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lundi 30 janvier 2017

la face morte des Discovision

Le LaserDisc est un format plutôt ancien, qui date de la fin des années 70, et les premières générations offrent quelques surprises. La plus intéressante ? Les « dead side », qui contiennent parfois des données plus ou moins aléatoires.
Laserdisc_logo

La première génération de LaserDisc porte le nom de Discovision, et – contrairement aux disques plus récents – ne contiennent que des données analogiques. L’image, bien évidemment, mais aussi le son. Une des particularités des LaserDisc vient de la capacité assez limitée d’une face : environ 30 minutes en CAV, ~60 minutes en CLV (une technologie de codage plus évoluée). Comme vous vous en doutez, un disque se contente donc rarement d’une face et beaucoup de films demandent deux disques (ou plus). Mais que se passe-t-il quand le nombre de faces nécessaires est un nombre impair ? La première idée, évidemment, c’est de n’utiliser qu’une face, mais pour des raisons physiques et étant donné la taille des disques, ce n’est pas possible (les premiers essais de LaserDisc posaient des soucis avec une seule face). A l’époque, un choix a donc été fait : utiliser des faces « rebuts » pour les films qui demandaient un nombre impair de faces. Le fabricant des disques récupérait donc des faces inutilisées provenant d’autres disques et les recouvraient de vernis pour empêcher la lecture.
Bien évidemment, des petits malins ont découvert assez rapidement l’astuce, et il est possible d’enlever le vernis avec de l’alcool à 90°. Ensuite, c’est la loterie : on peut trouver des morceaux de films, de la documentation, des trucs jamais sortis, etc. La première chose à savoir, c’est que ça ne fonctionne que sur les Discovision : sur les LaserDisc plus récents, les fabricants remplissent les faces inutilisées avec un message demandant de retourner le disque (j’en parlerais un jour) ou des dessins. La seconde, c’est que c’est assez aléatoire.
Reste que le dead side, ça peut être amusant. Ce site qui recense les Discovision donne quelques exemples de chosesqui n’existent que sur des dead side.
Vraiment, rien de l'autre côté ?
Vraiment, rien de l’autre côté ?
J’ai essayé. Le matériel nécessaire ? Une lecteur compatible NTSC (normalement, ils lisent tous l’audio analogique) et bien évidemment des Discovision. Attention, il faut évidemment des disques avec une face inutilisée, ce qui n’est pas toujours le cas : selon le codage, le contenu peut rentrer sur un ou deux disques sans soucis. Sur les quelques Discovision récupérés à vil prix aux Etats-Unis, deux avaient déjà été nettoyés : Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band contient la première face d’American GraffitiGoing My Way (La Route semée d’étoiles), la seconde face de Jaws (Les Dents de la mer). Après nettoyage, le film Coal Miner’s Daughter (Nashville Lady) contient un manuel de voiture Pontiac et Jaws 2 (Les dents de la mer 2) une vidéo sur les voitures Chevrolet. J’ai deux autres films avec lesquels je n’ai pas réussi à lire la « dead side » : MacArthur (MacArthur, le général rebelle) et American Graffiti. Ceci dit, ils étaient rejetés directement au départ et un nettoyage approfondi à l’alcool à 90° permet au lecteur de détecter le disque, donc je ne perds pas espoir. Enfin le dernier, Jaws (Les dents de la mer) semble ne pas contenir de données : le disque ressemble à un miroir sans les informations facilement reconnaissables d’un laserDisc. Soit il est réellement vide, soit la couche de protection résiste bien.
http://www.journaldulapin.com/2016/08/09/draft-discovision-dead-side/

OLIVIA NEWTON JOHN - Amoureuse

OLIVIA NEWTON JOHN chante en anglais le tube de Véronique SANSON

vendredi 27 janvier 2017

Nulle Part Ailleurs - 10 années formidables

10 années formidables (Best of) - Info

Peut-on voyager dans le temps ? - France Culture


Les physiciens eux-mêmes se disputent encore sur la question. Pour les uns, les paradoxes temporels sont interdits par les lois de la physique, pour d'autres cela renvoie à des questions philosophiques. Petit guide du voyage dans le temps, en quatre sauts temporels.

"Faut voir grand dans la vie ! Quitte à voyager à travers le temps au volant d'une voiture, autant en choisir une qui ait de la gueule !”, assurait Emmett Brown à propos de sa Delorean, dans Retour vers le futur. En matière de fiction, il faut bien l’admettre, les machines à voyager dans le temps n’ont pas toujours eu les designs les plus flamboyants, à commencer par l’originale, celle du film adapté du roman de H.G. Wells La Machine à explorer le temps, qui tenait plus du canapé-luge que du coupé sportif.

