce qui seront «
le roi et la reine » de la réunion. Le roi est Richard Norvik (Barry Miller),
un ancien camarade de classe particulièrement bûcheur, devenu génie de
l'informatique et multi-millionnaire. Peggy Sue est appelée comme reine, mais
en arrivant sur la scène, elle s'évanouit.
Quand elle se réveille, elle se rend compte qu'elle est
revenue au printemps de 1960, sa dernière année de lycée et qu'elle a perdu
connaissance après avoir donné son sang. Elle croit au début qu'elle est morte
pendant la réunion, mais en vient enfin à accepter l'idée qu'elle est retournée
dans le temps.
lundi 15 juillet 2013
LADY MARIANNE
"Après deux mois de secret, le nouveau visage du timbre Marianne a été révélé dimanche à l'Élysée. Dessinée par Olivier Ciappa et David Kawena, cette Marianne semble sortir tout droit de l'univers de la bande dessinée.
http://www.purepeople.com/article/du-sex-symbol-brigitte-bardot-a-laetitia-casta-toutes-ces-stars-qui-ont-prete-leur-beaute-a-la-marianne_a45702/1
« Nous avons voulu lui donner un côté international et intemporel en mélangeant les mains réalistes et gracieuses spécifiques à la Renaissance, les yeux qui sont un mélange du réalisme de la bande dessinée française d’aujourd’hui, du manga asiatique des années 1980 et de l’animation américaine des années 1950 », ont expliqué les deux artistes.
Olivier Ciappa, l'un des auteurs, vient en effet d'avouer sur Twitter que «pour tous ceux qui demandent le modèle de Marianne, c'est un mélange de plusieurs femmes mais surtout Inna Shevchenko, fondatrice des FEMEN, du nom de ces activistes féminines qui font désormais régulièrement irruption seins nus dans le sillage des grands de ce monde."
http://www.leparisien.fr/economie/le-nouveau-timbre-marianne-devoile-a-l-elysee-14-07-2013-2982145.php
c'est vrai que ça nous change de ça :
Depuis ses débuts, la tradition veut que la Marianne soit représentée sous
les traits d'une jeune femme anonyme. Mais en 1969, le sculpteur Aslan
représente cette dernière sous les traits d'une des plus grandes icônes des
années 60... BRIGITTE BARDOT.
Après le sex-symbol des années 60, la starisation de Marianne continue. En 1972,
c'est au tour de l'actrice MICHELE MORGAN,
En 1978, c'est MIREILLE MATHIEU est l'une
des chanteuses les plus populaires de l'Hexagone (à l'époque ?)
En 1985, la Marianne s'approprie de nouveau la beauté d'une actrice célèbre...
Le choix se porte sur Catherine Deneuve.
Plus tard elle déclara à propos de cette expérience, au magazine Les
Inrockuptibles : "J'ai toujours résisté à la momification, à l'exception
du buste de la Marianne. J'ai trouvé ça sympathique car c'était un sondage
populaire et puis la République c'est important pour moi. J'ai trouvé bien
qu'une femme comme moi, pas mariée et ayant eu des enfants hors mariage
symbolise la République française".
Quatre ans plus tard, en 1989, c'est au tour d'INES DE LA FRESSANGE,
LAETICIA CASTA sera la nouvelle marianne en 2000. En 2003, le choix se porte sur EVELYNE THOMAS, une animatrice télé.
http://www.purepeople.com/article/du-sex-symbol-brigitte-bardot-a-laetitia-casta-toutes-ces-stars-qui-ont-prete-leur-beaute-a-la-marianne_a45702/1
samedi 13 juillet 2013
GAINSBOURG ET LES ACTRICES
Gainsbourg en a fait chanter plus d'une, je veux parler des actrices, ici c'est la belle Angélique Marquise des Anges (Michele Mercier) qui donne de la voie sur une chanson que Bardot aurait pu chanter.
chanson rare de Brigitte Bardot signée Gainsbourg
sans oublier la belle Mireille Darc qui elle aussi a chanté du Gainsbourg.
vendredi 12 juillet 2013
TERRE VENT ET FEU au Zenith de PARIS avec OMAR l'INTOUCHABLE
Omar Sy est monté sur scène durant le concert d’Earth, Wind & Fire au Zénith de Paris pour danser et chanter sur « September », l’une des chansons emblématiques du film « Intouchabes
Le carton d'« Intouchables » a relancé Earth Wind & Fire en France avec « September » au générique et la scène culte où Omar Sy danse sur « Boogie Wonderland ».
Olivier Nakache et Eric Toledano étaient hier soir au Zenith avec… Omar Sy. Le comédien est venu en famille voir ses idoles et les a rencontrées avant le show. « C’est formidable, j’ai grandi avec eux, ce sont comme des grands frères », avouait-il. Pas avare de surprises, il les a rejoint sur scène en fin de concert pour danser et chanter sur « September ». Il les retrouvera dans quelques jours à Los Angeles pour enregistrer un duo sur « My Promise » pour la version française de l’album
jeudi 11 juillet 2013
LES DVD PIRATES DE GOLDORAK, retour sur l'affaire de 2005
aujourd'hui, on peut acheter en toute légalité le coffret volume 1 de GOLDORAK, le volume 2 est prévu en septembre 2013. Pour ceux qui n'auraient pas suivi l'affaire, retour sur l'affaire la plus "abracadabrante" à savoir l'édition "surprise" de l'intégrale Goldorak durant l'été 2005. Affiche de pub annonçant la sortie, le coffret 1 et 2 était disponible dans certains supermarchés en toute légalité (qui peut penser le contraire ????) et puis septembre, la sanction tombe... l'affaire du GOLDOGATE ne fait que commencer. voici en détail toute l'histoire.
Pourquoi tant d'impatience ? C'est que la série
a été bloquée une bonne décennie suite à un litige entre Toei Animation
(producteur japonais de la série animée) et Dynamic Planning (société éditrice
de la bande dessinée, créée par Go Nagaï, et dont la série est une œuvre
dérivée). Alléluia, tout ce petit monde s'arrange finalement en 2004 et sort
illico la série en DVD au Japon, avec la promesse de lendemains qui chanteront «
Money, money, money », en Europe, pour très bientôt, promis juré.
Problème... il s'avère vite que les DVD de Déclic
Images sont des contrefaçons! Tout est parti d'une trahison. Déclic Images
travaille depuis des années avec la société Rouge Citron Production, qui se
charge d'obtenir des licences pour eux. Déclic Images signe un accord de
principe avec RCP, chargeant les seconds d'obtenir les droits de Goldorak pour
eux. Coup de théâtre, trois employés de DI sont débauchés par RCP, qui s'apprête
à entrer en concurrence avec ses propres clients en ouvrant une branche édition.
En inspectant les emails des transfuges, les dirigeants de Déclic Images
apprennent que RCP s'apprête à commencer sa nouvelle activité avec rien de moins
que le très attendu Goldorak... Leur sang ne fait qu'un tour : ils se procurent
les DVD japonais, les copient, et plaquent dessus la bande son française, pour
les sortir à la hussarde et couper l'herbe sous le pied de RCP.
Détail
croustillant, Manga Distribution, (société dirigée par les mêmes gérants que
Déclic et qui se charge de la distribution de ses DVD), est en délicatesse avec
nombre de supermarchés qui menacent de déréférencer leurs DVD depuis des mois.
Manga Distribution ne doit son salut qu'à la promesse de sortir incessamment
Goldorak. Il est donc impératif pour la société de ne pas se faire doubler,
quitte à s'embourber dans un imbroglio judiciaire sans précédent."
Comptant sur le fait que RCP a acquis sans leur
dire une licence d'exploitation auprès des japonais et que leur accord de
principe tiendra lieu de contrat de licence, Déclic publie les DVD, mettant tout
le monde sur le fait accompli. Sauf que, bien sûr, RCP n'a jamais eu les droits
de Goldorak. BANZAI ! Les japonais montent au créneau et attaquent fissa Déclic
Images et Manga Distribution. Ivres de colère et de saké, Toei Animation et
Dynamic Planning intentent une procédure d'urgence en référé, qu'ils perdent
faute d'avoir pu produire à temps des documents japonais vieux de 30 ans.
L'affaire est renvoyée au fond, DI et MD sortant le 3ème et dernier coffret de
Goldorak entre les plaidoiries et la décision de justice en première instance,
qui les condamne à (gloups) 7,2 millions d'euros de dommages et
intérêts
mercredi 10 juillet 2013
GOLDORAK A POITIERS (magasin RALLYE) EN 1979
Souvenir d'enfance, d'une journée de 1979, au centre commercial de Rallye (ex geant casino) à POITIERS.
mardi 9 juillet 2013
RETOUR SUR UN OFNI (objet filmique non identifié)
Yann Moix passe à table et déballe tout, des débuts foireux à la honte après la sortie.
Paru dans Technikart #171 - mars 2013
Entretien Raphaël Turcat
Yann Moix: «Le making of de Cinéman aurait fait un très grand film. Par rapport à Lost in La Mancha de Terry Gilliam, honnêtement, je crois que j'ai vécu pire. La galère de Terry Gilliam, c 'est qu'il n'a pas fait son film, il n'a pas pu greffer le fantasme de sa vie et le transformer en film. Il a eu un problème de météo, avec un acteur, de repérages. Il lui a manqué la diversité de catastrophes que j'ai eue... J'ai mis cinq ans à adapter un roman de 450 pages, je suis allé à la Cinémathèque voir cinq films par jour. Je ne vais dauber sur personne, parce que le seul responsable, c'est moi. J'avais écrit Cinéman pour Benoît Poelvoorde et le méchant devait être Albert Dupontel. Dans le scénario avec des photos-montages, tellement obsédé par Poelvoorde, j'ai oublié Dupontel. Quand il a vu le scénario, il m'a dit: "Où est-ce que je suis ?" Du jour au lendemain, il a disparu, impossible de le joindre, plus aucune nouvelle de Dupontel.» «Au moment où on doit commencer à tourner, Poelvoorde m'annonce qu'il fait les Deux Mondes. Je prends donc un an de délai dans la gueule, puis il enchaîne avec les Randonneurs à Saint-Tropez, et je dois encore patienter trois mois. Le producteur en a marre d'attendre et on commence à se rendre compte que Benoît est complètement lessivé, qu'il ne peut pas faire Cinéman et, surtout, ne veut pas le faire. Malgré sa dépression, il a vu que le film allait être mauvais, que le scénario ne valait rien.
La première fois que je lui ai donné au cours d'un dîner, il l'a oublié sur la banquette du resto ! Alors, on a commencé à s'embrouiller. Mais j'ai quand même été chez lui, en Belgique. Il était cloîtré et j'ai dû escalader la barrière pour rentrer dans sa baraque. Là, on passe la soirée ensemble et il me dit: "Ton film n'est ni fait ni à faire." Suivent d'autres journées de travail où il me fait des remarques. Je fais semblant de prendre ses propositions en compte tout en me disant: "Ecoute, connard, je suis un génie car j'ai fait quatre millions d'entrées avec Podium. Les acteurs ont besoin de mecs comme moi, sinon ils ne sont rien." D'ailleurs, à chaque fois dans ma vie que je me suis cru bon dans un domaine, je me suis ramassé la gueule tout de suite après.» «Pour remplacer Poelvoorde, je finis par penser à Jean Dujardin. Sauf qu'il ne peut pas: il doit finir Lucky Luke et enchaîne avec OSS 117. Comme il partage l'agent de Franck Dubosc, on le contacte. Je le trouve drôle dans ses spectacles, sauf que je ne vois pas ce que je vais bien pouvoir en faire dans le projet. Cinéman, c'est l'histoire d'un mec qui ne ressemble à aucun des personnages. Le problème de Dubosc, c'est qu'il ressemble à tous les personnages – Clint Eastwood, Errol Flynn, etc.
Mais je dois le prendre, c'est le seul qui me permette de monter le film pour des questions financières. Et puis, dans ma tête de petit génie du cinéma français, je me compare à Milos Forman qui a choisi Jim Carrey pour Man on the Moon. Quand les méchants que je caste – François Berléand, Jean-Paul Rouve – apprennent que c'est Dubosc le personnage principal, ils se barrent ! Pire: je n'ose pas dire à François Cluzet, qui était partant, que ce n'est pas Poelvoorde qui tient le premier rôle. Bien sûr, il finit par l'apprendre et là, il m'en veut à mort. Dans le même temps, Elie Semoun me harcèle pour faire le méchant, mais j'ai peur que ça fasse trop Petites Annonces. Finalement, je me dis: "J'ai pris un mec des Robins des Bois pour Podium (Jean-Paul Rouve - NDLR), je fais la même pour Cinéman (Pef - NDLR), ça va me porter chance !" Voilà à quel genre de chose je suis obligé de me raccrocher...» «Même si Pef fait de bons essais en méchant, je sens que ça ne va pas le faire. Mais je suis dans le déni: je vais dans le mur tout en me disant que ça va aller. En plus, le casting des filles dure des mois, une vraie galère. Julie Depardieu refuse mais Lucy Gordon accepte – elle se suicidera quelques mois plus tard, un drame.
