Petit hommage à l'actrice Elga Andersen qui joue au côté de Paul Meurisse dans le MONOCLE NOIR et l'OEIL DU MONOCLE.
Elga Andersen (de son vrai nom Helga Hymen) est une actrice, chanteuse et productrice allemande, née le2 février 1935 à Dortmund (Allemagne) et décédée en 1994.
Elle arrive à Paris en 1953, pour devenir interprète. Elle mène une vie de bohême, fréquente des artistes et pose pour des photos de mode. C'est comme cela qu'elle est remarquée par André Hunebelle et débute dans Les Collégiennes sous le nom d'Elga Hymen.
Elle prend des cours de chant et est l'interprète des chansons du film Les Canons de Navarone en 1961
.
À l'origine, c'est pour elle que Gilbert Bécaud écrit Et maintenant (paroles de Pierre Delanoë), qui figure sur son 2e disque 4 titres sorti en 1962 (Toi le musicien de Gilbert Bécaud et Louis Amade, chez Fontana ref. 460.778, et le premier disque de 1961, Paris a le cœur tendre, chanson écrite par Marcel Camus, musique d'Henri Crolla, pour son film Os Bandeirantes, chezFontana ref.
Filmographie selective
• 1962 : L'Œil du Monocle de Georges Lautner : Erika Murger
• 1962 : Le Scorpion de Serge Hanin : Corinne
• 1961 : Le Monocle noir de Georges Lautner : Martha (Erika Murger)
• 1960 : I baccanali di Tiberio (it) de Giorgio Simonelli (sous le nom d'Helga Anderson)
• 1960 : Mourir d'amour de José Bénazéraf et Dany Fog : la secrétaire
• 1960 : Os Bandeirantes ou Les Pionniers de Marcel Camus : Elga
• 1958 : So ein millionär hat's schwer (de) de Géza von Cziffra : Alice Sorel
• 1958 : Ist Mama nicht fabelhaft ? de Peter Beauvais (de) : Evelyn
• 1958 : Solang' die Sterne glüh'n de Franz Antel : Doris Hoff, photographe
• 1958 : Bonjour tristesse d'Otto Preminger : Denise
• 1958 : Ascenseur pour l'échafaud de Louis Malle : Madame Bencker
• 1957 : La Polka des menottes de Raoul André
• 1957 : Les Collégiennes d'André Hunebelle : Hélène
sources photos
http://s664.photobucket.com/user/francomac123/library/Actrices/Elga%20Andersen#/user/francomac123/library/Actrices/Elga%20Andersen?
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1 commentaire:
Aucun commentaire ? J'espère que désormais il y aura le mien. Il sera court : elle fut d'une beauté invraisemblable, mais pas une beauté hiératique ou hautaine, elle paraissait simple et gentille. Un vrai grand amour de jeunesse, et j'ai vraiment eu la larme à l'œil lorsque j'ai appris son décès. Merci de lui avoir consacré ces lignes.
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