Mais comment pourrait-on, réellement, voyager dans le temps ? “Peut être que l’idée qu’on se fait [du temps] est fausse. Peut-être que le vrai temps est autre chose que ce qu’on imagine”, questionnait encore le physicien et producteur de France Culture Etienne Klein ce jeudi, dans l'émission de la Méthode Scientifique : "Pourquoi le temps passe-t-il ?". Et c’est bien ce sur quoi les romans et films de science-fiction tendent à faire l’impasse : le temps est, dans une certaine mesure, indéfinissable, ce qui rend jusqu'à l'expression “voyage dans le temps” impropre. Pourtant, la fiction n'est pas toujours si éloignée de la réalité, et certains scientifiques estiment ces détours par le passé et le futur possibles, malgré les paradoxes qui, dans les univers fictifs, sont souvent tenus pour responsables de rien de moins que la destruction de l’univers. Petite virée dans notre machine à voyager dans le temps, ou plutôt à comprendre le temps, avec Marc Lachièze-Rey, astrophysicien, théoricien et cosmologue français du CNRS.

1. Définir le temps avant de pouvoir y voyager

"Puisque le passé n'est plus, puisque l'avenir n'est pas encore, puisque le présent lui-même a déjà fini d'être avant même qu'il a commencé d'exister, comment pourrait-il y avoir une réalité du temps ?" Aristote
C’est certainement le concept le plus difficile à appréhender : le temps, individuellement, n’existe pas. “Pour comprendre le voyage dans le temps, il faut d’abord comprendre que le temps n’existe pas, comme le dit la relativité générale, comme le disait Einstein et comme on le constate dans les expériences et les observations un peu précises”, précise Marc Lachièze-Rey.
Le temps et l’espace sont, selon la relativité générale, indissociables et s’influent respectivement : ainsi, plus la masse des objets est conséquente, plus l’effet de gravitation influe sur le déroulement du temps. “Contrairement à ce qu’on croit, une horloge ne mesure pas le temps, mais une durée de sa propre histoire”, poursuit l’astrophysicien. Ainsi, si on prend deux horloges parfaitement synchronisées et qu’on les laisse côte à côte, elles resteront synchronisées. Mais si l’une des deux horloges est montée de ne serait-ce que quelques étages, où le centre de gravitation diffère, alors elle va se désynchroniser d’une infinitésimale fraction de seconde. “Les horloges ne mesurent donc pas le temps, si elles mesuraient le temps, elles resteraient synchronisées. Une horloge mesure la durée d’une histoire qui lui arrive. Et la relativité générale permet tout à fait de calculer cela.”
C’est pour cette raison même que sur les satellites GPS, les horloges doivent régulièrement être resynchronisées pour correspondre à l’heure terrestre.
Ce que dit Einstein c’est que même si vous avez deux histoires qui commencent au même endroit et au même moment et se terminent au même endroit et au même moment, elles n’ont pas la même durée. Donc le temps ne peut pas exister.” Or, si le temps n’existe pas, cela rend en théorie possible ce qu’on appelle le voyage temporel.
La suite ici
https://www.franceculture.fr/sciences/petit-guide-pratique-pour-candidat-au-voyage-temporel

Pourquoi les humains du futur ne remontent-ils pas le temps jusqu'à nous ?

  - podcast FRANCE CULTURE -
Pourquoi les humains du futur ne remontent-ils pas le temps jusqu'à nous ?
 J’aimerais poser une question qui nous emmène loin, très loin, aux confins de la physique et de la métaphysique, encore plus loin que cet après-demain que Jacques Attali vise dans ses écrits : “Pourquoi les gens du futur n’ont-ils jamais remonté le temps jusqu’à nous ?” Ben oui, c’est vrai : étant acquis qu’il sera un jour possible de voyager dans le temps, pourquoi donc n’avons-nous jamais vu de gens du futur débarquer chez nous ? Ca n’est pas du tout logique. Il faut s’atteler à cette question Et comme souvent, c’est sur le merveilleux site Quora - où des gens apportent des réponses très documentées à toutes sortes de questions, des plus triviales au plus profondes, qui nous donne une réponse, sous la plume de Yshan Wong. Ce monsieur travaille actuellement pour le site Reddit (après avoir travaillé pour PayPal, Facebook et étudié à l’Université Carnegie Mellon… tout ça pour dire que ce n’est pas Jacques Attali, mais que c’est pas non plus la moitié d’un con) : pourquoi donc n’avons-nous pas encore vu d’humains du futur ? Déjà, dit-il, ramenée à l’histoire de la Terre, la présence des hommes n’occupe qu’une toute petite part, aux alentours de 0,08 % du temps écoulé. Et même, si l’on ne considère que le temps historique (le seul où l’homme ait été un truc un peu intéressant pour des gens du futur), ça ne concerne que les 5 000 dernières années, soit 2% environ de ces 0,08% “un clin d’oeil dans l’Histoire”, comme le dit joliment Yshan Wong. Et comparez ça aux millions d’années qu’il reste sans doute à vivre pour l’humanité (sauf catastrophe majeure, Dieu nous garde….), c’est vraiment rien.

