Sylvia Jeanjacquot était ce matin l'invitée de Nikos Aliagas sur Europe 1, à l'occasion de la sortie de son livre "Ma vie avec Mesrine".
Durant cet entretien, elle a notamment évoqué son couple, les dernières heures qu'elle a vécues auprès de Mesrine. Mais surtout, elle s'en est pris au film réalisé par Jean-François Richet
Sylvia Jeanjacquot n'a pas mâché ses mots envers ce long-métrage: « Ce film est mensonger et diffamatoire. Tout est faux. »
source
http://www.jeanmarcmorandini.com/article-212259-sylvia-jeanjacquot-le-film-sur-mesrine-realise-par-jean-francois-richet-est-mensonger
retour sur les deux films
http://www.allocine.fr/film/anecdote_gen_cfilm=51603.html
Un même dyptique, deux films différents
Inspiré des deux autobiographies de Jacques Mesrine, L'Instinct de mort et Coupable d'être innocent, le dyptique Mesrine se compose de deux volets : L'Instinct de mort et L'Ennemi public n°1, deux films très différents selon Vincent Cassel. "Même si les deux opus respectent la chronologie de la vie de Mesrine, on sentait bien, déjà pendant le tournage, qu'ils seraient différents l'un de l'autre, confie le comédien. D'abord on change d'époque : les années 50 et 60 ne ressemblent en rien aux années 70 : ce ne sont pas les mêmes voitures, les mêmes looks, les mêmes musiques, et surtout pas les mêmes mentalités. Les deux films développent deux thèmes qui se complètent l'un l'autre. Si L'Instinct de mort raconte l'histoire d'un jeune qui se cherche puis se trouve, L'Ennemi public n°1 raconte celle d'un homme qui sait où ses choix de vie l'emmènent et qui y va malgré tout. Le premier est un film noir. Le second en revanche serait plus un thriller psychologique, la paranoïa d'un type qui sait intuitivement comment tout cela va finir."
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire