







Chargé de ramener un suspect de Las Vegas à Phoenix, Ben Shockley, policier non conformiste, s'aperçoit qu'il s'agit d'une femme que l'on cherche à abattre par tous les moyens. Sa mission de routine se transforme en odyssée sanglante, poursuivi à la fois par les tueurs de la mafia et les polices locales.



Avant de déguster à nouveau Quantum of Solace (cuvée 2008) qui vient de sortir en dvd cette semaine, replongeons nous un peu dans la saga OO7.Le démarrage de ce premier film est plutôt lent mais très agréable. Il faudra une bonne heure avant de découvrir enfin la première véritable James Bond girl incarnée par Ursulla Andress.
Ce premier film est clairement une mise en bouche pour les suivants mais il n'est pas difficile de comprendre pourquoi il a tant marqué son époque et continue de se regarder sans déplaisir.
Le méchant du film est très réussi bien que peu présent. Sa froideur et sa cruauté en font un excellent premier méchant et un adversaire digne de Bond.
S'il fallait ressortir deux scènes du film, je dirais celle avec la mygalle car c'est l'une des rares fois où l'on ressent la peur chez Bond puis la fameuse scène de la rencontre sur la plage entre Sean Connery et Ursulla Andress.
Dr No reste quand même un très bon James Bond, à voir absolument.

MICHEL CONSTANTIN
(1924-2003)
À la Libération, il monte une affaire de fabrication d’aiguilles à tricoter. À l’en croire " la plus grosse de France ". Il deviendra ensuite pour de bon journaliste à l’Équipe et mènera une carrière sportive fulgurante jusqu’aux sommets de l’équipe de France de volley-ball.
La stature de Michel Constantin lui vaut quelques rôles de première importance. Outre celui de l’inspecteur Campana dans Il était une fois un flic, le comédien fait merveille dans Mise à sac d’Alain Cavalier en 1967 comme dans Un linceul n’a pas de poches que réalise Jean-Pierre Mocky en 1974. Mais déjà ce pan du cinéma français s’effrite et l’on verra pendant quelque temps Michel Constantin répéter ses emplois, parfois dans le comique ou la parodie, souvent jusqu’à la caricature avant qu’un second souffle ne le porte à nouveau grâce notamment à trois films de Jean-Claude Missiaen : Tir groupé (1982), la Baston (1985) et la Loi sauvage (1987).


Cette histoire d'un médiator ultime du destin permettant de jouer comme les dieux du rock n'est dans le fond qu'un prétexte à chercher à partager un indéfectible amour pour le métal et pour le cinéma, bref, grop coup de coeur, un film comme on en voit pas si souvent.
Dans les quartiers populaires de Philadelphie, Rocky Balboa collecte des dettes non payées pour Tony Gazzo, un usurier, et dispute de temps à autre, pour quelques dizaines de dollars, des combats de boxe sous l'appellation de "l'étalon italien". Cependant, Mickey, son vieil entraîneur, le laisse tomber. Son ami Paulie, qui travaille dans un entrepôt frigorifique, encourage Rocky à sortir avec sa soeur Adrian, une jeune vendeuse réservée d'un magasin d'animaux domestiques. Pendant ce temps, Apollo Creed, le champion du monde de boxe catégorie poids lourd, recherche un nouvel adversaire pour remettre son titre en jeu. Son choix se portera sur Rocky. 



Pour rétablir l'ordre dans les secteurs les plus dangereux de Los Angeles, une brigade de police en arrive à mettre en oeuvre des méthodes plutôt expéditives et inhabituelles.