Bref, notre période est ridiculement restreinte, ce qui pose un problème technique évident pour le voyage dans le temps : “Quand l’homme du futur voyageant dans le temps devra régler le bouton de la machine qui lancera son aventure temporelle, notre période toute entière sera sans doute trop petite pour qu’un cran lui soit consacré”. C’est donc ça…. Mais Yshan Wong est conscient que ce n’est pas une raison suffisante, il y en a de plus profondes. C’est que notre période ne présente pas les critères désirables pour un voyageur du futur. 

Par exemple en termes de paysages. Si vous venez du futur pour voir des paysages ouf, il ne vaut mieux pas venir aujourd’hui. La nature était beaucoup plus spectaculaire au temps des dinosaures, dit Yshan Wong qui a une idée assez précise de la végétation au temps des dinosaures. Mais c’est pareil pour le voyageur du futur qui voudrait aller à la plage… quel intérêt de venir aujourd’hui sur des littoraux ravagés par des construction alors qu’il y a eu des périodes dans l’Histoire de la Terre où les plages étaient top, et sans personne pour crier “beignets !!!!!” toute la journée. Il y a quand même un argument qu’il faut examiner : notre époque est passionnante, elle est charnière, pleine de promesses technologiques, nous nous surpassons par les temps qui courent. 

Comment se fait-il que les hommes du futur n’aient pas envie de venir voir ça ? Eh ben parce qu’ils s’en foutent de nos technos pourraves explique Yshan Wong. Et d’illustrer son argumentation par une analogie tout à fait éclairante : quand l’ADSL arrive dans une ville de campagne, est-ce que vous y courez pour brancher votre ordi ? Ben non, puisque chez vous, c’est déjà la fibre optique. Eh bien c’est pareil pour les humains du futur. Vu où ils en sont de leur technologie (la preuve, ils ont la machine à remonter le temps), ce que nous fabriquons aujourd’hui est d’une désuétude qui frise le ridicule. D’où la conclusion de Wong : “Donc, très vraisemblablement, la raison pour laquelle les voyageurs du temps ne visitent pas notre époque est juste que nous ne sommes pas aussi intéressants que cela, que nous ne sommes pas aussi importants que cela. 

Il n’y a que l’égotisme temporalo-centré pour nous fait penser le contraire.” Cette leçon de relativisme historique - dont la formulation la plus exacte pourrait être “on n’est bien peu de choses mon bon monsieur - mérite d’être méditée. Bien qu’à mon sens, il soit nécessaire de relativiser ce relativisme. J’aimerais adresser un message aux humains du futur: “venez nous voir, on la Nuit des Idées et Jacques Attali. Et rien que ça, ça mérite le déplacement.

Les aventuriers du bout du monde


 Les Aventuriers du bout du monde, (High Road to China) est un film américain et yougoslave réalisé par Brian G. Hutton en 1983. Dans les années vingt, Eve Tozer (Bess Armstrong), jeune femme riche et désœuvrée, passe sa vie entre soirées mondaines et hobbies plus coûteux les uns que les autres. Quand elle apprend que son père, parti au bout du monde, va être déclaré mort par suite des manœuvres frauduleuses de Bentik (Robert Morley), son ancien associé, qui désire s'emparer de ses brevets d'invention et donc de sa fortune, Eve loue alors les services et les deux avions de Patrick O'Malley (Tom Selleck), un aventurier ivrogne rejeté de tous les cercles de la bonne société, afin de traverser l'Orient tout entier à la recherche de son père. S'ensuivent aventures et péripéties diverses qui les mèneront jusqu'en Chine où le disparu (Wilford Brimley) défend seul un village contre les assauts d'un seigneur de guerre local cupide et cruel.