Le film est une coproduction franco-belge: le chef op' est français, les assistants, techniciens et les mecs de la régie sont belges. Quand je leur annonce que Benoît ne fait plus le film, je crois qu'ils vont me péter la gueule. Leur premier mouvement, c'est de dire qu'ils ne font pas le film. Le tournage commence quand même et, dès le premier jour, une bagarre éclate entre deux techniciens. Une vraie baston, la baston des pays ! Pendant ce tournage maudit de quatre mois, l'équipe belge n'a jamais salué une seule fois Franck (Dubosc). Je m'aperçois aussi que les Belges disent à mon chauffeur de venir me chercher en retard. J'arrive donc systématiquement sur le tournage à la bourre de retard. J'ai fini par virer le mec.» «Dans la scène avec Robin des Bois, les costumes ont été pensés pour une lumière de film en Technicolor de 1938, la même que le film original. Pour avoir cet effet-là, il faut un soleil de rêve et des costumes réalisés exprès.
Mais quand on arrive sur les lieux du tournage, pas une fleur dans les bois, de la gadoue partout... C'est la seule année où le printemps est arrivé avec un mois de retard. Avec ses costumes Technicolor à 8h00 du mat', le petit crachin et de la boue plein les bottes, Dubosc, c'est une grenouille en pyjama vert. Ensuite, on part à Almeria (Espagne) pour tourner la partie western et là, tempête de sable ! Il n'y en avait pas eu depuis 1972 mais nous, on n'a pas pu tourner pendant dix jours. Comme un jour de tournage coûte 80 000 €, le producteur me coupe des scènes pour équilibrer avec les jours de tempêtes. Comme si ça ne suffisait pas, Pef et Dubosc ne s'entendent pas du tout, ils se chamaillent comme des gosses puis ne s'adressent pas la parole de tout le tournage. Et puis, Dubosc se casse la gueule dans les escaliers, il gît au milieu d'une mare de sang, tout le monde le croit mort mais il finit par se relever en hurlant: "Cinéman vaincra !" Bilan: vingt- cinq points de suture et... tout le monde s'en fout. Lucy Gordon manque de se noyer sur une pirogue avec les mains attachées dans le dos. Enfin, le pire: mon chef op' fait un infarctus un soir durant le tournage. Heureusement, il n'est pas mort mais on a dû changer de chef op'.»
«A la fin de chaque semaine de tournage, on projette les rushs à l'équipe: aucune réaction positive, pas le moindre rire, que des têtes d'enterrement. Alors, je remonte le film dans tous les sens. Dix-huit mois de montage. J'essaye tout ce temps de trouver un film à l'intérieur de cette matière qui ne veut pas décoller. Je suis complètement déboussolé et je prends la décision de le monter avec d'autres bouts de films libres de droits. Là, ça devient un OVNI, du cinéma de Guy Debord, quoi ! Jérôme Seydoux (le boss de Pathé - NDLR) voit ça, il sort sans rien dire. Après avoir parlé avec lui, mon producteur me dit: "Votre monteur, faut le noyer. Ou vous. Ou tous les deux, peut-être." A ce moment-là, je prends la décision de changer tous les dialogues et de réécrire une histoire qui n'a plus rien à voir.
Les acteurs reviennent en studio et disent d'autres dialogues, c'est pour ça que la post-synchronisation est foireuse. Et je sens que ça va être le mur, le mur absolu dans la gueule. Paniqué, je pense même à faire signer le film par Michel Gondry, mais je n'ose pas l'appeler. Que Bernard Henri-Lévy me vienne en aide, c'est l'ultime catastrophe du film. Je lui demande de faire une bonne critique. C'est maladroit et personne n'est dupe, d'autant que j'avais écrit un bon article sur son film le Jour et la Nuit qui avait été massacré partout. Résultat: 300 000 entrées, dix fois moins que Podium qui, avec le recul, était un téléfilm moyen, il fallait faire 2,5 millions d'entrées pour se rembourser... Même chez Nanarland, ils n'en veulent pas ! J'avais honte, physiquement honte, une impression d'être enveloppé de merde. Je n'ai plus osé sortir de chez moi pendant longtemps. C'est un film malade. Si j'avais su, j'aurais fait ma dépression plus tôt, avant de commettre ce film.»
Paru dans Technikart #171 - mars 2013
Entretien Raphaël Turcat
http://www.technikart.com/les-blogs/raphael-turcat-technikart/6522-yann-moix-les-dessous-de-la-catastrophe-cineman
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