mardi 24 janvier 2017

SPIROU le film au cinéma en 2018

Immortalisé par Franquin et imaginé par Rob-Vel,  le film tiré de la célèbre bande dessinée sortira sur les écrans en juin 2018 avec Axel Lutz, Thomas Soliveres et Christian Clavier. http://www.lefigaro.fr/cinema/2017/01/24/03002-20170124ARTFIG00147--
spirou-et-fantasio-au-cinema-premiere-image-de-tournage.php Le synopsis officiel: Lorsque Spirou (Thomas Soliveres), prétendu groom dans un Palace, rencontre Fantasio (Alex Lutz), reporter en mal de scoop, tout commence très fort… et plutôt mal ! Ces deux-là n’ont aucune chance de devenir amis. Pourtant, quand le Comte de Champignac (Christian Clavier), inventeur aussi génial qu’excentrique, est enlevé par les sbires de l’infâme Zorglub (Ramzy Bedia), nos deux héros se lancent aussitôt à sa recherche. En compagnie de Seccotine (Géraldine Nakache), journaliste rivale de Fantasio, et de SPIP, petit écureuil espiègle, ils sont entrainés dans une poursuite effrénée entre l’Europe et l’Afrique.Spirou et Fantasio vont devoir faire équipe pour sauver Champignac… et accessoirement le reste du monde !

lundi 23 janvier 2017

Charlotte Gainsbourg / L'un part l'autre reste

I WANT TO BELIEVE - TOP 20 best UFO video


TOP 20 best UFO video from all over the World / 2016
http://www.linfo.re/magaUn Ovni filmé au Chili intrigue la communauté scientifiquezine/insolite/710245-un-ovni-filme-en-chili-intrigue-la-communaute-scientifique

vendredi 20 janvier 2017

Luís Rego – Interview

LuxNoize vous propose une rencontre exceptionnelle et privilégiée avec une véritable icône, à la carrière prolifique et indispensable ! Homme de théâtre, de cinéma, humoriste et fin musicien, Il a côtoyé des grands, comme lui… Antoine, Coluche, Desproges, Louis de Funès, Chuck Berry, Wolinski, la liste est longue… Il a fait le Charlot sans Problèmes… il a été G.O. « sans Bobo » dans Les Bronzés… il a fait pleurer de rire Jean-Marie Le Pen (et toute la France), avec la cultissime « Journée d’un Fasciste », (au Tribunal des flagrants délires, sur France Inter) … Ambiance cosy et décontractée dans son home sweet home… entre anecdotes et confessions intimes, notre invité se livre et se montre toujours en verve… Avec son humour, son éternel sourire, son charisme et sa vision personnelle du monde, il se prête au jeu, et ensemble nous revisitons son parcours, dés ses débuts (lorsqu’il quitte le Portugal, en 62, pour échapper à la guerre en Angola), jusqu’à aujourd’hui, évoquant ses nouveaux projets…

JAMES BOND : LES GENERIQUES adaptés en français

CODE QUANTUM - 10 mai 1958 - Donald TRUMP

Quand le Dr. Sam Beckett donne au Jeune Donald Trump l'Idée de construire une Tour...Nous étions alors le 10 Mai 1958..

LA GUERRE DES ETOILES Quelle est la version originale de la trilogie originale ?

Quelle est la version originale de la trilogie originale ?

Miguel Ferrer 1955-2017








Triste nouvelle, Miguel Ferrer a succombé d’un cancer de la gorge hier soir.

Son nom ne vous dit peut-être rien mais son vous avez  vu son visage quelque part. Miguel Ferrer était « une gueule », celles dont on se rappelle, ci dessous dans le film ROBOCOP, il était doublé par Patrick POIVEY himself !



http://www.allocine.fr/diaporamas/series/diaporama-18659644/

 FIlmographie sélective • 1987 : RoboCop  1990 : Vengeance (Revenge) de Tony Scott : 1992 : Twin Peaks: Fire Walk with Me de David Lynch : 1993 : Hot Shots! 2 de Jim Abrahams :  1993 : Indiscrétion assurée (Another Stakeout) de John Badham :  2000 : Traffic de Steven Soderbergh :  2004 : Un crime dans la tête (The Manchurian Candidate) de John Sayles • 2013 : Iron Man 3 de Shane Black : Le Vice Président des États-Unis

jeudi 19 janvier 2017

SOUS LE MEME TOIT, le nouveau film de Dominique FARRUGIA

L'ancien membre des Nuls présente ce jeudi, au Festival du film de comédie de l'Alpe-d'Huez, son nouveau film, Sous le même toit. Delphine et Yvan divorcent. Alors que sa situation financière ne lui permet pas de retrouver un domicile, Yvan se rappelle qu'il détient 20% de la maison de son ex-femme. Il revient alors vivre chez Delphine, dans ses 20%. Les deux ex vont découvrir les joies de la colocation forcée...

mercredi 18 janvier 2017

Dynasty - LA REUNION - la mini série de 1991

 Deux ans et demi se sont écoulés depuis la fin de Dynastie et après un âpre procès les ayant opposé pour savoir qui détiendrait les droits de la série, le producteur Aaron Spelling et les créateurs Esther et Richard Shapiro finissent par se mettre d'accord pour proposer à ABC un téléfilm qui mettrait un point d'orgue plus satisfaisant à 11 années de luttes acharnées entre les Carrington et les Colby. En effet, la série s'était arrêtée d'une bien sinistre façon: tandis que Krystle était plongée en plein coma, Blake gisait dans sa maison, grièvement blessé à cause d'un policier véreux, Alexis et Dex avaient fait une chute de plusieurs mètres à l'hôtel Carlton et enfin Fallon et Krystina étaient prisonnières d'une mine cachée dans la demeure familiale. On était en droit d'attendre mieux!


 Malheureusement, les producteurs étaient bien décidés à relancer la série avec ce téléfilm, et tout fut mis en place pour créer une nouvelle histoire au lieu de prolonger - et surtout terminer - celle de la saison 9.

Le résultat est donc décousu et plutôt que d'expliquer en détails ce qui s'est passé depuis le dernier épisode (on ne saura même pas au final si Dex a survécu ou non, ou si Sable a pu mener sa grossesse à terme), on s'attarde sur de nouveaux personnages, au demeurant peu passionnants... A l'exception notable de Jeremy Van Dorn qui est un méchant plutôt convaincant, fort heureusement. Côté casting, on regrettera le choix des acteurs qui interprètent les enfants de Blake: Steven est à nouveau campé par Al Corley, alors qu'on avait expliqué que Steven avait changé de visage après une opération de chirurgie esthétique, Fallon est jouée par Emma Samms, qui a bien moins marqué le rôle que l'avait fait Pamela Sue Martin et enfin, Gordon Thompson est remplacé avec moins de panache par un nouveau venu, Robin Sachs, dans le rôle d'Adam.

On notera aussi que l'intérieur du manoir familial n'a plus rien à voir avec celui de la série, ce dernier étant plus classieux et élégant. Le thème musical, qui a rythmé toutes les saisons du feuilleton, est quant à lui toujours présent. En ce qui concerne l'histoire, malgré le manque de lien avec la dernière saison, il faut avouer que la vitesse d'exécution des intrigues, assez inhabituelle, est un atout majeur, et évite d'être trop regardant ou trop critique. Ce qui fait finalement l'intérêt de cette Réunion, c’est la valeur de conclusion (quand bien même incomplète) qu’elle apporte à onze années d’histoire. http://dynastie.wifeo.com/reunion.php

Serge Otokar présente la console VECTREX


mardi 17 janvier 2017

James Bond 007 contre Ian Fleming

En 2015, Martin Quenehen proposait aux auditeurs de France Culture de se plonger dans la vie et l'œuvre de Ian Fleming, par une passionnante analyse de la relation de l'écrivain, lui-même ancien des services secrets, avec sa créature, tombeur de dame et buveur de cocktails.

Histoire des séries télé

En 2008, sur les musiques de Jerry Goldsmith, Lalo Schifrin et Edwin Astley - avec Martin Winckler et Brigitte Gauthier - Éric Vérat et Benoît Lagane nous replongeaient dans les 60's et 70's, avec ces séries d'espionnage parfois fantaisistes, mais sans prétention, qui avaient pour titre : Destination danger, Chapeau melon et bottes de cuir, Des agents très spéciaux, Mission impossible ou encore Max la menace. Des séries cultes donc… que le cinéma revisitera d'ailleurs plus tard avec plus ou moins de bonheur.

lundi 9 janvier 2017

GUILLAUME CANET une promo très rock n roll







La "guerre" continue entre les deux acteurs, qui n'hésitent plus à mettre en scène leur vie privée pour la promotion de leur film Rock'n Roll.

mercredi 4 janvier 2017

Interview Claude Lelouch sur son court métrage de 1976

Interview de Claude Lelouche en 2006 sur son court métrage de 1976 "C'était un rendez vous" ou la traversée de Paris à haute vitesse en Mercedes
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